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You and me bleed the same light (lyson)

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You and me bleed the same light
« FILS DE... » Je n'ai pas terminé ma phrase, parce que Royce ce pd et Delilah ce sont cassé. Il m'a poussé contre le lit, le nez en sang et une jambe en moins, et le pire, LE PIRE C'EST MON PETIT DOIGT DE PIED GAUCHE QUI S'EST HEURTER CONTRE LE COTER DU MEUBLE. J'suis à terre, parce que je n'ai pas la force de me lever, mais je sais très bien qu'il faut que j'aille à l'hôpital. De mon point de vue, j'ai le supratip de briser, ou de détruit, bon, il ne m'a pas assommé avec une brique non plus, mais j'ai senti quelque chose faire « clic » et puis, j'ai la marque de sa main sur la nuque, parce qu'il a toute de même essayer de m'étrangler. J'ai l'impression de manquer d'air, c'est un état poste traumatisme qui fait que ce qui m'entoure me semble ridiculement étroit, pour sortir de cet état, il faut que je respire, mais encore une fois on retourne au fait que je n'arrive pas à respirer. Je prends mon courage à deux mains, mais surtout, je me dis que je n'ai pas envie de mourir par terre, le nez en sang, j'arrive à sortir de la Mather House sans mettre du sang un peu partout sur les murs. Une fois dehors, je me précipite un peu sans regarder autour de moi, il faut que je respire et bouscule une demoiselle sur mon passage. D'ailleurs, je ne le sens même pas, mais je m'effondre au seul en la bousculant. Merde, merde, j'espère qu'elle est moche, je m'en voudrais de ne pas avoir son numéro. Quoi qu'il en soit, j'ai le soleil dans les yeux, et le nez qui coule encore, je crois que c'est la fin ? La jeune fille arrive par-dessus ma tête, et merde, elle est jolie. Et merde² je la connais, je la connais trop bien. « Lyson Lewis ... ? Est-ce que je suis mort ? Est-ce que tu es l'ange qui m'accueille au paradis ? » dis-je en passant une main sur sa joue.
Lysom
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Depuis qu’on était rentrés du Spring Break, j’enchainais fêtes sur fêtes sans me préoccuper de quoi que ce soit. Je voulais juste m’amuser, rire, baiser, et puis c’est tout. J’avais l’impression d’être un gros déchet, une meuf incapable de retrouver une joie de vivre. J’étais encore plus cynique qu’avant, j’aimais naturellement descendre les gens, et puis j’étais mal dans ma peau. J’avais juste envie de l’arracher pour faire le démon qui était entré dans mon corps. Aujourd’hui, je rentre d’une soirée où j’ai dormi sur les lieux, j’ai encore mes vêtements de la veille sur le dos, les cheveux blonds attachés en chignon, et le maquillage qui a légèrement coulé. J’avais vraiment l’air belle tient comme ça. Et là un demeuré me bouscule, et je lui aurais probablement sortie une phrase du genre « casse toi de la connard » ou « tu peux pas faire attention ou tu marches espèce de phoque ? ». Cependant quand mon regard se posa sur le garçon en question et que je reconnu Tom, je venais de perdre tout mes moyens. Nous avions été très fusionnels à New York, et j’ignorais encore comment on avait fait pour s’éloigner autant, mais le revoir ici, maintenant, ça me faisait carrément quelque chose. Il s’écroula au sol, alors que je remarquais les nombreuses blessures qu’il avait sur le corps. Je sortis rapidement mon portable de ma poche, alors que j’appelais une ambulance, lui priant d’arriver rapidement sur les lieux. Je me penche légèrement vers lui, et sourit vaguement suite à ses dires. Si seulement, j’étais un ange. « Tu n’es pas mort, et je t’interdis de mourir. » Je souriais tendrement, alors que je le laissais passer une main sur ma joue.
