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Love Sucks || Silvia

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L’idée qu’elle puisse éprouver des sentiments amoureux pour quelqu’un d’autre que moi me rendait tout simplement dingue… Je me battais pour elle bec et ongles et elle, au lieu de répondre à mes questions elle me parlait d’une espèce de plouc italien à deux balles ? Quelqu’un que je n’avais jamais vu, même dans les situations ou Silvia avait besoin d’aide… Parce qu’aux dernières nouvelles, c’était bien moi qui avait été en permanence à son chevet quand elle s’était retrouvée à l’hôpital et moi aussi j’avais été vexé qu’elle prenne la fuite de moi. Mais visiblement toute cette conversation semblait être complètement stérile… j’essayais de trouver la faille qui pourrait faire que la jeune femme allait me laisser une chance et accepter de sortir avec moi mais elle, elle me parlait surtout de ses craintes… Comme si l’idée qu’on puisse construire quelque chose elle et moi était juste impensable pour elle… En fait c’était justement là tout le souci… C’était qu’on parlait de la même chose au fond mais on l’abordait de manière différente… Je la regardais doucement, après avoir vu qu’elle me tenait par le pan de la veste et je soupirais doucement, ma main reprenant des douces caresses sur sa joue tendrement. Ouai, si je pouvais changer le passé je le ferais et elle serait toujours à moi. Elle était mon grand amour et je ne voulais pas la perdre. Je ne voulais pas la laisser à un autre homme, je voulais être tout à elle et qu’elle soit tout à moi. Je finis par serrer les dents alors que sa dernière phrase arrivait à mes oreilles.

Depuis ton arrivée ici tu n’es tombée que sur des crétins… moi y compris… Sauf que moi j’ai pris conscience de ma connerie… Tu sais, tu dis que t’as peur de me faire morfler mais… je ne sais pas pourquoi ça ne m’effraie pas ! J’ai jamais été fidèle, j’aime la fête, j’aime la drogue, j’aime l’alcool, j’aime le sexe… on est pareil toi et moi… et j’ai les mêmes craintes que toi. Mais tu sais, quand on coupe la drogue, c’est toujours plus facile et plus rapide à deux… ce que je veux dire c’est que… ensemble on peut faire des merveilles j’en suis certain… on a qu’à… tester…

Il eut un soupire en baissant doucement les yeux, capturant son visage entre mes mains que je glissais dans son cou pour le caresser avant de l’embrasser à pleine bouche, mon corps se plaquant à nouveau contre celui de la jeune femme, savourant ses lèvres en laissant ma langue aller chercher la sienne tendrement.

Tu as dit que tu m’aimais… si c’est la vérité laisse-moi ma chance ! Tout se passera bien, tu es mon amie, je veux que tu devienne ma petite-amie… Je veillerais sur toi, je ne te laisserais pas me faire du mal… et puis… on est pareils alors si tu m’aimes vraiment, je serais compréhensif…
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Tout ça m'embrouillait tellement. Est-ce que je voulais vraiment une relation de couple ? étais-je prête pour ça ? Il y avait tellement d'éléments non résolus dans ma vie, je ne savais pas trop quoi en penser, c'était perturbant et frustrant car je me sentais prisonnière de tout un tas de "et si". L'observant délicatement, je lâche un soupire à ses paroles. Je n'ai jamais vu quelqu'un se battre autant pour moi même après tous les vents énorme que j'avais pu lui coller. Il s'faisait passer pour le mec inatteignable, mais dans le fond j'avais compris que quelque chose pouvait l'atteindre. Et cette chose c'est moi. Mes mains toujours agrippées aux pans de sa veste, je me pinçais les lèvres avant de les relâcher délicatement, venant lisser le tissu de ma paume comme pour avoir bonne conscience et ne pas garder l'impression que je m'apprêtais à l'agresser alors que ce n'était pas le cas. « Tu as pensé à la possibilité ou on test et ou on se fait tellement de mal qu'on fini par se dire que ça ne vaut plus la peine de continuer à même s'adresser un regard ? J'ai peur de l'éventuel après... je... on se ressemble c'est vrai... seulement l'admettre c'est accorder le bénéfice du doute en un truc auquel je flippe à croire.. » ce n'était pas un refus de tenter au contraire, mais tant cas faire autant poursuivre dans la lignée de la vérité et des bons sentiments vous voyez ? Le souffle court, il termina par s'emparer de mon visage, mes yeux se plongeant dans les siens alors qu'un frisson me parcoure l'échine en sentant ses doigts glisser dans mon cou et c'est sans appel que je répond tendrement au baiser, savourant la chaleur de ses lèvres. « La compréhension c'est ce qui vient avant la haine m'a toujours dit mon père.. »serrant les dents je baissais la tête silencieusement. Qquoique je fasse de ma vie, ma famille continuer à s’immiscer dedans comme une vile sangsue sanguinaire.


