une invitation pas comme les autres ₪ OLIRREN

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Votre refus est ridicule. grogne-t-il alors qu’il attrape tes poignets pour les retirer de ta poitrine. Bon sang, tu n’peux donc pas soulager la douce brûlure du glaçon sur ta peau ? A quoi bon essayer de se débattre ? Warren s’acalifourchonne sur toi et, oh, par les étoiles ! Il est tout aussi excité que toi. Et ce que tu sens là, juste contre ta cuisse nue, en est la preuve. Tu déglutis et tourne la tête pour que sa bouche trouve plus facilement ton oreille. Ma chère.. il n'y a que moi qui déciderai de quand j'arrêterai le supplice. Tu grognes de plaisir face à ses mots et te cambre un peu plus pour faire tomber se glaçon qui te fais tourner la tête. Ton corps est bouillant. Ferais-tu de la température, par hasard? Il se moque de toi. Tu imagines ses lèvres retroussées en un sourire à vous faire exploser le cœur. Pas de température, monsieur. souffles-tu alors qu’il promène son visage dans ta poitrine, jouant avec le glaçon qui font sur ta peau dénudée. Il l’emmène droit jusqu’à ton téton et la fraîcheur de l’eau mêlée à la chaleur de sa bouche te font délicieusement pointer. Même en m'accompagnant, vous n'accepterez pas de venir au bal? C'est une grossière erreur, cette décision.. Le glaçon n’est plus que gouttelettes d’eau s’échouant sur ta poitrine. Sa langue est froide et continue de jouer avec ta poitrine. Ce contact est électrisant. Il est hors de question que je mette ne serait-ce qu’un pied dans ce bal de promo. souffles-tu en bombant le torse pour lui offrir un peu plus ta poitrine. Tu n’avais jamais mis un pied dans ce genre d’évènement en Ohio, tu ne déjaugerais pas à la règle ici. Et puis toi, porter une robe ? Ca avait déjà été difficile d’en trouver une pour ton mariage…
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La pauvre.. Être à sa place, tu lui en voudrais à mort de ne pas te satisfaire de la meilleure et la plus délicieuse des façons. Ce n'est pas l'excitation qui manquait à l'appel, loin de là. À ne pas être maître de tes émotions et de tes gestes, dans l'instant, tu lui ferais l'amour sauvagement sans même prendre la peine de retirer tous vos vêtements bien sagement. Mais tu ne pourrais pas lui faire la grande demande de l'invitation au bal, comme t'essayais de faire, tout d'suite. Pas de température, monsieur. Tu lui mords le lobe d'oreille au passage : "Alors.. de quoi s'agit-il?", murmures-tu, envieux, en remontant pour continuer la torture qu'elle ne peut que subir, pour ton plus grand plaisir.. Oh ça, oui alors. Elle se tend vers toi, incapable de maîtriser ses réactions corporelles. Tu l'aimes, ta femme et tout c'qui vient avec. Il est hors de question que je mette ne serait-ce qu’un pied dans ce bal de promo. Dommage. Vraiment, vraiment dommage pour elle.. Elle manquerait une belle occasion d'être à ton bras. Même si.. tu ne pouvais pas utiliser cet argument, puisque c'est toi qui était toujours à son bras, pendu à ses lèvres, accroché à son corps comme un aimant, comme un amant.. "Dommage.. Parce que tant que tu n'accepteras pas chérie, je ne vais pas m'arrêter." Et ne pas t'arrêter  signifiait d'arrêter tes petites attentions sensuelles du genre, passer ta langue sur ses seins, mais continuer de lui infliger le doux supplice de la fraîcheur extrême des glaçons. Il en reste quelques-uns dans le verre qui ne sont pas fondus. Tu en attrapes un, le posant tout de suite entre tes lèvres, le retenant par les dents, puis, glissant sa culotte vers le milieu d'ses cuisses, ta tête vers son entrejambe tu y laisses tomber, juste à l'extérieur, sur la zone érogène et hautement sensible, le petit glaçon biiiien froid. "Tu ne changeras pas d'idée? Ou bien... c'est à reconsidérer?", demandes-tu, retenant le glaçon à sa place par tes lèvres, le mouvant un peu contre elle, pour accentuer la pression et le supplice, tes mains retenant ses hanches, au passage..
