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MARC&VICTORIA ▬ we never go out of style

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Le jour était arrivé, je franchissais enfin le pas de la vie en communauté. La réflexion avait été longue, mais l'envie de vivre dans un superbe bâtiment avec des gens qui me ressemblaient l'avait emporté sur mon habitude de vivre toujours seule. Tout était fin prêt ; j'avais libéré mon immense appartement du centre ville, et payé les déménageurs qui avaient fait tout le boulot pour moi. A vrai dire, il ne manquait plus qu'une seule chose : moi.

Je poussais la porte de la Eliot House, et montais les marches vers les étages, me dirigeant avec une certaine excitation vers la chambre qui m'avait été attribué. Grande, lumineuse, avec une architecture ancienne et classe qui me plaisait beaucoup. Un architecte d'intérieur avait refait la décoration pour moi, ce que je n'avais pas encore eu le temps de voir.

Je posais la main sur la poignée, et ouvrit la porte. La décoration était absolument parfaite, la pièce nettoyée, et toutes mes affaires rangées à leur place. Je n'en attendais pas moins, j'avais payé assez cher pour. Aucun imprévu jusque là, si ce n'est Marc, debout près de la fenêtre, surement venue me souhaiter la bienvenue. Hey ! Qu'est-ce que tu fais là ? Je lui lançais un sourire radieux, fermais la porte derrière moi et posais mon sac sur un fauteuil avant de me diriger vers lui, et de le prendre dans mes bras un instant.
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Aujourd'hui c'était un jour particulier, elle n'avait aucunement connaissance que j'étais dans sa nouvelle chambre étudiante, Victoria avait décidée de déménager, quitter le centre-ville pour venir chez la résidence de la EH, j'ai sauté de joie intérieurement quand je l'ai appris et ce ne fut pas par Victoria, disons que j'ai des relations. Je me trouvais prêt de la fenêtre, sa chambre était déjà aménagée et honnêtement elle avait fait le bon choix en venant vivre ici. Il ne me restait plus qu'à l'attendre, lorsque que j'entendis la porte s'ouvrir, je souriais toujours le regard porté sur l'extérieur à travers la fenêtre, je me retournais enfin pour voir qu'elle était radieuse, aussi belle que d'habitude « Je sais pas à ton avis ? » lui dis-je souriant la prenant dans mes bras après qu'elle est fermée la porte et qu'elle se soit débarrassée de son sac. « Je voulais être le premier à t’accueillir dans ton nouveau chez toi, tout simplement vicky. » je déposais mes lèvres sur le haut de son crâne, ne cessant cette étreinte avec elle.
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Me surprendre ainsi pour me souhaiter la bienvenue, c'était du Marc tout craché, et ça me faisait extrêmement plaisir. Si c'était ça la vie à l'Eliot House, je m'y plaisais déjà. Je sais pas à ton avis ? Mon sourire se fit plus grand. Je voulais être le premier à t’accueillir dans ton nouveau chez toi, tout simplement Vicky. Je le laissais m'embrasser le front, et soupirais et resserrant notre étreinte. Ma folle journée ralentissait soudainement dans les bras de cet ami qui m'était si cher. Je me sentais en sécurité avec lui, apaisée. Moi-même. C'était étrange, quand j'y pensais, nous ne nous connaissions pas depuis si longtemps que ça après tout. Mais voilà, tout avait toujours été d'une simplicité folle avec lui. Nous étions tellement similaires, comme s'il était une extension de ma personne, alors c'était tout naturellement que notre relation avait rapidement été très forte. Et c'était cette force, cette complicité et cette simplicité que j'aimais avec lui.