CREDIT TO KAIJI FROM ILH
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Silvia et moi, nous avions eu une relation très intime et très intense physiquement mais sentimentalement parlant, nous nous étions toujours refusés à nous considérer en couple et je le regrettais cruellement aujourd’hui parce que peut-être que ce jour-là j’avais eu les couilles de lui dire ce que je ressentais vraiment, ce que je pensais sincèrement pour elle, peut-être qu’aujourd’hui elle et moi nous serions ensemble, nous fêterions notre première année de couple officielle ensemble mais on en était bien loin et j’étais bien loin de parvenir à la récupérer. J’avais besoin d’elle dans ma vie et c’était clairement pour cette raison que je me battais à ce point pour elle, et pour nous aussi ! Je l’aimais et je n’avais clairement plus honte de le penser et encore moins de le lui dire. Je serrais doucement les dents tout en la fixant droit dans les yeux alors que nos lèvres venaient de se sceller encore une fois. Ses caresses et ses baisers me demandaient de la prendre mais ses paroles semblaient me dire de fuir loin d’elle et je ne supportais plus ce double langage. Quand je me détournerais d’elle, quand nos corps se décolleraient l’un de l’autre… alors nous saurions… soit nous serions à nouveau en couple soit je laisserais définitivement tomber… Mais j’aurais une réponse, claire, nette et précise. Et je voulais que sa réponse soit un oui mais plus elle me parlait et moins j’avais d’espoir d’obtenir une telle réponse… Et mon cerveau n’arrivait pas du tout à occulter la terrible question : ressentait-elle des sentiments semblables pour cet italien dont elle m’avait parlé ? Et si c’était lui qui la faisait douter ainsi ? Ce serait un terrible coup dur à vrai dire…

Tu sais je ne pense pas que je te ferais souffrir… je tiens trop à toi… Maintenant je dois te dire que je sais que tu peux me détruire… parce que sans toi je suis détruit. Tu as fuis tes parents, tu m’as fuis moi… tu veux vraiment passer ta vie à fuir ? Franchement… Je comprends que tu puisse avoir peur et je sais aussi que je peux te rassurer…

Quand elle me cita une phrase de son père je baissais doucement les yeux… il fallait que je baisse les bras mais j’avais un mal de chien à faire ça… c’était juste impossible… Je serrais les dents en détournant doucement les yeux.