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Alors.. de quoi s'agit-il? Pas à cause des glaçons en tout cas. Ils avaient beaux être d’une froideur extrême, la température de ton corps ne faisait que monter, encore et encore. Et tout ton désir pour cet homme, sur toi, s’accroit juste là, tout en bas de ton ventre. De toi. grognes-tu alors que ses dents tirent le lobe de ton oreille. Tu veux le regarder, tu veux le voir, tu veux lire le désir dans ses yeux. Mais ce bandeau t’en empêche.. Grr. Toute cette mise en scène, tu l’as compris, pour te demander de l’accompagner au bal. Il devra s’armer de courage et de patience, ton mari. Tu étais bien décidée à ne pas y mettre le moindre petit orteil. Dommage.. Parce que tant que tu n'accepteras pas chérie, je ne vais pas m'arrêter. Et c’est censé te faire renoncer, ça ? Tu en voulais encore, plus. Tu voulais que sa ses lèvres continuent d’embrasser ton corps. Tu voulais que tes mains le caresse. Oh non, tu ne voulais pas que ça s’arrête. Ca me va très bien comme ça. souffles-tu en relevant ta poitrine lorsque sa bouche rompt le contact. Tu entends les glaçons s’agiter dans le verre. Grand dieu, il en a pris un autre. Où va-t-il donc le faire fondre cette fois ci ? Ta culotte glisse le long de tes cuisses. Oh. Non, pas là. Un cri aiguë s’échappe de tes lèvres au contact du glaçon sur ton intimité. L’enfer et le paradis, en même temps réunis. Et tout ça, dans ta cuisine. God. Tu cherches à bouger ton bassin pour échapper au contact geler du glaçon mêlé à la chaleur de son visage mais il te tient trop fermement les hanches pour que tu puisses bouger. Il a de la poigne ton mari, n’en doutez pas. Tu ne changeras pas d'idée? Ou bien... c'est à reconsidérer? Et de ses lèvres, il fait fondre le glaçon contre toute ta chaleur concentrée dans ce petit endroit. Je ne… Warren, arrête ça. Pas ici. souffles-tu en continuant de te débattre pour échapper aux gouttelettes qui ruissèlent contre toi. Je reconsidèrerais… mais arrête ça et embrasse moi. Touche moi. grognes-tu.
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Ca me va très bien comme ça. Oh. Tu maugrées entre tes dents, silencieux, réfléchissant à un moyen qu'elle change rapidement d'avis sur ça, justement. Ça lui va très bien comme ça? Peut-être est-ce que tu es un peu trop gentil? C'est sûrement ça. Tu comptes y remédier bien vite, même. À son plus grand désarroi, très certainement.. Tu t'en délectes déjà. Dieu que c'est dur de lui résister, surtout dans l'état dans lequel elle s'trouve. On aurait dit qu'elle était en transe, délicieusement attirée par tout ce que tu fais, par tes mains qui ne veulent pas lui donner de plaisir. Du moins, qui le veulent, oui, mais qui se retiennent pour ne pas la laisser gagner. Tu penses déjà gagner en lui foutant presque carrément le glaçon sur son intimité. Encore une fois, être à sa place, tu chercherais pas tout les moyens à... à faire comme elle fait, quoi. À te supplier d'l'enlever de là et de la toucher, partout, absolument partout, comme tu meurs d'envie de le faire. Je ne… Warren, arrête ça. Pas ici. Tu la retiens toujours fermement par les hanches, comme elle s'tortille juste au-dessous de toi. Tu secoues la tête de gauche à droite, un sourire vainqueur en coin, bien qu'elle ne puisse le voir. "Hors de question qu'j'arrête. J'ai trouvé ta sensibilité." Tu souris, vraiment. Il ne s'effacera pas, c'lui-là. Tu es aux anges. Et excité comme un fou. Mais aux anges, surtout. Tu avales tout de même difficilement ta salive pour te retenir, quoi. Et chasser tes idées perverses. Je reconsidèrerais… mais arrête ça et embrasse moi. Touche moi. Sans prévenir, tu lâches prise sur l'une de ses jambes pour que, d'une main, tu lui soulèves son bandeau, le posant sur la table, juste à côté d'sa tête. Elle va voir c'que tu fais, maintenant. Mais... Elle ne pourra rien faire de plus que voir. Et subir. "N'y compte pas. Je ne vais rien faire d'autre que continuer c'que j'fais tant que tu n'auras pas officiellement accepté d'être ma cavalière au bal. C'est aussi simple que ça. Et moi, ça m'amuse..", murmures-tu, relevant les bras, prenant place sur ses jambes et tes pieds à la fois, pour l'observer, offerte, presque toute nue, quoi. "Qu'est-ce que tu dirais... d'un glaçon EN toi?", dis-tu, retenant un rire qui est clairement évident et apparent sur ton visage de mec idiot, quoi.. Mais fier! Ça, tu l'es.