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J'suis presque dans les pommes. Presque parce que j'arrive encore à voir le visage de cet ange.. Maryloue-Sky Lyson Weston-Lewis. Un prénom aussi long que ça, si ça vous marquez, c'est que ce n'est pas n'importe qui. J'vous jure, parfois je me rappel à peine du nom de ma mère, en même temps je l'ai appeler maman, le quart de ma vie, personne ne m'a jamais dis qu'il se cacher quelque d'autre la dessous, quoi qu'il en soit, je dois avoir du sang sur ma main, qui a séché entre-temps, mais j'ai tout de même cette envie de caresser sa peau douce et claire. « Tu n'es pas mort, et je t'interdis de mourir. » je souris à sa phrase, avant elle m'interdisait de faire pipi sans lever le couvercle, maintenant elle m'interdis carrément de ne pas mourir. « C'est toi le patron, Weston-Lewis. Mais t'es vraiment réel ? J'veux dire, vraiment, vraiment ? » ça pourrait être le choc qui emmènerais un trouble mental qui fait que mon esprit ressort un scénario que j'ai déjà fait dans ma tête, et me sert dans la situation ou j'en ai le plus besoin. Et qu'en réalité, je suis encore allongée dans le salon avec le nez qui coule et le souffle couper. J'entends tout de même les sirènes d'une ambulance arriver, et m'aveugle au passage. Un gars, baraquer, me demande mon nom et je suis dans l'incapacité de parler. Il me redresse et me met allongé sur un brancard, pas nettoyer d'ailleurs, je lui fait un signe pour lui dire que Lyson - ou ce mirage vient avec moi. « J'veux pas la perdre encore une fois, monsieur. Je risquerais de plus la retrouver après. » dis-je en souriant doucement. Si c'était vraiment elle, j'avais une tonne de question à lui poser. Et bien sûr, je ne pouvait pas encore, pas maintenant, pas entre le brancardiais et ce mec qui prend mon poux, et me pose les questions habituelle, je pourrais récité ce discourt à sa place, je l'ai tellement entendue, mais j'apargne ma salive pour dire des bétises ce soir. Une fois à l'hôpital, ils nous déservent dans le hall, j'essaie de leurs faire comprendre que je peut marcher et que je peut me rendre à la salle seul, non pas parce que je ne voulais pas être pousser parce qu'avouez qu'être pousser sur un bracard c'est super fun, mais surtout parce qu'à la vitesse ou ils roulaient je n'arrivais pas à voir Lyson, si elle me suivait bien, si je ne l'avait pas perdu encore une fois.
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Je me demandais sérieusement pourquoi Tom, était recouvert de sang, et surtout pourquoi il était entrain de délirer, comme il le faisait. Ca me faisait de la peine de le voir comme ça, et dans un autre sens, j’étais contente de le voir aussi, j’avais l’impression que ça faisait une éternité que mon regard n’avait pas croisé le sien. Je me juré alors que j’essayerais d’en apprendre plus sur son état, comprendre pourquoi il était comme ça et surtout qui lui avait fait. « Réelle de chez réelle. C’est pas encore ton heure. » Je souriais tendrement, alors que je le laissais passer ses doigts sur ma joue. Oui, il n’était pas encore l’heure pour lui de mourir, et puis de toute façon, je le lui interdisait formellement. Même si j’étais vraiment inquiète pour son cas, et s’il se retrouvait d’avantage mal ? Qui lui avais fait ça ? Arrête de te torturer Lyson. Une ambulance arriva rapidement, alors que je laissais les brancardiers s’occuper du cas du jeune homme. Je le suivis alors jusqu’au gros camion, puis montait dans ce dernier à ses côtés. Je sortais de soirée, on ne pouvait pas dire que j’étais à mon avantage, et surtout, je n’avais pas dormi de la nuit, mais je m’en fichais pas mal. C’était pour la bonne cause, c’était pour Tom. Nous arrivions enfin à l’hôpital et il fut rapidement prit en charge, alors que je mordais ma lèvre inférieure, et que j’enroulais une mèche de cheveux blonde autour de mon index, signe que j’étais anxieuse. Faîtes que tout aille bien pour lui, s’il vous plait. Plusieurs infirmiers me demandèrent de rester en salle d’attente, alors qu’il s’occupait du cas du Mather. Et même si cette idée, ne m’enchantait pas vraiment, je fis ce qu’ils me demandèrent, afin d’éviter de perdre trop de temps, ou les retarder en quoi que ce soit. Je suis là, Tom. Toujours.
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« Réelle de chez réel. C'est pas encore ton heure. » Sa voix résonne dans ma tête, lorsque les branquardier me confie à une infirmière et un interne. Elle fait en sorte que ça ne coule plus et arrive à immobiliser mon nez avec des compresses. Ce n'est vraiment pas beau, on dirait que je viens de me faire refaire mon nez, alors qu'il n'est même pas plus joli. Ils me laissent partir avec des antibiotiques à prendre, sur le chemin, j'essaie de remettre les idées en place, qu'est-ce que je lui dis ? qu'est-ce que je demande en premier ? Mais arrivés à sa hauteur, ses yeux, un peu démaquiller, ses cheveux en bataille et le faible sourire qui se dessine sur ses lèvres lorsqu'elle me voit, me fait fondre. « T'es resté.. Et t'es réelle et t'es.. Toujours aussi canon. » dis-je en gloussant, ce n'était pas l'endroit parfait pour une rattrapé des années de silence. Je passe une main nerveuse dans mes cheveux. « Je.. dngngnl Lyson j'arrive pas à croire que t'es là, est-ce que t'as toujours était là? J'veux dire, ici, à Cambridge, parce que je t'ai cherché. Quand j'suis rentré à Fresno j'ai tapé ton nom et ton adresse sur Google, et pas moyen de te retrouver à croire que t'étais le fruit de mon imagination. Et maintenant t'es là, t'es une verte aussi ? » Je l'ai chercher, c'est bête on était rien, enfin si, mais c'était pas quelque chose d'officielL. Je voulais qu'on revive de nouveau dans notre bulle, comme à New York. Comme quand rien d'autre à part nous, ne compter.
