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Ma gueule de bois ferait passer Pinocchio pour un vrai p'tit garçon (Zoïa)

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Oui c’était parfois flippant de constater à quel point j’étais désormais lié à la rouquine, au delà des petits secrets que l’on partageait effectivement, au point même de reconnaître à demi mot qu’elle m’avait manqué. Mais rapidement, ce fut de nouveau l’ironie et le sarcasme qui reprirent le dessus sur notre échange, comme lorsque Zoïa me répondit combien mon odeur lui avait manqué, s’approchant de moi un peu plus, cherchant éminemment à semer le trouble en moi. Je commençais à la connaître, je savais très bien le but sous tendu par cette manoeuvre, je ne me laissais donc pas déstabiliser : « Et tu te conterais de dormir simplement avec ma blouse ? » m’amusai-je à lui répondre avant que mon rire retentisse à son tour en écho avec le sien. Une fois dans le bar et après une étude rapide de la carte, mon choix se porta rapidement sur le whisky, un choix que j’annonçais à voix haute à mon interlocutrice puisqu’elle avait généreusement proposé de m’inviter. Elle attira alors une jolie serveuse pour passer commande, glissant au passage une petite référence à son comportement parfois si froid. Un petit sourire étira alors mes lèvres : « Il tient qu’à toi de faire fondre la glace… » La serveuse s’éloigna préparer nos verres et je demandais alors à la rouquine : « Bon alors Zoïa, raconte moi un peu ce qu’il se passe de ton côté… Comment t’as trouvé cette année au sein de la dunster ? » Le second semestre n’était pas encore complètement fini mais suffisamment commencé néanmoins pour que la jeune femme puisse en dresser un bilan. « Tu t’accroches toujours à tes stéréotypes pas vrai ? » Puis qu’elle m’avait taquiné quelques instants auparavant sur mes soirées avec mes colocs, c’est qu’elle n’avait pas encore complètement abandonné son ancienne vision des jaunes. « Enfin ce soir je vais te prouver de quel bois se chauffe un dunster. » annonçai-je alors d’ailleurs nos verres arrivèrent à ce moment là et joignant le geste à la parole je levais le mien avant d’en boire plusieurs bonnes gorgées. Ma tête allait beaucoup mieux déjà. Dieu bénisse le doliprane !  
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Ou quand le prince charmant se transforme en malédiction

La provocation c'était sa seconde peau, jouer avec les limites, les frôler, parfois les franchir, parfois s'y heurter, mais c'est au fil vulnérable que l'Incendiaire voue son existence. Autrement, à quoi bon? Une vie sage et bien rangée quand on connaît déjà la fin. Elle hausse les sourcils à la question du Dunster et laisse le coin gauche de sa bouche carmine se relever. « Sans doute pas non. » admet-elle en laissant une nouvelle fois son regard s'accrocher au sien. C'est désormais bien installés et un verre en main qu'ils partagent leur existence, et si la Rousse s'était doutée de ça quelques années plus tôt quand ils étaient jeunes et insouciants, elle vous aurait sans doute rit au nez ou pris ses jambes à son cou. Au choix. « Je trouve que j'ai déjà fait des efforts, tu ne trouves pas? » Parce que pour quelqu'un qui le détestait, elle avait déjà bien fait fondre la glace dirons-nous, elle se risquerait même à jouer avec le brasier. Priape reste Priape et il pose des questions. Non, il ne peut pas se contenter d'être là, il ne reconnaît pas une compagne agréable au silence, et surtout il est désespérément sociable. Ou bien c'est peut-être heureux parce que Zoïa n'est pas experte en la matière. « Pas vraiment non. » rétorque-t-elle en laissant sa main frêle reposer sur le bois de la table, ses doigts pianotent tranquillement alors qu'elle relève son visage, son autre main tenant toujours le verre au liquide transparent. « J'aime le faire croire, mais je me sens bien à la Dunster, je me sens seule et on respecte ça, le besoin que j'ai de m'isoler pour bosser. » Elle porte le verre à ses lèvres et adopte un visage plus serein alors qu'elle ressent les premiers effets de l'alcool. « Aussi, j'ai pas vu grand chose, je dois avouer, je devais rattraper mes résultats de l'an passé. Mais je crois bien que je t'ai collé la pâté au premier semestre Zacharias. » Elle se mord la lèvre inférieure, le regard embrasé par la compétition, cette vieille rivalité qui l'anime depuis toujours au Grec. Elle aime en jouer même si désormais le choix de leur spécialité les éloigne chaque jour davantage. La naissance de la vie, contre la finitude, on ne peut choisir plus opposé. « Alors, initie-moi à la fête Dunster. » Elle lève la main en quête d'un nouveau verre, d'un geste, la serveuse la comprend et lui rapporte un nouveau verre. Elle s'en empare et sourit à nouveau à son vieil ennemi plus que familier désormais, elle tend son verre à la rencontre du sien. « Mais je doute que tu aies quelque chose à m'apprendre. Santé! » Tchin! A ton naufrage et au mien, à la victoire du tourment et du chaos de nos misérables existences, bienvenue dans mon antre, dans mon royaume semble dire son regard singulièrement lumineux.

