Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityMalédiction de l'ascenseur ! • EMRYS & TALYA
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Malédiction de l'ascenseur ! • EMRYS & TALYA

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Je montais dans l'ascenseur qui s'arrêta devant moi sans réellement regarder le mec qui était déjà dedans, je n'avais que deux étages à faire, pas besoin de m'inquiéter des quelques secondes que j'allais passer avec un inconnu. J'appuyais sur le bouton pour descendre au parking. J'avais des sacs plein les mains, une fâcheuse tendance à faire du shopping quand le moral n'était pas au beau fixe. Des habits pour Charlie, mais surtout pour moi, ma garde robe était pleine à craquer mais tant que je continuais de sourire mes parents arrêtaient de s'inquiéter même s'ils étaient toujours pendus à mes lèvres pour savoir la suite de l'histoire entre Priape et moi et entre Matthéo et moi. Mon père penchait pour un avenir avec Matthéo depuis qu'il l'avait rencontré sans savoir vraiment tout de lui, tout de son côté mather, ma mère savait que mon bonheur était avec Priape et que c'était l'homme que j'aimais. Du coup même si c'était eux qui s'occupaient principalement de Charlie en ce moment, j'évitais de passer trop de temps chez eux, je n'en pouvais plus d'entendre ces deux prénoms constamment associés à ma vie. J'étais très calme lorsque bing l'ascenseur s'arrêta. Etait ce une blague ? Quelques mois auparavant j'étais restée coincée exactement dans le même ascenseur avec Jasper qui me regardait à l'époque comme si j'étais un extra terrestre. J'appuyais sans attendre sur la cloche puis je sortis mon téléphone de ma poche pour tenter d'avoir du réseau, rien du tout, je bougeais dans tous les sens, mes paquets étaient bien sur étalés sur le sol maintenant, en cas totalement désespéré, j'étais limite en train de faire E.T. avec mon doigt pour tenter de trouver une barre de réseau mais rien et impossible d'ouvrir les portes alors que nous devions être entre le rez de chaussée et le sous sol où était le parking. Je me retournais alors vers le jeune homme qui était là et qui devait plutôt rire de me voir paniquer. « Je suis désolée, je déteste les ascenseurs et la dernière fois ils ont mit plus d'une heure à venir nous sortir de là... »

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Une balade matinale; rien de mieux. J'avais vraiment apprécié ce petit moment dédié à la détente et surtout, à ne pas me prendre le chou pour rien. Je n'avais pas forcément un planning très chargé et je prenais bien assez la tete pur les problèmes arrivant à mon entourage pour réussir à me concentrer sur mes cours. D'ailleurs, je pensais de plus en plus que je ne finirais pas mes études cette année puisque c'était impossible d'avancer, je n'y arrivais juste pas ; j'avais pris du retard avec ma disparition enfin celle d'Emrys quoi. Je sais que je devrais m'y mettre plus et que j'aurais clairement le temps de rattraper, que j'en ai les capacités mais non, je peux pas, je n'ai pas l'esprit à ça. J'arrivais alors devant l’ascenseur, soucieux de mes soucis et de ceux de mon entourage. J'entrais alors quand il s'ouvrait devant moi et appuyait sur l'étage du parking. J'avais le temps de me retrouver seul face à mes pensées pour le coup. Je tapotais doucement sur la bar qui me servait à m'appuyer dans l'élévateur. Je songeais à Priape et ce qu'il m'avait confié au Spring Break. Je n'étais pas très amoureux de cette Talya que je ne connaissais pas, toujours à cause de ma disparition, qui n'avait donc pas permit à mon frère de me la faire connaitre et je ne me souvenais pas d'avoir déjà vu cette personne. Soudain, les portes s'ouvrirent sur une jolie blonde qui ne fit pas attention à moi alors que poli, j'avais souris, presque timidement. Je restais collé contre la vitre du fond, me perdant à nouveau dans mes pensées. Pourtant, je ne savais comment résoudre son soucis car il n'y avait que peu à faire mais il était nécessaire qu'on se revoit aussi pour les questions concernant Scar et le fait qu'il n'avait pas tenté de rester plus longtemps pour le comprendre. Je fus tout à coup interloqué par un son étrange et un mouvement tout aussi spécial de l’ascenseur. Au vue de la réaction de la belle blonde, qui me disait bien quelques choses, on pensait à la meme chose et si je n'étais pas rassuré, je me forçais à l’être après tout, j’avais vécu pire et personne ne meurt d'avoir été bloqué dans un ascenseur. Apparemment, ce n'était pas le cas de la demoiselle qui, dans sa réaction, me fit plus peur que le fait d’être bloqué. Je ne m'approchais d'abord pas, imaginant qu'elle allait se calmer et qu'à ce moment là, ce serait mieux de l’aborder. Je n'eus pas tord car après tant d'actions, la blonde se retourna vers moi en s'excusant de son attitude. Elle m'expliqua que ça la faisait paniqué et que ce n'était pas la première fois. Je m'en doutais car il me semblait que mon meilleur ami avait vécu ça et me l'avait raconté, bien plus détendu une fois libéré. Je souriais alors à la jeune femme en lui disant ; Vous inquiétez pas... on ne risque rien ! On va surement attendre mais ils répareront ça et on sortira. Une voix calme, sereine pour essayer de la détendre. Ensuite, je passais une main dans mes cheveux, vieux tic, en reprenant ; Vu notre potentiel attente, a qui ais-je l'honneur ? Je tendais la main m’apprêtant à répondre ensuite par mon prénom.

