Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJE SUIS UNE MOULE, T'ES UN ROCHER | feat. skysey ♥
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JE SUIS UNE MOULE, T'ES UN ROCHER | feat. skysey ♥

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J’ai froid làààààà. Je grelotte. Mes dents cognent entre elles alors que mes jambes essayent de se poser l’une devant l’autres. J’vais partir d’ici, arrêter l’université. Partir en tournée internaaaationale. Faire connaître mon talent partout dans ce monde de merdeux. DE toute façons j’vais pas faire long feux ici alors.. Merci cher papa et chère maman. Me faire virer des Usa.. Quelle bonne idée. Ils ont pas compris que c’est un monstre qui va atterrir chez eux quand ils auront réussis leur coup. Un putain de monstre comme ils ont jamais vus. Et Dieu sait qu’ils ont connus Skyler très chiante quand j’étais gamine. J’avance à toute vitesse pour rentrer chez moi, au chaud dans cet appart que j’dois partager avec un type chelou et son singe. J’avance, j’avance. Un mec me coupe la route en me passant littéralement devant. Baam. Sans prévenir et en plus de ça ? AAAIE. Il vient de m’écraser le pied, sans respect ! Il se retourne à peine pour s’excuser et d’un tour de bras j’ai pas de mal à le choper par son écharpe pour le tirer vers moi. J’le pousse contre mur du bâtiment à côté, ce qui est relativement facile sachant qu’il ne se défend même pas à cause de l’effet de surprise. TES SERIEUX TOI ? Il me regarde, un peu choqué, sans vraiment comprendre pourquoi il vient de se faire agresser. Ne m’regarde pas comme ça putain. Tu m’passes devant, tu m’écrases le pied et tu te casses comme si c’était la fête. J’devrais t’empaler au bout d’une brochette !
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Je venais d’arriver dans cet endroit super intéressant et riche en émotion. J’avais rencontré des gens vraiment géniaux et j’aimais me sentir entouré pour une fois. Je savais que je n’allais plus déménager avant un moment, parce que mon père avait trouvé un boulot stable sur cinq ans et j’avais ma propre chambre à la Winthrop House, donc je ne serais en rien obligé de le suivre. Je trainais les pieds. Vraiment. Je trainais les pied parce que j’étais censé manger avec mon père dans près d’une heure et demi. Comment lui dire que j’avais d’autres choses à faire sans lui faire de la peine. Sérieusement, je ne savais pas comment expliquer à mon père que je l’aimais lorsqu’il était loin de moi, loin de ma vie. Je relevais les yeux et entendais un cri. Perçant comme cri. AAAIE. Je regarde en face de moi et je vois une fille avec des cheveux extrêmement courts presque agresser un homme complètement innocent. Je ne pouvais pas laisser la gente masculine se faire massacrer comme ça, je me devais d’intervenir. Oh oui. T’ES SÉRIEUX TOI ? Je m’approche à petite foulée et je la laisse faire son petit discours de haine à ce pauvre mec. J’avais deux solutions, et la première me paraissait la meilleure. Je posais une main sur l’épaule du gars. « Désolé mec, mais mon amie est pas d’humeur aujourd’hui, et elle ne le sera pas durant une semaine, alors je te propose de courir et de ne plus jamais croiser son chemin. » Je roulais des yeux genre, pour qu’il croit à ma gentillesse. Et avec ma main libre, j’attrapais celle de la demoiselle, la plaçant dans mon dos. « Cour. » Je le voyais détaler comme bip bip devant le coyote, et je terminais par me retourner pour être face à cette inconnue. Quand mes yeux venaient à croiser les siens, j’avais l’impression que mon cœur c’était complètement arrêté. Je n’y croyais pas. Skyler. Sky… Skyler. Je relâchais sa main, comme si ça ne pouvait pas être possible, j’étais complètement perturbé. Je ne savais pas comment prendre cette situation, je ne savais pas comment réagir face à ça. Qu’est-ce que je pouvais lui dire… Salut ? Non, elle me mettrait une claque. J’avais arrêté de lui parler quand j’avais dû déménager et franchement, c’était peut-être ma plus grosse erreur. Elle devait me détester maintenant, me haïr comme le pire des traitre, comme le pire des salauds.