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Je suis Tom du regard, alors que les brancardier l’accompagnent jusqu’en salle d’opérations. Je mords ma lèvre inférieure anxieuse alors que j’enroule une mèche de cheveux autour de mon index, signe que je suis légèrement inquiète. J’observais alors Tom, une fois revenu, alors que j’esquissais à doux sourire à son intention. « Même mal en point tu arrives à faire des blagues. » Je levais les yeux aux ciels avec amusement, alors que je gloussais à mon tour avec lui. « Ca fait longtemps que je suis ici à Cambridge, oui. Je n’avais aucune idée que tu le serais aussi. Je serais venue te voir sinon. Je suis tellement désolée Tom d’avoir disparu, si soudainement, qu’on se soient éloignés comme ça… » Une des seules personnes avec qui j’étais gentille ces derniers jours, en même comment ça aurait pu être le contraire ? « Une verte, tu veux dire une Mather ? » Je souriais d’avantage, alors que je plissais les yeux avec amusement. Je devais avouer que Tom m’avait énormément manqué, après tout, pendant de longs jours et de longs mois nous avons été si proches. Comment, les choses avaient-elles pu autant changer ?
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« Y a des choses qui ne changent pas. Fin moi j'ai pas changé, j'aime toujours les pancake et je suis toujours persuadée qu'à la fin de la vie, Dieu vient à toi pour te dire que tout ça n'était qu'une téléréalité. » dis-je en gloussant, une main dans ma nuque. Bon, en ce temps, je lui avais raconté ma vie dans les détails, le fait que j'avais peur de la mort, et n'étant pas un grand chrétien, je pensais que la fin de la vie s'achever comme dans un film, ou tu revois tout un mix de ta vie, avec une musique de fin et les participants qui montent accompagner des sponsors officiels. J'espère qu'elle s'en rappel, qu'elle se rappel un peu de nous. Je lui demande si ça fait longtemps qu'elle est ici, si c'était le cas, j'aurais perdue un an de ma vie à l'autre bout du monde, alors qu'elle était juste ici, à quelque centimètre de mon frère, je me demande soudainement si elle n'a pas couché avec mon frère d'ailleurs, c'est son genre et mes questions et mes doutes sont chasser par sa petite voix. « Ce n'est pas de ta faute, et t'avait de bonnes raisons, j'en suis sûre. Pourquoi t'es venue à Cambridge d'ailleurs, j'adorais ton appartement à New  York, c'est tout sauf  New York ici! » c'était plus calme, et relativement plus réel. Quand tu vis à New York, t'as la consciente impression de vivre dans un rêve ou au dessus des gens, parce que tout le monde est dans sa bulle, et c'est rare qu'une New Yorkaise comme l'était Lyson ouvre sa bulle à quelqu'un d'autre. « Oui, j'suis chez les Mathers. T'étais une grande fêtarde avant. » dis-je dans un sourire. Et surtout vue son état, elle était belle certes, mais ses vêtements étai froisser, ses cheveux décoiffés et elle avait clairement la tête de quelqu'un qui gueuler WAKA WAKA E E E ! tout le nuit. « Erm, tu ne préfères pas qu'on sorte? J'adore les hôpitaux, mais c'est pas l'endroit parfait pour se retrouver. » rajoutai-je en regardant le mec à ma gauche qui était en train de pisser le sang, et personne ne s'occupe de lui? Je tends mon bras à Lyson pour qu'elle ne saisisse et me dirige vers la sortie.
