ANGELIA ★ Non, ce n'est pas ... toi ?

Les examens de fin d'année approchent et ils sont clairement décisifs, j'aurai mon premier examen supérieur après ça donc bon ! Le baccalauréat est très important surtout que je n'ai qu'une hâte ; monter un niveau supérieur! Ainsi, si je ne suis pas la meilleure apprentie dans des matières très générales, je n'en suis pas moins quelqu'un qui se bouge alors la bibliothèque est l'endroit parfait pour ne pas trouver des choses pour se déconcentrer de façon débile. Je traverse le campus sans grande motivation ; je dois avouer que je suis crevée du show de cette nuit comme à chaque fois que je bosse quoi. Je dois pourtant me motiver et active le pas, me repétant dans la tete que je dois assumer la vie choisie. J'avance et pénètre dans la célèbre antre des révisions et des bouquins, encyclopédies en tout genre. Là, j'avance à la recherche d'un coin tranquille quand soudain, au loin, j'aperçois ce mec que je ne cesse de croiser mais pour une fois, je le vois pas en coup de vent et surtout pas de dos. Si sa silhouette, ses quelques paroles ou quelques mimiques m'avaient mis la puce à l'oreille, je crois réellement à ma thèse et je le reconnais soudainement. Je m'approche alors rapidement, essayant de rester quand meme discrète au vue du lieu et je l'aborde ; Angel ... non.. ce n'est pas toi ? Effet de surprise dans la voix.

(Invité)

J'avais pris pas mal de retard avec toute cette histoire, malheureusement pour moi pendant que j'étais en prison je n'avais pas put assister aux cours et par la même occasion les apprendre. J'étais très en retard sur tout le programme et ça allait devenir difficile de pouvoir faire la différence. Je n'étais pas certain d'avoir mon année mais après tout il ne me restait que ça, à part ma fille. Il fallait que je me bouge et je n'avais pas le choix, il fallait bien que je révise. En ce jour je me rendais à la bibliothèque universitaire à l'ouverture, certains me prendront sans doute pour un fou mais je voulais réussir et je devais m'en donner les moyens autrement je n'aurait absolument rien. J'étais concentré sur mes cours dans un coin tranquille lorsque j'entendis quelqu'un m'appeler. Je levais les yeux de mes cours pour les plonger dans ceux d'une fille que je connaissais, je l'a connaissais très bien à vrai dire. Je l'a connaissais depuis que j'avais 15 ans, cette époque où j'étais tellement différent et où mon père était encore en vie. « Ofelia ! »

(Invité)

Je restais sous le choc de trouver là mon ancienne ami, amoureux enfin c'est un bien grand mot mais pour ma part, il avait été un peu le premier pour qui j'avais eu des sentiments totalement inavoués au départ, enfin je ne sais meme plus, ça remontait tellement. J'étais partagée entre la joie de le revoir et la peur du changement, des souvenirs alors quand il prononça mon nom, je fus un peu mieux me disant qu'au moins, il ne m'avait pas oublié et je souriais d'une façon bien niaise ; c'était flatteur ! Je venais m'appuyer sur le coté du bureau où il siégeait pour réviser et je le questionnais; posant une main sur son avant bras d'un geste tendre n'osant pas l'accolade tout de suite ; Depuis quand es-tu à Harvard ? Je ne cachais pas ma surprise et je libérais peu à peu ma joie en rajoutant : ça me fait vraiment plaisir de te revoir ... Il était toujours aussi beau mais maintenant, c'était un bel homme et j'en avais les yeux qui brillaient ; c'est lamentable !

(Invité)

Je me rappelais d'elle comme si c'était hier, nous trainions pas mal ensembles quand j'étais jeune, lorsque j'avais 15 ans. Elle me connaissait dans ma belle période on va dire, c'est après que ça c'est gâté. J'avais beaucoup changé depuis le temps, je n'étais plus cet enfant. Maintenant tout était différent et surtout depuis la mort de mon père, plus rien n'avait réellement de sens. Ma vie prenait un tournant inattendu et risqué je dois dire, enfin il fallait bien avoué que même si je pensais être sortit d'affaire je ne l'étais pas encore. Tout allait devenir pire dans les mois à venir. « Ça va faire deux ans. » Deux longues années qui avaient étés coupées par mes 6 mois de détention. Tout ça me gâchait la vie. Ça serait toujours marqué au fer rouge sur ma peau. J'avais toujours remarqué que je lui faisais de l'effet et plus jeune j'en avais joué quelque fois. Visiblement je lui plaisait encore.

(Invité)

Je sens mon ancien ami assez choqué qu'on se croise ainsi mais la joie est immense de voir qu'il se souvient de moi. Je souris d'une manière plutôt débile et je tord mes doigts entre eux, stréssée. Je m'appuie contre le bureau où il était entrain de travailler tandis qu'il m'apprend qu'il était là pendant deux ans. J'ouvre les yeux, gros, d'étonnement et je me décide alors à parler ; Mais c'est dingue qu'on ne se soit jamais croisé ou reconnu ! Je grimace, perplexe avant de venir m'assoir en face de lui me montrant étrangement intimidée. Je passe une main dans mes cheveux avant de soupirer en disant, positive : En tout cas, tu n'as pas changé ... Je parlais effectivement de ce physique qui m'avait fait craqué et il n'avait fait que s'améliorer franchement. Qu'est-ce que tu deviens alors ?

