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Ofelia (+) Let's talk !

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Ce soir, je recevais chez moi ma petite caille, ma Ofé des bois quoi. J'attendais sa venue depuis un petit moment et je devais avouer que je l'a tarabustais beaucoup afin qu'elle mette les pieds dans ma chambre. Ce soir c'était une soirée simple ; dormir, manger, regarder des séries et parler. C'était un peu mon repère dans cette établissement et une femme importante dans ma vie depuis mon adolescence. La chambre rangé pour une fois -pour ne pas dire que tout est rangé dans le placard-, j'allumais la télé et préparais plusieurs bols de cochonnerie à manger pour se remplir le ventre. Demain par contre j'allais devoir me mettre au sport, c'était certain même. Je ne me permettais pas un gramme de plus en ce moment et je voulais garder mon rythme. Je m'accordais donc un petit écart ce soir parce que c'était elle. Amenant les bols sur mon lit, je piquais quelques gâteaux appétitif pour en grignoter quelques uns. J'avais changé les draps du lit la vieille afin de ne ne pas montrer des traces suspectes comme des traces de bave ou je ne sais quoi encore. Tout devait être parfait. Pour elle du moins, parce que de moins point de vu, je voyais tout les défauts du monde dans cette petite chambre comprenant un lit deux places, un bureau, une armoire ainsi qu'une télévision. Je pouvais enfin l'accueillir. L'attendant alors je m'allongeais sur le ventre me plaçant sur mon lit en regardant l'écran lumineux en face de moi.
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Ce soir, j'allais retrouver mon meilleur ami, mon petit homme à moi, mon guide de toujours comme j'aimais l'appeler. Je me faisais une joie d'aller le retrouver, je devais l'avouer car ça faisait un petit moment qu'on voulait s’organiser un moment sans qu'aucune personne vienne nuire à notre tranquillité. Je ne rentrais pas bien tard ce soir au loft, manquant de renverser à mon arrivée plusieurs de mes colocataires - bon bah bien dur, j'en ai que trois et toutes fluettes comme moi -. Je courrais me prendre une douche parce que j'avais couru toute la journée pour gérer entre mon poste de présidente du club de danse à appréhender et gérer, mes cours et mes activités à coté ; c'était chaud patate comme on dit ! Ce soir, pas d'obligation de travail et ça, c'était pas mal ; aussi un des avantages d'un boulot aussi décousu et si peu pourvu à présent... on n'était dans certains endroits connus pas vu comme des putes par le patron, bien sur, le client nous voyait comme tel. Je me préparais enfilant un legging sous un short en jean et un top sympa avant de mettre une veste en jean. Là, je partais avec un petit change au cas où dans le sac à main, bien grand et hop, en route. Je me décidais à faire la route à pieds, besoin de marcher et je n'étais pas le style à m'effrayer. J'arrivais devant sa porte toute joyeuse, une bouteille de champagne à la main parce que bref, je l'aime et il m'a manqué durant ma petite absence au sping break durant laquelle je suis repartie en Italie. Quand il ouvre, je m'écris ; Salut m'amouuuuuur ! Je lui saute dans les bras en ayant laché au sol mes affaires et folle dingue, entoure mes jambes autour de lui.
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M'endormant presque devant la télévision diffusant des obscénités tel que des télé-réalités à la con, les coups frappés à ma porte je réveillais. Tantôt avachit sur mon lit, le menton dans le creux de ma paume, je sautais de mon lit -en faisant attention à la nourriture- pour arriver devant la porte d'entrée. Ouvrant alors celle-ci, la jeune femme m'accueillait à bras ouvert et me sautait finalement dessus. Ne m'attendant pas du tout à cette réaction pourtant prévisible, je me retrouvais le cul sur le sol en riant. Je l'as serrais alors tout contre moi en posant ma tête tout contre sa poitrine -pas de ma faute si ma tête arrive pile en face, non ?-. Relevant le regard vers cette jolie italienne, je lui souriais en l'a saluant à mon tour. « Mon p'tit chat ! » Ah, cette odeur et cette familiarité me fais vraiment du bien. Mon pilier avait pointé le bout de son nez, enfin ! Me relevais alors en posant mes mains sur son fessier afin de l'a soulever avec moi, je l'as plaçais une fois debout sur mon épaule, en sac à patate. Heureusement qu'elle avait laissé ses affaires tomber dans l'appartement, je pouvais ainsi fermer la porte sans me baisser. Remarquant la bouteille encore dans ses mains, je priais le seigneur d'avoir eu l'idée de ne pas lui faire tomber des mains. Une bonne bouteille en plus. En même temps, ce n'est pas madame tout le monde que j'ai avec moi, oh que non. « Bon tu prépares la bouffe ? » Demandais-je en plaisantant, tout en lui envoyant quelques tapes au niveau du derrière rien que pour m'emmerder un peu.
