Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJ10 et 11 ◄ Prionora ☼ Je ne te mérite pas.
Le deal à ne pas rater :
Pokémon Évolutions Prismatiques : coffrets et dates de sortie de ...
Voir le deal


J10 et 11 ◄ Prionora ☼ Je ne te mérite pas.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Soir 10 et matin du jour 11

   
Je ne te mérite pas.

   
Heures : 00h00 à 11h00
Lieu : Dans une soirée
Contexte : Léonora s'est rendue à une soirée dans la ville. Il y a un problème, Léo' est complètement bourrée et droguée. Elle veut rentrer dans sa chambre d'hôtel, mais un garçon l'en empêche. Elle tente de se débattre, mais il veut vraiment coucher avec elle alors que ce n'est pas réciproque, alors, il se montre violent. Priape débarque et défend Léonora. Le lendemain matin au réveil, Léo' et Priape s'expliquent pour de bons.
Vont-ils se réconcilier ou se haïr ?
Participants :  
Priape Zacharias et Léonora Aiyana Lockhart.


Ça passe, ou ça casse
Prionora

Depuis la dispute avec Priape, Léonora se demandait dans quel chemin, elle allait partir. Elle avait décidé de " guérir ", de prendre enfin ses médicaments précis par le médecin. La brune ne parlait plus à personne. Elle s'était renfermée sur elle-même pendant ces trois jours. Elle allait dans des soirées aux endroits mal fréquentés. La jeune femme ne pouvait plus réfléchir normalement parce qu'elle était groggy vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Elle dépassait les doses de ses anti-dépresseurs prescrit. Elle prenait même de la coke et buvait tous les soirs. Pour elle, elle s'amusait, alors qu'aux yeux des autres, elle se suicidait à petit feu. Léo se répétait sans cesse qu'elle n'avait plus rien à perdre. Était-ce le cas ? Avait-elle pensé une seule fois à sa soeur jumelle chérie, sa demie soeur, ses cousines et ses cousins ? Non, elle n'a pensé qu'à ses meilleurs amis qu'elle a perdu. Pour toujours ? Sans doute. Léonora était quelqu'un de détestable. Elle s'en fichait de tout et surtout de sa propre vie. Jusque-là, elle n'a fait que survivre. La preuve, lorsqu'elle était tombée enceinte, c'était une question de survie, tout comme la fois où elle a fait une fausse couche et a gagné une énorme balafre. Merci Calypso, c'était bien mérité pour Léonora. Elle n'avait qu'à faire attention où aller. Priape lui a bien fait comprendre qu'elle était égoïste. Ce fut pour cette raison qu'elle a décidé de s'éloigner de tous ses proches pour profiter de ses vacances. Mais en réalité, c'était une véritable torture...

Ce soir, Léonora se trouvait à une fête où elle " s'éclatait " à boire, discuter avec des personnes qu'elles ne connaissaient pas et à sniffer de la coke. Le garçon manqué était devenue une jeune femme sexy qui s'était habillée avec une robe rouge. On pouvait remarqué ses longues jambes et son décolleté plongeant. Le visage balafré de la brune était encadré par ses cheveux bruns qui partaient en cascade. Les invités de la soirée étaient vraiment dans le même état que Léonora. Certains se sont mis à se battre, danser, voir même coucher ensemble. C'était un véritable baisodrome, au point que Léo' s'est ennuyée en milieu de soirée. Un garçon lui parlait et était subjugué par ses jolies gambettes, mais elle n'entendait rien. Elle voulait rejoindre sa chambre d'hôtel pour retrouver ses vieux démons. Elle se leva et sortit de l'endroit où elle se trouvait sans dire un seul mot. Elle n'était plus elle-même. Ce n'était plus la fille forte, courageuse, qui portait des sweet-shirt et des baskets d'hommes. Non, cette Léonora était une jeune femme brisée par plusieurs événements de sa vie. Elle a tout gâché, comme d'habitude.
