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feat Marc ✖ La fin du Spring Break aurait également dû sonner la fin de mes excès de tout. Mais… En réalité, les choses n’avaient fait qu’empirer et les filles à la Cabot House, ne se doutait encore de rien ! Intérieurement, je hurlais qu’on me vienne en aide, mais la seule à m’entendre était la petite diablotine qui avait pris ma place.
Alors ce soir, comme tous les soirs de week end depuis...Eh bien depuis la fusillade en réalité ! J'étais persuadée que cela me passerai, je m'étais dit au départ que ce n'était qu'un moment un mauvais moment, qu'il me fallait du temps et de quoi me détendre. Il fallait croire que je m'étais trompée ! Quoi qu'il en soit ce soir, comme les autres soir je m'amusais et pour m'amuser Au Républik il y avait la barre de Pool-dance. J'étais dans un état second euphorique joyeuse, d'humeur festive et totalement désinhiber. Ce qui ne changeait pas vraiment de mes habitudes sauf que cet état ne prenait pas de fin et que je me plaisais à y rester parce que cela me permettait de m'évader !
La boite était noire de monde, comme toujours ! Un véritable plaisir ! Quant à moi, j'étais d'un robe bustier noire, moulante, sexy au diable et fichtrement courte. Je l'avais couverte d'une veste en jean que j'avais laissé posé quelque part, sur l'une des chaises du bar.
J'avais donc décidé d'investir la barre de pool-dance, ondulant et tournoyant autour avec grâce, sensualité et audace, tout en restant correct ! - Eh-eh j'avais une mini robe ! - Et la barre était légèrement en hauteur.
D'où j'étais, tous le monde pouvait me voir, et je pouvais voir tout le monde. Je reconnu donc le jeune homme de mon hallucination. Fronçant d'abord les sourcils, j'hésitais un moment, doutant que cela puisse être possible. Riant à ma bétise, je demandais de l'aide pour descendre de mon piédestal et me frayait un chemin pour le rejoindre. Je me disais aussi que cette hallucination était trop belle, trop douce et trop intense pour n'être qu'une hallucination.
Toi ? fis-je en m'accoudant au bar à côté de lui. Le mec de l'ascenseur ? C'est ça ? hésitais-je ensuite. Je n'en revenais pas qu'il soit américain. En fait si son accent n'était pas si trompeur, mais lui ici à Cambridge ! Impossible rougissante je poursuivais : C'est très embarrassant
Alors ce soir, comme tous les soirs de week end depuis...Eh bien depuis la fusillade en réalité ! J'étais persuadée que cela me passerai, je m'étais dit au départ que ce n'était qu'un moment un mauvais moment, qu'il me fallait du temps et de quoi me détendre. Il fallait croire que je m'étais trompée ! Quoi qu'il en soit ce soir, comme les autres soir je m'amusais et pour m'amuser Au Républik il y avait la barre de Pool-dance. J'étais dans un état second euphorique joyeuse, d'humeur festive et totalement désinhiber. Ce qui ne changeait pas vraiment de mes habitudes sauf que cet état ne prenait pas de fin et que je me plaisais à y rester parce que cela me permettait de m'évader !
La boite était noire de monde, comme toujours ! Un véritable plaisir ! Quant à moi, j'étais d'un robe bustier noire, moulante, sexy au diable et fichtrement courte. Je l'avais couverte d'une veste en jean que j'avais laissé posé quelque part, sur l'une des chaises du bar.
J'avais donc décidé d'investir la barre de pool-dance, ondulant et tournoyant autour avec grâce, sensualité et audace, tout en restant correct ! - Eh-eh j'avais une mini robe ! - Et la barre était légèrement en hauteur.
D'où j'étais, tous le monde pouvait me voir, et je pouvais voir tout le monde. Je reconnu donc le jeune homme de mon hallucination. Fronçant d'abord les sourcils, j'hésitais un moment, doutant que cela puisse être possible. Riant à ma bétise, je demandais de l'aide pour descendre de mon piédestal et me frayait un chemin pour le rejoindre. Je me disais aussi que cette hallucination était trop belle, trop douce et trop intense pour n'être qu'une hallucination.
Toi ? fis-je en m'accoudant au bar à côté de lui. Le mec de l'ascenseur ? C'est ça ? hésitais-je ensuite. Je n'en revenais pas qu'il soit américain. En fait si son accent n'était pas si trompeur, mais lui ici à Cambridge ! Impossible rougissante je poursuivais : C'est très embarrassant
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