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Petit sourire entendu : oui elle avait fait des efforts, c’était sûr. Rien que ce verre, ce soir, ce moment, ça m’aurait paru inimaginable plusieurs années en arrière. « On a fait pas mal de chemin… » Peut être même qu’un jour on finira par enfin s’avouer amis… D’ailleurs, ce fut presque comme de vieux potes qu’on démarra cette conversation, même si très vite la rivalité qui régnait toujours un peu entre nous refit surface. « Je t’ai laissé un peu d’avance pour mieux te surpasser ce semestre… » Enfin soyons réalistes, si les beuveries à répétition étaient une matière à gros coef en médecine, je serais major de promo, mais dans les faits, mes résultats s’annonçaient beaucoup moins bons. Après un Sb à picoler, j’allais devoir mettre les bouchées double pour réussir ce second semestre, et dans tous les cas je ne risquais pas de me classer au dessus de Zoïa même si je venais de prétendre le contraire. La première vodka enquillée que déjà la rouquine en recommandait, histoire de me montrer que je n’avais aucune leçon à lui donner, sur ce domaine là aussi elle aimait dominer. Un petit sourire amusé étira mes lèvres : « C’est à la Eliot qu’on t’a appris à enchaîner les verres comme ça ? Et moi qui pensais que là bas on ne tournait qu’aux bulles et aux petits fours de caviar. » Et levant ma boisson à mon tour, je l’avalais d’une traite pour commander un nouveau sky sur le champs, imitant mon interlocutrice et adoptant le même rythme qu'elle. L’honneur des dunsters était en jeu. Et puis si il y avait bien une activité dans laquelle j’excellais en ce moment, c’était le lever de coude, au grand désespoir de la plupart de mes amis. « Tu vas rentrer à quatre pattes Zoïa… » annonçai-je avec un regard de défi avant d’ingurgiter mon verre numéro deux sans ciller.  
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« Qui sait on sera peut-être dans la même maison de retraite? » Elle se met à rire parce que les voir philospher sur leur amitié ça la fait doucement marrer, on dirait des fossiles qui se rappellent les jours passés. « Et je suis certaine que je serai encore sexuellement active tandis que toi tu seras bon à sucrer les fraises. » Elle lui lance un regard provocateur avant de hausser les épaules. La vérité, c'est qu'elle espère être morte avant de voir ça mais bon. Ceci étant, Priape et Zoïa restent fidèles à eux-mêmes et se replient sur leur habituelle rivalité. « Rêve toujours Zacharias, la cinquième année c'était cadeau mais là tu peux pas rivaliser. » Elle lui pose un sourire en coin avant de continuer son deuxième verre, l'observe commander le deuxième, se réjouit de savoir qu'il est bien là, de le sentir près d'elle, comme au bon vieux temps, songe à s'enfiler son verre cul-sec pour oublier cette pensée. « On apprend beaucoup de choses à la Eliot, mais ça non, c'est inné, des années d'expérience dans des lounge obscurs si tu veux savoir. » Elle ne sait même pas à quand remonte son premier verre d'alcool si ce n'est bien avant sa majorité. Ceci étant, Priape n'a rien à lui envier. Elle sirote le liquide en le toisant, il lui lance une nouvelle provocation, et la vérité c'est que Zoïa s'amuse comme jamais. Toute absorbée qu'elle est dans sa compétition avec le Grec, elle termine son verre. « J'ai toujours un coup d'avance, mais quatre pattes, ça peut être intéressant. » Elle se met à pouffer, les premiers effets de l'alcool aidant. Sa tête lui tourne légèrement, elle se sent bien, le poison s'insinue dans ses veines et l'aide à oublier sa journée difficile. « Enfin si moi je rentre à quatre pattes, toi ce sera sûrement en rampant. » Elle se mordille la lèvre. « Je me demande comment ça rampe un Grec. » Elle passe une main distraite dans le feu de sa chevelure et se repose légèrement contre le dossier de sa chaise, ferme ses yeux et sourit bêtement avant de les rouvrir sur le visage du Dunster, en plein tourbillon.