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Ce glaçon, là, juste sur le point le plus sensible de ton corps.. C’était un doux supplice. Ceux qu’on ne peux supporter bien longtemps mais qu’on redemanderait sans hésiter. Parce que c’est excitant. Hors de question qu'j'arrête. J'ai trouvé ta sensibilité. Tu devines toujours son sourire, grandissant de minutes en minutes, sur ses lèvres. Il n’arrêtera pas tant que tu n’aurais pas accepté de l’accompagner au bal, c’est une certitude. Tu commences à bien le connaître, ton mari. Warren.. gémis-tu en tentant d’échapper à la brûlure glacée du glaçon contre ta féminité. Et il te lâche et te retire le bandeau, sans te prévenir. Tu grimaces face à ce changement soudain de luminosité. Aïe. Comme tu l’avais imaginé, Warren a les pupilles noires de désir et un sourire mesquin et pervers au bord des lèvres. Bordel de merde, rien que de le voir, comme ça, te donne encore plus envie de lui faire l’amour. Bon sang, ça oui. N'y compte pas. Je ne vais rien faire d'autre que continuer c'que j'fais tant que tu n'auras pas officiellement accepté d'être ma cavalière au bal. C'est aussi simple que ça. Et moi, ça m'amuse.. Ses yeux noirs, brûlant de désir, percent les tiens que tu imagines tout aussi.. enflammés ! Ca l’amuse. Ca l’amuse de te faire tortiller sous ses drôles d’envies, ça l’amuse de te donner envie de lui, ça l’amuse que tu ne saches pas ce qui t’attends ensuite. Bordel. Merde. J’espère que tu as du temps devant toi, Cooper. Je ne serais pas. Ta cavalière. Au bal. dis-tu sans le quittant des yeux, en haletant tout de même lorsque tu sens les dernières gouttes du glaçon ruisseler. Qu'est-ce que tu dirais... d'un glaçon EN toi? QUOI ? Non, non et non. Tu n’essayes de pas lui montrer la panique qui s’éveille en toi en ce moment. Tu restes de marbre, sans le quitter un seul instant des yeux. Parce que tu ne peux pas de toute façon. Il est trop beau, ton mari. N’y pense même pas, Cooper ! grognes-tu en essayant de refermer tes cuisses. Que penses-tu plutôt d’autre chose ? Quelque chose comme.. toi ! Et tu te mordilles la lèvre inférieure, plissant d’une manière aguicheuse tes jolis yeux.
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Warren.. Warren.. Warren.. Elle te supplie toujours et encore, ça te rend fou. Fou de bonheur de réussir, mais fou de rage de te contraindre de la sorte. Mais il le faut. Tu la haies d'être si désirable, de gémir autant ses ce que tu lui fais, alors que le but n'est pas de lui donner du plaisir. Elle trouve comment prendre son pied par peu importe ce que tu lui fais. C'est étonnant. Et tellement... elle. "Le Warren clément n'est pas là, aujourd'hui..", rigoles-tu entre tes dents, comme, tout juste alors qu'elle vois enfin la lumière se faire lorsque tu lui retires le bandeau, tes mains glissent sur ses cuisses, remontant aux hanches une nouvelle fois, la retenant contre ce glaçon qui a finalement fondu. Ton bassin se fond au sien, comme pour lui faire ressentir une frustration encore plus grande de ne pouvoir profiter de ça. C'est ce qu'elle veut, après tout. Rien que ça. J’espère que tu as du temps devant toi, Cooper. Je ne serais pas. Ta cavalière. Au bal. Tu maugrées, te faisant légèrement impatient sur la question. "Tu viendras en pyjama, si c'est c'que ça te prend, Livette." Elle est tellement... tellement frustrante, parfois. N’y pense même pas, Cooper ! C'est ce qu'elle dit, la panique dans les yeux - tu sais la reconnaître, sur son visage. Elle tente de refermer les cuisses, mais tu secoues la tête, laissant en paix ses hanches pour les poser sur ses genoux pliées et les écarter de nouveau. Quel coquin tu es. Et elle fait une proposition plutôt intéressante, qui ne te laisse certes pas de marbre, mais qui ne te fait toutefois pas plier. Que penses-tu plutôt d’autre chose ? Quelque chose comme.. toi ! Tu te mets à rire, te penchant vers elle, te mordillant la lèvre inférieure, comme un mec peu le faire de la façon la plus sexy qui soit. Oh, oui. "Je me répète : hors de question." Puis, sans prévenir, ta main attrape le seul glaçon encore présent dans le verre, entre tes doigts, et de ta main gauche tenant fermement un genoux, l'autre s'approcher de son intimité, où dégouline encore l'eau du dernier glaçon, mais aussi et surtout, l'excitation qu'elle a de la situation, malgré tout. Tu ne la quittes pas des yeux. Tu te sens cruel, mais pas trop tout de même. Ce n'est qu'un jeu. Un jeu vilain, certes. Un jeu où elle est prisonnière de toi, où ses efforts de s'esquiver sont vains. Le glaçon se plaque contre l'entrée de son intimité, et sans avoir à trop forcer, tu le plonges en elle, comme tu l'aurais fait avec autre chose, comme tu l'aurais fait avec ce qu'elle te demande, avec ça. "Tu ne changes toujours pas d'avis?" Et putain, tu croyais pas que ce serait si difficile que ça pour elle d'accepter. Tu n'as plus de glaçon, tu devras aller en chercher d'autres ou... user d'une tout autre tactique.