Et un grand auteur a écrit un jour que la haine c’était encore de l’amour, mais de l’amour aigri…
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J'étais une piètre amie et dans le fond j'avais peur de me prouver que j'étais tout aussi naze en tant que petite copine. Je n'arrivais pas à me décider sur la force de mes sentiments, sur leur nature et ce qu'ils étaient réellement. J'étais comme une coquille vide, du moins c'est ce que je pensais, je n'arrivais pas vraiment à démêler toute mes pensées et c'était vraiment perturbant. Lorsqu'il me demanda alors si je n'en n'avais pas marre de fuir, un violent soupire quitta ma bouche. A vrai dire j'étais une autruche, et il venait de soulever un de mes gros défaut. Evidemment que j'en avais marre, mais c'était plus facile à dire qu'à faire... vous savez, cette petite idée que vous avez en tête et qui refuse de vous laisser tranquille ? Le fixant calmement, mes mains toujours posées sur son torse, je me mord la lèvre inférieure en baissant les yeux. « Bien sur que j'en ai ras le bol, mais une part de moi survit comme ça.. même si c'est une connerie. Je n'ai pas envie de te fuir... tout comme je ne pourrais pas fuir éternellement mes parents, c'est juste que je suis une conne têtue.. » je n'arrivais pas à lui dire je t'aime et encore moins à lui dire que j'voulais tenter quelque chose alors que un an en arrière c'est moi qui était prête à me lancer dans tout ça. Que s'était-il passé entre temps pour que tout se casse à se point la gueule dans ma vie hein ? J'avais eu la trouille de ma vie durant la prise d'otage, me demandant ou il pouvait être et le poids c'était envolé en découvrant qu'il allait bien. « Mon père est un vieux con aigri.. » sourire en coin je poursuis « .. je n'ai pas envie de baisser les bras nous concernant.. j'ai juste.. besoin de faire prendre conscience à mon cerveau qu'il faut qu'il arrête ces putains de fixette ! » la mâchoire crispée je haussais les épaules.


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Je la regardais droit dans les yeux avec un calme monstrueux et une sorte de dépit terrible… En fait à force de me battre pour rien, je commençais à fatiguer et à me lasser aussi… Je n’étais pas le genre de mec à vouloir décrocher la lune juste pour les yeux d’une jeune femme et pourtant j’étais parfaitement prêt à le faire pour elle… Mais notre discussion était totalement stérile. Je l’encourageais à essayer et elle, elle me répondait encore et toujours en argumentant sur son cerveau, ses fixettes et tout le tralala. Et là, ça commençait juste à devenir difficile à avaler… Ouai j’étais un mec, un vrai connard et pourtant je mettais toute ma fierté de côté pour elle, pour ses beaux yeux et je récoltais quoi au final ? Bah rien du tout… Si elle ne voulait pas, autant me le dire tout de suite, directement, de vive-voix… Elle avait peur de quoi ? Que je la cogne ? Que je la viole ? Ni l’un ni l’autre n’étaient mon genre. Enfin si totalement mais pas avec celle qui était mon ange… Je soupirais doucement en l’écoutant alors que mon cœur semblait cesser de battre… Une fois de plus j’allais devoir vivre avec. Ouai… Elle n’avait peut-être pas le courage de me dire qu’elle aimait quelqu’un d’autre que moi… J’en avais marre de me battre pour une personne qui ne voulait pas faire ce petit effort pour moi, un effort que je faisais même si par moments ça me coûtait cher… Je serrais doucement les dents et je sentis une putain de violente peine grimper en moi, au point que je commençais à avoir une sensation étrange… ouai, mes yeux commençaient à me picotter et ma vision devenait flou… Putain si je choppais un foutu AVC à cause d’elle et de ses doutes, je reviendrais la hanter toute sa vie ! Je baissais doucement les yeux en priant qu’elle ne voit pas ce moment de faiblesse et je dus lutter contre moi-même afin d’imposer à mon corps un pas en arrière. Je soupirais doucement.

Tu devrais manger avant que ton poisson ne refroidisse ! Je vais me coucher… bonne nuit Silvia…

Ma voix se voulait glaciale et cassante, elle était surtout triste et basse… je tournais doucement les talons et grimpait le plus vite possible à l’étage pour me réfugier dans ma chambre. Je voulu cogner le mur de rage mais je me disais que c’était une mauvaise idée aussi je me contentait de balancer un vase dans le mur.
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