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J'étais clairement toute folle à l'idée de le retrouver et de passer un moment tranquille avec lui. On ne passait jamais de mauvais moment et il était vraiment mon pilier avec Asia ; sans eux, je ne suis rien. Ainsi, quand je le vis ouvrir la porte, je n'hésitais pas le moins du monde à lui sauter au cou pour des embrassades chaleureuses alors qu'il faisait de meme en se retrouvant dans ma poitrine. Je me mis à rire : Quel coquin celui-là ! Je lui souriais avant d'embrasser sa joue. Au final, je me retrouvais porter en sac à patate, le cul en l'air à rire et je me tordais manquant plusieurs fois de tomber d'ailleurs. Ce n'était pas la meilleure position et en bonne actrice, je m'exclamais : Monsieur Wilcox, je veux descendre ... fis-je d'une vox digne d'une gamine pourrie gâté. Je grimaçais parce que j'avais presque le tourni et au bout d'un moment, il m'ordonna presque de faire à manger en me tapant le cul alors pour moi aussi, le faire chier, je bougeais frénétiquement les jambes avant de dire ; comment faire à manger de là-haut, hein ? Je faisais la gamine boudeuse cette fois-ci.
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Quel coquin celui-là ! Je souriais en entendant ses mots très juste pour le coup, avant que je l'as vire sur mes épaules. La pauvre, je l'as balançais dans tout les sens à cause de ma bonne humeur et je m'en rendais compte que maintenant. Voyant ses airs de gamine pourri gâté, puis celle boudeuse, je l'a laissais finalement redescendre, pieds à terre. Tu m'as manqué ! M'écriais-je en l'a lâchant enfin, la pauvre je devais l'étouffer depuis qu'elle avait mis les pieds dans ma chambre. Donne moi tes affaires et ton manteau je vais m'en occuper. Dis-je en tendant les mains vers elle, et c'est seulement en ayant ce que je voulais que je l'a faisais rentrer un peu plus dans l'appartement que je partageais avec mes colocataires. Posant ses affaires dans ma chambre et plus précisément sur mon lit, je l'a laissais entrer et découvrir la nourriture que j'avais laissé. Comme d'hab ? Programme manger, télévision, parler et dormir ? Demandais-je en l'a regardant tout sourire. Si je pouvais me collerai de nouveau à elle rien que pour m'assurer qu'elle est bien là à côté de moi.
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C'est que mon meilleur ami adoré était tenace et il refusait d'accéder à ma requete alors je restais en l'air dans une mauvaise posture jusqu'à ce que lui décide qu'il était temps de me faire descendre et alors qu'il m’avouait que je lui avais manqué, je frappais le jeune homme d'un coup de poings dans l'épaule souvenir de notre première rencontre en France alors que je n'étais qu'une gosse de riche qu'il trouva différente, pas pourrie gâté, avec un chauffeur l'ennuyant avec des visites de merde. Je fis mine de ne pas l'entendre mais quand il me fit plus entrer dans sa chambre avançant avec mes affaires pour les déposer sur son lit, je venais me coller contre son dos et sautais presque dessus pour qu'il me porte en disant : toi aussi tu m'as manqué mon bébé ! Je riais alors comme une débile embrassant sa joue. On échangeait un regard et il me remémora le programme de nos soirées habituels alors je ne fis qu’acquiescer d'abord, attachant mes cheveux en un chignon à demi décoiffé, très sexy, n'est-ce pas ? Ensuite, je venais me jeter sur son lit en disant : Dis donc tu es toujours un grand chef cuisinier... dis-je avec humour en trouvant les cochonneries qu'ils nous avaient pris et tapotant son crane en riant, moqueuse. Là, je me jetais sur son lit telle une reine en disant : Alors mon cher, j'attend qu'on s'occupe de moi... Je me marrais de plus belle aimant m'amuser de lui en jouant ce que je n'étais pas du tout.
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Je n'étais expressif avec aucune autre femme qu'elle, et la raison m'échappait. Peut être parce que le feeling était passé naturellement et qu'instinctivement on se sentait à l'aise dans ce genre de relation. Même après un laps de temps à s'être perdu de vu, tout était redevenu normal comme si rien n'avait changé. peut être était-ce ce genre de relation magique que tout le monde parlait ? Ofélia, ne tardait pas à me sauter le dos, manquant de me faire tomber. J'avais encore de bon réflexe, heureusement pour moi. toi aussi tu m'as manqué mon bébé ! Je souriais alors en voyant que je n'étais pas le seul à ressentir un possible manque. Bébé ? Tu sais très bien que je déteste ce surnom. Dis-je en étant faussement boudeur alors que je ne pouvais m'empêcher d'étirer un long sourire heureux. D'ailleurs, pendant qu'on y est ! Je me mis alors à genoux devant elle une fois qu'elle eu rejoint mon lit pour lui faire ma petite demande Tu veux bien être ma cavalière pour le bal de fin d'année ? Demandais-je en espérant une réponse négatif. Je ne savais pas si elle avait des vues sur des garçons ou si on lui avait déjà demandé mais ça ne coûte rien de demander. Rejoignant rapidement le lit en m'y asseyant tranquillement je faisais face à la critique de la jeune Quincy. Remarque, la seule fois où j'ai fait des oeufs sur le plat, ils ont fini à la poubelle pour cause de noir absolue sur toute la nourriture. Moque toi, moque toi. C'est la femme qui fait les petits plats normalement. Répondis-je un brin macho, tentent d'expliquer tant bien que de mal que ce ne serait pas une pénalité dans mon futur. Que je m'occupe de toi ? Tu veux quoi un massage c'est ça ? Tu peux toujours courir. Répondis-je en hôchant la tête face à son petit jeu de gamine riche. Elle aimait bien m'embêter avec ça d'ailleurs et je le prenais à chaque fois à la rigolade.
