Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityune invitation pas comme les autres ₪ OLIRREN
Le Deal du moment :
SSD interne Crucial BX500 2,5″ SATA – 500 ...
Voir le deal
29.99 €


une invitation pas comme les autres ₪ OLIRREN

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pour une danse
OLIRREN

Cette douce soirée de printemps tu l’avais passé à repasser. Un samedi de passé, un samedi comme un autre finalement. A l’aise dans une chemise blanche bien trop grande pour toi – celle de Warren au cas où vous n’auriez pas deviné – tu repassais au rythmes des clips qui défilaient sur la télé. Et au bout de deux longues heures, tu eu enfin terminé. C’est à ce moment là que tu sentis les douces mains de ton mari à travers sa chemise blanche. Un baiser dans la nuque, juste au dessus de ton tatouage maintenant cicatrisé. Et avant que tu puisses faire quoi que ce soit, tu te retrouves plongée dans le noir, un bandeau sur les yeux. Mais qu’est-ce que tu fabriques ? pouffes-tu en posant tes mains sur les siennes.
✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pour une danse
OLIRREN

Tu t'étais levé tôt ce matin avec une idée derrière la tête. Quand n'en avais-tu pas? Imaginatif comme tu l'es, bien que parfois un peu trop, ton cerveau travaille constamment à vive allure.  Comme tu n'en avais pas à la maison, tu avais pris les ciseaux et un morceau de tissu noir pour en faire un bandeau, fort simple. C'est au milieu de l'avant-midi que tu grimpes à l'étage de votre maison, à toi et Olive, pour dénicher sa cachette : elle repasse les vêtements. Sur la pointe des pieds, tu te retrouves en deux secondes derrière elle, afin de passer tes bras autour de sa tête, lui enroulant le fameux bandeau improvisé autour des yeux, de sorte à la plonger dans un noir d'encre. Tu souris, déposant tes lèvres contre sa nuque. La vue de ce tatouage te donne chaque fois encore de tendres frissons. Mais qu’est-ce que tu fabriques ? Tu as un rictus qui t'échappe. "Mais rien, ma chérie. C'est une surprise. Surprise pour te récompenser de ton beau boulot de repassage..", dis-tu en riant, glissant tes doigts entre les siens, les entrelaçant ainsi ensemble. "C'est une belle journée, pas vrai? Tu sens le printemps.", murmures-tu, enfouissant avec une envie évidente ton visage dans son cou, reniflant de façon un peu exagérée du nez pour te consumer de sa délicieuse odeur. "Ça te dit, une p'tite surprise ce soir?"
✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pour une danse
OLIRREN

Sa bonne humeur est horriblement contagieuse et ses mots chatouillent tes oreilles tandis que ses doigts s’enroulent autour des tiens. Mais rien, ma chérie. C'est une surprise. Surprise pour te récompenser de ton beau boulot de repassage.. Une surprise ? Grr, tu détestes les surprises. Tu es bien connue pour ton éternelle impatience ! Mais il est tellement heureux, tout content. Il rit, aussi. J’devrais repasser plus souvent alors.. Parce que tu détestais ça. Mais si à chaque fois que tu t’y mettais ton mari venait te chercher de la sorte, t’allais vite changer tes habitudes. C'est une belle journée, pas vrai? Tu sens le printemps. Et il plonge sa tête dans ton cou, dans tes cheveux. Putain, mais ça t’excite en plus de ne rien y voir. Ca y’est, t’es impatience. Tu crèves d’envie de savoir ce qu’il te réserve. Ça te dit, une p'tite surprise ce soir? Tu déglutis en sentant son souffle chaud sur la peau de ton coup. Ce bandeau réveille d’autres sens, c’est.. Déroutant ! Tu as toute mon attention Warren. Alors oui. souffles-tu comme unique réponse en resserrant tes doigts autour des siens.
✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pour une danse
OLIRREN