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Tu viendras en pyjama, si c'est c'que ça te prend, Livette. Plutôt mourir que d’aller là bas en pyjama. Ou même en robe. Ou même tout court ! Putain, ça n’voulait pas rentrer dans son adorable petite tête ça ? Warren, peu importe la tenue, je n’irais pas. Jamais, jamais, jamais. Enfin tu allais sans doute reconsidérer la question s’il mettait ses menaces à exécution. Un glaçon, en toi. Hors de question ! Tu avais resserré les cuisses dans l’espoir de le freiner mais c’étais sans compter sur ses bras musclés qui te les écartaient de nouveau. Je me répète : hors de question. Tu laisses retomber ta tête en arrière, boudeuse. Il n’avait pas envie de toi. Du moins, pas comme toi tu en avais envie. Et merde, c’était sacrément dommage. Là, sur cette table, dans la cuisine, vous auriez pu vous envoler tous les deux pour le septième ciel, et même plus ! Tu ne l’entends même pas attraper le dernier glaçon dans le verre. Tu le devines, seulement, en sentant les doigts gelés de Warren. Putain. Putain, putain, putain. Ce choc de froid et chaud est désagréable. Mais ces doigts, là.. Bon sang, tu veux que ça s’arrêtes mais tu rêves qu’il t’en donne plus, en même temps. Quel doux dilemme. Tu ne changes toujours pas d'avis? Tu te tortilles sous des doigts, essayant de faire abstraction à la morsure froide du glaçon contre ta chair. Mais c’est impossible. C’est trop froid. Ok, c’est bon. Mais on ne fait qu’une apparition, on mange un bout et on repart. murmures-tu en glissant tes mains dans ses cheveux. Maintenant que t’as c’que tu veux, fais moi l’amour Warren. S’te plait. J’ai envie d’toi, maintenant.
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Warren, peu importe la tenue, je n’irais pas. Jamais, jamais, jamais. Elle est têtue comme une mule. Pire que toi, ta femme. "Tant pis, alors. J'irai avec Salomée." Mais tu n'avais même pas besoin de ce genre de menaces. Tu sais d'emblée qu'elle ne résisterais pas à ce glaçon en elle bien longtemps. Et comme de fait, tu as eu raison. N'as-tu pas toujours raison? Eh... oui ! Ok, c’est bon. Mais on ne fait qu’une apparition, on mange un bout et on repart. Tes doigts en elle pour retenir le glaçon remuent un peu de bonheur à l'entente de cette concession qui fut difficile venant d'elle. Mais tu as finalement gagné. Vainqueur, tu te retires à l'entente de sa nouvelle requête. Elle a toujours envie d'toi. C'est une vraie sauvage. Maintenant que t’as c’que tu veux, fais moi l’amour Warren. S’te plait. J’ai envie d’toi, maintenant. Tu roules des yeux, amusé, un sourire coquin tout bonnement scotché aux lèvres, un visage d'ange en plus. Tu lâches son intimité en te reculant de quelques pas, loin de la table, tes yeux posés sur elle, qui dévorent avec envie son corps de rêve. "Tu ne serais jamais repue, pas vrai?" Un regard de braise, te passant la langue sur les lèvres, tu avales ta salive, te contenant du mieux que tu le peux en te reculant encore, faisant comme si de rien n'était et tournant les talons. "Mais tu devrais te contenter de ça, mon amour..", souffles-tu assez fort pour qu'elle l'entende, un rictus évident dans la voix. Clairement, c'est difficile de t'éloigner d'la sorte. Mais comment te faire désirer, en n'agissant pas ainsi? Parfois, c'est l'homme aussi qui devait agir ainsi. Surtout face à une femme comme Olive. À laquelle tu ne pouvais tout juste pas résister. Simplement. Tu en profites pour la provoquer, t'étirant de la façon la plus sexy qui soit pour retirer ton t-shirt, le passant par-dessus ta tête, lui offrant comme vue tes dos musclé couvert de tatouages qu'elle doit si bien connaître. Tu ne lui jettes même pas un regard, à ta femme, préférant attendre de voir sa réaction..