Clic. Clic. Clic. Ses talons tapaient sur le sol. Le monde tanguait légèrement, mais Léo' titubait sur les trottoirs. Léonora aperçut une tête qu'elle connaissait de vue, mais son cerveau était ailleurs pour qu'elle puisse se souvenir du nom. Elle allait à la rencontre de la personne qui s'avérait être un jeune homme. Serait-ce Priape ? Peut-être. Elle avançait un peu plus quand tout un coup, quelqu'un lui agrippa le bras. Les ongles de l'assaillant de Léonora s'enfonçaient dans sa peau. La brune se tourna vers la personne et reconnut rapidement le garçon qui matait ses jambes et lui parlait. Il commençait à se montrer violent.
- Tu restes avec moi ! Je veux bien t'essayer avec les autres, lui dit-il.
- Écoutes, je... Je suis pas..D'humeurs...Ok ? Laisses-moi, partir dans ma chambre...
Mais le garçon ne voulait rien savoir. Il l'attira vers lui et passa un bras autour de sa taille avant de déposer ses lèvres sur son cou bronzé. Elle portait un parfum qui sentait le pamplemousse. Elle sentait vraiment bon, mais les lèvres de la personne n'étaient pas très bonnes. Toutefois, elle tenta de se délivrer de ses bras qui la serrer de plus en plus. Elle flanqua quelques coups de poings. Habituellement, ça fait l'effet d'une casse où les vendeurs de magasins devaient ajouter le produit en Perte. Mais ce n'était pas le cas avec les effets de l'alcool et de la coke, ses gestes étaient lents et impuissants. Le garçon rit et la plaqua contre un bâtiment.
- Ce soir, tu es à moi !
- Non... Je n'ai pas...Envie... Lâches-moi ! LÂCHES-MOI PUTAIN !
Là, elle commençait à avoir peur et pas qu'un petit peu. Elle était vulnérable face à cet inconnu...

Emi Burton
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Depuis ma dispute avec Léo l’autre matin, on ne s’était pas donné de nouvelles. Non je n’allais pas m’excuser, me trainer à ses genoux pour qu’elle pardonne les mots durs que j’avais pu avoir. C’était elle qui avait commencé en se mêlant de mon histoire avec Talya, elle qui avait pris le parti de la blonde plutôt que le mien, elle encore qui avait dit qu’on n’était finalement que des étrangers l’un pour l’autre. Celle que je considérais comme l’une de mes meilleures amies me filait entre les doigts, et j’étais trop fier pour reconnaître mes tords et la récupérer… Cela allait-il signer la fin de notre amitié ? Ca me bouffait, parce qu’elle me manquait, parce que même si je faisais le fort j’avais besoin de la brune à mes côtés, surtout en ce moment. Mais voilà, elle n’était plus là, nous étions des inconnus l’un pour l’autre, alors cela me donnait une raison de plus pour boire.
C’est d’ailleurs en chemin vers le bar que mes pas croisèrent ceux de mon ancienne meilleure amie. Je n’étais qu’au début de ma tournée des bars, donc suffisament net pour remarquer qu’elle, elle ne l’était pas : démarque chancelante, tanguant dangereusement sur ses talons, me regardant avec un regard vide, pupille dilatée et yeux rougis… Léo, qu’as-tu fait ? Cette question traversa mon esprit un instant, mais je n’eus pas le temps de m’interroger beaucoup plus. Soudain, un type l’agrippa et la plaqua contre le mur. Je vis la jeune femme se débattre et tentait de se défendre. Je n’attendis pas davantage, fondant sur le mec, je le poussai, lui faisant lâcher son emprise sur la mather : « Lâche la, elle a dit ! » ordonnai-je sur un ton dur. L’attrapant par le col, ce fut mon tour de le coller sans ménagement contre le mur. Je brandis mon poing et m’exclamai sur un ton menaçant : « Maintenant tu dégages et tu t’approches plus d’elle ! » Puis l’idiot déguerpit, non sans m’avoir jeté un regard apeuré. La colère me rendait particulièrement impressionnant et puissant. Mais je retrouvais vite ma douceur en me tournant vers mon amie tremblante : « Ca va Léo ? C’est moi Priape, tout est fini, il est parti… » la rassurai-je alors.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ça passe, ou ça casse
Prionora


- Mais ça va te faire du bien, dit-il en caressant la cuisse de la jeune femme.
