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JE SUIS UNE MOULE, T'ES UN ROCHER | feat. skysey ♥

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Heu, ok. Ouais, j’ai remarqué tes cheveux, et autant te dire qu’avec et sans tu es superbe. Tu ne changeras jamais à mes yeux Sky. Tu restes la même. Par contre l’information sur ton épilation n’était pas nécessaire, je crois. J’me suis marrée en quittant son regard du miens parce que c’est trop de pression d’un coup tu vois. J4ai l’impression d’me noyer dans quelque chose qui me dépasse. Et déjà que e sais pas nager, j’préfère pas mourir juste à cause de son regard de Dieu. Il a toujours eu ce petit regard noisette intense, à la fois clair et foncé. A la fois si banal mais en même temps si unique. C’est pas vraiment le genre d’information que j’pouvais te donner à la l’époque disons. A la limite avant tout ce que je pouvais lui dire c’est : héé regarde, j’ai un poil de foufoune qui a poussé. Je me suis penchée sur ses tatouages nombreux sur son bras, ses bras même. J’ai passé mon doigt sur certains contours noir, ma peau glisse sur la sienne. Je pourrais presque le chatouiller à ce rythme. Ils veulent tous dire quelque chose. J'ai regardé chacun d’eu avec plus ou moins d’attention avant de m’arrêter sur un qui semble plutôt, évocateur de chose pas cool. Qui se ferait tatouer un ange de cette façon, surtout si il y à tous, une signification. J’ai relevé mon regard vers le sien. Mes yeux bleus brillant, un visage désolé.. J’ai bien compris de quoi il s’agit. J’ai trop bien compris. Je me suis relevée pour le prendre contre moi. Mes bras autour de sa nuque, mon visage dans le creux de sa peau. J’suis désolée. D’t’avoir gueuler dessus dans la rue. C’était pas de sa faute, ni de la mienne. C’était comme ça c’est tout. Laisse plus rien et personne nous séparer. S’teuplait. J’pourrais pas encore une fois te perdre maintenant que je t’ai contre moi.
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Skyler, il y avait beaucoup de choses qui me plaisait chez elle, et autant vous avouer que même son caractère de merde me manquait après mon départ. Elle est folle, mais complètement folle, et c’est ce qui fait que je ne pouvais que sentir son absence dans ma vie. C’est pas vraiment le genre d’informations que j’pouvais te donner à l’époque disons. Je souriais à ses paroles, parce qu’effectivement, je me serais sentie bizarre si alors qu’elle n’avait rien sur sa petite mimine quand nous étions enfants, elle me disait qu’elle avait mis de la cire pour que ce soit tout doux tout doux. Non mais franchement, il fallait pas déconner non plus, j’étais vraiment con sur les bords puis, c’est pas comme si ça me déplaisait de savoir qu’elle était toute lisse maintenant. Bref, je m’égard du sujet. Parce que là, elle faisait un geste vers moi en caressant mes tatouages avec son doigt, et bien sûr, je lui répondais honnêtement qu’ils avaient tous une signification particulière. Elle se stoppait sur celui de ma mère et j’avais un pincement au cœur. Je ne pouvais pas réaliser à quel point jusqu’à aujourd’hui ce tatouage me touche toujours autant. À chaque fois que je pose les yeux dessus, c’est comme si je revivais un moment en sa compagnie. Ha ma mère, c’était vraiment quelqu’un de bien, de merveilleux. Je ne pourrais jamais l’oublier. Je regarde le visage de Skyler se relever alors que je suis presque entrain de pleurer et que j’affiche un sourire ravager. Je la regarde se lever doucement pour venir me prendre dans ses bras. Elle arrivait vraiment à comprendre tout en un instant, c’était pas croyable à quel point on était connecté. J’suis désolée. D’t’avoir gueuler dessus dans la rue. Je lui embrasse le cou délicatement. Et je comprends enfin que Skyler sans même m’avoir vue depuis des années me connaissait toujours autant. « C’est rien, je m’en souviens déjà plus. » Je souris et la laisse continuer. Laisse plus rien et personne nous séparer. S’teuplait. J’pourrais pas encore une fois te perdre maintenant que je t’ai contre moi. J’avais presque une larme qui coulait sur ma joue, mais seulement presque. Je l’aimais cette fille, à en crever. Je ne l’avais jamais oublié et aujourd’hui on pouvait enfin continuer une histoire vielle de plusieurs années. Je pouvais enfin accomplir ce que j’aurais dû faire si ma mère était revenue. Ouais, j’allais la demander en mariage de gamin, mais en mariage quand même. Puis qui sait, elle l’aimerait peut-être encore aujourd’hui ce magnifique collier que les flics m’ont ramené comme si c’était la seule chose qu’il me restait de ma mère. Non, il fallait que je redescende sur terre, je ne pouvais pas faire ça à Skyler, je ne pouvais pas l’obliger à me prendre comme copain alors que voilà, on ne se connaît plus vraiment. « Je suis là. Et c’est tout ce qui compte pour le moment. Je ne te quitterais pas Skyler. Promis. » Je sais que cette promesse était représentative de beaucoup de choses. Mais je voulais y croire, et je voulais qu’elle y croit.