Moi qui voulait te faire une surprise je vois que tu es bien informé. Je me dégageais de son étreinte, fis demi-tour et enlevais ma veste cintrée, que je lâchais négligemment à son tour sur le fauteuil, dévoilant un petit pull tout simple et assez court. Ça me fait plaisir que tu sois là. je lui lançais un clin d'oeil, enlevais les bottes à hauts talons que j'avais supporté toute la journée et m'installais confortablement sur mon nouveau lit, face à lui. Alors, quelles sont les nouvelles de ton côté ? Raconte moi tout, j'ai besoin de divertissement. lâchais-je dans un rire.
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J'avais décidé de lui faire une petit surprise, j'avais appris qu'elle emménageait ici à la EH alors je l'avais devancé en entrant dans sa nouvelle chambre, ceux qu'elle avait payée pour aménager toutes ses affaires avaient fait du bon boulot sincèrement, elle allait se plaire ici, elle ne pouvait que se plaire de toute façon. J'étais là, debout devant la fenêtre de sa chambre, je l'attendais et je n'eu pas à attendre longtemps avant de l'entendre arriver, elle ouvrait la porte et comme je l'avais voulu, elle fut surprise de me trouver ici. Elle refermait la porte, se débarrassait de son sac à main et venait se blottir dans mes bras, ça faisait un moment que je ne l'avais pas serrer contre moi et ça faisait un bien fou. « Oui j'ai des relations qui m'ont dit qu'une ravissante blonde aménageait ses magnifiques fesses à la Eliot House, j'ai directement su que c'était toi alors je t'ai devancé. » lui dis-je en souriant alors qu'elle se retirant de mes bras pour enlever sa veste et se défaire de ses bottes à talons tout en me disant qu'elle était heureuse que je sois là « C'est réciproque Vicky. », elle allait s'asseoir sur son nouveau lit en me demandant ce qui'il y avait de nouveau pour moi. « Et bien j'ai la tête toujours autant plongés entre mes cours et mon boulot à l'hôpital et disons que côté privé, enfin niveau filles, c'est pas forcément le même délire. » dis-je lâchant un petit rire avant de la rejoindre sur son lit.
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Un petit sourire en coin se dessina sur mes lèvres lorsque j'entendis les paroles flatteuses de Marc. Peu importe la personne, il me perdait jamais une occasion de flirter avec qui que ce soit. Il répondit à ma question, et la réponse fut habituelle ; ses études, où il était d'un sérieux et d'une excellence sans faille, et sa vie privée, beaucoup -beaaaaaucoup- plus débridée. Tu ne changeras jamais ! dis-je dans un rire. Je le laissais s'installer à côté de moi sur le lit, ne bougeant pas d'un poil malgré la proximité. Sous cet angle, je voyais mieux encore son regard bleu et hypnotisant, les traits fins de son visage, et son sourire dévastateur. Que Marc ait un tel succès avec la gente féminine se comprenait facilement. Je veux dire, qui peux résister à un canon pareil, surtout sachant que son ambition, c'était d'être médecin ? La première fois que nous avions couché ensemble, c'était lorsqu'il revenait de l’hôpital. L'effet blouse blanche avait été aphrodisiaque. Je comprenais toutes ses filles qui bavaient devant lui, même si je ne pouvais m'empêcher d'avoir un semblant de pitié pour elles. Celles qui pensaient l'avoir pour elles toutes seules, qui tombaient amoureuses. Celles qui pensait compter. J'était moi aussi sensible à son charme, mais dans une dimension toute autre ; j'aimais la personne qu'il était avec une amitié sincère, et jamais aucun sentiment amoureux ne m'avait traversé l'esprit. Si nous étions intimes parfois, c'était dans purement physique. Parce qu'il était fait comme il était fait, que moi aussi, que nous avions nos désirs, et que la simplicité de notre relation rendait le tout extrêmement clair. Une sort du lot ou tu vagabondes toujours ? Je me demande si tu te fixeras, un jour. Nous étions au dessus de tout ça.

