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NEWT ✮ je te déteste...enfin ça c'était avant.

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non, non j'me suis pas trompée...si ?.
Tu t'étais demandé comment il avait fait pour déguerpir cet inconnu de la source et la réponse ne tarda pas. Il avait tout simplement inventé une histoire de réservation. Qu'ils en fassent vraiment ou pas, cela avait bien marché pour le coup, ton sourire s'agrandit. « Bien trouvé Shakespeare, je ne te pensais pas si intelligent !. » Dis-tu dans le seul but de le taquiner. Votre relation aura beau tourner vers du positif et bien plus qui sait, mais une chose ne changera jamais peu importe ce que qui se passera et cette chose était que tu ne pouvais pas t'empêcher de le taquiner, t'aimais ça, t'aimais le provoquer et c'est ce qui rendait votre relation un peu particulière, car malgré tout, vous restez vous-mêmes ensemble. Et puis, t'avais été prise d'une folle envie de l'embrasser. Cela avait été plus fort que toi et sans vraiment calculer, t'avais kidnappé ses lèvres que t'avais embrassé avec une intensité hors du commun, comme si tu voulais ce baiser depuis toujours. Tu t'étonnais toi-même de la façon dont tu l'embrassais, la passion que tu y mettais, tellement que t'avais cru pendant un court instant, avoir des ailes. Genre le mec te faisait autant d'effets depuis quand au juste ?. Il sépara vos lèvres et tu grognais parce que tu en voulais encore, il s'était arrêté beaucoup trop tôt. Grrr. Lorsque soudainement, il t'emprisonna d'une main contre le rochet et de son autre main, il te caressa la mâchoire déposant à son tour, ses lèvres sur les tiennes. On dit que le deuxième baiser était toujours meilleur que le premier et c'était vrai, là, te ne te sentait plus. Ses lèvres étaient tellement douces que t'avais l'impression qu'elles fondaient sur ta langue. Tes mains se posèrent sur ton torse et tu prolongeais encore plus fort ce baiser, tellement que tu n'avais pas senti ta serviette glisser de nouveau. Et puis, vos lèvres se séparèrent à nouveau et il te demandait des explications. Comment pouvais-tu répondre ça alors que toi-même tu ne savais pas ?. « Surement qu'on en avait trop envie... Je ne le cache pas. » Et t'étais honnête pour le coup, même que là t'avais encore envie de l'embrasser, encore et encore. Mais, tu devais t'en aller avant que quelqu'un d'autre ne débarque. Sauf qu'en te redressant, tu venais carrément de faire découvrir la moitié de ton corps et c'est-à-dire, de ta tête à ton bas ventre. Heureusement que ta partie intime principale se trouvait sous l'eau. Et tu t'en rendais compte que lorsqu'une brise de vent vint caresser ta poitrine en te faisant frissonner. Te regardant toute choquée, tu te laissais tomber à nouveau dans l'eau. « T'as rien vu...ein pas vrai ?. » Comment n'aurait-il rien vu ? T'étais juste en face de lui quoi. Et elle était où ta serviette !. « Le ciel est contre moi ce soir... » Ou avec toi en fait, car visiblement il ne voulait pas que tu quittes cette source, préférant que tu restes en compagnie de Newt. « Avoue que c'est la première fois que tu côtoies une fille aussi bizarre, maladroite et presque totalement bonne pour un asile de fous !. » Concluais-tu en éclatant de rire. Ouai t'essayais de le faire oublier qu'il avait pu voir ta poitrine et la moitié de ton corps.