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Pourquoi est ce que je m'obstinais sérieusement à prendre l'ascenseur lorsque je venais ici ? C'était une question que je me posais dans ma panique alors qu'il venait une nouvelle fois de se bloquer. Mais quelle bande de boulets les mécaniciens de ce centre commercial, ils ne devaient surement pas faire leur job correctement pour que l'engin se bloque aussi régulièrement. Enfin c'était surement plus facile à dire qu'à faire, j'étais incapable de faire la maintenance d'un ascenseur, mais c'était juste parce que je n'avais pas reçu la formation pour le faire, voilà tout. Bref, j'étais paniquée, merci le vécu et les hormones. Mais je finis par me calmer et m'adresser à celui qui était le spectateur de mon petit manège depuis quelques minutes déjà. Il devait me prendre pour une folle. Cependant il fut plutôt rassurant et me demanda même comment je m'appelais. Il n'avait pas tort, autant savoir à qui on avait affaire l'un et l'autre puisque nous allions devoir partager ce tout petit espace pendant un moment à première vue. « Je me calme, je me calme c'est promis, je suis désolée, ma grossesse n'arrange rien à mon angoisse. » Je me laissais glisser contre l'un des côtés de l'ascenseur pour finalement m'asseoir par terre, ce n'était pas très propre mais c'était la situation la plus confortable que je pouvais avoir et celle dans laquelle je pouvais surement rester le plus longtemps. « Je m'appelle Talya, Talya Blackburn, et vous, et toi ? Enfin on peut peut être se tutoyer si on est là pour un moment. » Je ne le draguais aucunement, je passais peut être légèrement sur les formes.

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La jeune femme était pour le moins inquiète et si j'étais plutôt détendu, ça allait très vite me rendre barge aussi si elle restait dans ce mode là. Je ne cédais pas facilement au stresse mais à la folie et l'énervement, beaucoup plus. Je ne pus alors que l'aider à aller mieux, respirer et passer à autres choses car après tout, le mieux à faire, c'était de se poser et attendre. On ne ferait qu'empirer la situation sinon ! Elle ne fit que plus me perturber en me disant qu'elle était enceinte alors intérieurement, je comprenais mieux son inquiétude et je commençais à mon tour à ne plus me sentir rassurer. Elle ne devait pas en être a 8 mois donc ça va mais on sait jamais. J'allais lui conseiller de se poser mais elle le fit avant que je n'ai pu parler. Je fus étonné et ma première pensée fut de me dire que vraiment c'était la période des femmes enceintes là, puis jeune en plus les filles quoi. Je restais sous le choc d'imaginer que ce soit la copine de Priape sachant qu'en plus, c'était son style physiquement. Mais non, ne parlons pas de malheur ! Elle fut plus détendue en voyant que j'étais calme et se présenta mais là, je crus descendre de six étages. L'annonce de son prénom et son nom de famille me firent descendre aussitôt contre la paroi face à elle. Je me roulais en boule, genoux serrés contre ma poitrine et je fermais les poings pour ne pas m'énerver et dieu sait a quel point, je peux partir en vrille alors je tente de respirer simplement. Un silence s’installe, je ne la regarde pas plus. Je tape violemment contre la paroi de l’ascenseur derrière moi sentant que je deviens rouge d'énervement à force de trop penser et d'un air bien énervé, je répond en ironisant, mauvais : On sait pas... surement l'oncle de ton enfant ... je l'espère en tout cas pour mon frère, que tu ne le fasses pas plus souffrir ! Mon ton était vraiment sifflant et mauvais. Je levais enfin les yeux pour la tuer du regard et montrer que je lui en voulais ; finalement, elle ne m'inspirait plus de sympathie.

