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ROYLEE ⊹ heart attack

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Cela faisait une semaine que c'était fini avec Leevy et il y avait certaines affaires que je voulais récupérer. J'allais pas rester dans notre appartement si on était plus ensemble. Puis c'était Leevy qui s'était occupée du contrat et c'était elle qui payait la plus grosse partie donc j'allais prendre mes affaires et m'en aller comme un prince. J'allais surement la voir, ou avec un peu de chance elle n'était pas là, où elle dormait chez quelqu'un d'autre. Tant pis, j'avais quand même le droit de récupérer mes trucs en espérant qu'elle ne les avait pas brûlés d'ici là. Delilah m'avait proposé de m'accompagner mais c'était plus pour la narguer qu'autre chose et j'avais pas envie de mettre Leevy en colère. La mather était une vraie garce et je savais très bien que ça lui ferait très plaisir d'aller emmerder mon ex. Les filles pouvaient être de vraies vilaines entre elles. J'appréhendais de voir blondie, ça me stressait un peu, ça allait d'office me faire mal mais plus vite je récupère mes affaires, mieux je serais. Je garais ma voiture devant l'appartement et je soupirais avant d'entrer ma clé dans la serrure. Je fronçais les sourcils lorsque je n'arrivais pas à ouvrir la porte. Oh non, la garce. Elle n'a quand même pas changé les serrures? Je riais nerveusement puis je faisais le tour de l'appartement pour pouvoir rentrer par la fenêtre de notre chambre. C'était la seule fenêtre à ma hauteur. Tant pis si je casse la vitre, Leevy a plein de tunes pour la repayer, mais moi j'ai besoin de mes fringues, de mon rasoir électrique, de mes pantoufles, bref, de tout ça. Après avoir fissuré la fenêtre, j'ai réussi à l'ouvrir de l'intérieur pour que je puisse m'infiltrer chez moi. C'est malheureux à dire. Je ne perdais pas une seconde de plus pour ouvrir l'armoire et prendre mes vêtements pour les mettre sur le lit. Il me fallait un sac poubelle, ça sera plus simple pour transporter. Je me rendis donc à la cuisine en ne faisant pas trop attention au bordel qu'il y avait. Et c'est Leevy qui dit que je foutais toujours le bazar sans rien ranger, pff. Après avoir trouvé un sac, je passais par le salon pour récupérer le chargeur de mon téléphone mais après avoir fais deux pas, je m’immobilisais. C'était quoi ce cirque? Leevy était assise sur une chaise, attachée de la tête aux pieds avec un tissu qui couvrait sa bouche. Je tournais la tête à gauche puis à droite pour voir s'il n'y avait pas une autre surprise. Heureusement que j'étais là. Elle était attachée depuis combien de temps? C'était surement à cause de la mafia, ça m'étonnerait qu'elle s'amuse à s'attacher toute seule comme ça. J'avais envie de la laisser encore un peu comme ça, c'était pas sadique, mais au moins elle pouvait pas m'éviter comme la dernière fois. Tu pètes la forme à ce que je vois. J'suis venu chercher quelques affaires, oh et il faudra réparer la fenêtre de notre chambre. Il fallait bien que je trouve un moyen de rentrer puisque tu as changé les serrures et il est clair que tu n'aurais jamais su ouvrir la porte si j'avais appuyé sur la sonnette vu que tu es attachée. je souris de mon plus beau sourire, celui qu'elle aimait tant juste pour la provoquer. Oui j'étais pas du genre à mettre ma fierté de côté là. J'avais beau l'aimer, elle m'avait largué. Je passais pour le plus con.