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Le plus important était que Newt ait réussi à faire partir le mec qui était à deux doigts de rentrer dans l'eau. Il avait eu d'autres idées, mais elles ne tenaient pas la route et en plus étaient complètement stupides. Okay la relation entre Manu et Newt était en train d'évoluer vers du positif et plus précisément de l'ambiguë. Les petits pics, les taquineries resteront toujours présentes, ce qui fait que leur relation est si spéciale et marrante à la fois. Faisant un grand sourire taquin, le brun aux yeux verts réplique aussitôt. « Oh ce n'est que le début, il y a pleins de choses à découvrir sur moi ou pas. » Dit-il en faisant référence aux enchères après avoir dévoilé ses talents pour le chant et la danse. Faire des blagues, embêter la Russe a été la base de leur jeu depuis le début qui en réalité cache bien plus que ça. Pendant le premier baiser, celui-ci avait été doux, mais tellement enflammé peut-être trop sous le coup d'avoir pu goûter aux lèvres dont il avait envie depuis le Spring-Break. Malgré le bisou plus que passionné, l'Australien avait dû stopper juste le temps de revenir sur terre et de reprendre son souffle. Ensuite, l'homme de vingt-trois ans avait pris l'initiative de poser à son tour ses lèvres contre celle de l'étudiante en stylisme. Ce dernier était aussi doux que le précédent, mais doublé en intensité comme si avait attendu ce moment depuis quelques jours. - Ce qui est en partie vraie. - Durant le baiser, l'Australien sent les mains de la brunette posées sur son torse. L'étudiant en journalisme n'avait pas pu s'empêcher de frissonner. - Ce n'était pas à cause de l'eau particulièrement chaude qui vous étouffer presque. - mais plutôt par plaisir d'avoir pu goûter aux lèvres sucrées de la Russe, mais aussi de sentir la peau de la Francescov contre la sienne. Malheureusement tout à une fin et l'homme a dû se décoller sa bouche de celle de ce petit bout de femme. C'est vrai que c'était une question totalement stupide, mais ses lèvres avaient parlé plus vite que son cerveau. Un sourire vient se dessiner en entendant la réponse de la femme qui était encore une fois nue. Pendant quelques secondes Monsieur Shakespeare « Je n'avais pas du tout envie personnellement. » Dit-il en gardant son sérieux, mais éclate de rire quelques secondes plus tard avec un sourire trop mignon. Il ne pouvait pas s'empêcher de l'embêter d'une façon ou d'une autre. « J'en avais envie aussi. » Soudain voyant le corps de la jeune femme nue jusqu'à une certaine partie, le brun aux yeux verts se cache les paupières en posant ses doigts sur son front en faisant les grands yeux et en se retournant. Et ose poser la question ? Que devait répondre l'Australien à cette dernière qui était embarrassante, mais aussi piège. « Euh ... Joker » faisant une grimace en guise de gêne et voit la serviette flottait à quelques centimètres de lui. Nageant vers sa direction, il l'attrape entre ses doigts et tend cette dernière pour la deuxième fois de la soirée. « Tu devrais la serrer au maximum pour éviter de la perdre une nouvelle fois. » Bien sûr, il ne l'avait pas regardé. « Disons que tu ne fais rien comme tout le monde et que tu as des envies bizarres, donc je confirme ce que tu as dit, que tu es une fille maladroite. J'ai trouvé pire que moi. » Dit-il en ayant un grand sourire et se retourne vers Manu après s'être assuré que la demoiselle n'allait pas se retrouver une deuxième fois nue, même s'il faut l'avouer que le spectacle était tout à fait charmant. Newt pouvait être maladroit avec les femmes. Avant que la brunette ait le temps ait le dire quelque chose, le deuxième année pose une main sur chaque bras de sa soi-disant ennemie pour l'entraîner avec lui sous l'eau chaude pour qu'ils puissent se tourner autour en nageant côte à côté, ou l'un autour de l'eau. Histoire d'oublier le petit accident de la Russe avec sa serviette et détendre l’atmosphère. Sous l'eau, il faisait des sourires mais également des grimaces sans oublier le pitre, laissant échapper des bulles échappées de ses lèvres pour sa respiration.