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Je supporte pas ça.. Quoi ? J’en sais rien. Le pauvre type a rien fait en particulier pour mériter de se prendre limite un coup de boule en pleine gueule. J’suis à fleur de peau depuis quelques temps. Plus que d’habitude, et pas seulement parce que j’ai une hémorragie de vagin qui dure une semaine offerte par dame nature en personne. Le gars contre moi, j’le dévisage, lui fait de même, sans vraiment rien comprendre. Il essaye même pas d’en placer une, faut dire que se faire agresser d’la sorte par une meuf à la gueule d’un mec. C’est chaud. Désolé mec, mais mon amie est pas d’humeur aujourd’hui, et elle ne le sera pas durant une semaine, alors je te propose de courir et de ne plus jamais croiser son chemin. J’recule d’un pas en voyant le main de se type se poser sur l’épaule d’ma victime. Si victime, c’est le mot. J’ouvre de grands yeux sans vraiment chercher à comprendre. Enfin… Je suis sur le point de le pousser lui aussi, chacun son tour après tout, aujourd’hui ils ont décidés d’me faire chier. Il m’a tiré derrière lui en ordonnant au gars de partir. Ce qu’il fait bien volontiers. En courant le con ! Des tapettes ces mecs. Tous des p’tites bites. Je suis revenu en face de lui et là c’est.. le silence. Un gros blanc. Le vide.. Aucun de nous deux parle, on se dévisage, de bas en haut, dans tous les sens. J’crois même que ma buche rester entre ouverte quelques instants avant de me jeter sur lui, mes bras qui l’entourent, sans un mot. Je le sers fort contre moi. J’crois bien qu’une larme est sorti de sa p’tite poche d’émotion pour venir couler le long de ma joue et pour finir sa course sur le tissus de son manteau. T’es là.. J’trouve juste pas la force de dire quoi que ce soit de plus.
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Je ne savais pas quoi dire en remarquant que le furie du pauvre mec c’était Skyler, ma meilleure amie d’enfance. Cette fille, elle m’en avait fait voir de toutes les couleurs, mais jamais je ne pourrais oublier que bizarrement j’avais pleuré en la laissant derrière moi, en faisant mes bagages, en voyant que la voiture avait démarrée et que mon père n’allait pas l’arrêter en me disant que c’était une blague. La quitter, c’était vraiment le truc qui m’a le plus amoché, et pourtant je l’avais quand même fait. Je ne lui avais pas envoyé de messages durant tout ce temps, simplement parce que j’avais peur de ce qui se passerait. J’avais peur qu’elle me manque, j’avais peur d’avoir encore une fois mal au cœur. On se dévisageait. Et je remarquais qu’elle avait encore plus l’air surprise que moi, et ça me perturbait quand même, parce que ça devenait trop réel. J’aurais aimé que ce ne soit qu’un rêve. Un beau rêve. Enfin, peut-être que ce n’était pas elle, parce que quand je l’avais laissé, il me semblait qu’elle avait de longs cheveux bruns. Et non la même coupe que moi, blonde platine. Je savais que c’était elle, quand j’ai senti son corps contre le mien. Quand j’ai senti nos essences, notre chaleur se mélanger et créer quelque chose de si doux que j’aurais pu en oublier les années passées sans elle. Comme si… Elle avait toujours été là. T’es là… Je l’avais serré contre moi, exactement comme elle l’avait fait. Mais au son de sa voix, je me sentais un peu perdu sur tout ça. C’était trop étrange, je ne me comprenais plus, et j’avais l’impression que si on recommençait tout aujourd’hui, ce ne serait plus comme avant. Alors, oui, je l’avais lâché et je m’étais reculé de deux pas. « Salut… Ça va toi ? » J’étais un vrai boulet. Je n’avais pas su répondre à ce moment si merveilleux et je m’en voulais terriblement. Mais en même temps, c’était compréhensible. Mon cerveau tournait au ralenti.
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Ca doit être les hormones. Une connerie du genre. Pourtant j’suis pas enceinte ? Pourquoi c’est aussi violent là ! Violent dans le sens ou j’arrive à voir des gens pas là. C’est un peu comme un oasis dans le désert non ? J’suis tellement au bout d’ma vie que j’en vois la fin arriver. J’vois un bonheur effacé. Pourtant je décide d’enlacer ce bonheur qui me semble si étrange si.. Réel. C’est quelques moments de pur bonheur. Quelques chose que j’ai pas ressenti depuis quelques longues semaines, même, je pourrais parler en mois. Tellement que j’en pleure. Ca aussi ca doit être hormonale.. Hein ? Finalement notre étreinte s’achève. Il me desserre de contre lui pour se reculer et me demander si.. ca va ? J’lai dévisagé une nouvelle fois, de grands yeux ébahit. Mais.. C’est réel ? C’est vraiment lui en face de moi, c’est ça le truc ? J’ai monté mes mains dans mes cheveux, mon visage. Je me suis retournée pour lui faire dos quelques instants, le temps de réaliser que merde.. Il est là. Ici. Lui ! J’me suis retournée en essuyant vulgairement mes larmes. Vas te faire foutre. Mais vraiment. VAS TE FAIRE FOUTRE. Ca aussi c’est hormonal.
