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Ma gueule de bois ferait passer Pinocchio pour un vrai p'tit garçon (Zoïa)

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La journée en pédiatrie m’avait usé… Je savais pas vraiment si c’était le trop plein de soirées, durant lesquelles j’avais tendance à m’enivrer pour oublier mes soucis, ou bien si c’était vraiment les cris des gosses qui étaient plus stridents aujourd’hui, mais j’étais plus qu’heureux que la journée touche à sa fin. Je comptais aller prendre un petit café avant de rentrer, je fis un saut par la pharmacie de l’hosto pour y récupérer un gramme de doliprane, puis je me dirigeai vers la salle de pause. La pièce était vide à l’exception d’une étudiante dont la chevelure rougeoyante me fit aussitôt sourire : Zoïa était là. Nous avions passé nos premières années d’études dans une sorte de compétition muette pour finalement nous rendre compte que nous partagions plus de points communs que nous l’avions imaginé, à commencer par notre lever de coude soutenu. Ces derniers temps, nous nous croisions moins, nos choix de spécialités étant différents. J’aimais autant cela dans un sens, ça serait plutôt mauvais signe si je lui envoyais souvent mes petits patients étant donné qu'elle . Je regrettais quand même qu’on ne se voit pas plus que cela en dehors de l’hôpital néanmoins. « Et bah dis donc je commençais à croire que t’avais encore déserté pour aller sauver le monde… » la taquinai-je en référence à ces quelques mois d’absence de l’an passé durant lesquels elle avait pris part à une mission humanitaire. « Comment tu vas ? » demandai-je en me servant une tasse de café avant d’en prendre une gorgée pour gober mes gélules de paracétamol espérant que cela atténuerait ma migraine.
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Ou quand le prince charmant se transforme en malédiction

Depuis la rentrée, les choses s'étaient enchaînées pour la nouvelle Dunster. Cette année, le choix de la spécialité avait été déterminant et la Rousse n'avait été que plus absorbée par ses études. Le simple fait d'être passé près de l'échec l'an passé l'avait poussé à redoubler de zèle en ce qui concernait ses études et jusque là ses résultats avaient été excellents. L'Ombrageuse avait même délaissé quelque peu ses démons nocturnes et ranger au placard les fêtes, du moins pour un temps. C'était à croire qu'elle se transformait en Priape. Mais Lui... A vraie dire, elle ne l'avait que peu croisé mais lorsqu'il fit incursion dans la salle de repos, elle se fit la réflexion intérieure qu'il se transformait lui-même en Zoïa. Curieuse situation. Un sourire moqueur orne les lèvres fières de la Studieuse, mais c'est un regard désabusé qu'elle lui lance de ses billes délavées. « Tu as une tête affreuse Priape. » Il est rare qu'elle l'appelle par son prénom et derrière le sarcasme, un initié pointera l'inquiétude révélée par cette appellation. Elle pose son stylo sur le bloc avec lequel elle prenait des notes de sa lecture et se lève pour rejoindre son ennemi préféré. Le temps les a rendu plus alliés qu'autre chose mais aucun des deux ne s'abaissera à l'avouer vraiment. De sa main frêle, elle se sert également un gobelet de liquide brun et réconfortant, dévoilant au passage un avant bras ivoire au dos duquel détonne son tatouage. Comme un résumé de ses deux facettes sur un simple morceau de peau. « Je vais bien. Tu sais comme j'aime errer dans le sous-sol de l'hopital avec mes compagnons préférés. Mon Chef est plutôt content, surtout que les volontaires pour ma spécialité ne se bousculent pas, tu dois t'en douter. » Un sourire ironique étire ses lèvres carmines et elle détaille ainsi le Dunster de plus près. Les cernes qui peignent le doré de sa pupille ne trompe pas. Ce n'est pas dans ses habitudes de se montrer vulnérable. « Mais toi Zacharias? T'es malade ou je rêve et tu aurais la gueule de bois? » Elle porte une main à sa bouche pour étouffer un rire. Oui Priape qui la fait rire, la fin du monde est annoncé.