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Pourquoi je me débrouillais toujours pour être dans une galère ? J'avais vraiment l'impression d'avoir la poisse. M'enfin comme on le dit souvent, on récolte toujours ce qu'on séme. Pourquoi j'dis ça ? Et bien parce que j'étais actuellement assise attachée à une chaise placée en pleins milieu du salon de mon appartement, oui pas très commun comme situation mais sans que je me rende compte de rien un homme âgé de la trentaine était entré afin de se venger du meurtre de sa femme que j'avais commis. Alors oui il n'était pas content, c'pour ça que je me reçu plusieurs coups de sa pars ayant le coin de ma lèvre en sang et quelques hématomes mais je savais que ça n'avait rien de grave ce qui m'énervait c'est de finir attachée. Ouais il m'avait fait mal mais je n'avais pas peur pour autant, cet homme ne connaissait rien à tout ça et dès qu'il avait vu une arme sur l'un de mes meubles il a foutu le camp. Je me sentais faible et stupide, c'était pas mon style de me laisser faire comme ça, mais en réalité la souffrance me bouffait de l'intérieur et c'est pour ça que je n'étais plus capable de rien. Ma souffrance elle était à cause de Royce, tout d'abord parce qu'il me manquait à un point inimaginable et que je m'étais bien rendu compte que la vie sans lui c'est difficile mais j'le déteste aussi tellement de s'être comporté aussi stupidement, si tout était terminé c'était de sa faute. Et du coup j'étais maintenant attaché tout en étant incapable d'attraper mon téléphone pour qu'on vienne m'aider, j'avais beau essayer de tirer sur les cordes mais rien n'y faisait, putain de merde. J'pouvais au pire des cas me laissais crever ici, j'en avais marre de cette vie de merde de toute façon. Et c'est sûrement une heure plus tard que j'entendis des bruits dans l'appartement, je fronçais alors mes sourcils me disant que l'homme était de retour, je l'avais peut-être sous estimé.  Mais en réalité non c'était pas lui, c'était bien pire que ça. J'venais de voir Royce entrer dans le salon et en le voyant je sentis mon cœur faire un énorme saut dans ma poitrine, non j'veux pas le voir, c'est pas possible. S j'voulais essayer de l'oublier la meilleure des choses à faire était de ne pas le voir mais là j'avais franchement besoin de son aide. M'enfin j'étais pas très certaine qu'il veuille m'aider vu ses paroles et en voyant son grand sourire. Petit con va. Et le pire de tout ça c'est que je pouvais même pas lui répondre avec le bandeau que j'avais sur les lèvres, et franchement me priver de parler ou de réponse à ses piques c'était juste de la torture pour une grande gueule comme moi. Je lâchais alors un long soupire en levant mes yeux au ciel, au final je préférais ignorer ses remarques et puis j'vois pas en quoi le changement de serrure peut le déranger, il a apparemment pas besoin de clés hein, c'est mieux de passer par la fenêtre. Je gigotais un peu pour lui faire comprendre de me détacher tout en faisant un regard du genre détache moi ou je te défonce. Ouais au départ j'avais un peu chaud au coeur de le revoir mais il suffisait que je le l'entende parler pour une nouvelle fois plus le supporter.
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Je m'attendais à voir Leevy, ça c'est sur. Mais pas comme ça. Elle était attachée comme dans les films mafieux. C'était vraiment ça. Et moi? J'étais le con qui la regardait sans rien faire. J'étais content de ne pas l'entendre me répondre agressivement. Pour une fois, c'est moi qui avais le dernier mot. Je voyais bien qu'elle voulait que je la détache, il suffisait de voir comme elle se trémoussait sur sa chaise. Je m'approchais d'elle en baissant la tête pour la regarder alors qu'elle était assise à lever ses yeux au ciel. J'ai jamais été fan du travail de Leevy, enfin si au tout début. Mais là, ça devenait exagéré. Si j'étais pas venu la secourir, qui l'aurait fait? Le chien? Pff il devait déjà être mort de faim. Je soupirais puis je lui enlevait le tissu qu'elle avait autour de la bouche pour qu'elle puisse parler. C'est tellement cool quand j'ai le dernier mot. Si tu cries je te le remets d'accord? j'allais pas le faire, mais au moins je lui faisais comprendre que j'étais pas là pour gueuler. Je fronçais les sourcils en voyant les coups qu'elle avait sur le visage. Putain. J'avais envie de tuer le mec qui avait fait ça. On frappe pas les femmes, on frappe pas ma Leevy. Je secouais la tête, assez en colère de voir qu'on s'en était pris physiquement à elle. Les