La brune essayait d'attraper ses mains, en vain. C'était impossible d'agripper les mains de cet homme pour l'empêcher de faire quoique ce soit. La brune poussa un long et profond soupire d'agacement avant de poser ses mains sur ses épaules et tenter de le repousser. Toujours pas. Il était trop fort. Il continuait à lui murmurer des mots étranges, grossiers, vulgaires même. Elle commençait réellement à avoir peur parce que ce n'était plus elle qui commandait. Habituellement, elle commandait tout : Son trio avec Priape et Chase, son amitié avec Romy, la seconde génération de sa famille, les études, son association, les opérations et pleins d'autres choses. Et voilà qu'en quelques mois...Piouf...Elle perdait le contrôle de tout. Même de son propre cerveau à cause des effets de produits illicites et de l'abus d'alcool. Tout circulait dans son sang et ce n'était pas ce qui lui donnait des super-pouvoirs. Après tout, l'alcool n'était pas Redbull ou encore la potion magique d'Astérix. Soudain, une personne débarqua de nulle part, attrapa le col de mon assaillant et le plaquer contre le mur. AH AH ! Ça fait quoi de se retrouver dans la même situation que la demoiselle en détresse hein ? L'ego diminue, n'est-ce pas ? Bien fait pour lui parce qu'il a eu peur de la personne qui lui hurlait dessus. Léonora plissa des paupières pour reconnaître son sauveur et elle tourna la tête vers le gros dur. Il a blêmit et a déguerpit. Il faisait moins le malin tiens ! D'ailleurs, Léonora était toute tremblante. Elle n'était plus capable de se défendre comme autrefois. Elle était devenue une vraie loque ! Le sauveur de la Mather se tourna vers elle s'approcha d'elle. Elle recula d'un pas et fronça les sourcils. Mais elle fut soulagée lorsqu'elle entendit le prénom de Priape. En revanche, elle se souvenait encore de ce qui s'est passé quelques jours avant, malgré le taux d'alcoolémie et de drogues dans le sang...
- Pourquoi...T'as...Fait... Ça ? Moi...Ça va...Je crois...Merci de...Merci..
Elle n'était pas du tout elle-même. De toutes manières, elle a changé depuis quelques jours et ce n'était pas bon du tout...

Emi Burton
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je m’approchais doucement de mon amie qui semblait dans un état second, et pas seulement à cause du choc de l’altercation qui venait d’avoir lieu. Plus je l’observais, et plus je me disais qu’elle n’était pas dans son état normal… Elle n’était pas juste saoule, j’en étais persuadé, et puis j’avais moi même consommé autrefois, alors je savais qu’elle avait pris quelque chose, ça se voyait clairement. Elle fit un pas en arrière, ne me reconnaissant d’abord pas, puis en entendant mon nom, elle finit par me demander la raison de mon intervention avant de finalement me remercier. « C’est normal Léo, j’allais pas te laisser dans une merde pas possible. » répondis-je avec douceur en faisant un nouveau pas prudent vers elle. « Qu’es-ce que tu fais ici au milieu de la nuit toute seule ? » m’inquiétai-je sans cesser de l’observer. Je voulais lui demander ce qu’elle avait pris, mais je ne voulais pas la braquer. J’oubliais pas que quelques jours