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Je savais parfaitement qu'il détestait que je le surnomme bébé mais ça me faisait rire pour la connotation de style amoureux mais surtout, ce coté enfant que j'aimais lui donner pour le faire suer alors quand il rala lègèrement par rapport à cela ; ca me fit rire presque aux éclats d'ailleurs. Sourire narquois, je le regard faire une moue véxé et je ris de plus belle alors qu'il se trouve plus ridicule encore en entreprenant une nouvelle chose étrange ; genou au sol, le jeune homme commença à parler et je me demandais son soucis. Je le regardais avec deux grands yeux, plus grand le brésil ou encore le Canada en me demandant qu'est-ce qu'il me voulait. Là, il me demande de l'accompagner au bal et je regarde autour de moi, si ce n'est pas une blague et je ris ; Euh je te fais pitié à ce point là ? Je reste un peu bouche bée parce que je m'y attendais pas du tout. Là, je n'écoute pas plus ce qu'il me dit enfin qu'à moitié, comprenant qu'il veut pas non plus rester 20 ans sur le meme sujet et me demande de ne pas moquer en rappelant que ce sont les femmes qui cuisinent, la remarque bien machiste alors je ne relève pas, encore entrain de me demander ce que je fais pour le bal plutot que réagir à ça. Il me parle donc de ce qu'il pourrait faire pour s'occuper de moi mais ne veut pas me faire ce petit plaisir alors je profite et me joue de lui en disant : Je sais pas si je peux etre ta cavalière tu ne prend meme pas soin de moi ! Je fais la fine bouche et fait la dédaigneuse.
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Parfois la jeune femme pouvait se révéler presque agaçante mais j'imagine que c'est ce qui fait son charme. Elle à ce petit côté qui vous fait espérer et à la fois qui vous énerve sans vraiment comprendre le pourquoi du comment. A ma demande, que j'espérai positive, la belle brune se mise alors à rire, me laissant tel un idiot toujours dans une position qui laissait à croire que j'allais l'a demander en mariage. Elle était d'ailleurs une privilégiée, je ne faisais pas ça devant tout le monde et même devant personne. Je ne veux pas me marier, je trouve ce genre de chose trop conventionnelle et désuète. On vous promet un avenir de folie avec votre moitié, mais aujourd'hui tout le monde trompe tout le monde, et il y a bien longtemps que je ne crois plus aux comptes de fée. Attend, parce que je suis ton meilleur ami et que je te le demande dans cette position, tu penses que j'ai pitié de toi ? Bah merde alors, moi qui pensait bien faire. Je ne pensais pas qu'elle me sortirait une telle phrase. Tu me crois vraiment capable d'une telle chose ? Demandais-je en grimaçant. Je me relevais, et m'asseyais à ses côtés afin d'être plus à l'aise. J'avais des tas de question à lui poser mais le bal était une priorité que je ne devais pas oublier, et une demande ne se fait pas en passage éclair. Tu veux que je m'occupes de toi ? Que veux-tu ? Je ne voyais pas encore où elle voulait en venir mais je sentais que je n'allais pas tarder à le savoir. Il y avait toujours une contre partie, et j'attendais de savoir laquelle.
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Je ne sais pas pourquoi je réagis ainsi mais je peux pas le prendre comme une véritable envie d'y aller avec moi, c'est mon meilleur ami et tout le monde sait que le bal on invite quelqu'un qui nous plait et tout de suite, dans mon manque de confiance en moi, que je ne montre qu'à très peu de gens, je ne pense pas à son envie ou quoi mais plus au fait qu'il a surement pitié de moi car avec ma poisse, je risque de me retrouver seule, c'est surement ce qu'il se dit et quand je réagis ainsi, il apprécie pas. Il s'offusque d'ailleurs alors je ris plus et perd de ma soi disant assurance. Je ne dis plus un mot tandis qu'il montre que mes dires ne lui plaisent pas. Je ne t'accuses pas d'un acte terroriste non plus... je pense juste que tu veux etre gentil avec moi parce que tu sais que personne veut de moi... dis-je boudeuse montrant mon malaise vis à vis de mon célibat. Là, je serrais mes jambes contre mon buste alors qu'il demandait ce que je voulais et je riais à nouveau parce que je voulais rien, je le charriais juste alors un sourire aux lèvres, je reprenais ; bah je te charriais mais si tu le proposes gentiement... je veux des calinous de mon meilleur ami du monde ! Je souris et fait la grosse enfant, laissant mes yeux s'embrumer d'une lueur telle un chien battu.
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