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J’étais en train de me servir, une main déversant le café, l’autre devant ma bouche qui baillait aux corneilles, mais mon bâillement se changea en un sourire amusé suite à la façon dont la rouquine me salua. C’était du Zoïa tout craché. « Toi aussi tu es radieuse ma chère Zoïa… » répondis-je sur un ton s arcastique, bien que mes propos à moi étaient vrais : la jeune femme avait bonne mine, elle était surement plus en forme que moi. Elle se leva, s’approchant pour se servir également un précieux remontant. Elle me répondit alors qu’elle allait bien, qu’elle n’avait pas déserté qu’elle était juste très occupée au sein de son service sous terrain où j’avoue je n’aimais pas me rendre, descendre au sous sol n’était jamais de très bonne augure. Elle me scrutait, je le sentais, mes traits tirés et ma mine crevée durent me trahir car elle reprit la parole pour m’interroger à son tour. Je secouais la tête : « Ni l’un, ni l’autre… Mes patients sont juste plus fatigants que les tiens… » L’excuse à deux balles pour ne pas reconnaître mes récents abus de boisson. Pourquoi ? Zoïa était loin d’être un ange sur ce plan là, elle ne serait pas le genre à me sermonner. Mais je savais sans nul doute qu’elle n’hésiterait pas une seconde à se moquer. Et puis surtout, je ne voulais pas me lancer dans des confidences sur les derniers rebondissements de ma vie alors que si elle avait passé plus de temps en ma compagnie ces derniers mois, elle serait déjà au courant. Moi, vexé ? Peut être un peu. Zoïa me manquait mais j’étais trop fier pour le reconnaître ouvertement me contentant d’une petite réflexion : « Tu sais Zoïa, être ami avec quelqu’un ça se résume pas à partager un café en salle de pause ou encore des coupes de champ au nouvel an… »
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Ou quand le prince charmant se transforme en malédiction

Bien entendu que Zacharias adopterait la stratégie du déni, les failles ne sont pas dans ses habitudes alors que Zoïa se défend de les avoir largement adoptées. Une lueur espiègle réveille sa prunelle absinthe tandis que le Dunster tente de se justifier. « Je n’ai pas à me plaindre, je dois l’avouer. » Son regard ne quitte toutefois pas le visage du Brun. Elle ne peut cacher une amorce de surprise alors qu’il prononce une nouvelle phrase, avouant au passage sans détour leur amitié. Zoïa n’a jamais assumé ses sentiments positifs, il est encore plus étrange de les entendre prononcés. « Parce qu’on est amis maintenant ? » Un index se pose sur sa propre joue mais elle ne peut réprimer ce sourire amusé sur ses lèvres. Elle hausse finalement les épaules, fataliste. Elle a mis la distance entre eux ces derniers temps, les études y sont pour beaucoup certes, mais les choix sentimentaux de son compagnon également. Il ignore le tourment qui l’a emporté alors que le Malheureux a choisi celle qu’elle déteste, celle qui vit dans son ombre, la lumière qui dissimule son évolution, son propre Sang. Talya. « Tu n’avais pas l’air si malheureux. Je n’y suis pour rien si tu as décidé de t’amouracher de la première blonde qui passe. » Elle lâche sa bombe, heureuse d’elle, parce que Priape ignore tout de sa relation avec Talya. Disons que les deux jeunes femmes ne sont pas du genre à s’en vanter. Sa main se pose sur l’avant-bras du Dunster, les doigts fins de la Solitaire entourant doucement mais fermement la peau lisse du jeune homme. Les pupilles limpides se relèvent vers le visage fatigué de son vieux rival. « Mais passons.Notre journée est à présent terminée. Je t’offre un verre pour me faire pardonner. » Un rictus peint son visage exsangue et tourmenté. De voir Priape s’enfoncer dans le tourment l’angoisse, la conforte en même temps, elle se sent moins seule dans les bas-fonds. Mais la légèreté est de mise pour le moment. Sans doute pour cela que ses lèvres exultent ironiquement. « A moins que tu ne préfères une camomille. Ton choix sera le mien. » C'est ce que font les amis non?

