MARCELIA ★ Nothing's better than a moment with close friend

C’était débile cette situation ; on savait déjà ce qu'on voulait faire mais on faisait genre que non comme deux abrutis que nous sommes évidemment. Je ne savais pas comment prendre ces paroles ; je lui faisais plus d'effet ou quoi. Quand il tourna le regard, je compris qu'il se foutait de moi et qu'il avait exactement l'idée de ce qu'il voulait faire. Et si j'avais peur qu'on le fasse ici à chaque fois de peur que les filles rentrent plus tôt, ça m'excitait tout autant alors, les yeux rivés dans les siens. Je grimpais violemment sur lui à califourchon ; Ah oui... tu ne sais que faire ? Un regard malicieux et coquin, je venais embrasser son cou passionnément, sauvage néanmoins.

C'était clairement enfantin entre nous là, je venais de la rejoindre sur le canapé, prenant un air comme si de rien était, entant dans son jeu. Je lui disais que je ne voyais pas quoi faire d'autre à part regarder la télé, évidemment c'était ironique, j'avais une idée précise en tête de quoi faire, je savais qu'elle aussi mais c'était juste pour la faire chier. Elle venait rapidement se mettre sur moi avec une certaine violence, enfin c'était brusque quoi, plein d'envie et j'aimais ça chez elle, elle plantait son regard dans le mien « Ouais faut que tu m'aides. » lui dis-je alors que je sentais ensuite ses lèvres plonger dans ma nuque, je fermais les yeux, venant poser mes mains sur ses fesses rebondies, profitant de ce petit moment, je savais que d'ici quelques instants, ça allait devenir sauvage.

Je montais à califourchon sur lui, embrassant son cou de tendre baiser alors qu'il poursuivait ses provocations. Je devais l'aider ? Je le faisais déjà par ses baisers alors que lui avait attrapé doucement mes fesses rebondies. Je passais mes mains dans sa nuque, tripotant ses cheveux puis j'embrassais violemment ses lèvres. Là, je liais nos langues puis rapidement, je laissais mes mains voguaient sur ses boutons. Je les tripotais un peu et commençait à les enlever me mordant les lèvres ; si tu n'étais pas si distingué... je te l'arracherais sans peine ! Avais-je coquine et mutine.

Elle passait aux choses sérieuses, me faisant clairement comprendre qu'elle avait une bien meilleur idée que de rester plantée devant la télé, elle était venu se mettre à califourchon sur moi, embrassant ma nuque continuant d'entendre mes provocations, moi aussi j'avais cette même idée qu'elle mais la laisser prendre les devants était amusant et bien plus excitant. Ses lèvres venaient se coller contre le mienne assez sauvagement, elle me mordait même la lèvre inférieur avant de venir lier sa langue à la mienne pour un baiser fougueux, je sentais ses doigts s'occuper de boutons de ma chemise et après un petit moment elle rompait le baiser pour me sortir une remarque assea amusant que eu le don de me faire légèrement rigoler « Oublie le fait que je sois distingué alors. » c'est vrai après tout, je ne vais pas pleurer parce qu'une femme excité par mon corps vient de me l'arracher, au contraire, c'et deux fois plus sexy.

Et alors que je suis sur lui, je lui fais remarquer que ce n'est pas bien comique et sauvage parce qu'on peut pas lui arracher la chemise tranquillement. Pourtant, il me montre clairement qu'il s'en fout et que je dois m'en fiche alors tandis que j'étais entrain d'ouvrir un bouton, je n'hésite pas finalement à tirer sur les deux pans et ouvrir cette chemise découvrant des muscles splendides, des tablettes que je ne saurais pas apprécié. Je commence alors à embrasser doucement son cou, son torse tendrement, passionnément.

Elle croit vraiment que je garde mon image de snobinard tout le temps ou quoi ? Des chemises je peux m'en payer autant que je veux alors si elle veut laisser son excitation prendre le dessus et me l'arracher, qu'elle se fasse plaisir. Je lui dis clairement qu'elle peut se laisser aller et après avoir déboutonner un premier bouton avec délicatesse, elle ne se gênait donc pas pour le reste, tirant sur ma chemise pour voir sauter les boutons et laisser place à mon torse, je voyais ses yeux se poser dessus, j'avais le sourire aux lèvres et je fermais les yeux en frissonnant quand ce fut ses lèvres qui venaient se poser dessus, une main glissait dans ses cheveux pendant que l'autre aggripait les bords du canapé.

Bien vite, je m’accommodais de ces nouvelles paroles ; je n'hésitais plus une seule seconde à déchirer complètement la chemise dont les boutons avaient explosés pour la plupart en gros. Je souriais, satisfaite, levant légèrement mes sourcils pour mettre de l'humour dans le chose tout en commençant ma descente vers l'objet du désir. Je déposais des baisers sur sa peau alors qu'il se tenait au canapé tant le désir montait et de son autre main, touchait doucement mes cheveux. Là, je glissais peu à peu jusqu'à mettre les genoux au sol et le regarder, provocatrice au possible. Je levais les yeux pour croiser son regard et je commençais à enlever sa ceinture, juste l'ouvrir pour accéder à l'objet attendu. J'ouvrais doucement le bouton de son jean très classe puis la braguette, ne le quittant plus des yeux, affamée de lui, de sexe. Je le faisais pourtant tout doucement attendant quelques demandes et de la participation.

J'avais les moyens pour une autre chemise, je n'allais pas pleurer parce qu'elle vient de me la retirer sauvagement, laissant au passage quelques boutons sautés. Une fois ma chemise au pied du canapé, la belle brune posa ses yeux sur mon torse et je souriais légèrement me mordant la lèvre, fermant même les yeux quand ce fut ses lèvres qui vinrent sur mon torse, je soupirais lentement, une de mes mains restaient sur le canapé et l'autre venait dans ses cheveux. Elle se laissa gliser pour avoir les genoux au sol et continuer de déposer ses lèvres sur mon torse, je sentais et voyais ses doigts défaire la boucle de ma ceinture et abaisser ma braguette, je souriais alors qu'elle relevait la tête vers moi, son regard plein de malice, elle défaisait le bouton de mon pantalon et je venais l'aider en le faisant descendre jusqu'à mes chevilles, elle pouvait voir une bosse se former sous le tissu qu'était mon caleçon, j'avais hâte pour la suite des choses, vraiment.