enfoirés. râlai-je en retirant la corde qui retenait Leevy prisonnière. Je pris pas mal de temps à comprendre comment on défaisait le noeud mais j'ai finalement pris un couteau pour couper la corde. Voilà, Leevy était libre. Je la regardais pendant un instant, je savais pas trop comment me comporter avec elle, faire semblant ne servirait à rien. Tu sais te lever? T'irais pas à l'hosto? T'es quand même vachement amochée. mais ça restait la plus belle à mes yeux. Je sentis mon coeur se serrer lorsque je croisais son regard. J'avais juste envie de savoir ce qu'elle pensait au moment où elle me regardait. J'oubliais même qu'elle était enceinte. C'était surtout pour ça que je disais qu'elle devait aller se faire consulter, mais je pense qu'en parler aggravera les choses. Je devais plus lui dire ce qu'elle devait faire, j'étais plus rien à ses yeux de toute façon. Je me perdais même dans ses yeux et je pouvais pas m'empêcher de regarder ses lèvres. Je les désirais tant, je la voulais dans mes bras. Je clignais des yeux puis je reculais d'un pas. Ouais bon, je vais terminer ce que j'étais en train de faire. Je sais parfaitement que tu peux te gérer toute seule. roh la poisse. Je prenais le sac et je retournais dans la chambre pour rapidement ranger mes affaires. Je passais aussi par la salle de bain pour prendre mes trucs. Je devais pas rester aussi proche d'elle sinon je risquais de lui sauter dessus. Mon coeur battait fort et j'étais en transe.
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Sur le coup je ne savais pas vraiment si je préférais rester sur cette chaise pendant des jours ou que Royce débarque comme en se moment, parce que le revoir c'était juste pas bon du tout, parce que oui ce n'était pas comme si j'étais passée à autre chose et qu'il ne faisait plus partie de ma vie, donc évidemment ça faisait un mal de chien de le revoir. Vous allez me dire que c'est stupide de souffrir autant en sachant que c'est moi qui l'ai quitté mais j'ai pas pu accepter son comportement et je l'accepte toujours pas d'ailleurs. Je lui faisais ensuite vite comprendre de me détacher, puis j'avais un peu mal partout j'avais besoin de bouger parce que cette position n'était plus vraiment supportable. Mais pour le moment il se contenta seulement d'enlever le tissus de mes lèvres, je retrouvais déjà la parole c'était déjà bien et je ne pus d'ailleurs pas m'empêcher de lever une nouvelle fois mes yeux au ciel en entendant ses mots. J'ai pas franchement la force de te crier dessus là tu vois. Et j'pense que ça pouvait très bien se voir, de toute façon ça servait à quoi de m'énerver contre lui ? A rien, vu que c'était terminé et c'était plus mon devoir de lui donner des leçons comme j'ai pu le faire tellement de fois avant. Je ne lâchais pas mon regard de sa personne, j'veux pas l'avouer mais ça me fais du bien de le revoir, erk j'en ai presque envie de pleurer, hormones de merde. Merci. Dis-je simplement une fois qu'il me détacha pour ensuite me lever en me tenant à la chaise tout en faisant une grimace en essayant de bouger mes articulations, ok j'étais vraiment pas au top là. Non ça va c'est rien je vais m'en remettre. Dis-je en ne pouvant m'empêcher de quitter mon regard du siens, je savais pas trop quoi lui dire et ça se voyait vu que mes phrases étaient pas vraiment longue. Mais au final quand j'le vois s'inquiéter et que je vois son visage en face de moi j'ai juste envie de retrouver ses lèvres, parce que sans lui je me sentais clairement vide, comme si y'avait plus rien qui comptait. Mais je devais pas me dire ça, je devais être beaucoup plus forte que ça. En réalité j'me disais que je souffrais beaucoup plus de le revoir que de m'être fait frappé. J'étais totalement plongé dans son regard mais il me fit vite revenir sur terre en disant qu'il devait finir ce qu'il avait à faire pour ensuite rejoindre la chambre. Sur le coup je savais pas quoi faire, le mieux était sûrement de le laisser faire son affaire pour ensuite sortir mais j'y arriverais pas, j'écoutais juste mon sentiment pour finalement finir dans la chambre à le regarder prendre toute ses affaires. Putain de merde, ça fait mal. Tu sais tu peux rester ici, c'est autant chez toi que chez moi, j'ai pas envie de te virer de ton appart. Dis-je en le regardant en pinçant le côté de ma lèvre, mais fuck pourquoi je lui disais ça ? C'était stupide, alors qu'en réalité tout c'que je voulais c'est profiter des quelques minutes que j'ai pour le voir parce que je sais que ça n'arrivera plus avant un bon moment.