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Elle m’avait manqué, elle et son franc parler, elle qui ne me ménageait pas, qui me disait les choses sans prendre de détour que je veuille les entendre ou non. D’ailleurs, sa réponse à ma réflexion qui sonnait un peu comme un reproche ne se fit pas attendre. « Amis, collègues, camarades de cours… Appelle nous comme tu veux. » Pourquoi s’embêter avec des mots ? Ma relation avec la rousse était trop complexe pour être clairement définissable. La suite de ses paroles me surprit néanmoins : alors à défaut de me côtoyer, elle avait continué de suivre de loin le remue ménage de ma vie puisqu’elle savait que je m’étais mis en couple. « Tu sais les blondes c’est pire que les virus, tu t’en débarrasses d’une et tu tombes directement malade d’une autre… » Tomber malade, tomber amoureux, au final le résultat était le même : un mal de crâne pas possible et du doliprane en salle de pause. « Enfin, tu dois savoir aussi que je suis plus avec elle… » Et que j'étais cocu... Ou alors elle ne le savait peut être pas, tout dépendait d’où la rousse tenait ses infos. Bref, je fus quand même touché de l’entendre m’inviter à boire un verre. De la compassion de la part de Zoïa ? Non, la jeune femme ne manqua pas sa chance de se moquer, me taquinant en me proposant alors une infusion. « Laisse tomber ton pisse mémé, tu sais ce qu’on dit : faut combattre le mal par le mal. » Six années de médecine pour ne retenir que ça, si c’était pas beau. «Faut juste laisser le temps au mélange paracétamol/caféine d’agir, le temps que j’aille me changer et me doucher, et je suis tout à toi. Tu veux aller où ? »
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Ou quand le prince charmant se transforme en malédiction

« Je ne préfère pas nous appeler. » Elle hausse les sourcils. De toute son existence, Zoïa n'a jamais aimé les étiquettes, les normes communément admises, les fondamentales notion de bien et de mal. L’Incendiaire aime à évoluer dans des nuances de gris. Plus ou moins pâles. Il évoque sa relation avec Talya et elle adopte un sourire presque carnassier. Le gentil Zacharias deviendrait-il lucide sur la bonté des sentiments? A quoi bon s'encombrer de mièvreries pareilles finalement. On a encore jamais vu de cercueil à deux places. Alors œil pour œil, dent pour dent. « Au moins, je ne risque rien sur ce plan. » rétorque-t-elle d'un regard provocant en passant une main dans ses cheveux. Il la connaît désormais suffisamment pour comprendre le véritable sens de ses paroles et sa fuite compulsive de l'attachement ou de ce qui s'apparente à une esquisse de relation sentimentale. Elle avait effectivement percuté qu'ils n'étaient plus ensemble, c'est d'ailleurs la raison pour laquelle elle se permettait une certaine proximité avec son bon vieux Zacharias, mais elle n'avait pas vraiment suivi les tenants et les aboutissants. « J'ai cru voir ça effectivement, alors tu as le cœur brisé? » demande-t-elle en écarquillant légèrement les yeux. Sérieusement, Zoïa qui s'essaie à la bienveillance, c'est catastrophique. Elle balaie donc ses paroles d'un revers dédaigneux de la main. Au moins, elle a essayé. Mais c'est difficile quand il vous manque justement cet organe vital. « J'avais raison. » Elle lève en l'air un poing de la victoire, parce que par ces simples paroles Priape admet qu'il avait juste trop picolé. « Tu files un mauvais coton Docteur Zacharias. » se moque-t-elle allègrement. « De toute façon, je suis certaine que vous vous faites des infusions tous les soirs avec le président, tu peux compter sur moi pour que ça change. » Et ne pas te faire la morale, soit dit-en passant. Des biens-pensants y'en a des pelletés à la Dunster, elle laisse ça aux autres qui ont bien plus de talent. Elle lève les yeux au ciel quand Priape lui décrit toutes les étapes nécessaires à la sortie. « Pire qu'une Cabot. » murmure-t-elle entre ses lèvres. Facile à dire puisqu'elle est pour sa part déjà habillée. Elle est juste repassée finir de lire sa revue. Elle travaille souvent mieux à l'hôpital. « Je t'attendrais dehors Princesse. » Elle lève sa main en l'air pour le saluer avant de se retourner dans l’entrebâillement de la porte et de le détailler de haut en bas avant de tourner les talons. Sa compagne emplie de poison nicotine et à la chevelure de fumée sera la plus adaptée à son attente.    