(Invité)

En deux ans nous ne nous étions pas croisés, nous ne nous étions pas vu. Ça pourrait sembler bizarre surtout qu'on avait pas mal entendu parler de moi ces derniers mois. Mais bon c'était Harvard et c'était tout de même une très grande université. Ce n'était pas possible de croiser tout le monde. Il y a pleins de monde que je ne connaissais pas sur ce campus, enfin peut-être qu'eux me connaissaient qui sait. « Le campus est tellement grand qu'on a sans doute jamais dut se croiser. » Faut surtout dire que depuis 6 mois environ je n'étais même plus allé sur le campus à cause de mon père, enfin de la police qui croyait que je l'avais tuer mais bon. Ce n'était qu'un détail je suppose. Il est vrai que je n'avais pas changé, j'étais toujours aussi bel homme et au vu de son regard elle était bien d'accord avec moi. Néanmoins j'avais quand même changé vis à vis de mon amnésie et de mon comportement même si c'était minime. « Pas grand chose et toi ? » Je sors juste de prison mais sinon tout va bien dans le meilleur des mondes.

(Invité)

Je suis ravie de retrouver mon ancien coup de cœur enfantin, ça fait plaisir car cela rappelle des souvenirs et tous ces rêves où j'imaginais que ce serait réciproque mais en fait, c'était bien trop enfantin. Il explique qu' harvard est grand donc ça expliquerai qu'on se soit pas croisé mais bon, faut pas déconner ... nous aurions du et je suis dégoutée. Je ne relève pas et je ne fais qu’acquiescer. Là, il ne développe pas et je grimace pensant qu'il n'est pas si heureux de me voir ou que je le dérange si bien que j'ai un petit mouvement de recule et lui demande, anxieuse : Bien écoute, comme tu le vois, l'Italie, c'est finit... je suis beaucoup plus ici mais bon, pas de grand changement sauf que je vis ma propre vie avec mes propres choix quoi... Je suis d'un coup timide parce que j'ai peur d'etre un poids à l'instant alors je reprend : tu étais surement occupé ? tu veux que je parte ? je le questionne, inquiète.

(Invité)

« Je n'y suis pas retourné non plus depuis que je suis partit pour Paris. » L'Italie me manquait, ma Sicile natale me manquait. Il faut dire qu'avec tout ce qui était arrivé dans ma vie ces dernières années je ne pouvais pas y retourner. Et pourtant j'aurais bien aimé. Et depuis plus de six mois tout ça était compromis maintenant. Je ne pouvais pas quitter le territoire sans que ça passe pour une fuite, c'était des plus agréable. Surtout que vu mes origines je passais vraiment pour un mafieux, vive les stéréotypes. Ofelia semblait vraiment mal à l'aise en ma présence, elle avait toujours été comme ça avec moi, depuis que je suis jeune. Je devais sans doute l'impressionner et elle devait sans doute craquer pour moi également. « Non bien sure que tu ne me déranges pas. » -dis-je avec un sourire charmeur. « Tu veux qu'on aille boire un café quelque part ? »

(Invité)

Je me sentais bien gênée en réalité de me retrouver dans cette situation puis pas forcément à une bon période ni dans un bon endroit alors j'imaginais que je le dérangeais et me retrouvais débile, devant lui, sans savoir quoi faire ou penser. Pourtant, le jeune homme m'assura que je ne le dérangeais pas. Je fus un peu surprise, il aurait dit tout le contraire dans notre jeunesse, je crois. Je souriais donc au jeune homme qui s'empressa de me proposer qu'on aille boire un café alors je ne fis que bouger la tete positivement. J'allais poser le livre prit pour travailler et je revenais en disant : Tu m’emmènes où alors ? Je me montrais plus rassurée et a mon tour, un peu séductrice par ma voix. Je touchais mes cheveux, ingénue avant de reprendre : C'est sympa de couper court à tes révisions pour moi ! Je rigolais timidement.

(Invité)

Aussi loin que je m'en souvienne cette fille avait toujours eu le béguin pour moi. Je l'avais toujours sut et je dois bien avouer que j'en avais joué certaines fois. J'aimais rendre les filles folles et ce à tout âge. Ofelia n'avait pas dérogé à la règle. Et voilà que maintenant je l'a revoyais quelques années plus tard. Elle ne semblait pas être très au courant de ce qu'il c'était passé pour moi durant tout ce temps. Je lui plaisait encore et lorsqu'elle revint et me demanda où nous allions d'une voix charmeuse ça ne confirma que mes soupçons. Je souris de mon fameux sourire en coin avant de lui répondre. « J'ai un petit bar en tête. » Je connaissais un petit bar italien qui pouvait être parfait pour l'occasion, je ne manquais jamais de compléter mon harem et ce même si j'avais dit que je ferais plus attention. On ne me change pas. « Je ne refuse jamais la compagnie d'une jolie fille. » -lui dis-je avec un clin d'oeil.

(Invité)

(Contenu sponsorisé)