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« Et bien je plains les infirmières qui nous auraient en charge tu vois… » plaisantai-je en riant. En vérité, c’était dur de me projeter aussi loin, surtout pour quelqu’un comme moi qui avais déjà du mal à se visualiser papa, ce que je deviendrais d’ici quelques mois… « Laisse moi rigoler, déjà tes prouesses actuelles restent à prouver, alors pour ce qui est de tes talents dans cinquante ans, permets moi de douter… » défiai-je mon interlocutrice avec amusement, alors qu’elle m’imaginait déjà en papi gâteux. « On apprend beaucoup de choses à la Eliot ? Comme quoi par exemple ? » repris-je sur un ton légèrement moqueur. J’étais ami avec le président bleu, May, ma petite coréenne adorée faisait partie de cette confrérie et l’avait même dirigé un moment, alors non, je n’avais rien contre eux, c’était juste qu’ils avaient plus la réputation d’être des prétentieux snobinards un peu coincés plutôt que celle d’être de gros fêtards délurés. En tout cas, impossible de rester dans un simple échange amical, il fallait toujours que notre petite rivalité reprenne le dessus. J’avais beau avoir l’air sûr de moi, je risquais très probablement de ne pas égaler ma chère rivale ce semestre aux examens. Trop de soirées, trop de boissons, trop de trucs en tête… D’ailleurs ce moment avec Zoïa ne faisait pas exception, et mon second verre en main, je pris un  malin plaisir à défier également la rouquine sur ce terrain là. « Désolé de te décevoir mais tu ne le découvriras pas ce soir… » Non elle ne me verrait pas ramper, parce qu’elle serait couchée bien avant moi. « J’ai des semaines d’entrainement derrière moi. » ricanai-je alors. Le SB avait été une longue succession de nuits blanches et de fiestas trop arrosées. Mon taux d’alcoolémie n’avait jamais du descendre bien bas durant le séjour néo zélandais dont j’avais ramené plus de souvenirs des bars que des paysages environnants. « T’étais où d’ailleurs pendant les vacances ? » Parce que c’était pas avec ses chers patients du niveau moins 1 qu’elle avait du parfaire son lever de coude.  
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A l'avoir près d'elle, elle prend conscience du manque qu'elle a ressenti ces derniers mois, de l'espace qu'il a laissé dans ses errances de solitude. Priape est toujours volontaire pour s'arrimer à ses délires de vieillissement séniles, ou de verres en trop lors d'une soirée. Il ne la juge pas, il la suit, aussi fortement qu'elle puisse tanguer. Il est un peu le calme au milieu de sa tempête même lorsque c'est lui qui vit le tumulte et en ces points il lui rappelle furieusement son frère. Le Sex-appeal en plus. A cette pensée, elle mordille furieusement sa lèvre avant de relever ses billes claires sur les siennes. « J'avoue, mais on n'est pas là pour plaindre les gens non? » lance-t-elle en haussant les épaules. Comme l'ivresse est douce. « Ne me mets pas au défi de te prouver quoi que ce soit dans le domaine. » rétorque-t-elle d'une voix assurée en portant son index à ses lèvres. Parce que le défi, la compétition lui donnerait n'importe quel genre d'ailes. Elle préfère d'ailleurs se concentrer sur ses questions dédaigneuses au sujet de la Eliot. « On y apprend plein de choses. » Elle ne renie pas sa première fraternité non, même si elle a évolué depuis ses premières années, force est de le constater. « Comme dénigrer les gens, avoir confiance en soi, s'entourer de personnes valables. » Un nouveau sourire vient réchauffer ses pupilles dilatées, traitresses de l'enivrement de son sang. « Tu vois, j'ai plutôt échoué aux principes inculquées. » Elle glisse sa main sous son menton et le toise, parce que passer la soirée avec Monsieur Zacharias remet en cause tous ses principes de bonne Eliot. « C'est donc à ça que tu as passé ton temps. » comprend-t-elle alors qu'il fait allusion au Spring Break. N'importe quelle personne sensée s'inquièterait de voir ainsi Priape dans la tourmente, mais pas elle, elle connait trop la noirceur pour se débattre avec elle et parfois on a besoin de s'y plonger jusqu'à l'asphyxie, alors elle ne le jugera pas sur ce point. « Je ne suis pas partie, je suis restée étudier. » admet-elle en passant un index autour d'une mèche incendiaire. Elle commande finalement un nouveau verre, ne résistant pas bien longtemps à l'abstinence et boit une gorgée du nouveau verre, toute enivrée de compétition. « J'ai manqué Zacharias au comble de la rébellion, merde. » lâche-t-elle avant de rire doucement. « T'as fait des folies de ton corps alors? » ne peut-elle s'empêcher de demander, bien trop curieuse, oui, d'ailleurs elle ne sait pas pourquoi elle demande ça en passant.