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J’acquiesçais d’un hochement tête puisque j’en étais arrivé moi même à cette conclusion : pas de nom, pas d’étiquette, c’était très bien comme ça. Zoïa se croyait protégée du virus, sa petite réflexion m’arracha un sourire amusé. Moi aussi je m’étais cru protégé fut un temps, mais qui peut prévoir ce que la vie nous réserve, ce que des rencontres hasardeuses peuvent donner ou bien comment des liens peuvent évoluer ? Rien que sa relation avec moi en était la preuve… Qui aurait cru qu’on en serait un jour là, des presqu’amis se confiant l’un à l’autre en salle de pause ? Surement pas elle. Et comme elle venait de refuser d’étiqueter notre amitié, je me gardais bien de le lui faire remarquer la laissant croire qu’elle était bel et bien immunisée contre les bons sentiments, l’attachement et ce genre de choses. Bien que sa question suivante, sur l’état de mon cœur, contredisait complètement cela. Si elle en avait vraiment rien à faire de ma pomme, elle ne se préoccuperait pas de savoir comment j’allais. J’hochais les épaules en lui répondant avec une certaine ironie : « Le cœur c’est pas un vase, ça se brise pas… Tu n’as donc rien retenu de tes cours d’anat. » J’étais sûr qu’elle avait pas envie de m’écouter pleurnicher toute la soirée… Et puis c’était dommage de gâcher l’un des rares moments qu’on passait ensemble depuis des mois à rabâcher cette histoire. Un nouveau sourire étira mes lèvres alors que Zoïa se réjouissait d’avoir vu juste concernant les causes de ma migraine. Je filais un mauvais coton selon elle. « Surement… Mais tant que je ne deviens pas l’un de tes patients c’est que ça va… » Je profitais de la vie, avec excès certes mais au moins je vivais. Et cette proposition de verre avec la rousse tombait à pique, même si elle ne se retient pas de me faire part de ses a priori sur la vie que nous devions mener dans notre chambre à la dunster. « Jasp’ fait chauffer l’eau pendant que Charlie tricote et moi je nous prépare de bonnes bouillotes. » ricanai-je avant de reprendre : « Tu peux y aller avec tes stéréotypes, t’as séché toutes les soirées jaunes ou presque cette année. T’as qu’à venir plus souvent avec nous tu verras de quel bois on se chauffe.» Je l’avais vue au Housing day puis hop plus personne. Je ne repartis pas sur les reproches de la voir jouer les abonnées absentes, j’étais pas d’humeur à sermonner ce soir, surtout qu’elle m’invitait gracieusement à boire un coup. Mon programme avant de pouvoir savourer ce verre lui parut interminable et me valut une nouvelle boutade. « Je suis célibataire maintenant, je dois faire attention à mon allure quand je sors… » me défendis-je alors en riant avant d’avaler mon café d’une traite, manquant de me bruler. « Mais je me dépêche, je sais que t’as un emploi du temps très chargé. » promis-je alors qu’elle s’éloignait en m’annonçant qu’elle allait m’attendre dehors. Je reposais la tasse vide avant de me rendre dans les vestiaires. Me débarrassant de ma blouse blanche, des mes fringues, que j’entassais en boule dans mon casier, je filais ensuite sous la douche. L'eau chaude, conjuguée à la caféine et aux molécules de paracétamol, j’allais retrouver une forme de jeune homme pour le reste de la soirée c’était sûr. J’enfilais ensuite un jean et un t shirt propre, j’enfonçais mon porte feuille dans la poche arrière de mon pantalon, et je me dépêchais d’aller retrouver Zoïa devant l’entrée du bâtiment. « Alors je sens bon ? » demandai-je en m’approchant d’elle.