auparavant on avait mis un terme à notre amitié, alors j’imagine que j’avais perdu le droit de poser ce genre de question et de me montrer aussi protecteur qu’avant avec elle. Je retirais ma veste en la voyant trembler et la lui posais délicatement sur ses épaules pour tenter de la réchauffer un peu, même si ses tremblements étaient surement dus à la peur qu’elle avait du ressentir devant ce mec plus qu’au froid. « Tu veux que je te raccompagne jusqu’à l’hôtel ? » Au moins comme ça, j’allais être sûr qu’elle ne ferait pas à nouveau une mauvaise rencontre.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ça passe, ou ça casse
Prionora


Le fait de revoir Priape lui procurait une joie immense. Malgré qu'elle ne se retrouve pas dans une situation normale, la présence du Dunster la réconfortait. On aurait dit que ça fait un siècle qu'elle ne l'avait pas revu. Mais Priape était bien là, en chair et en os. Le jeune homme lui répondit d'une voix douce à sa question. « J'allais pas te laisser dans une merde pas possible ». « Eh bien, tu aurais dû », voulut-elle répondre. Mais à la place de ça, elle haussa les épaules et passa ses bras autour de sa propre taille. Il s'avança vers elle, mais elle ne bougea pas. Elle se contenta de le regarder dans les yeux. Le monde était vraiment flou désormais. C'était dure de le regarder normalement. Priape lui demanda ce qu'elle faisait ici toute seule et elle eut un petit sourire angélique sur son visage balafré et maquillé. D'ailleurs, son eye-liner bon marché a bien coulé...Si Suzy savait, elle la réprimandait pour avoir prit un eye-liner bas de gamme.
- Oh tu sais, je m'amuse bien depuis qu'on ne se voit plus... En fait, je prends des pilules pour aller bien parce que, je ne sais pas si tu as remarqué, mais ça n'allait pas. Je ne voulais pas t'embêter avec mes problèmes, alors que toi, ça n'allait pas du tout. Alors, je n'ai pas voulu prendre le parti de Talya ou toi, parce que je vous comprend tous les deux. Mais je te remercie Apollon, tu m'as fait comprendre que je ne te méritais pas parce que je suis égoïste. Alors, j'ai décidé de traîner dans des quartiers branchés et essayer la poudre blanche. C'est trop bon ! En plus, le psy m'a donné des smarties pour que j'arrête de faire des cauchemars et que j'ai le sourire tous les jours. Tu vois, je vais bien maintenant. Merci de m'avoir sauvé parce que j'ai eu peur, tu le sais ? Et je ne t'en veux pas du tout de m'avoir dit tout ce que tu avais sur le cœur parce que tu es vraiment gentil Pripri. Et moi, je suis méchante et tu m'as bien puni. Je suis partie de la soirée parce que c'est devenu un bar à pute et je m'ennuyais !
Une moue s'afficha sur ses lèvres, avant qu'elle ne s'approche de lui en tenant fermement son sac à main. C'était comme si qu'elle voulait se blottir dans ses bras pour se rassurer qu'il était vraiment là...Comme avant. Mais plus rien n'était pareil aujourd'hui... Il retira sa veste pour la poser sur les épaules de Léonora. La demoiselle pencha la tête sur le côté et sourit au grec.
- Je ne suis plus punie ? Je ne mérite pas de fessée parce que j'ai été très très méchante ?