J’devrais repasser plus souvent alors.. Tu te mets à rire, appréciant en même temps le contact de vos doigts entrelacés de la sorte. Quel bonheur, ce printemps. "Comme ça, je n'aurai plus à le faire." Tu détestais repasser. Peut-être autant qu'elle. Mais déjà, elle l'faisait cent fois mieux que toi. Tu n'avais pas la technique appropriée, puisqu'il restait toujours de vilains et horribles plis. Tu te blottis dans le dos de ta bien-aimée, la tête au creux de son cou, appréciant la chaleur qu'elle dégage, l'odeur qu'elle émane. Sans même avoir à bouger, tu la sens se tortiller légèrement sous toi. Agréable sensation. Tu as toute mon attention Warren. Alors oui. Évidemment, qu'elle a toute ton attention. Ce bandeau, tu ne l'as pas confectionné pour rien. Elle qui n'aime pas tant les surprises, tu devais bien trouver un moyen de l'attirer dans tes dangereux filets. Hmhm. Tu tires gentiment sur sa main, la levant en l'air pour la faire valser, de sorte à ce qu'elle se retourne vers toi. Puis, tu l'attires à toi, reculant de quelques pas, la faisant avancer. " Ne t'attends pas à ce que j'aie décidé de confectionner une Chambre rouge de la douleur. Mais... j'crois que ça peut s'annoncer tout aussi plaisant." Enfin, relativement plaisant, t'crois. Tu avais eu envie de mettre un peu de sensualité dans ce que tu planifiais depuis ton réveil, sans pour autant que vous ne finissiez par vous sauter dessus à la fin. Non. Pas de sexe ce soir. Juste... de la romance. "J'te tiens. Fais-moi confiance.", lui dis-tu, délaissant ses mains pour glisser les siennes au niveau de ses hanches, et d'un coup, la soulever en l'air pour qu'elle s'retrouve sur la table, en plein milieu d'la cuisine. "J'imagine qu'tu te demandes ce que je vais faire, hein? Attends-moi là." Tu dis ça rien que pour la faire patienter, ou s'impatienter, devrais-tu plutôt dire. Tu restes planté devant elle, les bras croisés, à l'observer et à te moquer gentiment de ses réactions. C'est ça le plaisir du jeu, avec Olive.
✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pour une danse
OLIRREN

Quand Warren prenait le fer à repasser, c’était purement égoïste et simplement parce que tu n’avais pas eu le temps de repasser les dernières affaires. Oui, monsieur ne repassait que ce dont il avait besoin et laissait la table et le fer en plan, comme ça, dans le salon. Tu l’fais déjà pas beaucoup, Cooper. dis-tu en sentant un délicieux frisson parcourir ton corps sous ses baisers brûlants. Une surprise, t’attendais de voir avec impatience ce qu’il te réservait. Et avec ce bandeau, le ton était donné. T’en frémissais d’avance. Ne t'attends pas à ce que j'aie décidé de confectionner une Chambre rouge de la douleur. Mais... j'crois que ça peut s'annoncer tout aussi plaisant. Quelque chose se tord de plaisir dans ton bas ventre. Pourquoi chaque mot qu’il prononce te semble si excitant ce soir ? Il te chauffe là, clairement. Il sait que ça te plait, tout ça. Tu te mords la lèvre inférieure, plus impatiente que jamais. Monsieur Cooper, je m’impatiente là. dis-tu en laissant échapper un éclat de rire. J'te tiens. Fais-moi confiance. Ses mains glissent sur tes hanches et te soulèvent pour te poser sur quelque chose de dur. Le plan de travail ? Non, la table plutôt. Tu te laisses tomber en arrière et attends. Bon sang, c’que c’est excitant. J'imagine qu'tu te demandes ce que je vais faire, hein? Attends-moi là. Un peu que tu t’le demande. Attendre ? Non, t’en vas pas Cooper. Puis le silence s’installe dans la cuisine. Un sourire indélébile orne tes lèvres tandis que ta poitrine se soulève au rythme de ta forte respiration. Mais qu’est-ce qu’il fabrique ? Warren ? Tu soulèves un morceau du bandeau et le vois devant toi, les bras croisés, un sourire satisfait sur les lèvres. Merde, le con. Il te fait tourner en bourrique. T’éclate de rire et laisse retombé le bandeau sur tes yeux. Pourquoi ai-je l’impression tout d’un coup que tout ça n’est que bêtise, Cooper ? murmures-tu avec un sourire sur le coin des lèvres.
✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pour une danse
OLIRREN