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Ou quand le prince charmant se transforme en malédiction

Plus de doute possible sur l'inversion partielle des rôles, à écouter la réplique du Grec sur l'anatomie du cœur, Zoïa lui offre un sourire pincé, mais sincère. « Crétin. » marmonne-t-elle avant de lui taper nonchalamment l'épaule. Priape avait donc finalement avoué ses excès et son allusion à l'issue possible entre les mains de la Rousse, laissa celle-ci imperturbable. « Oui, tu ferais mieux de ne pas atterrir entre mes doigts parce que je me ferai un plaisir de te vider de tes entrailles. » La blague était sarcastique, emplie d'humour noir, limite flippante, du Zoïa quoi. « Alors évite. » La conversation dévie ensuite sur les Dunster et leur sage président et ses gentils colocataires. Zoïa revêt une fois de plus une mine amusée. C'est que le tableau que lui dépeint son Complice lui plaît au plus haut point. « Tu sais que c'est pas mon truc les soirées entre têtes d'ampoule. Je préfère l'anonymat. » Pour ses excès, pour donner libre court à son autre facette, et ce n'est pas chose aisé avec la majorité des Dunster à une soirée. L'esprit jaune, elle ne l'a au départ adopté que pour son frère et le drôle de type en face d'elle, faut avouer. « Compte pas sur moi pour te servir de chandelle. » Elle lui offre une moue désabusée et en profite pour s'éclipser. A la rigueur, ils peuvent partir à la chasse ensemble, cette seule pensée la fait rire toute seuls parce qu'ils sont un peu mal accordés pour des partenaires de séduction. Disons qu'ils n'ont pas forcément la même approche. Elle se retrouve à l'extérieur et en profite donc pour s'enivrer d'un brin de poison quand elle sent Priape approcher d'elle, elle écrase sa clope du bout de son talon. « Une vraie brise de Priape Zacharias, étudiant modèle en médecine, gentil garçon et sixième année. On y croirait. » déclare-t-elle alors que son visage s'est approché de la nuque du jeune homme. Elle se recule et le regarde une lueur de malice et de provocation mêlées. « Allez viens. » décide-t-elle en se rendant d'un pas pressé et confiant dans un des bars du quartier où les médecins sont habitués à relâcher la pression. 

