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FLASHBACK - Il y a de ça trois mois, je suis partie, j'ai quitté Harvard pour retourner dans mon cher pays natal, celui que je n'avais connu que quelques mois de ma vie sur mes vingt-deux ans d’existence. C'était triste à dire, mais vu mon histoire, je trouvais que celle-ci s'améliorait de plus en plus. J'avais retrouvée mes parents biologiques, ma soeur Juliett, qui était également à Harvard et m'étais fait pleins d'amis ici. Donc Talya, qui allait énormément me manquer. Mais voilà.. la vie m'a à nouveau fait prendre un choix difficile. Ma soeur avait décidé d quitter Harvard pour retourner au Portugal chez nos parents. Cela m'avait mis un coup un coeur. A peine retrouvée qu'elle repartait déjà, à croire que je ne connaitrais jamais réellement le bonheur absolue. J'avais pris une lourde décision - réfléchie - de rejoindre ma soeur dans notre pays, vivre avec ma famille comme cela aurait dû être depuis des années. Harvard allait me manquer, Talya allait me manquer, la Dunster House et son ambiance allait me manquer mais je me devais de partir, en laissant tout, ou presque, derrière moi. l'avion m'attendait, j'avais dis au revoir à Talya, ma plus belle et me voilà repartie pour de nouvelles aventures., à la conquête du monde. -
Trois mois. Trois mois que j'étais partie. C'était passé si vite et en même temps si lentement. Revenir ici me rendait nostalgique, 'avais passé de si bons moments avec ma famille et partir à nouveau m'avait attristée, profondément. Mais c'était pour la bonne cause et je le savais, il fallait juste que je me remette dans la vie universitaire, dans un grand campus, dans une université rêvée. J'avais pris mes affaires au plus vite au Portugal après les dernières nouvelles de Talya. Je m'inquiétais pour elle et ne pas pouvoir bouger le petit doigt de là où j’étais me rendais folle. J'avais donc pris le premier vol malgré des au revoir déchirants. Je savais que je retournerai les voir bientôt, ce n'était qu'une question de temps, de vacances. Pour le moment, j'étais revenue ici pour elle et j'étais impatiente de la revoir. Je nous voyais déjà sauter dans les bras l'une de l'autre et rire de joie, ou même de pleurs. Je n'avais qu'une hâte, c'était de la retrouver, ma belle Talya. J'étais arrivée à la Dunster House, presque rien n'avait changé, cela me rassurait. Ma chambre était toujours à l'étage et n’avait sûrement pas bougé d'un centimètre. Je montai les escaliers avec mes valises, avant d'arriver devant la porte de ma chambre. Je souffla un bon coup avant de poser ma main sur la poignet et d'ouvrir la porte délicatement. Et à ma grande surprise ma chambre avait bougé. Et quelqu'un était dedans. Quand je réalisa qui était allongée sur mon lit, je ne pu m'empêcher de crier de joie, d'ouvrir grand mes bras et de me précipiter vers mon lit. Oh mon Dieu ma Talya, qu'est-ce que tu m'as manqué.
Trois mois. Trois mois que j'étais partie. C'était passé si vite et en même temps si lentement. Revenir ici me rendait nostalgique, 'avais passé de si bons moments avec ma famille et partir à nouveau m'avait attristée, profondément. Mais c'était pour la bonne cause et je le savais, il fallait juste que je me remette dans la vie universitaire, dans un grand campus, dans une université rêvée. J'avais pris mes affaires au plus vite au Portugal après les dernières nouvelles de Talya. Je m'inquiétais pour elle et ne pas pouvoir bouger le petit doigt de là où j’étais me rendais folle. J'avais donc pris le premier vol malgré des au revoir déchirants. Je savais que je retournerai les voir bientôt, ce n'était qu'une question de temps, de vacances. Pour le moment, j'étais revenue ici pour elle et j'étais impatiente de la revoir. Je nous voyais déjà sauter dans les bras l'une de l'autre et rire de joie, ou même de pleurs. Je n'avais qu'une hâte, c'était de la retrouver, ma belle Talya. J'étais arrivée à la Dunster House, presque rien n'avait changé, cela me rassurait. Ma chambre était toujours à l'étage et n’avait sûrement pas bougé d'un centimètre. Je montai les escaliers avec mes valises, avant d'arriver devant la porte de ma chambre. Je souffla un bon coup avant de poser ma main sur la poignet et d'ouvrir la porte délicatement. Et à ma grande surprise ma chambre avait bougé. Et quelqu'un était dedans. Quand je réalisa qui était allongée sur mon lit, je ne pu m'empêcher de crier de joie, d'ouvrir grand mes bras et de me précipiter vers mon lit. Oh mon Dieu ma Talya, qu'est-ce que tu m'as manqué.
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