Tu l’fais déjà pas beaucoup, Cooper. Roulant des yeux, tu te mets à rire, haussant les épaules. Elle dit n'importe quoi, voyons! "Ça, c'est qu'un détail.", maugrées-tu comme un ronronnement entre tes lèvres. Elle se moque de toi, la petite. Un d'ces jours, tu la surprendras à faire tout le repassage, et elle comprendra plus rien. Ahh. Monsieur Cooper, je m’impatiente là. Rien qu'à analyser ses réactions, autant corporelles que vocales, tu te plais à remarquer qu'elle s'imagine une toute autre scène que celle que tu as préparé. Du moins, elle n'en est pas loin, mais parfois, pour agrémenter, pimenter la vie un peu, ne faut-il pas jouer, en détournant les règles? C'est bien ce que tu comptes faire, ce soir. Elle va te supplier. Elle va te détester. Mais après, elle va tellement t'aimer.. "Si Madame Cooper s'impatiente, alors Monsieur Cooper se doit de la satisfaire.", murmures-tu en sifflant entre tes dents, tout fier. Et pourtant, tu te postes fièrement et droitement devant elle, les bras croisés, attendant qu'elle s'impatiente un peu plus. Warren ? Tu grognes, en retenant un rire, lorsqu'elle soulève le bandeau pour te gronder un peu. Vraiment, elle est impatiente. Elle se tortille, dos contre la table. Et tu es loin d'en avoir terminé avec elle : tu n'as même pas commencé. Pourquoi ai-je l’impression tout d’un coup que tout ça n’est que bêtise, Cooper ? Haussant un sourcil, tu t'approches de la table, attrapant un verre qui se trouvait sur le comptoir, posé par toi-même là un peu avant de la transporter, pour le poser sur la table. "C'est loin d'être une bêtise, Shark. Et puis, tu gardes le bandeau. Ou j'vais devoir sortir les grands moyens.", souffles-tu en ne rigolant qu'à moitié. La table, bien solide, ne tombera pas sous vos poids mutuels, puisque tu ajoutes le tien en posant tes mains de chaque côté de ses hanches. Enfin, juste un peu plus haut. Puis, attrapant ce qu'il y a dans le verre : de la glace, tu la prends entre tes doigts, soulevant le chandail de ta belle jusqu'au niveau du soutien-gorge, puis rapidement, tu y laisses tomber le morceau de glace juste au dessous de la ligne du soutif. "C'est pas du concret, ça?", demandes-tu en retenant un rire. Tu te penches au-dessus d'elle, t'ayant au préalable soulevé en l'air à l'aide d'une chaise pour être à sa hauteur, posant tes lèvres sur le petit glaçon, qui commence déjà à fondre. Tu le fais voyager sans gêne sur son ventre, jusqu'au nombril, où tu le laisses fondre lentement. Tout ce manège a un but. Inévitablement. "Madame Cooper, j'aurais une requête, une question pour vous.."
✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pour une danse
OLIRREN