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Je ferais mieux de partir maintenant que je l'avais libérée sinon je sentais qu'on allait encore se disputer et souffrir encore plus. J'avais dit que je passais en coup de vent pour ne pas la croiser et à croire que le destin voulait qu'on se retrouve, j'étais tombée sur elle. Mais heureusement puisqu'elle était attachée sur une chaise à attendre que quelqu'un vienne la sauver. Je la regardais et j'en avais le coeur qui dansait. Il pouvait pas rester calme non? Il battait de plus en plus vite et si je continuais à me faire souffrance à l'admirer j'allais perdre tous mes moyens. Je préférais poser mon regard autre part et retourner à mes occupations. Leevy était une grande fille et la seule fois où elle a eu besoin de mon aide à cause de la mafia, c'était pour lui retirer une balle qu'elle avait dans l'épaule et dont elle en gardait toujours la cicatrice. Cette fois, elle avait l'air d'être capable de se gérer toute seule. Je mettais mes vêtements dans le sac et je prenais aussi ce que j'avais mis dans ma table de nuit. C'était dur de réaliser que je partais vraiment, que je devais de nouveau déménager à la Winthrop. Cet appartement on l'avait pris ensemble et je me souvenais encore très bien de ce jour où on avait mis les pieds ici pour la première fois. Trop de nostalgie, ça va pas. Je sursautais légèrement lorsque j'entendis la voix de Leevy me parler. Je ne l'avais pas vue. Je vérifiais sous mon oreiller que j'avais rien laissé puis je me redressais pour la regarder en souriant légèrement. Et dormir dans ce lit sans toi? j'hochais la tête négativement. Rien que cette chambre me faisait penser à elle et à tout ce qu'on a pu faire ensemble dans ce lit. Puis son odeur restera toujours sur les oreillers et la couverture, c'était beaucoup trop de souffrance. Non, je devais avancer, même si je reculais actuellement. Je soupirais puis je prenais le sac pour quitter la chambre mais arrivé à son hauteur, je m'arrêtais en la regardant. Non Royce, ne la regarde pas. Je me pinçais les lèvres, ça y est, mon coeur recommence et je tourne automatiquement la tête vers le sol. J'étais un mec ou pas? J'étais pas une mauviette non. Si je pouvais pas m'exprimer avec des mots, je pouvais au moins faire ça. Car mon coeur en avait envie, ça pourrait être ma dernière chance, la dernière chance de me rattraper et tant pis si elle me repoussera. Sinon je vais regretter de ne pas avoir tenté le tout pour le tout. J'avais remarqué qu'elle ne portait plus mon bracelet que je lui avais offert en Italie, mais j'espérais au moins qu'une part d'elle m'aimait toujours. Je laissais tomber le sac brusquement et je rapprochais dangereusement mon visage du sien pour finalement attraper sa mâchoire et poser mes lèvres sur les siennes. Avant qu'elle ne fasse quoi que ce soit, je l'immobilisais contre la porte en collant mon corps contre le sien pour qu'elle s'empêche de me repousser, pas avant que je lui fasse le plus beau baiser que je pouvais faire. Il était passionné, tendre mais triste à la fois, c'était comme si mes lèvres se pressaient fort sur les siennes dans l'espoir que personne ne puisse les décoller. Est-ce qu'elle ressentait que je mourrais d'amour pour elle? Je finis par rompre le baiser en venant poser mon front contre le sien, encore tout déboussolé de ce que je venais de faire. Je n'osais pas affronter son regard. J'avais juste besoin de l'embrasser pour lui montrer que je l'aimais toujours.