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Je ne suis pas un connard. Je n’aime pas faire espérer les gens que j’aime. Mais là, j’avais bien fait de me décoller, parce que je pouvais voir que… Oui, ce n’était pas un rêve, elle était réellement en face de moi, elle m’avait prise dans ses bras, elle m’avait même dévisagé quand je lui avais demandé si ça allait. Je crois bien qu’elle aussi était complètement dans le flou, mais total. Je vois ses mains se balader de son visage si bien dessiné à ses cheveux si court. C’était un choque pour l’un comme pour l’autre. Elle me donnait dos et je ne comprenais pas la situation, mais je lui laissais un temps d’adaptation pour ne pas la frustrer, pour ne pas la peiner. Elle se retourne et ce qui sort de sa bouche est du grand Skyler à l’état pur. Vas te faire foutre. Mais vraiment. VAS TE FAIRE FOUTRE. Je la regarde, et j’esquisse un sourire en coin en lançant mon regard vers la gauche avant de revenir sur elle. Bon, quand on était petit, elle ne disait pas autant de gros mots, mais elle avait toujours eu un caractère bien trempé, voir même… Un vrai caractère de merde en fait. « Si c’est ce que tu désires. » J’avais usé de ma voix de charmeur et je lui avais sourit avant de commencer mon ascension vers la droite. Elle allait me rattraper, elle n’allait pas me laisser filer comme ça. Pas maintenant, pas comme ça.
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LA DELICATESSE C’EST MAL. Non en vrai. Je sais pas.. Je sais pas comment réagir. Que dire.. Il s’est barré sans se retourner, sans nouvelles y’a des années et là.. J’le revois plus beau.. Plus grand.. Plus parfait quoi. Même sa voix pourrait m’emporter dans un autre monde. Mais merde.. J’peux pas être gentille avec lui. J’peux pas être comme une personne normale et lui demander comment ça va.. Comment, pourquoi il est là. J4suis pas assez normale pour faire comme ça. Si c’est ce que tu désires. Il s’est avancé pour continuer sa route, comme si de rien était. J’me mordille la lèvre. Ma conscience me dit d’ma barrer moi aussi et de faire comme toutes ces années. Tenter de l’oublier. Mais mon cœur décide autrement. J’accélère le pas pour le rejoindre et lui barrer le chemin pour qu’il s’arrête. Arrête. Arrête d’avancer, arrête de partir, de fuir comme tu l’as déjà fait. Tu veux pas encore m’abandonner non ? J’ai esquissé un léger sourire un peu gêné. Je sais pas. Je sais pas quoi dire, quoi faire. J’sais pas..
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La manipulation, ce n’est pas bien du tout. Mais je l’avais fait, pour voir si tout cela lui tenait vraiment à cœur. Pour voir si je n’étais qu’un souvenir où alors une personne bien présente dans ses souvenirs. Je ne voulais pas qu’elle m’oublie, parce que moi, je n’avais jamais réussi à l’oublier, même pas un peu. Ce n’est pas l’envie qui me manquait, parce qu’à chaque image d’elle, la culpabilité se rattachait et me dévorait de l’intérieur. J’entendais ses petits pas me rattraper et je faisais un sourire en coin quand elle arrivait finalement devant moi. Arrête. J’obéissais, parce que sinon j’avais peur qu’elle ne me plaque au sol et qu’elle me tabasse avant de faire un délit de fuite. Les phrases qui ont suivie m’ont littéralement brisées le cœur, car ça me visait personnellement et ce n’était même pas de ma faute si je l’avais laissé dans le passé. Ce n’était même pas volontaire. Je sais pas. Je sais pas quoi dire, quoi faire. J’sais pas… Je baissais les yeux avant de les ramener doucement vers elle. De faire nos regards se croiser et se fondre l’un dans l’autre. J’attrapais sa joue avec une de mes mains et je me rapprochais de son visage jusqu’à l’embrasser. Skyler. Ho ma douce Skyler. Je t’avais fait tant de mal. Il fallait au moins que je me rachète de mes fautes, que je me fasse pardonner le plus possible. J’étais tellement désolé. Ce baiser était si doux, si pur. Je ne voulais pas le rompre, mais il le fallait parce que sinon j’allais pleurer de tout ce que je lui avais fait. Je décollais nos lèvres en laissant nos fronts collés l’un sur l’autre. « Je suis navré Sky. Je n’ai jamais voulu t’abandonner. Et je ne veux plus avoir à le faire. » C’était complètement sincère.