Si Madame Cooper s'impatiente, alors Monsieur Cooper se doit de la satisfaire. Agneuhzpôtga. Voilà c’qu’il se passe dans ta tête en ce moment. Et pas que dans ta tête, d’ailleurs. Juste aussi c’est la folie. T’as les hormones en pleine ébullition. Il se rend compte de ce que ça te fait, tout ça ? Il t’en faut peu pour te stimuler..mais alors là, tu t’imagines déjà exploser en mille et uns éclats dans ses bras. Merde, merde, merde. C’est finalement sur la table qu’il te dépose et te fait mariner. Ouais, mariner, y’a pas d’autres mots. Il profite de ta vulnérabilité en te regardant t’impatienter sur cette table, tout fier de lui. C'est loin d'être une bêtise, Shark. Et puis, tu gardes le bandeau. Ou j'vais devoir sortir les grands moyens. Les grands moyens ? Nom de dieu, de quoi parle-t-il ? Rien que pour le savoir tu as envie d’hôter ce bandeau et lui lancer à la figure. Rebelle, l’Olive. D’accord, Cooper. déglutis-tu en essayant de calmer ta respiration. T’avais compris, ce soir, c’est lui qui prenais les rennes. Toi, tu prenais seulement le plaisir qu’il t’offrait en te dominant comme ça. C’est excitant en plus. Mais ça, tu l’as déjà dit. Tu entends quelque chose tinter dans un bol. Ou un verre. Mais merde, ce que c’est frustrant de ne rien voir. Et puis tu sens la chemise de ton mari remonter le long de ton ventre s’arrêtant sous ta poitrine. Le ventre à l’air, à sa merci. Que diable te réserve-t-il ? Oh. C’est froid, gelé, glacé. C’est ça, c’est un glaçon. Tu laisses échapper un petit cri de surprise en le sentant sur ton ventre. C'est pas du concret, ça? Tu entends la malice dans sa voix. Il sait ce qu’il fait et ça ne te rend que plus folle de lui encore. Comment ce garçon fait-il pour être si parfait ? Pour savoir ce qui te plait autant ? Le glaçon se promène soudain sur tout ton ventre, laissant sur son chemin une douce trace glacée. Ton corps se cambre doucement sous cette drôle de sensation, nouvelle. Si.. murmures-tu péniblement alors que la glaçon termine sa course sur ton nombril, fondant et se déversant sur tes hanches. Madame Cooper, j'aurais une requête, une question pour vous.. T’es toute ouïe. Si tu n’avais pas ce bandeau sur les yeux, tu jurerais que les pupilles de Warren sont dilatées de plaisir. Surement tout autant que les tiennes. Ne pas le voir te rend dingue aussi. Je vous écoute, monsieur Cooper. souffles-tu en te tortillant alors que le glaçon continue de s’écouler sur ton ventre. Putain, c’est froid. Atrocement, délicieusement froid.
✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pour une danse
OLIRREN

Pour cette femme, que tu avais connu jeune fille, tu étais prêt à faire pour elle mille et uns sacrifices. Sauter d'un pont, lui pardonner n'importe quelle faute, n'importe quelle faille, répondre à toutes ses demandes, lui construire un château, un manoir, lui offrir la lune. Tu deviendrais astronaute rien que pour lui dénicher les étoiles, quoi. Mais là, c'est toi qui avait le dessus. Elle ne pouvait rien voir : seuls ses oreilles avaient la chance de comprendre ce qui se passait, et même encore. Difficile de deviner ce que tu préparais rien que par l'ouïe. D’accord, Cooper. Elle se calme, te fait confiance, mais se tortille tellement sous toi, que si tu ne te retenais pas toi-même, tu vérifierais comment les endroits les plus érogènes de son corps réagissaient, eux aussi. Mais tu le savais déjà. Sa poitrine devait certainement être sensible, son entrejambe, humide. Et pourtant, jamais tu ne comptais la satisfaire. N'était-ce pas une douce vengeance acceptable, même un peu trop agréable pour ce qu'elle t'avait fait? Tu tentais d'l'oublier, et même si tu t'y forçais, de ne pas y penser quelques fois t'étais difficile, même impossible. Enfin. Tu souris de toute tes dents, alors qu'elle pousse un cri de surprise, sentant le glaçon qui s'écraser sur la haut de son corps. Tu t'informes à savoir si ce que tu fait est enfin concret, et sa réponse te satisfait, tellement elle est faible, tellement elle se délecte d'idéaux qui ne seront pas nécessairement comblés. N'es-tu jamais rempli de surprise, Warren? Si.. Une fois le glaçon pris au piège dans son nombril, coulant de chaque côté, les gouttelettes roulant sur ses hanches jusqu'à atterrir sur la table, tes mains viennent caresser les courbes de son corps avec une fine délicatesse. Non Warren, ne lui saute pas dessus. Tiens-toi en au plan, simplement. Je vous écoute, monsieur Cooper. Tu te mords la lèvre, tellement amusé par la situation dans laquelle elle est prise au piège, par nul autre que toi. Ahhh. Délice plaisir. "J'aimerais savoir si vous comptiez vous rendre au bal de fin d'année, chère Madame?" Voilà le but ultime de ton plan de torture : l'inviter au bal. Et surtout : accepter qu'elle t'accompagne, ce qui n'était pas chose facile. Toi, grand romantique dans l'âme, elle, allergique à la romance.. Comment y parvenir? Par une torture de plaisir. Et puis, lorsque le glaçon à fondu, tu tires d'un coup sur la chemise qu'elle porte, repliée au niveau de sa poitrine, afin de la détacher. Elle porte son soutien-gorge, et tel un vilain garçon, tu prends un autre glaçon, que tu déposes au creux de ses seins. Elle va te haïr de par ce supplice...
✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pour une danse
OLIRREN