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En revoyant Royce tout c'que je voulais éprouver c'est de l'ignorance, j'voulais me dire que c'était mon ex et que ça n'allait pas plus loin que ça. Mais non, je ressentais tout le contraire. Le revoir ? je pensais pas que c'était quelque chose qui me ferait autant de mal, en réalité c'est en le perdant que je me rend compte de tout. Parce que oui quand on était encore ensemble je ne voyais que ses mauvais côtés et ses erreurs et maintenant qu'il était en face de moi je repensais à tous nos beaux moments, nos je t'aime et surtout je me rendais compte que j'avais toujours autant de sentiment pour lui et qu'en réalité je me sentais pas capable de passer à autre chose. Mais j'savais bien que tout ça je devais pas le penser, parce que ça n'était clairement plus possible, je le revoyais donc j'étais sur mon petit nuage alors forcement j'allais vite revenir à la réalité dans peu de temps. J'allais repenser à son manque de confiance, à ses paroles et à sa violence et si j'y repensais je comprenais beaucoup mieux pourquoi tout était terminé maintenant. Alors oui tout c'que je voulais c'est passé à autre chose et me sentir libre, parce que oui là j'avais clairement l'impression d'être emprisonnée par mes sentiments pour lui et que tant que ça sera le cas je ne pourrais plus jamais être heureuse. Il m'avait maintenant libéré, je le regardais, il me regardait, enfin bref ça se voyait qu'on s'aimait toujours autant mais on était bien trop con pour se l'avouer. Je m'étais alors lever assez difficilement ayant un peu mal partout, j'crois que je vais commencer à me calmer sur mon boulot parce que je vais finir par en crever vu que j'suis même plus capable de me défendre. Je le suivais alors du regard quand il partie dans la chambre, j'attendais un bon moment avant d'y aller mais je le fis quand même, c'était bête pour passer à autre chose je devais rester loin de lui mais j'en étais juste pas capable. Je lui avais dis de rester ici même si au fond de moi j'savais que c'était pas possible et que c'était pas non plus quelque chose que j'voulais. Mais dans notre situation c'était pas facile de trouver quoi dire. Je me contenta de rester silencieuse en entendant sa réponse, il pouvait pas me dire des trucs comme ça, j'avais juste envie de craquer et de le retrouver mais le voir faire ces affaires ça me bloque, parce qu'au fond j'me dis qu'il veut peut-être plus de moi, il a rien fais pour essayer d'arranger les choses, oui tout c'qu'il fait c'est prendre ses affaires pour partir vivre ailleurs et ne jamais revenir. Je le suivais alors du regard jusqu'à ce qu'il arriva en face de moi pour alors me bloquer contre la porte et venir m'embrasser. Putain de merde. Si j'étais intelligente je l'aurais repoussée, mais non je ne l'étais pas. Je prolongeais alors son baiser avec assez de tristesse tout en donnant autant d'amour dans se baiser que j'avais pu le donner avant, oui rien n'avait changé et retrouver ses lèvres c'était juste merveilleux, j'ai l'impression que tout allait mieux. Mais merde Leevy, t'es trop faible, même pas capable de rester forte et de l'ignorer. Nos fronts étaient maintenant collés l'un à l'autre et je décidais finalement d'écouter mon coeur et non ma raison. Je vins alors doucement prendre sa main pour la placer contre mon ventre alors que mon regard bleu se posa sur le siens. Dis moi que tu me crois, je t'en pris.. Dis-je d'un léger murmure, en réalité je lui disais ça parce que c'était un moyen de lui laisser une chance, c'était peut-être une connerie mais faut pas se mentir, j'étais amoureuse de Royce Magyar et ça restera sûrement toujours comme ça.