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« Ouai comme le fait que t'sais danser et chanter drôlement bien ! Pourquoi tu cachais ça ?. » Car il est évident que jusqu'à la vente aux enchères, t'avais jamais vu le winthrop danser ni chanter, même jamais en parler en fait. Pas une seule fois, c'est pour cela que ça t'avait carrément surpris et pas qu'à toi aussi, t'avais pu remarquer certains regards étonnés, comme-ci tout le monde découvrait la même chose en même temps. Tu ne comprenais pas pourquoi il le cachait surtout que ça lui allait bien, il était encore plus sexy avec ce fameux regard et sourire qu'il faisait lorsqu'il chantait et dansait. C'était même un appel à le croquer tout crue quoi. Et puis après vos deux baisers échangés, il te posa une question à laquelle tu répondais le plus sincèrement possible. T'en avais eu envie, vous aviez eu envie et l'intensité que vous aviez mis à ces baisers le prouvait très bien. Mais vous voyez, monsieur Shakespeare venait de répondre le contraire et tu ne gobais pas ça évidemment, car s'il n'en avait pas eu envie comme il le prétendait, il ne t'aurait pas embrassé lui-même dans un second baiser. Tu voulais lui répondre, mais il se reprit rapidement en avouant maintenant la vérité. Vérité qui te fit sourire même jusqu'aux oreilles. Tu ne savais pas vers quoi se dirigeait votre relation, mais une chose est certaine, tu savais maintenant qu'il t'attirait et qu'il te plaisait, même beaucoup. « Ehhh ouii Shakespeare, je possède les lèvres les plus irrésistibles de la planète, normal que tu craques !. » Dis-tu en le taquinant et en riant. T'avais pas la prétention de penser que t'avais les plus belles lèvres, ni que t'étais la plus belle ou quoi que ce soit, mais t'étais assez confiante de ton charme et tu savais surtout l'utiliser quand il le fallait. La suite ne fut pas des plus rigolos puisque tu venais encore de perdre ta serviette et cette fois, juste en face de Newt. Il se retourna rapidement et rattrapa la serviette qu'il te tendit immédiatement en te faisant remarquer de bien la serrer. La reprenant et la passant de nouveau autour de ta poitrine, tu pris soin de bien serrer cette fois pour ne pas qu'elle s'échappe à nouveau. « Voilà, je pense que maintenant elle ne glissera plus. » Et si le contraire se passait, alors là vraiment tu croirais que le ciel n'était pas avec toi ce soir, ou alors, qu'il y avait un esprit pervers qui rodait dans le coin. T'écoutais ensuite le winthrop te décrire un peu suite à ta question et tu ne pouvais pas t'empêcher de rire parce que c'était ça en fait, tu ne faisais rien comme les autres. « Plus maladroite que toi ? On peut dire alors que tu viens de trouver la femme de ta vie ?! » Encore une fois, tu plaisantais juste pour le taquiner. Le regardant s'approcher, il te pris les bras et t'attira sous l'eau avec lui. Il tournait autour de toi et tes rires sous l'eau formaient des bulles à la surface. Toi aussi tu imitais ses gestes jusqu'à ce que tes yeux ne te brûlent et que tu manques de souffle. Alors, t'attrapes son bras et tu l'attires de nouveau vers toi en posant tes lèvres sur les siennes. Là, tu pouvais reprendre un peu de souffle, mais en réalité, c'était surtout pour l'embrasser une nouvelle fois et d'ailleurs, l'une de tes mains venait agripper sa nuque pour le plaquer davantage sur tes lèvres. Toi et tes pulsions sérieusement. Et puis, après quelques minutes, vous remontiez à la surface et rapidement sans lui laisser parler, tu t'exprimais. « Oh, je ne t'ai pas embrassé, j'ai juste utilisé tes lèvres comme un moyen de respirer sous l'eau ein. » Dis-tu en levant les yeux au ciel. Ouai la grosse menteuse quoi. Le pire c'est que t'avais encore envie de l'embrasser. « Je ferais mieux d'y aller avant que d'autres hommes ne se ramènent... » Pourtant, tu restais encore là, car t'avais pas envie d'y aller. Tu voulais rester encore un peu avec lui. Peut-être que vous pourriez aller ailleurs ensemble ?. Non, il n'en aurait surement pas envie.
