MARCELIA ★ Nothing's better than a moment with close friend

Pensive, c'était mon état du moment et si j'étais du genre à savoir toujours m'occuper. Je n'avais clairement envie de peur de chose alors je tapotais sur mon téléphone, nerveusement, à mes plus proches amis. Il m'avait manqué et a vrai dire, je regrettais tellement de pas avoir pu aller au spring break avec eux. Ces échanges se terminèrent par l'annonce d'une arrivée prochaine de Marc à mon appartement. Je me décidais à ranger un peu, détestant acceuillir meme les plus proches personnes dans un bordel. Il faut dire que Marc avait bien tout vu en fait parce que c'était quelqu'un de vraiment proche dans tout les sens du terme. D'ailleurs, dans le cadre sexuel de notre relation, nous avions déjà mis mon loft dans un bordel monstre ; c'était arrivé, j'avoue ! Je me remettais ensuite sur l'ordinateur me plongeant dans mes cours et créations quand soudain, on frappait nerveusement. Je courrais jambe à l'air, ne me couvrant pas plus, préférant me sentir à l'aise en shorty à la maison et j'ouvrais la porte, paraissant toute enjouée comme à mon habitude.

Je de vas avouer que ça faisait un moment que je ne l'avais plus vu, Ofe me manque, le nier serait mentir alors quand elle m'a envoyée ce message pour me demander de venir, j'ai pas refuser parce que moi aussi j'ai envie de la voir. Je suis déjà habillé, à vrai dire j'étais plongé dans mes cours depuis deux bonnes heures mais lui rendre visite me changera les idées. J'arrive chez elle en peu de temps, une fois garé, je pousse la porte de la résidence pour grimper les escaliers et arriver à la porte de son appartement, après quelques toquements à sa porte, je n'ai attendu que quelques secondes avant qu'elle ne vienne m'ouvrir. « Salut toi. » lui dis-je sourire aux lèvres, je la scrutais de bas en haut et ultra sexy dans ce petit shorty, je dis ça je dis rien mais il a souvent été vérifié que son appartement à été en bordel juste à cause de nos ébats.

Quand j’entends frapper à la porte, je ne perd pas vraiment de temps. Je me remet bien les fringues sur le dos, histoire de pas me la jouer tout de suite aguicheuse puis j'ouvre. Dès lors, le jeune homme me salut de sa voix sexy et j'ai déjà limite envie de lui sauter dessus. Pourtant, je me retiens, c'est toute l'histoire de notre relation : le désir. Je sens qu'il pose son regard sur tout mon corps et je ne fais alors que volte-face pour qu'il me suive, jouant avec ses nerfs, jouant l'indifférente : Ferme la porte derrière toi ! Froide, je souris tant qu'il ne me voit pas. Je marche doucement, féline. Alors il suffit que je te dise un je te manque et tu te ramènes... t'es un bon chien chien ... dis-je pour bien le faire chier et l'énerver.

Elle ouvrit la porte et je ne me gênais pas pour me rincer l’œil sur sa silhouette désirable et sexy, après tout je savais pourquoi j'étais là et elle me faisait languir avec ces tissus sur le corps mais j'allais attendre, entrant, refermant la porte derrière moi comme elle venait de me le dire, d'ailleurs dans une certaine froideur. je fais quelques pas après avoir lâché la poignée de la porte et lorsqu'elle se retourne, ce qu'elle me dit, passe assez mal « Pardon ? Tu me fais quoi là Ofé ?. » lui demandais-je intrigué « Je suis le chien de personne.. ».

J'y étais surement allé un peu fort dans ma provocation mais c'était mon petit jeu et j'aimais pour une fois faire la fille forte mais je sentais que je pouvais le payer, il avait de quoi faire comme une vengeance dans nos ébats parce que je suis une méchante fille ? Ok là, c'est bizarre ! Il le prend vraiment mal et ça se sent clairement quoi donc je grimace et je m'en veux. Je m'approche de lui sans aucune réponse, le voyant bien offusqué et je viens passer un bras autour de son cou, l'autre se balade sur son corps ; j'voulais t’embêter et je vois que ça marche ... Une voix provocatrice, je passe un doigt sur ses lèvres avant de me reculer et marcher en laissant mes hanches bouger comme elles le souhaitent. J'arrive par l'arrière du canapé, je fais volte-face et m'appuyant mon derrière sur le dossier, je lui dis ; Tu m'excuses ? D'un air séducteur me mettant dans une position plus que sensuelle.