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Après l'avoir détachée, Leevy était venue me rejoindre dans la chambre alors que je rangeais mes affaires. Au début je ne l'avais pas remarquée, je pensais qu'elle serait plutôt en train de faire autre chose sauf venir près de moi. Je m'étais arrêtée à sa hauteur et je l'avais longtemps observer avant de tout abandonner et d'écouter mon coeur pour l'embrasser. J'en crevais d'envie depuis des jours. J'avais pris l'habitude de me réveiller le matin et de recevoir des petits bisous. J'avais aussi pris l'habitude de me laver avec elle, de manger avec elle, de tout faire. Mon quotidien c'était elle et maintenant j'étais destiné à vivre tout seul avec ma bande de pote. Rien ni personne ne pourra remplacer le vide que Leevy laissait dans ma vie. J'avais beau passer beaucoup de temps avec Delilah, ça ne me comblait jamais assez. Je voulais blondie, elle était rien qu'à moi, c'est tout. C'était dur de repenser à toutes les promesses qu'on s'était faites, je l'avais bien dit que les promesses ne tenaient jamais jusqu'au bout. Mon coeur arrêta de battre lorsque nos lèvres se séparèrent et même si on avait arrêté, j'avais encore envie d'elle. Ce n'était pas assez, je serais toujours assoiffé de son amour car oui j'avais bien ressenti tout l'amour et la passion qu'elle m'avait transmis dans le baiser partagé. Leevy attrapa ma main pour la poser sur son ventre et je fronçais doucement les sourcils. J'avais déjà touché le ventre d'une femme enceinte, mais toucher celui de mon ex, c'était autre chose. Surtout qu'elle n'arrêtait pas de dire que c'était mon bébé. Je déglutis difficilement et je fermais les yeux. J'étais sans doute le mec le plus têtu de la planète mais elle n'arrivera pas à me contredire. J'étais cassé, je pouvais pas lui faire un enfant, les médecins avaient été formels. Même si je l'aimais, je pouvais pas mentir en lui disant que je la croyais juste pour rester avec elle. Je retirai doucement ma main et je relevai mon regard dans le sien. J'aimerais te croire mais je n'y arrive pas. c'était surement pas ce qu'elle avait envie d'entendre. Je me mordis la joue et je m'abaissais pour reprendre mon sac d'affaires. Pourquoi tu ne me dis juste pas la vérité? T'as peur que ça me fasse mal? Car je te rassure, rien ne peut être plus douloureux que de t'avoir perdue. dis-je d'un ton amer en la dépassant pour me rendre près de la porte d'entrée. C'était horrible d'être dans le doute comme ça, car j'avais un tout petit doute depuis qu'Apple m'avait parlé et en vérité, c'était faisable que je sois infertile pendant un moment plutôt que stérile. Le stress et les médicaments ne faisaient pas bon ménage. J'espérais vraiment ne pas me tromper car si la jeune fille enceinte disait la vérité, j'allais le regretter toute ma vie d'avoir agis comme un con.
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Retrouver les lèvres de Royce c'était comme me retrouver moi-même, sans lui j'ai juste l'impression de me sentir vide, comme si la vie n'avait plus aucun intérêt et le retrouver c'est comme si les couleurs devenaient plus clair, tout devenait plus joyeux et surtout plus facile. Je savais que pendant ces jours séparaient j'avais passée du temps avec d'autre homme mais au final rien ne changera, personne ne pourra le remplacer, c'était juste l'homme de ma vie, c'était pas plus compliqué que ça. Mais j'avais tout gâchée en le quittant, mais comment je peux rester avec lui alors qu'il ne croit pas en son enfant ? Il m'a fais beaucoup trop souffrir et malgré que je l'aime plus que tout il aurait jamais dû se passer ce qu'il c'était passer. J'avais envie de succomber et de le laisser revenir, c'est pour ça que je pris sa main pour la placer sur mon ventre espérant l'entendre dire qu'il me croyait. Mais au final je n'avais pas besoin d'une réponse, je n'avais qu'à le regarder pour comprendre. Il ne me croyait toujours pas. Mais c'était pas possible, comment pouvait-il être aussi têtu ? Il n'essayait même pas d'être logique pendant rien qu'une seconde ? Je souffrais de notre séparation et ça se voyait, je ne me serais jamais mise aussi mal pour un mensonge. Je sentais ma gorge se serrer en entendant ses paroles alors que je restais sans bouger tout en laissant mon regard en face de moi après qu'il se soit éloigné sentant alors les larmes me venir aux yeux. Cette fois, c'est moi qui avait l'impression de me faire plaquer et je me rendais compte que si il ne me croyait pas maintenant et bien il ne me croirait sûrement jamais, alors oui tout était bien finis. C'est