Ton corps est chaud, bouillant. Tu brûles de désir pour cet homme qui te surplombe, tu le sens. Le glaçon sur ton nombril, lui, fond. Il fond et se repends sur ton ventre frissonnant, ton ventre contracté, tendu, à la simple idée que Warren puisse le toucher d’une minute à l’autre. T’en meurs d’envie, il le sait en plus. Bordel. J'aimerais savoir si vous comptiez vous rendre au bal de fin d'année, chère Madame? Un fin sourire habille ton visage. Telle est donc sa question. Alors que ta bouche s’entrouvre, prête à répondre, Warren fait sauter les boutons de sa chemise et pose un second glaçon sur ta poitrine. Juste au milieu de tes seins. Tu as l’impression qu’il est encore plus froid que le précédent et il commence déjà à fondre, se répandant dans ton soutien gorge. Je n’ai pas changé d’avis Monsieur Cooper. Je n’irais pas. murmures-tu dans un nouveau frisson alors que tu portes tes mains à ta poitrine pour essayer de soulager cette fraîcheur divinement atroce.
✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pour une danse
OLIRREN

Je n’ai pas changé d’avis Monsieur Cooper. Je n’irais pas. Si seulement elle savait que c'est justement parce que tu sais qu'elle ne veut pas y aller, que tu as planifié tout ce manège. Tu veux y aller. Et avec elle. Non pas pour passer la soirée à vous emmerder à une table où plein de couples s'engueulent ou bien s'embrassent, mais bien pour être avec elle, et profiter d'une soirée sortant de l'ordinaire qu'elle pourrait apprécier, bien qu'elle ne se le laisse pas avouer. "Votre refus est ridicule.", murmures-tu, grognant ensuite lorsqu'elle tente de retirer le glaçon qui commence à fondre dans la fente de sa poitrine, séparant les deux seins qui, malgré tout, t'attirent et te donnent envie de les embrasser. Eh oui. De tes mains, tu prends ses poignets, sans lui faire mal, afin de l'éloigner de là. Tu grimpes sur la table à ton tour, te retrouvant à califourchon sur elle. Tu as certainement le pouvoir, si on compare l'une à l'autre de vos situations, mais tu lui es tout de même faible : ton érection en est la preuve. Et tu veux qu'elle le sente. Sans pour autant la combler. "Ma chère.. il n'y a que moi qui déciderai de quand j'arrêterai le supplice." Tu te penches vers elle, tes lèvres près de son oreille : "Ton corps est bouillant. Ferais-tu de la température, par hasard?", rigoles-tu, en venant plonger ta tête dans sa poitrine pour faire remonter le glaçon vers l'un de ses seins, plus précisément vers le mamelon droit, où, de ce qu'il en reste, tu embrasses le bout avec le froid exquis du glaçon. "Même en m'accompagnant, vous n'accepterez pas de venir au bal? C'est une grossière erreur, cette décision..", souffles-tu chaudement.
✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)