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Ofelia (+) Let's talk !

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Ofelia semblait toujours douter de mes propos par rapport à mon invitation pour le bal, je ne m'attendais pas à ce qu'elle le prenne ainsi. Si je voulais aller au bal avec elle, c'est parce que et uniquement parce que j'en avais envie. Je ne vois pas d'autre raison. Je ne lui mentais pas en plus. Ok, je m'étais essuyer un échec avant elle, mais c'était une fois et ça datait du Spring Break. Si elle me refusait cette proposition, je n'y allais pas. Je n'étais pas un fan des bals et j'étais pas prêt à demander à tout le monde, jusqu'à ce qu'on accepte. Personne veux de toi ? Répondis-je en rigolant, puisque c'était complètement absurde. Je suis sûr que des tas de garçon l'a trouvait jolie, et à croquer. Pourquoi n'avait-elle donc pas confiance en elle ? Elle avait tout pour elle. Si je le fais c'est que ce soir là je veux être avec toi, c'est tout. Pourquoi tu cherches tout de suite alors que c'est si simple ? Et arrête de dire que personne ne veut ne toi, c'est faux. Répondis-je d'une voix douce en l'a regardant de manière tendre. Des câlins ? M'étranglais-je. Je n'étais pas un fan, mais étant donné l'état mentale de ma meilleure amie je ne pouvais lui refuser ce qu'elle me demandait. Bon et peut être parce qu'elle avait une tête toute mignonne. Viens-là. J'ouvrais alors mes bras en attendant qu'elle s'y niche.
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Je n'étais pas convaincue par la demande de mon meilleur ami et je ne voulais pas qu'il se force, c'était certain alors je l'asticotais, histoire d'en savoir plus mais il n'appréciait que peu mes doutes. D'ailleurs, il s'étonnait meme de mes propos. Je ne répondais rien parce que je savais que ce serait sans fin alors quand il se justifia pour la dernière fois, je ne fis que sourire, surprise par son coté autoritaire ; il ne voulait plus que je dise que personne voulait de moi, très bien ; ça n’empêcherait pas que je le pense. Je ne souriais que peu pourtant. Il hésita à répondre positivement à ma requête mais je savais que je gagnerais alors quand il ouvrit ses bras, je ne pus que m'exclamer d'un espèce de mouahaha de sorcière vil et enfin arrivée à ses fins. Un sourire sur les lèvres, durant notre tendre embrassade amicale, je relevais quelque peu la tete pour dire : Je viens avec toi au bal mon beau prince... Là, je me tordais de rire et lui fit des chatouilles tout en riant.
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Ofelia me faisait attendre, encore et encore comme pour mettre du suspense. Je l’accueillais la jeune femme dans mes bras en prenant le temps de sentir son odeur et la chaleur de son corps frêle, à croire que je ne pourrai jamais m'en séparer. Elle levait alors la tête pour me regarder et finalement accepter ma demande. Un large sourire s'étira sur mes lèvres trop content de pouvoir y aller en sa compagnie. Non mais si c'est pas beau ça. Je me levais alors brusquement, tout en attrapant la télécommande pour mettre sur une chaîne de musique. « Faut qu'on danse pour fêter ça.. » Répliquais-je en me sentant tout à coup une envie de bouger mon corps. Malheureusement pour moi la jeune femme avait en tête tout autre chose puisqu'elle se jetait alors sur moi pour me chatouiller. Et bien évidemment, je suis très sensible au niveau des côtes, ce qu'elle sait bien évidemment. « A-a-arrête.. » Arrivais-je en plissant les yeux tandis que je me tordais de rire par terre puisque mes jambes m’avaient lâché sous les mains expertes de la jeune Quincy. « Je te hais Ofélia. » Répliquais-je en essayant de respirer.
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Je saute sur mon petit loup pour le faire suer et je me rend compte qu'en plus, je suis trop forte; je casse ces plans de danse frénétique et je commence à la chatouiller. Ça me fait rire si bien que je ris comme une mongole sans un bruit tant c'est comique. Il me supplie de me stopper mais je refuse et continue de plus belle, ne ménageant pas mes efforts pour le faire rire, péter un câble carrément et il va jusqu'à me dire qu'il me hait. Je grimpe alors à califourchon sur lui pour le bloquer et certes, je l'avoue, avec quelques difficultés, puis je le regarde, des yeux accusateurs : Ah ouais tu me hais ? Je joue les mauvaises, la fille énervée et je le menace presque, manquant de rire, de ne pas garder mon sérieux. Je veux alors le faire rire plus encore et prenant un accent chelou, je lui dis : Tu te fiche de mon gueule ? Je lui tire alors la langue et me laisse tomber à coté.
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C'était une tortionnaire, ne me lâchant pas et pour rien au monde d'ailleurs puisque malgré ma demande qu'elle cesse, Ofélia redoublait d'effort pour ne pas me lâcher. Je me tordais dans tout les sens en priant pour que ce supplice s'arrête, j'en chialais presque sous ses chatouilles répétés. Quand elle s'asseyait sur moi, me permettant d'essuyer mes larmes et de respirer, je l'a regardais en montrant ma fatigue. C'est bon, j'en pouvais plus, je me rendais. C'est alors que de but en blanc elle me sortait une phrase dans un accent approximatif mais très drôle. Je me mettais alors à rire avant d'attraper les joues de la jolie brune pour les tordre. Et c'est dans un sérieux des plus sérieux, que je reportais mes mains sur mes yeux, les tirant légèrement. « Bondour, tu veux du riz basmati ? » Demandais-je avec un accent qui se voulait être chinois même si j'avais un doute la dessus.
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Si j'arrivais à le faire rire dans mon imitation du portuguais d'une manière bien étrange, je ne m'attendais pas à ces situations droles et nos rires raissonnant dans la chambre à fond. Je ne riais alors que plus, réellement dingue ce soir de le retrouver enfin et de profiter de lui pour oublier les examens, la fin d'une année que j'avais plus apprécié quelques mois auparavant que maintenant et là, il me surpris tordant mes joues comme une enfant en imitant le chinois : Faut plus de sourire, les chinois sont toujours entrain de sourire ... dis-je moqueuse en me tordant de rire puis je le repoussais pour faire semblant de fuir. Alors qu'il m'imaginait ayant abandonné le lit, je revenais lui sautant dessus : Attaque de sushiii énervé ! Je ris comme une gosse, qu'est-ce qu'on est con !
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