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Je l’ai pris dans mes bras. Je l’ai pris contre moi, une nouvelle fois. Je crois que maintenant je pourrais plus jamais, mais genre vraiment. Plus jamais songer à le reperdre tu vois. C’est.. Trop affreux. [i] Je suis là. Et c’est tout ce qui compte pour le moment. Je ne te quitterais pas Skyler. Promis.(/i] J4ai l’impression que tout est multiplié. Le moindre petit sentiments affectif que j’avais envers lui avant et maintenant triplé avec l’âge. Il me semble beaucoup plus important.Et tout est plus important maintenant. Si il veut de nouveau partir loin de moi, cette fois j’ai le pouvoir de le retenir, de partir avec lui. Autrement dit il m’a collé à lui, pour encore longtemps. J’me suis reculée en passant une main dans mes cheveux, une main sur ma taille de guêpe. Tu vois ça.. C’est.. Tu m’rends trop faible. J’sais pas si c’est bien ou mal. C’est chelou ! J’lui en veut pas. J'ai même souris en parlant de ça. J’aime pas me montrer aussi faible que ça. Devant personne et là.. Supplier limite quelqu’un pour l’avoir à mes côtés toute ma vie ? Never je vais le refaire.. C’est trop, c’est.. C’est étrange.
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Avez-vous déjà songé à regarder au plus profond une personne que vous connaissiez il y a des années. À partir sur de nouvelles bases, mais en vous souvenant de ce qu’il y avait avant. Avez-vous déjà arrêté de penser à qui vous serez mais à qui vous étiez. Moi, je ne sais pas. Je n’ai jamais vraiment essayé de me sauver de moi-même. Skyler, c’était le genre à être indépendante et vraiment c’est une chose que je respecte, parce que nous avons ceci en commun. Je la regarde et je ne vois plus cette petite fille si joviale qui pleurait quand un papillon mourrait parce qu’elle l’avait enfermé dans un bocal sans trous d’airs. Non, je la regarde et je vois une personne forte, qui a vécu des choses dans sa vie, qui a grandie, qui a murie. Tu vois ça… C’est… Tu m’rends trop faible. J’sais pas si c’est bien ou mal. C’est chelou ! Je la regarde pour finalement me lever et la rejoindre, passer une main contre sa joue. Je la regarde et mon pouce effleure sa peau si douce. Je la regarde et je n’ai qu’une seule envie, ne jamais la laisser s’envoler comme avant. Je sais que je la perturbe, je sais que je la mets mal à l’aise, mais ça me semblait si évident, si impulsif. « Je te force en rien Skyler. » Je ramène ma main vers moi et je me déplace vers mes chaussures. « Je crois que c’était une mauvaise idée que je vienne ici. Je suis désolée je veux pas… Non, je ne peux pas te faire de mal. Or, c’est exactement ce que je fais en étant ici. » Je la touchais tout comme elle me touchait. Il suffisait de regarder mes tatouages pour trouver lequel lui appartenait. J’avais repris une œuvre célèbre de Bansky pour lui destiner. J’avais repris cette petite fille au ballon rouge qui me rappelait tant mon enfance, qui me rappelais tant la tristesse que nous avions quand je l’ai quitté. Oui, je suis le ballon et elle l’enfant. Mais cela ne voudra certainement rien dire pour elle. L’abandon que j’avais causé, ce sentiment de rejet. J’étais un monstre de lui faire ça maintenant, un véritable monstre. « J’ai vraiment envie d’être avec toi, mais j’ai juste l’impression que tu vois en moi celui qui t’a abandonné. J’ai juste l’impression d’être le mec qui a brisé ton enfance et… Je n’arrive pas à le supporter. » J’étais tellement désolé.