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Tant pis, alors. J'irai avec Salomée. Oh non, non non non. Essayer de te rendre jalouse ne marchera pas. Pas cette fois. Tu es sa femme, à Warren. Rien ne peut te rassurer autant par rapport aux autres filles. Ok, ce n’est pas sans faille, mais cette fois ci ça marche. Alors le problème est réglé. dis-tu avec un sourire fier avant de paniquer à l’idée de recevoir un glaçon en toi. Et cette drôle de sensation ne tarda pas à arriver et à te faire céder par rapport au bal. Ok, tu irais. Mais juste histoire d’une heure ou deux. Pas plus. Il en était hors de question. Et la tenue.. tu verrais ça plus tard. Déjà, tu venais d’accepter de l’accompagner, c’était beaucoup. Tu ne serais jamais repue, pas vrai? Tu secoues la tête, les lèvres entrouvertes, attendant que Warren te rejoindre sur cette table, attendant que vos corps ne forment plus qu’un. Mais ça ne vient pas. Son regard se consume, il passe sa langue sur ses lèvres. Tu le mordrais mille fois si seulement c’était possible. Mais tu devrais te contenter de ça, mon amour.. souffle-t-il si doucement que tu de demandes si tu as bien entendu. Te contenter de ça ? C’est une blague ? Tu te redresses, rabaissant la chemise de Warren sur ton vente dénudé et froid et remontant ta culotte. Ton mari est à présent torse nu, très fier de son coup. Toi, tu l’as un peu en travers de la gorge, là. Tu rigoles ? Me contenter de ça ? Tu bondis de la table et marche d’un pas vif jusqu’à Warren. Tu plaques ta main sur son érection et le regarde en arquant un sourire, amusée. C’est pas ce dont il a envie, lui. souffles-tu contre lui en laissant ta main caresser le tissus tendu.
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Alors le problème est réglé. Bah putain. Tu es consterné. Ça n'a même pas fait l'effet escompté. Elle est de marbre face à ta tentative de la rendre jalouse pour la faire changer d'idée. Mais rien n'y fait. À l'exception du glaçon qui vient enfin à bout d'elle. Tu souris, victorieux, fier de toi, alors que la victoire, tu n'y goûteras pas longtemps. Tu rigoles ? Me contenter de ça ? De dos, tu rigoles entre tes dents. Tu ne t'attends aucunement à la suite des choses. Tu gambades presque tout fier, vers la porte qui mène au balcon pour sortir dehors, mais tu ne l'atteins pas. Puisqu'Olive te rattrape et attrape d'une vive poignée, de sa main, ton érection évidente qui se dissimule sous ton jean. Tu pousses un gémissement étouffé comme elle palpe le fruit de ses envies, ton point faible face à elle. C'qui te trahit. Toujours. C’est pas ce dont il a envie, lui. Elle n'a pas tort. Elle t'enrage d'avoir raison comme ça. Comme un frustré, Tu avances vivement vers elle, la forçant à reculer jusqu'à la grande porte vitrée. Tu la plaques contre celle-ci. Olive Bambi Shark-Cooper. T'as pas le droit. Pas. Le. Droit.", maugrées-tu en venant, sans prévenir, poser tes lèvres au niveau de son cou, jusqu'à mordiller la peau de celui-ci, suçotant tel un vampire la peau qui se colle à tes dents, à tes lèvres. "Je t'ai déjà dit que j'étais un vilain garçon?", demandes-tu en soufflant contre sa peau, usant de tes deux mains pour tirer vivement sur ta chemise, qu'elle porte, de sorte à presque arracher les boutons de celle-ci. T'en as rien à foutre. Tu veux juste la revoir nue. Près de toi. Et contre toi.
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