terminé, j'en ai marre de souffrir. Dis-je en passant rapidement à côté de lui pour récupérer mes clés de voiture et sortir assez rapidement de l'appartement en claquant la porte. Oui j'étais entrain de devenir folle parce que je me rendais compte qu'il n'y avait plus aucun espoir, une fois devant ma voiture je rentrais rapidement à l'intérieur pour alors démarrer à une assez grande vitesse, j'avais plus vraiment de contrôle sur moi, tout c'que j'étais capable de faire c'est pleurer encore et encore. Dans un moment comme ça j'avais l'impression de ressembler un peu à Royce quand il était dans ses crises de folie et tellement je ne contrôlais plus rien je fis dériver la voiture en direction d'un arbre et il ne fallut que quelques secondes pour qu'elle se crash contre celui-ci. J'avais fais exprès ? Peut-être, j'en savais rien en fait. Avec le choque ma tête avait frapper assez violemment contre le volent ce qui me causa un assez gros saignement en haut du front, j'ai seulement eu le temps de sentir la douleur pour ensuite m'endormir dans un noir profond. J'allais peut-être être libérée de toute cette souffrance avec la mort ?
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J'agissais comme un connard, comme toujours. Le pire, c'était que ça ne me dérangeait pas puisque j'ai toujours et comme ça, mais faut croire que mes petites copines en souffraient à chaque fois. Personne n'a dit que c'était facile de sortir avec Royce Magyar. Il fallait être forte, très forte au point de réussir à me foutre deux claques quand ça n'allait pas. Les filles trop calmes, ce n'était pas mon truc et c'était sans doute pour ça que ça n'avait pas fonctionné avec Kyla. Je l'avais trouvée ma femme parfaite, ma Leevy, mais on dirait bien que c'était impossible de la récupérer. Elle voulait vraiment que je reconnaisse cet enfant comme le mien? Non, cela ne marchera pas. Même si elle me fait les yeux doux ou qu'elle me pardonne pour la fausse demande en mariage, je pourrais quand même pas accepter cet enfant. Elle ne vivait pas dans mon corps, elle ne vivait pas avec ma tête et mon esprit tordu de médicaments. C'étai comme si j'étais incapable de faire des liens logiques, du coup, je ne cherchais pas à comprendre. Je préférais la facilité, de lui dire que je ne la croyais pas malgré mes quelques doutes. Je pouvais pas lui dire que je doutais car ça voulait dire que j'étais incertain et j'avais pas envie de lui donner des faux espoirs pour qu'elle souffre encore au final. Je laissais tomber mes bras le long de mon corps en soupirant en la voyant me dépasser pour s'en aller. La porte! criai-je pour qu'elle fasse gaffe car à force de la claquer si violemment elle allait la défoncer. Bref, ma remarque ne servait à rien puisqu'elle était déjà dans sa voiture lorsque je sortais avec mes affaires. Putain j'adorais les femmes, mais qu'est-ce qu'elles pouvaient être chiantes. Je jetai mon sac dans le coffre de ma voiture et avant que j'ouvre la portière, j'entendis un gros bruit pas très rassurant. Je cherchais du regard ce qu'il se passait et au loin je voyais une voiture qui était rentrée dans un arbre avec de la fumée qui sortait de partout. Je me suis mis à courir aussi vite que j'ai pu et je bousculais les curieux qui venaient voir. C'était la voiture de Leevy et j'avais peur de voir ce qu'il restait d'elle à l'intérieur. Là, je paniquais, je culpabilisais, j'étais vraiment mal. Poussez-vous, c'est ma copine! je me faufilais entre les passants et je posais ma main sur la vitre qui avait de nombreuses fissures, là où elle était couchée sur son siège avec du sang partout sur le visage. Appelez une ambulance bordel de merde vous attendez quoi? m'énervai-je sur les gens présents et aussi tôt plusieurs sortaient leur téléphone. Mes mains tremblaient tellement que j'étais pas capable de composer un numéro. J'avais envie de la toucher de la prendre dans mes bras mais c'était déconseillé de déplacer un blessé sans l'avis d'un ambulancier. Je passais une main sur mon visage lorsque je voyais qu'elle perdait beaucoup de sang entre ses jambes et je pensais directement à son bébé. Il ne faudrait pas qu'elle fasse une hémorragie. Tu vas t'en sortir hein? T'es Leevy Cartwith, tu vas pas nous abandonner comme ça... dis-je plus bas en espérant qu'elle m'entende dans son subconscient. Dix minutes plus tard, l'ambulance arriva et l'embarqua sur une civière et je l'accompagnais pour rouler jusqu'à l'hôpital le plus proche. Dans l'ambulance on me posait un tas de question et j'avais beaucoup de ma là y répondre, j'étais toujours paniqué.