J'avais du mal à saisir là, j'étais venu la voir parce qu'elle me l'avait demandée par message et maintenant que je suis là, elle me crache presque à la gueule, désolé mais ça passe pas. Et je lui fais comprendre en lâchant la poignée de sa porte refermée, elle a pas à me parler comme ça, me dire que je raboule ici comme un chien, je crois pas non et elle s'approche de moi, passant un de ses bras derrière ma nuque pendant que l'autre laisse sa main sur les plis de mon t-shirt, elle affirme qu'elle a voulu me faire chier et que visiblement en vue de ma réaction ça a marché « Ouais ça a marché. » lui dis-je sèchement avant de sentir son index passer sur mes lèvres. Elle sourit, se reculant de moi, ne se gênant pas pour remuer ses hanches comme elle le désirait, évidemment je ne pu m'empêcher d'admirer mais je garder mon sérieux, elle venait de m'énerver là à me prendre pour son chien, et quand bien même elle passe derrière le canapé pour ensuite me faire face et s'appuyer contre le dossier en me regardant et me demandant si je m'excusais « Tu crois que je passe la main si facilement, tu me connais mal Ofélia. ».

Tandis que monsieur joue le gars qui prend tout mal, je tente de le provoquer, me baladant en jouant de mon déhanché mais il semble que ça ne fonctionne pas spécialement. Incompriise, je joue mes dernières cartes en mettant en valeur mes atouts pourtant il me fait comprendre à nouveau qu'il ne se laisse pas faire si vite surtout après ce que je lui ai dis. Je soupire et je me laisse basculer comme une enfant, une acrobate pour me retrouver au final assise sur e canapé, dos à lui qui n'a toujours pas plus avancé et occupé d'espace. On peut jouer à ce jeu là longtemps ! J'allume la télévision sur la chaine musique et matte les clips intéressants tout en reprenant : Bien... je te voyais pas si susceptible! j'en pensais pas un mot mais c'est pas grave... dis-je d'un air lègèrement saoulé de son comportement parce que quand c'est le contraire, je dois accepter mais moi je peux jamais alors c'est saoulant. Pourtant, je ne m'énerve pas, ça n'en vaut pas la peine. Je zappe à nouveau puis j'éteins, las, m'appuyant plus dans le fond du canapé, posant ma nuque et le regardant les yeux en l'air. Sinon tu peux aussi bouger ? dis-je gentiement, le voyant trop immobile.

J'avais pas du tout apprécier qu'elle me parle comme elle l'avait fait, j'avais un caractère de merde quand j'étais énervé oui, elle le constatait et même avec les moyens qu'elle employait pour me faire changer d'avis et la pardonner, ça ne fonctionnait pas, je restais intransigeant. Elle finissait par se laisser tomber sur le canapé, allumant la télé, ça ne dura que quelques instants avant qu'elle ne l'éteigne, elle enfonçait un peu plus sa tête dans le fond du canapé avant de la pencher en arrière pour me voir et me demander de bouger, je lâchais finalement un petit sourire avant de m'approcher d'elle et devenir déposer mes lèvres sur les siennes, sa tête toujours en arrière, la mienne juste au-dessus de la sienne et lâchant ses lèvres, je contournais le canapé pour venir m'asseoir à côté d'elle, prenant la télécommande pour rallumer la télé et faire comme si de rien était.

Séductrice, je baissais ma tete vers l'arrière. Je laissais ma chevelure s'exhiber en tombant sur l'arrière du canapé et je le fixais de mon regard envoutant. Là, il sembla se calmer : ça se lisait dans son regard précédemment si foudroyant. Il s'approcha alors embrassant mes lèvres ni tendrement ni totalement sauvage. J'eus un petit sourire dès qu'il ne me faisait plus face et ne pouvait pas le voir ; un sourire pleins d'envies et de satisfaction. Là, il vint se poser à mes cotés en allumant à nouveau la télévision. Je levais un sourcil, comprenant pas son agissement mais persuadé qu'il fallait se faire désirer alors je repliais juste mes jambes contre mon buste, genoux contre le buste et fit mine de regarder l'écran. Discrètement, ma main venait caresser sa jambe, glissant doucement et je laissais un sourire carnassier apparaitre sur mes lèvres : C'est pas mal comme programme soirée télé, non ? un brin ironique.

Certes je l'avais eu en travers de la gorge pour le ton qu'elle avait utiliser en me parlant, comme un chien, autant dire ce qui est, elle faisait sa mine boudeuse, allant sur le canapé pour allumer la télé, et je souriais lorsqu'elle penchait la tête en arrière, me demander de bouger et de ne pas rester immobile comme un poteau, je m'approchais alors d'elle, venant me pencher pour déposer mes lèvres sur les siennes, un baiser rapide avant de venir m'asseoir à coté d'elle et rallumer la télé qu'elle avait éteint, je le faisais exprès, faisant comme si de rien n'était. Je sentais sa main se poser sur ma cuisse, je souriais fixant la télé « Je confirme, je vois pas ce qu'on pourraient faire d'autres en même temps. » je tournais alors ma tête vers elle, arquant un sourcil, c'était ironique, totalement ironique, j'avais une bien autre idée en tête avec elle.