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C’était étrange cette ambiance entre nous. Détendue, décontractée, mais toujours dans un climat de compétition. Zoïa semblait même prête à se lancer dans le défi que je lui avais lancé, bien plus délicat que notre petit jeu qui consistait à savoir qui serait major de promo. Elle me prévint de ne pas la défier sur ce terrain là. « Parce que tu as peur de ne pas être à la hauteur c’est ça ? » la taquinai-je avec un sourire amusé avant de renchérir sur la Eliot House, son ancienne confrérie, dont elle me lista les grands principes qu’elle y avait appris et qu’elle reconnut ne pas réussir à appliquer. Zoïa semblait trop assurée pour faire référence à un manque de confiance en elle. « Tu dis ça parce que tu ne me dénigres plus ou juste parce que je ne suis pas une personne valable ? » demandai-je en adoptant un ton faussement vexé, partant du principe qu’elle faisait référence à moi. En tout cas, après avoir confessé mon lever de coude un peu trop prononcé du moment, mon interlocutrice se contenta de me toiser. J’appréciais de ne pas avoir droit aux jugements et remontrances pour une fois. J’hochais la tête pour acquiescer. Elle, elle n’était pas partie. Ce dont je me doutais puisque j’avais remarqué son absence là bas. D’ailleurs j’aurais pu reconnaître qu’elle m’avait manquée. Mais c’était Zoïa, et elle et moi, on ne se disait tout simplement pas ce genre de choses, du moins pas aussi ouvertement. Je me contentais donc de dire : « Ca m’a fait une partenaire de boisson en moins… » Elle choisit d’ironiser sur ma –rébellion-, remarque qui m’arracha un petit rire. D’autres auraient dit Zacharias au fond du gouffre, Zacharias le pillier de bar ou encore le désormais alcoolo comme m’avait si bien décrit ce cher CS… Mais non, la rouquine elle, elle y voyait juste de la révolte. Et elle n’avait surement pas tout faux. Quant aux folies de mon corps, on passera là dessus… J’avais rien de bien croustillant à lui servir. « Si se battre avec son meilleur pote, l’amant de son ex, le mec de sa meilleure amie, ça s’appelle faire des folies de son corps alors oui... » répondis-je en ricanant.
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Elle lui a dit de ne pas jouer avec elle sur ce point de vue là mais il s'entête et la provoque à nouveau. Elle ne sait pas si elle doit trouver agréable ce léger tourbillon frissonnant qui secoue ses os et réchauffe ses veines. Elle rit en surface. « J'ai surtout peur que tu en demandes encore. » le toise-t-elle de son regard limpide. Zoïa a renoncé à ses principes d'Eliot. Les évènements de la vie l'ont conduite à se nuancer. Priape en partie mais pas que. Vraiment faut-il s'adonner aux confidences? Ce n'est tellement pas eux, mais elle ne peut vraiment esquiver. « Première option même si la deuxième est tentante. » Ses yeux se plissent comme pour le détourner d'une envie d'en savoir davantage. C'est déjà assez beau qu'elle évoque l'estime qu'elle a pour lui à demi-mot. Les deux compères évoquent ensuite le Spring Break auquel Zoïa a brillé par son absence. Elle a de nouveau un sourire quand il avoue indirectement le manque qu'elle a représenté. « Oh j'imagine que tu n'as pas manqué de partenaires, populaire comme tu es. » Parce que Priape attirait les gens comme une lumière au milieu des papillons de nuit. Ceci expliquait peut-être mieux cela en fait... Elle lui a demandé si il a eu beaucoup de conquêtes lors de cette pause estivale. L'incendiaire a d'ailleurs aussitôt regretté cette question mais le Grec ne sembla pas s'en formaliser, s'en amuse même. Elle rit de concert avec lui, presque soulagée? Vite, une nouvelle gorgée et la tête lui tourne pour de bon, mais elle aime cette sensation, sa familiarité. « Hum... alors tu es du genre violent? » lui lance-t-elle une lueur de provocation dans les prunelles. Son côté obscur se révèle, bien loin de la gentille image lisse et propre qu'elle s'était efforcé de modeler à son égard depuis toutes ces années.