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Je reconnaissais plus Royce, je savais qu'il pouvait être têtu mais vraiment autant que ça ? Moi tout c'que je lui demandais c'est qu'il croit en son enfant, parce que oui si il y croyait j'pouvais limite tout pardonner, parce que je l'aimais et que je m'étais vite rendu compte que vivre sans lui c'est quelque chose que j'suis pas capable de supporter. Mais l'entendre une nouvelle fois dire qu'il n'y croyait pas c'était beaucoup trop, c'est pour ça que je sortais rapidement de l'appartement en claquant la porte derrière moi pour récupérer ma voiture, quand j'étais partie je savais pas où je comptais aller ni c'que je comptais faire, mais en réalité aller au volant c'était juste le pire truc que j'pouvais faire vu que j'étais sérieusement entrain de péter un câble et je sais que dans ces moments là où j'ai juste l'impression que j'vais exploser et bien je suis capable du n'importe. Et le n'importe quoi était arrivé. J'avais diriger la voiture vers un arbre assez robuste et le choque fut assez terrible vu que la voiture était totalement détruite à l'avant et j'avais pris un assez coup ce qui me fit partir dans un coma assez lourd. Si j'étais encore réveillée je sentirais une douleur assez horrible vu que mon corps avait eu un assez gros impact et j'avais pas été épargnée. Pourquoi j'avais fais ça hein ? Parce que j'étais stupide, de foutre en l'air une vie simplement parce que je suis mal à cause d'un homme. Pff j'ai beau dire ça, mais l'homme c'est justement pas qu'un homme, c'est celui que j'aime et celui que je veux perdre pour rien au monde. Royce était arrivé ainsi que des ambulances mais j'étais incapable de me rendre compte de ce qu'il se passait, une fois l'ambulance à l'hôpital des médecins s'occupa directement de ma personne afin de découvrir les séquelles que j'avais ainsi que de me soigner. Et bien, j'ai vraiment l'impression qu'entre Royce et moi l'hôpital c'était limite notre sortie du mois, on y allait beaucoup trop mais en même temps c'est ça d'être des personnes avec une vie tout sauf commune. Et c'est après plusieurs heures qu'un médecin vint finalement voir Royce pour lui annoncer la situation. Je suis le médecin qui s'est occupé de mademoiselle Cartwith, après plusieurs heures d'opération elle s'en est finalement sortie et elle va bien. Le médecin fit une légère pause en sachant que la suite de ses propos risquaient d'être moins sympathique. Mademoiselle Cartwith était enceinte de jumeaux mais malheureusement l'accident à tuer l'un d'entre eux, on a tout essayer pour le sauver mais il est mort sur le coup. Je préfère que vous lui annonciez vous même c'est le genre d'annonce qui passe mieux quand c'est dis par un proche. Faites attention à elle, elle est très fragile physiquement et psychologiquement, si un nouveau choque lui arrive elle risque de perdre son autre enfant. Dit-il en affichant un visage assez désolé alors qu'il montrait à Royce où se trouvait ma chambre. De mon côté je venais à peine d'ouvrir les yeux, je me sentais un peu stone mais j'avais dû être droguée à la morphine donc, mais me souvenir de ce qu'il venait de se passer ? J'avais du mal.
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