newt & manu
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En entendant la question de Manu, Newt n'avait pas pu s'empêcher de grimacer, ne sachant pas quoi répondre. Enfin, s'il savait pourquoi, mais avait peur de trouver la raison totalement ridicule. La vérité était que le brun aux yeux verts avait eu peur des préjugés, que des rumeurs circulent comme quoi il serait homosexuel. Alors qu'il est à cent pour-cent hétérosexuel. Parce que oui, il faut avouer les personnes - côté homme – qu'ils ont comme passion le chant et la danse sont catalogués comme des gens qui aiment les hommes. Le brun n'a rien contre eux, bien au contraire. Néanmoins, il avait adoré voir la tête des filles être surprise, étonnée parce que concernant le chant ses ami(e)s étaient au courant – faisant partie du club de musique - mais concernant la danse non. Le Winthrop avait pensé que les mises aux enchères serait le bon moment pour dévoiler un de ses atouts d'artistes. Celui de danseur. Posant ses deux mains derrière la tête, le jeune homme répond en soupirant. « Parce que j'avais peur des préjugés et qu'on n'a pas vraiment parlé. » Voilà maintenant avait envie définitivement être plus bas que sous terre. Depuis que son daddy est décédé, L'Australien avait dû tout prendre sur lui, ses épaules ne pas montrer ses faiblesses étant le seul homme de la maison. Cela serait mentir si l'Australien ne c'était pas amusé durant son show, il avait adoré ça. Il avait lancé quelques petits regards et sourires charmeurs histoire de faire monter la mise, ce qui avait plutôt bien fonctionné non ? Après que les étudiants se soient embrassés passionnément – ou plutôt sauvagement, ça serait le mot exact – Venant jusqu'à en parler. Ce qui est assez étrange. Après tout ça n'avait été que deux baisers pas vrai ? Parler des sentiments est une chose que le rouge n'avait pas l'habitude de faire, cachant derrière l'humour et l'indifférence, mais comme Manu avait fait quelques efforts, le brun aux yeux verts devait en faire aussi. C'était donnant, donnant. Croisant les bras au niveau de son torse, il se met à rire en posant ses doigts sur le nez pour lui faire bouger délicatement la tête de gauche à droite. « ça va bien les chevilles Mademoiselle ? Je te signale que c'est toi qui a commencé. » Dit-il en riant jusqu'à ce que la belle perde sa serviette pour l'énième fois. Ne préférant pas répondre à la question de la femme de sa vie, il attrape la Russe par le bras pour l'entraîner sous l'eau afin s'éclater comme deux gamins. Les cheveux des étudiants flottaient dans l'eau jusqu'à la brunette l'attire vers elle en tirant sur le bras. Newt n'a même pas le temps de dire ouf que les lèvres des deux amies, amants – comment on devrait les appeler ces deux-là ? - Embrasser sous l'eau n'est pas chose aisée surtout concernant l'air. Ce dernier était un bon prétexte. Pendant le bisou, une des mains de l'Australien est allé se réfugier dans les cheveux de la studient. Ces derniers le gênaient vu qu'ils allaient vers son visage. Quelques secondes plus tard, ils remontèrent tous les deux à la surface pour reprendre leur souffle. Secouant la tête pour enlever les mèches sur ses yeux. Doucement, il ferme ses doigts pour que sa main devienne un poing et le mets contre sa bouche en rigolant. « Tu crois que je vais gober ça ? Je ne suis pas né de la dernière pluie. Tu es une jolie et mauvaise menteuse Manu. Laisse-moi juste te dire un énorme secret. C'est moi qui met le chocolat dans le papier d'alu. » Dit-il en rigolant et en se foutant clairement de sa tronche. Déjà, Manu voulait partir ? Faisant mine de rien, le jeune homme était déçu, mais pourtant l'étudiante en stylisme était toujours en face de lui. « Okay. » Un soupir s'échappe de sa bouche malgré lui et nage en direction du bord pour sortir du bassin d'eau chaude en n'ayant plus de serviettes puisque c'est la Russe qui l'avait autour de son corps. « On pourrait peut-être faire quelque chose avant de partir. Enfin de rentrer dans nos chez nous. Prendre un café et manger quelque chose par exemple ? En plus, je dois te rendre ta boucle d'oreille. » Dit-il maladroitement et ça faisait une bonne excuse valable en plus.  