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[quote="Skyler Hope Boyle"]
J’ai vécue.. Des trucs vraiment pas cool en trop peu de temps pour le digérer aussi vite. Et je dis pas ça pour m’la jouer calimero et m’faire avoir d’la pitié sur moi. J’suis pas de ce genre là, je déteste ca d’ailleurs. Mais.. C’est vrai. J’me faisais taper par celui que j’aimais, celui en qui j’avais donné ma grande confiance, ma confiance ultime. J’suis tombée amoureuse du connard du bled, ce mec qui promettait de changer pour moi, qui voulait tourner une page avec moi et qui finalement s’est juste barré au premier obstacle venu entre nous.. Qui n’est pas des moindres je l’avoue. J’lui tendu un bébé dans la gueule. Ce que j’ai pas aimé c’est qu’un soir il me dise qu’il soit ok, il le voulait ce gosse.. Il voulait prendre les putains de responsabilités qu’ils a jamais prise et le lendemain il me sort : non mais j’avais fumé. Non mais nique ta mère en enfer sale crevard. J’ai avorté, de ce p’tit merdeux sans nom. Des fois je sais pas comment, j’arrive à le regretter. Peut être que j’voulais un gosse, pour de vrai. Moi maman ? Jamais j’pourrais l’imaginer. Et pourtant. En tout cas dans le genre mec et sentiment tout ce que j’ai eu c’est de la déception. Et j’ai peur, que ce soit Casey ou un autre. J’ai peur. Il s’est rapproché de moi, sans un mot, quelques instants. J’ai fermé les yeux en s’entant se peau contre celle de mon visage. Je crois que c’était une mauvaise idée que je vienne ici. Je suis désolée je veux pas… Non, je ne peux pas te faire de mal. Or, c’est exactement ce que je fais en étant ici. C’est pas d’ta faute.. C’est moi. C’est.. C’est compliqué tu sais. Mais tellement compliqué.. Un jour j’pourrais tout lui dire, surement. J’ai vraiment envie d’être avec toi, mais j’ai juste l’impression que tu vois en moi celui qui t’a abandonné. J’ai juste l’impression d’être le mec qui a brisé ton enfance et… Je n’arrive pas à le supporter. J’ai secoué la tête, une mine déconfite de ce que je viens d’entendre. J'arrive même à sortir un petit rire nerveux d’entre mes lèvres. Non. T’arrives juste après les autres. Mais ca t’y peux rien.. J’essais de regarder partout, sauf lui.. Parce que ca me fendille trop le cœur de devoir le regarder partir là, encore une fois. J’te vois juste comme celui qui est revenu. Celui avec qui j’avais jamais eu de soucis. Celui qui… Celui qui me fallait.
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C’est pas de ta faute… C’est moi. C’est… compliqué tu sais. Mais tellement compliqué. Non, je ne savais pas justement, j’aurais aimé savoir, j’aurais aimé comprendre mais je ne pouvais pas. Elle ne me disait strictement rien alors que moi j’attendais juste qu’on commence pour tout lui raconter, les camps de vacances, ma vie pourrie, mon côté mauvais garçon assez évident. Et je lui avouais que j’avais juste l’impression d’être le bouffon qui l’avait fait souffrir tout ce temps, qui c’était foutu d’elle, ce qui en soit était faux, mais c’est ce que je ressentais un peu tout de même. Je ne savais pas quoi dire de plus, je ne savais même pas comment faire pour qu’elle comprenne que oui, j’étais partit, mais que là, ben ouais, je suis de retour et c’est pas pour me casser dans peu de temps, non c’est pour rester. Enfin. Non. T’arrives juste après les autres. Mais ça t’y peux rien… Je la regarde esquiver mon regard. M’esquiver carrément. Elle regardait les murs, le sol et même le plafond mais moi, ça la survolait que je sois là et que ses mots me touchent, qu’ils me frappent un plein fouet. J’allais m’en fuir, j’allais prendre la porte et d’un coup, ça me revenait en tête. Je recommençais la même connerie qu’avant, je recommençais la même disparition, même si j’étais amené à la retrouver à l’université. Je baissais la tête vers mes chaussures, juste en face de moi. J’avais cet affreux dilemme qui me trucidait le cœur depuis que j’avais réalisé ce que je m’apprêtais à faire. J’te vois juste comme celui qui est revenu. Celui avec qui j’avais jamais eu de soucis. Celui qui… Celui qui me fallait. Je relevais la tête vers elle. J’avais la voix coupée sous ses mots et je ne savais pas trop quoi répondre, alors je me laissais aller, j’écoutais mon cœur. Je revenais vers elle, une de mes mains attrapant sa nuque, l’autre sa taille, la ramenant vers moi rapidement. Je plongeais mon regard dans le sien. « The girl of my dream, that’s you. Not another. » Je regardais à présent ses lèvres et je les embrassais avec prudence pour finalement que ça vaille le coup, définitivement. C’était passionné et complètement soudain, mais c’était définitivement parfait. Ça arrivait même à devenir langoureux et sauvaaaaage. Je décollais mes lèvres des siennes. Je souriais tout doucement en coin. Pour terminer par un dernier baiser sur son front. Je souriais pleinement cette fois et d’une voix très calme. « See you soon babe. I promess. Becoz you are mine, totally mine. » Je souriais, j’enfilais mes chaussures en deux deux et je lui offrais un dernier sourire et une dernière caresse à son chien, (ouais, j’avais complètement oublié que j’étais terrifié par cette bête) avant de passer la porte et de rentrer à ma chambre tout bêtement heureux.