Emi Burton
[/quote]
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Léonora me regardait avec un regard absent, elle avait l’air exténuée, fragile et vulnérable, tremblotante dans l’obscurité de cette rue. Elle me répondit alors un long discours, des propos confus. Elle parla de Talya, d’amusement, de soirées… Je compris en gros qu’elle avait bel et bien consommé des psychotropes, probablement de la coke vu qu’elle évoqua de la poudre blanche, et puis comme elle parla d’un bar, je compris qu’elle avait également bu, et pas que des limonades… Le mélange des trois produits avait un effet détonnant sur elle. Je lui couvris les épaules et la brune me regarda alors en me demandant si sa punition était levée. Je secouais la tête, essayant de retenir un petit sourire amusé par ses propos. « J’ai jamais voulu te punir Léo… » Non, ce n’était pas une punition, juste de la bêtise et de l’entêtement. Voilà ce que ça donnait quand deux têtus tels que nous se prenaient la tête. Mais Léonora n’était pas dans son état normal, il fallait que je la ramène à l’hôtel. « T’es défoncée… Faut qu’on rentre. » C’était pas le moment de se lancer dans des explications ou même des excuses. « Allez viens par là. » fis-je en passant mon bras autour de son épaule pour la soutenir et l’aider à marcher jusqu’à l’hôtel qui par chance n’était pas très loin. Une chance aussi que j'avais, pour une fois, pas trop bu ce soir. Le retour à pied jusqu'à nos chambres aurait été cocasse et même très compliqué si j'avais été complètement bourré.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Priape annonça à Léonora qu'elle n'était pas punie. Un espoir vint remplir son cœur. Non, il n'était plus fâché après elle. Elle sourit d'un air angélique et elle faillit sauter dans ses bras. Mais ce n'était pas possible, elle devait se retenir. Alors, elle décida de l'écouter parler. Il constatait qu'elle était complètement défoncée avant de prendre la décision de partir. Léonora soupira légèrement. Bon, d'un côté, ce n'était pas si mal. Ils pouvaient sans doute renouer les liens. Mais comment faire ? Tout ce qu'elle disait était incompréhensible. Elle attrapa la main de Priape qui avait passé son bras autour de ses épaules.
- Alors t'es pu fâché après moi ? Demanda-t-elle d'une petite voix... Dis-moi, comme tu es un garçon. Tu me trouves comment physiquement ? Parce que t'es un dunster, et t'es gentil et t'es bien... Mais moi, je suis un monstre avec ça...
Elle montra sa cicatrice sur le visage avant de poser une main sur sa robe.
- Les mecs préfèrent mes jambes... Vivement que je rejoigne Romy... Ah oui... Je t'ai pas dis que j'ai su que Romy s'est suicidée la veille de notre arrivée ici ? Eh bah maintenant, tu le sais. Elle m'a laissé une lettre...Je veux la rejoindre, tu comprends ? Je ne veux plus t'embêter. Je ne veux plus embêter Chase qui essaye de me reparler... Je ne veux plus embêter mon papa et mes sœurs...Ah ouais, j'ai une nouvelle sœur qui s'appelle Wilemn-truc. Je ne sais pas quoi. Je ne sais pas à quoi elle ressemble, tu sais... C'est trop nul. En plus, j'ai pas d'amoureux ! Ça m'énerve que tout le monde ont des amoureux, des maris et des enfants ! Moi mon corps ne supporte rien... Mais sinon je vais vraiment bien et grâce aux médicament ! Je ne suis pas défoncée, je suis juste heureuse de vivre mes derniers instants sur Terre, tu comprends ? Tu sais que je t'aime beaucoup et que tu seras toujours mon genre de garçon ? Tout comme Chase, et Nathan Prescott ? Vous êtes les trois seuls...Et aussi Enzo, à me faire perdre la tête... Ouais, Enzo, c'est le type que j'ai dépucelé quand j'étais qu'une gosse ! Mais ça on s'en fout, je t'aime bien Priape et faut que tu te dises que je te mérite pas. T'es un ange et pas moi...Les anges traînent pas avec des démons de mon genre, c'est toxique Pripri...