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A l'énonciation de mon prénom et de mon nom le jeune homme changea complètement de visage et d'attitude. Putain il me faisait peur, il était rouge et silencieux, il fuyait mon regard. Enfin je ne comprenais pas ce qu'il se passait mais pour le coup ce n'était pas le même mec qui m'avait calmée quelques minutes auparavant. Il avait les nerfs si bien qu'il envoya un méchant coup de poing dans l'une des paroies de notre prison éphémère. J'avais peur très peur... Mais quand il se décida ouvrir la bouche je compris mieux. « Arrête Emrys tu me fais peur... » Je n'avais pas eu de mal à mettre un nom sur sa tête, je n'avais jamais rencontré le frère de Priape mais le dunster m'en avait parlé et je savais comment il s'appelait. « Je ne vais pas me battre avec toi, pas ici, pas maintenant ou à un autre moment, je comprends ce que tu penses de moi, j'en pense pas mieux et j'aurais préféré faire ta connaissance dans une autre circonstance et que tu aies une autre opinion de moi. » Je refermais mes jambes et passais mes bras autour déposant ma tête sur le côté pour regarder à l'opposé de là où était mon ex beau frère. J'étais vraiment mal là. Je détestais cette situation vraiment. Je ne savais plus quoi faire, quoi dire, je savais que j'étais la pire des garces. « Tu es bien l'oncle de mon enfant si c'était d'une confirmation que tu avais besoin. » Je ne savais pas si Priape avait eu le temps de lui parler depuis le retour du Spring Break... J'avais dit cela sans le regarder, complètement jeté, comme ça, dans le vent.

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Je reste perplexe face à la situation qui se met en place ; il fallait que je me calme mais je ne pouvais pas. Je lui en voulais tellement à s'te fille ; j'avais trouvé mon frère dès le matin entrain de boire pour sa pomme et j'en avais pleins le dos de le voir souffrir alors je crois que toute cette colère folle, c’était l'accumulation du nombre de fois où j'avais eu peur de le perdre, d'aller mal. Elle me dit que je lui fais peur mais je m'en fou. Je me renferme sur moi-même et je ne la regarde plus parce que je pète un câble tout simplement. Je ne comprend pas qu'on puisse faire autant de la merde et faire du mal à un mec aussi formidable que mon frère. Clairement, je dois dire que je suis bien objectif vis à vis de mon frère car avant, j'ai toujours pu l'observer et voir la vision de ces proches aussi ; il a eu des soucis, vécu beaucoup de choses mais reste tout de meme formidable et a beaucoup de bon truc positif envers les gens, le monde. Je ne parle pas et le silence est pesant mais elle, elle se remet à parler. J'écoute ce qu'elle dit mais je me perd au meme moment dans mes pensées. Je n'arrive aussi qu'à me dire que je m'en tape de ces états d’âmes et ces conneries. Je continue à garder le silence de peur de dire n'importe quoi. Je patiente et réfléchie dans le silence qui règne dans l’ascenseur toujours stopper. J'entend quelques froissements et comprend qu'elle bouge. Je lève les yeux parce que je suis humain et je flippe qu'il se passe quelques choses de mal. Pile à ce moment, elle ne me regarde pas ayant tourné le regard ailleurs pour me dire que je suis l'oncle de ce petit bout en elle et je reste les yeux grands ouverts, sous le choc de ce qu'elle me dit. Je reste bouche bé avant de balbutier : tu en es certaine ou tu veux me calmer ? dis-je quand meme sur un ton assez colérique et fort. Je passe mes deux mains dans mes cheveux, nerveusement et je reste pourtant les genoux contre mon buste, recroquevillé. Je regarde le plafond de l'asenceur en claquant des dents, anxieux. Je reprend : J'suis désolé mais j'ai du mal à faire confiance au vue de ce que tu lui as fait ... je suis mauvais, je le sais mais j'ai mal pour mon frère.