HJ:
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Je la flattais, en même temps pourquoi m'en priver ? Elle est très jolie, sa plastique fait rêver, puis une femme aime toujours qu'on la flatte donc je sais que son sourire est sincère quand elle entend ma flatterie, puis venant de moi, elle ne peut qu'aimer. Alors qu'elle voulait des nouvelles récentes sur ma vie depuis qu'on ne s'étaient pas vu, autrement dit depuis un petit temps en y pensant, je lui avouais que c'était toujours la même routine pour moi, mon boulot à l'hôpital et mes cours me prennent du temps fou, mais que niveau privée, surtout concernant les filles c'était une atout autre histoire. Je venais m'asseoir à côté d'elle sur son nouveau lit et je lâchais un petit rire à sa remarque « On est comme on est. » dis-je, craquant presque sur son petit sourire, oui entre Victoria et moi, c'est une amitié solide et franche, une amie proche qui compte tellement que je ne me vois pas exprimer une once de sentiments pour elle, jamais ça n'arrivera, notre amitié est tellement forte que je ne voudrais rien gâcher puis si on couchent ensemble, c'est uniquement pour le désir, le plaisir et le physique, on adorent ça, on profite juste et ça ne dérange aucun de nous deux. « Deux sortent du lot mais c'est compliqué et j'ai du mal encore à penser que je pourrais me caser, je sais que j'en suis capable mais il y a toujours ce bloacage, je préfère encore vagabonder que de m'engager. Et toi alors ? » à mon tour de savoir ce qu'il y avait de nouveau dans sa vie, à part son aménagement ici, ça j'étais au courant.
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Je savais que ça n'avait jamais été évident pour lui, les vraies relations, les histoires qui durent et l'amour exclusif. Alors quand il me dit que deux sortaient du lot, je savais que c'était déjà quelque chose. Et qu'il dise qu'il se sentait capable de se caser, alors ça, c'était encore mieux. Ah mais non, j'ai rien dis, y'a un peu de changement quand même. Dis-je en souriant d'un air taquin. Je les connais ? Si il n'y a que deux retenues sur ta flopée de conquêtes, j'veux tout savoir d'elle. Et voir si elles sont dignes de toi ! J'veux pas n'importe qui près de toi. Ça, c'était mon côté protectrice, et légèrement possessive, aussi. Je passais ma main sur la sienne, doucement. Et puis pour ce qui est de ton blocage, je lui sûre que ça ira tout seul quand la bonne se présentera. Il me demanda ensuite ce qu'il y avait de nouveau de mon côté, et c'était avec une pointe de déception que je lui annonçais qu'il n'y avait au fond pas grand chose à dire. Moi ? Rien. Absolument rien, c'est d'un ennui .. je bosse toujours autant, mais en dehors je t'avoue que ça reste calme .. et ça commence à peser. J'ai besoin d'une peu d'excitation dans ma vie là. Si jamais tu as quelqu'un à me présenter, je suis preneuse. dis-je avant de rire.
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J'étais vraiment heureux que Victoria rejoigne la Eliot House, enfin elle y était déjà, elle y a toujours été, j'entends par là de résider à la Eliot House. Alors que je lui disais que deux filles sortaient du lot et me faisait beaucoup réfléchir et penser, je la voyais sourire en jouan tles curieuses, je riais légèrement l'écoutant avant de répondre « T'es une amour mais j'ai pas envie d'en parler maintenant, je suis venu te voir pour me changer les idées. » c'était compliqué avec Mary Et Georgia, j'avais pas envie de me prendre la tête en lui parlant d'elles. Je sentais sa main se poser sur la mienne pour me dire que quand je trouverai la bonne, mon blocage partira, je souriais la regardant dans les yeux « Merci ma belle, ça me touche ce que tu me dis là. » lui sortais-je puis c'était à mon tour de prendre de ses nouvelles et elle m'annonçait rien de bien palpitant sauf peut-être le manque d'excitation qu'elle veut retrouver, je souriais lâchant au passage un petit rire « T'as sonnée à la bonne porte. » je me rapprochais d'elle pour lui murmurer à quelques centimètre de ses lèvres « je vais te faire retrouver ton excitation. » et je l'embrassais.
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Maintenant que j'y pensais, c'est vrai que ma vie était terriblement morne ces derniers temps. Il y avait eu le Spring Break, la week end avec les Cabot et les soirées Eliot certes, mais je m'y été comporté de façon exemplaire comme d'habitude, et hormis quelques rencontres, peu de choses s'étaient passées. Mon Dieu que c'était triste. Ça faisait combien de temps maintenant, que je n'avais pas été avec quelqu'un ? Le fait que je doive y réfléchir m'indiquait que ça faisait bien trop longtemps. Plongé dans mon travail et mes ambitions, j'avais laissé l'excitation de la vie étudiante me passer à côté, et il était grand temps que je remédie à ça.

Quelle chance que Marc soit du même avis. T'as sonné à la bonne porte. Je ris et me mordis la lèvre inférieure avec un regard rieur et taquin. Je sentis une certaine chaleur prendre place dans mon ventre et se diffuser dans tout mon corps lorsqu'il s'approcha de moi et m'embrassa. Ses lèvres étaient douces et son baiser tendre. Je l'embrassai à mon tour, lentement, profitant avec délectation de sa bouche parfaite. Ma main se posa sur son torse, et déboutonna sa chemise, bouton par bouton. Je me détachais quelques secondes de lui et murmurais Comme c'est gentil de ta part. avant de me rapprocher à nouveau, de plus en plus, et de le pousser légèrement jusqu'à ce qu'il tombe allongé sur le lit. Je fondis sur lui, et l'embrassais à nouveau, cette fois avec plus d'insistance, laissant grimper le désir.

Je savais où tout ça nous mènerait.
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A l'entendre, il n'y avait pas vraiment grand chose dans sa vie depuis le Spring Break, après tout la vie est faite ainsi, le calme plat comme des tas d'agitations mais pour elle c'était un calme plat qui commençait à durer. Je souriais en l'entendant me dire ensuite qu'elle voulait retrouver de l'excitation, elle voulait que je lui présente quelqu'un, elle allait pas être déçu, je m'approchais d'elle collant mes lèvres aux siennes pour un baiser de quelques secondes, elle semblait avoir compris où je voulais en venir, sentant sa langue répondre à la mienne, j'adorais le gout de son rouge à lèvres. « Je prend soin de toi c'est tout. » lui sortais-je une fois le contact rompu mais sentant sa main se poser sur mon torse, elle se rapprochait encore de moi pour me pousser en sorte que je sois allongé sur son lit et elle venait sur moi à califourchon, replantant ses lèvres contre les miennes pour un baiser plus passionnel. J'adorais et on savaient où tout ça allait mener, quoiqu'il en soit je profitais de ce baiser, dansant langoureusement avec sa langue.
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