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J’veux pas encore tout lui dire. Lui raconter mes années passées, mes années chiantes, de calvaires, mes années de liberté et les dernières semaines de rechute dans un monde pas très net. Combien de fois on m’a retrouvé à moitié morte sur un trottoir à boire comme une folle, je ne sais combien de gramme dans le sang, les yeux petés.. Bref. C’était pas la grande joie. Même si je me suis calmée un peu j’suis toujours au même stade dans mes addictions et c’est d’ailleurs pour ça que j’suis expulsée des USA. Mes parents qui veulent enfin jouer leur rôle avec moi.. La bonne blague. J’ai avoué à Casey que tout ca était trop dur pour moi.. Mon ex qui revient, puis ensuite lui.. Qu’est ce qui ce passe quoi. Pourquoi comme ça, d’un coup. C’est le karma bitch, c’est ça ? Fuckyou le karma.. Fuckyou. Quoi qu’il en soit.. J’lui avoue que c’est vraiment pas de sa faute, vraiment pas. C’est pas vraiment de la mienne non plus je pense. C’est une histoire de vie, un truc sur le passé, le présent et peut être le futur. De toute façons il y certaine choses qui vont rester à jamais en moi i think. Forever. Je pourrais presque me le faire tatouer que ca reviendrait au même. C’est marqué sur mon front, karma bitch. Mais j’lui en veut pas.. pas comme il le dit. J’le considère pas comme celui est parti, qui a brisé ma vie.. Qu’est ce qu’il se serait passé si il serait resté hein ? On serait ensemble depuis toujours ? J’serais déjà enceinte, on serait marié ? On se serait disputé au bout de quelques années ? On peut pas vraiment savoir tu vas m’dire. C’est vrai.. On peut pas. A la limite on peut imaginer, tenter de percevoir des choses. On se serait pas retrouvé comme on peut le faire maintenant, de manière aussi forte et puissante. C’est vrai.. C’est fort. C’est intense, j’adore ça. J’ai l’impression de revivre. D’avoir une nouvelle vie en quelque sorte. En quelques heures il me rend meilleure au fond et le voir à ma porte pour partir, encore… C’est trop horrible. J’ai envie de pleurer, de ne pas le regarder pour ne pas de nouveau lui faire coucou à travers un mur et lui dire avec grand espoir : on se reverra. Finalement il s’est rapproché de moi. J’ai pas bougé, mes yeux qui remontent vers les siens. On regard planté dans ses prunelles marrons glacées, il me prend contre lui et un frisson me parcours sans demander ma permission. La bouche entre ouverte, je le fixe, sans le lâcher d’une seconde, pas une. The girl of my dream, that’s you. Not another. Du français. Du français entre ses lèvres, du français dans mes oreilles. J’essais de puiser dans mes ressources niveau élémentaire dans cette langue difficile, mais si belle à la fois. Je crois que j’arrive à peine à percevoir une phrase potentiellement correcte. Un sourire se dessine sur mon visage alors que je ne sais même pas la traduction exact de ses mots. Dns un élan de spontanéité, ses lèvres se retrouvent contre les miennes, à danser la jambada. J’amplifies le mouvement de mon côté aussi, mon bras qui se sert autour de lui, ma main dans son torse. Nos deux corps assemblés par de simple lèvres, si délicates qui ont décidé de pratiquer le madison ensemble. Pourtant il s’est reculé, encore, il me laisse dans ma frustration la plus totale après ce doux baisé, si.. délicieux. Si étrange et si.. Parfait putain. See you soon babe. I promess. Becoz you are mine, totally mine. Moi aussi je pourrais lui parler avec mon accent sexy, si seulement l’accent écossais était un minimum sexy. Je l’ai regardé partir, fixement, sans bouger, sans parler. Un sourire sur les lèvres, une mine étonnée, incomprise. Je dois réfléchir à tout ça.. Comprendre.. Je dois réfléchir. Quand il a disparu derrière ma porte j’ai eu envie de m’écrouler au sol et de pleurer, toutes les larmes de mon corps oui.. C’est trop d’un coup là.
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