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J'inspire et j'expire à pleins poumons une nouvelle fois, les zacharias sont tellement doués pour me rendre folle. « Tu me fais peur mais j'en ai rien à faire que tu te calmes, Priape est le père du bébé que je porte point, ton frère te montrera le test de paternité s'il veut le faire. » Et oui j'avais bien compris que dans cette famille, on remettait en question tout ce que je pouvais dire alors s'il avait besoin d'avoir un test de paternité sous les yeux pour me croire, il l'aurait, enfin encore fallait il que Priape accepte de le faire et pour le moment nous avions juste évoqué la possibilité qu'il puisse le faire, il ne m'avait pas donné de réponse. Je savais qu'il accepterait, après tout ça allait dans son sens et je n'étais pas opposée à le faire, bien au contraire si cela pouvait me permettre de gagner un peu de confiance en lui. « Et t'excuses pas on ne se connait pas, t'as juste entendu ton frère te parler de moi et je suppose que les compliments ne fleurissent pas à mon égard depuis le 8 mars. » Je lève les yeux au ciel bordel pourquoi est ce que cet ascenseur est tombé en panne avec moi dedans et le frère de l'homme que j'aime mais que j'ai trompé. « En tout cas je suis contente de voir que vous la famille Zacharias vous n'avez jamais fait d'erreur dans votre vie, parce que crois moi ça te bouffe, ça te bouffe de faire du mal aux gens que tu aimes. » Je le regarde cette fois et j'adopte un ton assez dur que je sors de je ne sais où, ce n'était pas voulu à la base. « Oublie ce que je viens de dire, je n'aime pas Priape, tout le monde le sait, sinon comment j'aurais pu lui faire ça. »

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Je ne sais pas vraiment quoi faire ni comment réagir face à l'ex copine tant aimée de mon frère. Je suis un peu perdu et si je tente de ne pas m'énerver et de me calmer ; ces réactions ne m'aident pas vraiment. Je regarde sa chevelure blonde mais sans cesse, mes yeux se portant sur son ventre rond qui semble donc accueillir ma nièce, mon neveu, je ne sais plus. Elle maintenant clairement que l'enfant qu'elle portait, cétait celui de mon frère et elle s'étonnait, montrant cela avc agressivité, qu'elle n'appréciait pas que je la mette en doute. Je n'aimais pas son ton mais je comprenais au vue de mon excitation à l'annonce de son nom. Je grimaçais, furax, reprenant fièrement ; Je te crois, calme-toi ... t'manière si je crois ou non, tu t'en fous bien j'imagine ! Je jouais un peu les provocateurs, me doutant bien que si à mon retour, elle n'avait pas cherché à me rencontrer c'est qu'elle prenait pas tant que ça sa relation avec Priape au sérieux et cela m'énervait beaucoup plus qu'on ne pouvait l'imaginer. Je passais une main dans mes cheveux perplexe, plantant mon regard dans le sien avant de reprendre : Je m'excuse juste parce que j'ai pas à te parler comme ça malgré tout ... et si les zacharias on a fait beaucoup d'erreur, je suis pas le meilleur exemple mais je ne supporte pas qu'on brise le cœur de mon frère, c'est tout alors ouais, je suis gonflé mais on ne peut pas me reprocher de le défendre et le protéger ... Dis-je sur un ton perplexe et anxieux. Je ne remarquais meme pas ce qu'elle faisait ou les actions, j'étais plongé d'un coup dans un autre monde à me poser mille et une question sur la réaction de mon frère vis à vis de sa paternité et le fait qu'il aime cette fille qui l'a trompé. Soudain, elle change d'opinion feintant qu'elle n'est pas amoureuse de mon frère et je me demande tout à coup si elle cherche pas âme faire péter un câble. Je ne sais pas mais à la lueur de ses yeux, bien que je n'arrive pas à ne pas lui en vouloir, je vois qu'elle ment et je ne la vois pas si affreuse, si indifférente alors je lui répond, plus calme : Je pense que tu mens ou ironise en disant que tu l'aimes pas ... tu l'aimes, c'est certain ! ça n’empêche que tu lui as fait du mal, que tu as fait une connerie mais malgré tout, tu l'aimes... je le vois à ton regard mais alors je ne comprend pas comment t'as pu faire ça ? Dis-je en serrant les poings.
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J'écoutais chaque mot qui sortait de la bouche d'Emrys. Est ce que je m'en foutais de son avis et de ce qu'il pensait de moi ? Non car je savais qu'il était important pour Priape et que forcément si j'arrivais à rester dans la vie du dunster, je devrais combiner avec lui, j'avais envie de combiner avec lui, vraiment, parce que j'adorais sa manière de défendre son frère même si cela voulait dire que je devais être la cible de ses foudres. J'avais eu un grand frère moi aussi avant et je savais vraiment ce que ça faisait d'être protégée mais aussi de tout pouvoir donner pour quelqu'un de sa fratterie. J'en viens finalement à adopter cette attitude je m'en foutiste et déttachée en lui disant que je ne l'aime pas et que je suis limite contente d'avoir fait cela, enfin que je peux penser qu'il le méritait et c'est juste à ce moment là qu'il se rend compte que je suis peut être en train de mentir. Alors quand je lui dis la vérité il ne me croit pas mais quand je mens, il sait que je mens ? C'est à n'y rien comprendre mais au moins le ton descend d'un cran et ça me soulage. « Je mens oui. Bien sûr que j'aime ton frère, bien sûr que j'aimerais revenir en arrière et ne pas faire cette connerie qui a tout détruit entre nous et qui nous a détruit. Je lui ai fait du mal, ça l'a détruit oui mais il faut pas croire que je le vive bien, je ne suis pas ce genre de fille, je ne sais pas ce qu'il s'est passé... Alors oui les regrets, les remords, ça te bouffe et ça fait mal qu'on veuille le croire ou non, que tu veuilles me croire ou non... Et je ne sais pas pourquoi... J'ai douté, j'ai pris peur, enfin j'en sais rien, j'ai perdu mon mari en juin, Priape a été là quand j'avais besoin d'en parler, il a été là pour moi, et il ne méritait pas que je lui fasse ça, maintenant j'ai la responsabilité d'avoir perdu la deuxième personne que j'ai pu aimer et les gens n'ont pas besoin de venir en rajouter une couche pour me dire que j'ai fait la plus belle connerie de ma vie.» Monologue bonjour, je pris la bouteille d'eau dans mon sac pour humidifier ma bouche.