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T'avais été curieuse de lui demander pourquoi il avait caché ses talents, car aux enchères, il avait juste été parfait en nous offrant un show digne de ce nom et non seulement il avait une belle voix, mais en plus sa façon de danser était sexy, surtout les expressions qu'il arborait au visage. Sérieux ? T'avais eu le temps de remarquer tout ça ?. Bah ouai, c'est qu'il t'intéressait plus que la normal ce mec ein. T'allais pas passer des nuits entières à te demander pourquoi, c'était comme ça un point c'est tout. Tu fus toutefois surprise qu'il puisse avoir peur des préjugés et tu ne savais pas pourquoi étant donné qu'il ne faisait rien de honteux. « Pourquoi est-ce que t'aurai peur des préjugés ?. La danse n'appartient pas qu'aux femmes t'sais. Le monde est peuplé de danseurs comme de danseuses. Tu ne dois pas t'attarder sur ces choses-là et puis tu veux mon avis ?, n'écoute jamais les on dit ou sinon tu ne vivras jamais. Peu importe ce que pense les autres, vis ta vie comme bon te semble. Alors si tu veux chanter et danser, fait le et ne te prive pas parce que c'est dommage, t'es trop doué sérieux !.... Je parle trop là ein ?. » Oui et en plus tu parlais tellement vite que tu as dû lui casser les tympans. Cependant, tu te mettais à rire suite à ta propre remarque et c'est vrai que tu parlais trop. Le winthrop posa quelques doigts sur ton nez histoire de secouer ta tête en te demandant si tes chevilles allaient bien. « Elles vont très bien et te passent le bonjour !. » T'éclatais de rire parce qu'avec ton nez bouché, ta voix était sortie bizarrement comme si tu parlais par ton nez en fait. Suite à cela, vous vous adonnez à un petit jeu sous l'eau où t'avais fini par l'embrasser de nouveau, mais une fois à la surface, il ne goba pas ton excuse et forma un poing qu'il posa contre ta bouche et au moment où t'avais voulu le mordre, il retira son poing. « C'est weird ce que tu viens de dire Shakespeare, j'te pensais pas si pervers comme ça, oh gad !. » Dis-tu en gardant ton sérieux quelques secondes, mais tu le provoquais évidemment, juste pour qu'il soit encore plus mal à l'aise. Finalement, tu évoquais ton obligation à partir et il semblait déçu, cela se lisait sur son visage. Une fois hors de l'eau, tu le matais de la tête aux pieds. « Sexy... » Ouai t'avais pas pu t'empêcher de sortir ce mot, t'avais pensé beaucoup trop fort. « T'sais que ton boxeur ne cache que très peu n'est-ce pas ?. » Et voilà que tu t'amusais de nouveau à le provoquer. Mais tu ferais mieux de te concentrer sur ta serviette pour ne pas quelle tombe, car toi t'étais totalement nue. Et enfin, il te proposa d'aller quelque part boire ou manger quelque chose avant de rentrer. « T'vois ? Bientôt tu ne pourras plus te passer de ma présence et j'accepte avec plaisir et puis de toute façon ma sœur rentrera tard donc je n'ai pas envie de tourner en rond toute seule chez moi. » C'était lui l'homme et donc à lui de vous guider vers un endroit où vous pourriez être à l'aise. Le laissant se diriger vers le vestiaire des hommes, tu entrais dans celui des femmes afin de te changer et de l'attendre à l'accueil.
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Une chose est sûre, c'est que Newt était content que le show ait plus aux filles, mais particulièrement à Manu. Cette dernière s'était faite plaisir en l'observant sur toutes les coutures pendant sa chanson, car oui même si le brun aux yeux verts était particulièrement occupé à ce moment précis, il avait vu la Russe – de temps en temps – qui ne pouvait pas détacher son regard de lui. Ce qui le flattait tout de même. Au fil des moments passés avec la studient, l'homme de vingt-trois ans commençait à mettre des mots sur ce petit bout de femme. Il commençait sérieusement à l'apprécier et pas comme une amie. La trouvant mignonne comme tout. Après pour le réaliser et le dire, c'était une autre histoire. Entendant le monologue de son interlocutrice, il l'écoute attentivement en train de parler, trouvant une part de vérité dans les paroles de Miss Francescov trouvant sa raison encore plus débile. Soupirant, peut-être qu'il devait suivre le conseil de la troisième année ? « Ouais. (petite pause) Quand tu veux, tu peux être une vraie pipelette. Je ne savais pas que tu étais aussi bavarde. » Dit-il en rigolant. Heureusement que le Winthrop avait compris la réponse de l'étudiante en stylisme même si cette dernière a parlé à quatre mille à l'heure. Il se met encore plus à rire en entendant la voix de canard de la brunette à cause de ses grands doigts qui bouchaient ses narines. « Moi c'est mon dos qui te passe le bonjour. » Faisant référence au moment où elle c'était collée contre lui pour se cacher du mec qui était à deux doigts de rentrer dans l'eau chaude. L'Australien n'avait rien dit de pervers, c'est Manu qui avait les idées mal placées. Levant les mains en l'air comme si on l'avait prise sur le fait, il dit aussitôt pour se défendre. « Je ne suis pas pervers Mademoiselle Francescov, c'est toi qui as des idées coquines. » Il n'était pas vraiment mal à l'aise, mais juste amusé, rentrant dans son petit jeu dans le but qu'elle tombe dans son propre piège. Malheureusement tout avait une fin et en sortant des eaux chaudes, il entend Manu dire qu'il était sexy. Pourtant, ce n'est pas le mec le plus baraqué, musclé de la terre, mais avait tout ce qu'il faut. Néanmoins, l'Australien était fier qu'elle le trouve à son goût. « Si j'étais toi, je ne ferais pas la maligne parce que je te rappelle que tu es NUE et que c'est ma serviette qui t'a sauvé la mise. Je peux aussi aller la rechercher. » Avait-il dit d'une voix provocante et Newt en était capable. Vu comme la femme de vingt et un ans le chercher. « Très bien à tout à l'heure alors. » Observant une dernière fois Manu, Newt adresse un beau sourire et se dirige vers les vestiaires des hommes pour se sécher, se rhabiller. Habillé d'une veste où la capuche dépassée, d'une chemise, d'un jean et d'une paire de converses, il se dirige vers l'accueil où la brunette devait sûrement l'attendre. Il sort de sa poche la boucle d'oreille du petit bout de femme pour lui tendre le bijou. « Tiens avant que j'oublie. Si Mademoiselle veut bien. » Dit-il en tendant le bras en parfait gentleman pour se diriger vers un lieu où ils y allaient bien rigoler, et se charrier en même temps. C'était le bowling et le karaoké dans le même endroit. Ouvrant la porte pour laisser passer la fille d'abord, il demande. « Tu veux commencer par quoi ? Karaoké ou le Bowling ?» En espérant que ce lieu convient à Manu.