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C’était fou ce que l’humour noir de Zoïa m’avait manqué. J’en prenais conscience que maintenant, alors qu’elle était devant moi à nouveau à me servir du sarcasme comme je les aimais. « C’est noté, je ferais attention alors à pas me retrouver entre tes doigts... » répondis-je amusé par le double sens de mes mots. Quand à sa réplique concernant son absence lors des soirées dorées, elle m’arracha un petit rire : « Je dirais à personne que tu m’as débauché ce soir pour aller boire un verre alors. Ca sera notre petit secret. » De toute façon, j’avais découvert la facette festive de Zoïa lors de notre réveillon ensemble, plus la peine de chercher à me cacher cette partie là de sa personnalité. Je promis de me préparer rapidement, riant lorsque la rouquine ronchonnait qu’elle refusait de tenir la chandelle. « Je n’aurais d’yeux que pour toi ma Zoïa… » lui lançai-je alors pour l’agacer un peu plus avant qu’elle ne s’éloigne pour m’attendre à l’extérieur alors que je filais me préparer. La retrouvant ensuite dehors, demandant si je sentais bon, elle esquissa un mouvement vers moi, feignant d’humer mon parfum et me faisant une description très précise de ce qu’elle sentait. « Avoue que ça t’a manqué cette odeur ? » m’amusai-je à lui demander en riant, ne me laissant pas troublé par l’éclat de provocation que ses yeux plongés dans les miens me lançaient. Mes pas suivirent ensuite les siens jusqu’à l’un des bars proches du centre hospitalier et où le personnel soignant avait l’habitude de se retrouver. Je m’assis face à elle sur l’une des tables de disponible et jetant un œil sur le listing des boissons proposées affiché devant nous, je déclarais avec une moue faussement déçue : « Pas de camomille à la carte… Snif ! Bon bah, pas le choix : un whisky sans glace pour moi. »
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Il a pris l'avertissement au sérieux et intérieurement elle se réjouit. Parce que la Rousse est égoïste dans son sens de la destruction, Elle, passe encore, mais ceux à qui elle tient, ça la bouscule un peu. Toutefois, elle est bien trop adepte de Liberté pour reprocher à quelqu'un sa conduite, aussi importante cette personne soit-elle. Ce serait un peu l'hôpital qui se fout de la charité comme on dit. « On commence à en avoir un certain tas tous les deux. » lui rétorque-t-elle complice, parce que le poids des années les a parfois rendu pareils à un vieux couple, et elle aime ça autant qu'elle déteste. De toute manière, les choses ne peuvent pas être simples dans sa tête. D'ailleurs sa tête, il se la paie et se moque allègrement d'elle en lui annonçant qu'il n'aurait d'yeux que pour elle. « Quel sentimental tu fais. » L'ironie se dessine sur ses traits tandis qu'elle s'éloigne finalement et qu'elle le retrouve quelques instants plus tard à l'extérieur de leur cocon. Et Zoïa aime jouer avec le feu, c'est bien connu. Ce qui est plus rare c'est de voir le Parfait se lancer à corps perdu dans la provocation même si l'un comme l'autre s'y sont parfois risqués par le passé, il y avait toujours alors entre eux une certaine dose d'alcool, d'artifice. Lorsque ce serait le cas, qu'adviendraient-il de leurs pauvres carcasses en perdition? Les yeux du Grec soutiennent les siens et la Téméraire s'approche encore un peu avant d'amorcer le départ, elle lâche doucement, sa tête reposant presque sur son épaule mais pas vraiment. « Tellement. Je voudrais même que tu me laisses ta blouse de Docteur Zacharias avec ton odeur et peut-être même un peu de sang pour que je fasse de doux rêves de princesse esseulée en attente de son prince charmant. » Et elle part à rire, d'un rire sincère, cristallin qui détonne avec la froideur de sa personne. Il est toujours étonnant d'entendre des pluies de soleil émerger d'une eau trouble et sans fond. Elle est Elle l'espace d'un court instant. Ils finissent par entrer dans l'établissement et prennent place sur une table. Un rictus est amorcé par ses lèvres complices alors que Priape fait un état des lieux. Pas de camomille, ainsi soit-il. « Sage décision. » réplique-t-elle en lui adressant un petit clin d'oeil. Elle attire la serveuse à elle d'un geste, à la fois lent et décidé. Zoïa n'a en général pas besoin de s'imposer, où que ce soit on vient ou on la fuit, et pour les distributeurs de substances nuisibles à la santé, c'est plutôt la première option.  « Hello Charmante créature. Un Whisky et une Vodka stp. » Elle regarde la jeune femme cajoleuse, c'est qu'elle connaît bien la Maison. « Sans glace pour les deux. » ajoute-t-elle d'un ton qui se veut sans réplique. Elle se tourne vers le Grec et amorce une grimace. « On a ce qu'il faut ici. » Parce que parfois, elle est capable d'avoir de l'humour sur elle-même. Et elle connaît finalement suffisamment le Dunster pour se le permettre.

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