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Ces situations dans lesquelles je me retrouve a chaque fois ; ca me rend dingue ! Je gratte l'arrière de mon crane, pensif. Je regarde le sol alors que je suis recroquevillé sur moi-même avec un seul espoir : sortir de ce bordel rapidement parce que je supporte pas de me retrouver avec la femme qui a brisé le cœur de mon frère, peu importe ces excuses. Pourtant, je vois un peu la lumière dans ces paroles sonnant faux, je sens qu'elle a pas tord on fait tous des erreurs et si dans ce cas, je digère pas vu que ça parle de mon frère, je comprend qu'elle ment et qu'elle aime, ça, ça me rassure si bien que je me sens un peu con d'avoir parlé si mal et je me calme. Je sens que cela la soulage et si au début, elle ne parle pas, laissant un silence régner surement pendant qu'elle réfléchit sur tout ça, je suis en ébullition car je ne saurais la croire vis à vis de ce qu'elle me dit par rapport à l'enfant qu'elle porte en elle. Je pose ma tete dans mes mains et soudain, elle se remet à parler calmement partant dans un monologue sans fin. Au fur et a mesure de ces paroles, de son discours, je lève les yeux vers elle, les écarquillant, choqué de tous ce qu'elle me dit et du fait qu'elle, au fond, se confie à moi pour me faire comprendre les choses et je sens sa sincérité. La vie est une putain de chienne ! Je suis partagée entre le fait que je comprend son erreur, que ça arrive mais que j'aime trop mon frère alors je reste haineux. Quand elle termine, je fais mine de ne rien ressentir, je reste sans émotion, tellement neutre. Elle s’humidifie la bouche ; ca crève de parler trop et je ne sais quoi dire. Je laisse le silence s'installer et je regarde le plafond de l’ascenseur. Je me lève doucement, je reste calme et j'appuie sur l'alarme encore parlant ; Nous sommes coincé... faudrait nous sortir de là rapidement s'il vous plait ... Je n'aime pas cette situation parce que je ne sais plus quoi lui dire ni ce que je pense de la situation et en plus, c'est pas à moi de la règler. Tout se mélange en moi alors je fais mine de l'ignorer mais pas méchamment, juste parce que je suis pommé de fou. C'est surement une façon de laisser champ libre à la jeune fille et lui prouver que je ne sais plus et que je veux plus gueuler. Je finis par me laisser glisser à nouveau contre la paroi pour me rassoir et tendu, je reste les yeux rivés sur le plafond.

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