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Non t'étais pas du tout bavarde...en fait si, tu l'étais puissance mille, mais bon tu ne pouvais pas t'empêcher après tout c'était ta nature. On t'aime comme ça ou on t'aime pas, mieux même, on se casse et adios amigo !. « T'as encore pleins de choses à découvrir sur moi. » Dis-tu simplement en faisant un clin d’œil rapide. T'éclatais de rire en écoutant sa remarque sur son dos, petite allusion surement à ta poitrine. « Elle a bien aimé la rencontre avec ma poitrine à ce que j'vois ?. » Cela avait dû être doux et moelleux n'est-ce pas ?. Quoi que vaux mieux pas t'en souvenir parce que toi aussi t'avais aimé sentir la douceur de sa peau contre la tienne. Arff, tu y repensais sayez. « Les coquines sont les plus bonnes de toute façon !. » Le pire, c'est que t'assumais le fait que tu sois coquine, bah quoi, y avait rien de mieux que s'affirmer dans la vie plutôt que se dénigrer franchement. T'étais fière de la demoiselle que t'étais et ça n'allait pas changer. « Et bien qu'est-ce que t'attends alors ? Cesse de faire le petit malin et viens la chercher ta serviette, mais n'oublie pas que t'prends le risque de me voir toute NUE !. » Et comme tu le savais, il n'allait rien faire de regrettable. Du coup, vous vous êtes changés et retrouvés à l'extérieur où il te rendait ta boucle d'oreille. « Merciii. » et t'invita à passer la première histoire de te guider jusqu'au prochain lieu qui était un...endroit où il y avait le karaoké et le bowling en même temps. Une fois à l'intérieur, il te proposa de choisir et tu fis mine de réfléchir. « D'abord, tu promets de ne pas t'moquer de moi si je commence à chanter. Hum j'pas un aussi bon talent que toi ein ! Ensuite, umm....Commençons par le karaoké alors, mais par contre, j'te laisse le choix d'la chanson. » T'étais pas doué pour ce genre de choses et tu ne chantais pas souvent dans des karaokés, même que très rarement.
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je te déteste...enfin ça c'était avant
Après avoir passé presque tout le temps à s'embrasser dans la source d'eau chaude – et à ramasser la serviette Manu pour Newt -, les deux étudiants avaient décidé de prolonger la soirée ensemble en se rendant dans un lieu qui faisait bowling et karaoké en même temps. Manu décide alors de commencer par le Karaoké à une seule condition que le brun aux yeux verts choisisse la chanson et de ne pas se moquer de la Russe pendant que cette dernière chantait. L'homme de vingt-trois ans indique au gérant qu'ils allaient chanter Summer Night de Grease. En entendant la belle chantait, il se mordille les joues pour éviter de rire. La Studient était tellement rigole et jolie dans ses fausses notes. Ils enchaînent avec la partie de Bowling où le score était très serré entre eux. Le reste de la soirée se déroule sans encombre passant le plus clair temps à se charrier, à rire. C'est à la fermeture du lieu que le Winthrop avait recompagné la Studient chez elle, allant ensuite retrouver sa chambre de confrérie. Une chose est sûre, c'est qu'ils s'étaient bien amusés.
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