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#cspotins

J’comprends rien. Sincèrement ? Je suis entrain de rêver ? Dans ce cas pincer moi, laissez moi me réveiller de cette souffrance horrible que de le revoir, de l’avoir pris dans mes bras.  Ca fait tellement longtemps que c’est pas arriver, tellement longtemps que j’ai pas pu le prendre contre moi, sentir sa peau contre la mienne , ou plutôt sentir son blouson contre le mien. Combien de fois j’en ai rêvé.. Combien de fois je me suis seulement réveillée un matin dans mon lit en comprenant que ce n’était qu’un simple rêve, ou même plutôt un cauchemar. Quand est ce que je me réveille ? J’accélère le pas pour le rejoindre pour pas qu’il reparte encore une fois. Je m’en voudrais trop de cette fois l’avoir laisser filer entre mes doigts. Je me mets devant lui, bien plus calme que tout à l’heure, sereine presque étrangement. Ses mains ont glissés le long du grain de peau velouté de mes joues. Son regard croisant le mien, tous deux au milieu du chemin –sisi Kendji Girac-. Il pose ses lèvres contre les miennes, mes yeux se ferment pour apprécier ce baisé. Ce moment si délicat qui vient de s’abattre sur nous. Mais c’est à la fois bien trop étrange.. Pourquoi est ce qu’il m’embrasse.. Pourquoi comme ça, maintenant ? Il met malheureusement fin à ce baisé, son front contre le mien. Je suis navré Sky. Je n’ai jamais voulu t’abandonner. Et je ne veux plus avoir à le faire. Tu pouvais m’envoyer un message, me parler, donner signe de vie.. Je me suis décollée de son front, sa main dans la mienne. Quand t’es parti, tout à changer. Les choses été pas pareils.. C’était vide, fade. Mais j’ai dû m’y faire je crois. J’ai lâché sa main pour reculer légèrement. Mais j’veux pas croire que t’es là., j’ne ai marre des faux espoirs.
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Oui, je n’avais pas dû faire ça, mais sentir ses lèvres contre les miennes me donnait vraiment l’impression d’être avec elle, de l’avoir à côté de moi. Ça m’enlevait le doute que tout ceci ne soit qu’un rêve, un rêve pour lequel je me serais réveillé en pleure et complètement désorienté. Je lui disais que j’étais désolé, et je le pensais véritablement. Mais ses mots me tuaient à petit feu, et je savais que j’avais eu tort. Je savais que je lui devais une explication. Et pas n’importe laquelle. La plus sincère de toutes mes explications. Mais, elle décollait son front et elle continuait de me torturé de me dire que quand je suis partit, je ne me suis pas seulement envolé pour une nouvelle contrée, j’ai aussi gâché son enfance, je l’ai affecté. Elle lâchait complètement ma main et au son de cette dernière phrase, une larme coulait sur ma joue. Je l’effaçais, j’en avais marre de pleurer pour elle aussi, mais ce n’était pas pour autant que j’aurais gâché ces retrouvailles. Elle me faisait me sentir plus bas que terre, elle me démolissait intérieurement. Pourtant, là c’était à mon tour de m’exprimer, et je n’allais pas la laisser me couper, je devais dire ce que j’avais sur le cœur. « En te parlant, qu’est-ce que ça aurait amené ? Plus de faux espoirs. On aurait gardé contact, d’accord. J’aurais été moins seul dans les autres villes, ok. Mais quoi ? J’étais pas sûr de te revoir, j’étais pas sûr d’un jour pouvoir te toucher de nouveau et tu voulais que je vives avec ça ? Avec ce manque dans mon cœur, avec ce manque dans ma vie ?! » Je passais ma main dans mes cheveux de nervosité. Puis ma main libre venait attrapé le paquet de cigarettes que j’avais dans la poche de mon blouson de cuir, j’en enlevais une et la collais sur mes lèvres. Elle ne parlait pas. Elle devait attendre la suite de ce que j’avais à dire. J’allumais cette bombe qui se trouvait entre mes lèvres et je tirais une latte dessus. Relâchant la fumée dans les airs. « Quand je suis partit, tu n’es pas la seule qui a souffert. Quand je suis partie, je ne me suis plus rapproché de personnes. J’étais le nouveau, le mec bizarre et riche. J’étais la pauvre tâche de toutes mes classes et le premier de la classe. Parce que … Je n’avais aucune vie sociale sérieusement. Autant j’ai affecté ta vie, tu as affecté la mienne. Je pensais à toi. Je t’ai écris un millier de messages que je n’ai jamais pu envoyer, parce que j’avais peur de ta réponse. Puis j’ai réussi à me convaincre que … Peut-être tu m’avais oublié et que tu vivais mieux sans moi. » Je tirais une nouvelle fois, relâchant en faisant quelque rond avant de la regarder dans les yeux. Je devais ressembler à un zombie sur le point de craquer. Mes yeux me brûlaient parce que j’avais envie de pleurer. Mais pleurer comme jamais. « J’en ai marre aussi des faux espoirs. »
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