Elle se mit sur la pointe des pieds et embrassa la joue de son meilleur ami. Bien sûre, elle ne faisait pas attention à ce qu'elle faisait. Elle était dans un état pitoyable que ça en devenait pathétique.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« J’suis plus fâché… Allez viens Léo, on avance… » essayai-je de la motiver. Léonora n’arrêtait pas de parler, des paroles toujours confuses… « T’es très belle et t’as rien d’un monstre je te l’assure. » Mais c'était peine perdue. Déjà que quand elle était à jeun, elle n'avait pas beaucoup confiance en elle... C'était dommage. Et c'était une magnifique jeune femme. Le mec qui venait de se frotter à elle l’avait très bien remarquer lui aussi. Dans sa petite robe, ma meilleure amie était particulièrement sexy, je pouvais pas la laisser là au milieu de la rue, à la merci d’autres pervers dans le genre de celui qui venait de s’en prendre à elle. J’écoutais son flot de paroles tout en galérant à essayer de lui faire mettre un pied devant l’autre. Fallait qu’on rentre, qu’elle soit dans sa chambre en sécurité. Parce que mine de rien, même si elle était défoncée, si elle pensait peut être pas complètement ce qu’elle disait, elle évoquait quand même son envie de mettre fin à ses jours… Ses idées suicidaires étaient elles uniquement dues à la prise de stupéfiants ? Je n’en étais pas sûr. J’allais pas la lâcher des yeux, c’était décidé. « Tu dis n’importe quoi Léo… » Genre elle aime bien Nathan Prescott ? Non mais ça aussi c’était vraiment des conneries. Ce type était l’archétype même du crétin fini… Voilà que finalement Léo me comparait à un ange. J’eus un petit rire, parce que même quand elle était déchirée, elle me faisait rire. « ‘Tain Léo avance, tu me bisouilleras quand on sera à l’intérieur petit démon ! » rétorquai-je avec humour en reprenant ses propres mots, après qu'elle ait embrassé ma joue. Je finis par l’attraper, glissant un bras sous ses genoux, l’autre derrière sa tête : en la portant ainsi dans mes bras, on avancerait plus vite. D’ailleurs, je ne tardais pas à voir la façade de l’hôtel. Je passais le hall, désert à cette heure et j’empruntais l’ascenseur. Je ne reposais finalement la brune qu’une fois devant la porte de sa chambre. « Mademoiselle Lockhart est arrivée à destination… » Je l’avais fait. Je l’avais ramenée. Mais maintenant, j’avais un peu peur de la laisser seule dans sa chambre. Et si elle faisait une connerie cette nuit ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Priape souhaitait réellement que Léonora entre à l'hôtel avec lui. Il fallait qu'elle mette un pas devant l'autre et pas que ce soit droit et non en zigzague. La brune entendit la phrase de Priape comme quoi, il n'était plus du tout fâché. Non, du touuuut. Elle pensait le contraire sur le coup. Elle savait fort bien que Priape était rancunier et pas qu'un petit peu, tout comme Chase. Elle ne parlait plus à ni l'un ni l'autre. Elle ne parlait à plus personne d'ailleurs. Sexe. Drogue. Alcool. Voilà, ce qui se passait dans sa vie. La jeune femme avait fait part à Priape, ses pensées suicidaires, le suicide de Romy, son ancienne attirance pour Nathan Prescott qui était revenu d'entre les morts, son avis sur son physique actuel et pleins d'autre chose. Lorsqu'elle entendit les réponses de Priape, elle se mit à souffler fortement comme une gamine boudeuse.
- C'est ça ! Tu vas me dire que je ressemble à une déesse comme Aphrodite ? C'est pas vrai ! Je ne suis pas belle...Je suis belle pour mourir ouais ! Cracha-t-elle à Priape en essayant de le repousser.