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Zoïa laissa échapper un rire à mes provocations remettant en doute ses talents, d’ailleurs elle rétorqua qu’elle craignait surtout que j’en demande encore. « Peut être… Ou bien peut être que c’est toi qui y prendrais goût et en redemanderais.» ajoutai-je refusant de lui laisser le dernier mot alors que son regard me toisait. J’haussais finalement les épaules. « De toute façon, j’imagine qu’on ne le saura jamais… » Parce que ce petit jeu ça ne restait que des mots, jamais on ne viendrait à les mettre en application ? En tout cas, un petit sourire étira mes lèvres alors que la rouquine me fit savoir qu’elle ne me dénigrait plus, ce qu’elle ajouta ensuite pour nuancer ses propos je choisis de ne pas le retenir. Se concentrer sur le positif, c’était une faculté précieuse quand on discutait avec Zoïa. Et le sujet dériva sur le Spring break et mes excès. « Rien à voir avec la popularité ma chère, mais l’alcool ça rapproche donc je dirais qu’effectivement j’ai su m’entourer pour mes nombreuses soirées. » Puis les vacances de printemps étaient réputées pour cela. J’avais eu aussi mon lot de rencontres malheureuses et de bastons allant avec. « Tu vois que tu ne connais pas encore tout de moi. » fis-je alors qu’elle s’étonnait de découvrir ma facette violente. Mais bien sûr, au final, aucun pote de beuveries n’égalerait mon ancienne rivale. « Mais bon, t’étais pas là alors… Tu me dois quand même des soirées. » réclamai-je en précisant : « Et ne crois pas que ce soir suffira à payer ta dette. » Et puis soudain, une idée me traversa l’esprit. J’aimais ces moments d’ivresse avec elle, ces verres qu’on enchainait sans compter, nos discussions de bourrés sans queue ni tête alors qui mieux que Zoïa pourrait m’accompagner au bal ? Je lui lançais : « D’ailleurs tu devrais venir au bal avec moi... » Rien de très romantique, rien de très formelle. Une demande comme ça, un whisky à la main, une demande à l’image de notre relation : pas très claire, surement ambigüe, comme nos idées ce soir après plusieurs verres. « Et puis ainsi tu pourras me faire une démonstration de tes talents… » Mais vu la discussion qu’on avait eu précédemment c’était probablement tendancieux dit ainsi, j’ajoutais donc finalement: « … de danseuse bien sur. »
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Petite pente glissante sur laquelle ils se lancent depuis quelques minutes, mais cela est bien trop tentant pour rester sagement à l'écart de sous-entendus. « Va savoir. » admet-elle mutine avant d'admettre la possible illusion de la chose. « J'imagine oui. » Priape a donc apparemment fêté le spring Break en respectant fidèlement la tradition. Elle se marre et rétorque. « On trouve toujours compagnie en matière de beuveries au Spring Break. » D'ailleurs, elle ne se rappelait sans doute pas de la moitié des personnes qu'elle avait fréquenté lors de soirées. Ce qui faisait le charme de ces moments étaient leur aspect éphémères, sans conséquences, juste dans le lâcher-prise, du moins la plupart du temps. Savoir le Grec potentiellement violent était étonnant oui, elle avait plutôt rangé Priape dans la catégorie agneau adorable mais le savoir plus sombre, plus torturé, ne faisait que raviver ce qu'elle avait parfois perçu de lui et ne le rendait que plus intéressant voir attirant? « Hum.. je te dois des choses maintenant? » Elle lui lance un regard amusé, puis ouvre légèrement la bouche lorsqu'il l'invite au bal. Décontenancée Zoïa? A tel point, qu'elle s'arme une nouvelle fois de son verre pour le porter à ses lèvres surprises. Elle reprend contenance et réplique finalement. « Seulement si tu n'es pas sage. » s'amuse-t-elle en le regardant. Elle ne réfléchit pas vraiment aux conséquences, bien confortable dans le tourbillon de sa tête et de cette soirée. Elle se lève rapidement, peut-être trop et tangue légèrement, se raccroche de ses doigts frêles au bois de la table et laisse sa main glisser à celle de Priape. « D'ailleurs, en l'honneur de mes dettes, je t'offre une avant-première. » D'un geste elle l'invite à se lever également. « Viens danser avec moi. » Elle se marre et lui glisse à l'oreille. « Parce que ça tourne un peu quand même. » Et elle l’entraîne dans la spirale de l'ivresse et du Chaos.

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