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Oui des choses ne changeait pas, et j’espérais dans le fond que c’était également le cas pour Tom. Qu’il était resté comme il avait toujours été, sans artifices ou mauvaises plaisanteries. « Et je suis sûre que tu as raison. » Je laissais un rire amusé s’échapper de mes lèvres, alors que je posais mes yeux émeraudes sur lui, dans un certain intérêt. Ca faisait bizarre de le revoir ici après qu’on ait été séparés pendant ce qui me semblait être une éternité. Et puis si ça faisait longtemps qu’il était à Cambridge, et que dans mon cas ça faisait longtemps aussi, ça veut dire qu’on avait eut de nombreuses fois l’occasion de se croiser, pour finalement se rater ? C’était assez triste quand on y pensait. « New York, ça commençait à devenir un peu trop pour moi. Je voulais reprendre mes études à Harvard, et reprendre ma vie en main. Ne plus être oppressée, mais surtout dire au revoir à la vie de débauche. » J’haussais les épaules comme-ci tout nageait dans l’eau la plus claire qui soit, alors que je détournais le regard vers un gars qui était entrain de pisser le sang. Grimaçant légèrement, je reportais mon attention sur Tom, en souriant un nouveau sourire amusé. C’est vrai que j’avais longtemps été le genre de personnes qui fait la fête, sans se soucier des conséquences, mais toute cette machination avait été mise en œuvre afin que je puisse oublier un garçon qui avait énormément compté pour moi, et qui aujourd’hui, avait totalement disparu de la circulation. « C’est vrai, je l’ai longtemps été. Et puis j’ai arrêté. Et… Faut croire que j’ai rapidement replongé. » Je détournais le regard, fronçant les sourcils, le regard absent, presque triste. Il me tendit alors son bras, puis je l’attrapais en reprenant mes esprits, mais surtout en souriant de nouveau. « Si, c’est une bonne idée, et puis je ne suis pas fan des hôpitaux non plus. » Je l’accompagnais, jusqu’à la sortie, alors qu’intriguée, je tournais mon visage vers lui. « Tom. Qui t’a mis dans cet état ? » J’arquais un sourcil perplexe, alors que je ne le lâchais pas du regard, attendant fermement qu’il me donne la réponse à ma question.
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Des frissons me parcourent lorsqu'elle pose ses doigts sur mon bras, même à travers les couches de vêtements qui nous recouvre, j'ai toujours l'impression d'être nu quand j'suis avec elle. Pas ce genre de nu, comme dans les rêves ou tout le monde se moque de vous, mais le nu agréable que tu as lorsque toutes les barrières sont tombées avec une personne. Elle me parle de son déménagement, c'était trop dur New Yorks, c'était trop pesant, et je suis du même avis qu'elle, à force la magie new-yorkaise doit disparaître, non? Et puis, vivre dans un brouhaha continu ne devait pas être tâche facile. On se demande tout de même où on va, et puis j'ai un peu faim. « Un Starbucks ? Ou j'te fais un chocolat chaud fait maison, chez toi ? Parce que chez moi s'est un peu plus compliqué en ce moment ce n'est pas la joie. » dis-je en roulant des yeux, ouai 'fin Deli est sûrement entrain de baiser un mec en couple, donc forcement ça ne doit pas être la joie dans l'appartement, l'entendre hurler ne me dis pas grand chose et puis j'aurais aimé être seul avec Lyson, encore un peu. Elle m'examine et la question que je redoute vient enfin, je lui adresse un sourire, parce que je ne veux pas qu'elle pense que j'suis un mec qui me bat, mais tout de même. « C'est l'une des raisons pour laquelle on ne peut pas aller chez moi, ma meilleure amie -et colocataire- fréquente un gars que je n'aime pas des masses, et c'est partit un peu trop loin.. Mais c'est rien, juste mon fabuleux nez casser, seigneur dieu! » dis-je en faisant des gestes dramatiques.
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J’étais vraiment curieuse de savoir qui avait mit Tom dans cet état. Et pourquoi pas aller lui refaire le portrait pour avoir oser poser la main sur lui ? En temps normal, je n’étais pas du genre bagarreuse, mais j’étais aussi loin d’être pacifiste. Disons que je savais me battre et que je détestais l’injustice, quitte à régler des problèmes par moi-même. Je posais un regard heureux sur Tom, alors que mon sourire ne cessait de s’étendre sur mes lèvres à chaque fois que mon regard croisait le sien. Je ne pensais pas le revoir un jour, ni même pouvoir lui reparler de nouveau, et à cette pensée, ça me fit bizarre. Après tout, c’est vrai, il était important et disparaître soudainement de sa vie, n’avait pas forcément été la meilleure des solutions. « Je serais plus partante pour le Starbucks… Disons que je n’ai pas de « chez moi » à proprement parler, donc… » J’haussais avec nonchalance les épaules, alors que j’esquissais un nouveau sourire à son intention. Oui, je ne voulais pas lui dire que je n’avais aucun appartement et que je ne vivais chez personne. Peut-être que c’était pour ça que je n’arrêtais pas de faire la fête tous les soirs ? Trouver un toit différent pour une nuit, sans jamais m’arrêter. J’avais l’impression que ma vie était tombée en morceaux et que je n’arriverais jamais à retrouver celle que j’étais autrefois. Avant qu’Ezra ne parte et que je me retrouve seule, sans personnes, encore une fois. Comme-ci je devais repartir à zéro une nouvelle fois.  « Ce n’est peut-être qu’un nez cassé. Mais je n’aime pas. Pourquoi ta colocataire ne va pas chez ce gars en question ? Elle t’a défendue au moins ? Bon sang, ça me dépasse. » Je roulais alors des yeux, puis pris finalement le chemin pour qu’on puissent se retrouver au Starbucks.
Lysom
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