Mais elle ne pouvait plus le repousser puisqu'il la prise dans ses bras. Elle s'accrocha à son cou, par peur de tomber sur le sol. Les deux futurs médecins arrivèrent enfin dans l'hôtel où ils dormaient. Il n'y avait pas grand monde dans le hall. Hormis une femme de ménage et l'hôte de l'hôtel qui les regardaient. Léonora leur jeta un coup d'oeil avant de brandir un doigt d'honneur et de tirer la langue avec le fameux bruit « pfffffsss ». Cette fille était désespérante ! Ils montèrent les étages grâce à l'ascenseur et Léonora s'est mise à lire les chiffres à voix haute. Toujours aussi défoncée, elle regarda Priape qui l'emmenait devant sa porte. C'est vrai qu'il était beau et elle ne l'avait jamais nié. Elle souriait à Priape alors qu'il la déposa par terre. Elle passa une main dans ses cheveux pour mettre une mèche derrière son oreille. Ça y est ! Un remake de Lucie dans Narnia, l'Odyssée d'Aurore. Fallait vraiment qu'elle se réveille de son « rêve ». Priape était son meilleur ami et il la considérait comme une petite sœur, pas autre chose ! Mais non, à cet instant, elle le prenait bien plus qu'un ami ! Elle était bête et dévergondée ce soir ! Elle se tourna vers la porte et l'ouvrit avec la clé qu'elle a sortit de son sac. Elle se tourna vers Priape et se mit sur la pointe des pieds. Elle passa ses mains sur sa nuque et souris vaguement.
- Tu sais que tu es le plus bel homme du monde et le plus gentil ? Alors, tu as le droit à une récompense.
Elle déposa ses lèvres sur les siennes pour un baiser chaste avant qu'elle ne recule et se mit à rire comme une enfant. Pauvre fille va !
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Léonora se débatait, contestait chacune de mes paroles, elle avait trop de mal à avancer et je savais finalement plus quoi dire pour réussir à la faire regagner l’hôtel sans qu’elle ne se braque complètement. « Belle pour mourir, belle à mourir… C’est du pareil au même, de toute façon tu dis n'importe quoi. Allez viens par là. » fis-je finalement en l’attrapant pour la porter dans mes bras jusqu’à l’établissement qui nous hébergeait. On passa le hall et je crus que la brune allait à nouveau s’attirer des ennuis en faisant un geste grossier au personnel hôtelier, mais par chance, ils ne semblèrent par réagir. J’accélérais le pas, toujours avec la jeune femme dans mes bras, j’empruntai l’ascenseur et un petit rire s’échappa de mes lèvres alors que Léo comptait comme une gosse les étages qui défilaient. Je me moquais pas, j’avais été bourré quasiment tous les autres soirs du séjour alors j’étais mal placé pour faire la morale, c’était juste bizarre de la découvrir ainsi, elle était complètement différente dans cet état. Je finis par la redéposer au sol devant la porte de sa chambre. Elle me regardait étrangement, je remis ça sur le compte des produits qu’elle avait ingurgité cette nuit, je l’observais ouvrir la pièce avant de se retourner vers moi. Je me penchais vers elle, m’apprêtant à lui asséner des conseils, faire attention, se reposer, boire beaucoup d’eau etc etc, mais je n’eus le temps de rien dire. Se dressant sur la pointe de ses pieds, la brune plaça ses mains derrière ma nuque et se lança dans des compliments qui m’étonnèrent venant d’elle. Que je sois gentil à ses yeux, encore, on était amis avant notre dispute, mais qu’elle se lance dans des flatteries sur mon physique, c’était plus surprenant. Jamais on avait flirté Léo et moi, nous avions une véritable et simple amitié alors j’étais loin de soupçonner une quelconque attirance de la jeune femme à mon égard. Quand elle parla d’une récompenser, je lui jetai un regard interrogateur : « Mais de quoi tu… » Pas le temps de finir ma question que j’en eus la réponse. Ses lèvres se posèrent sur les miennes sans que je ne puisse effectuer de mouvements de recul. Léo était complètement défoncée, je ne voyais pas d’autres explications à ce comportement déroutant. J’attrapais doucement ses mains pour les retirer de ma nuque et fit un petit pas en arrière pour éviter qu’un nouveau rapprochement de ce type ne se produise. Alors oui, j’aurais pu profiter de la situation, Léo était séduisante, j’étais célibataire, elle aussi, et puis quelle meilleure vengeance que celle de coucher à mon tour avec l’une des mes meilleures amies ? Mais je n’étais pas ce genre de gars, je n’allais pas profité de Léo, je n’allais pas gâcher notre amitié, je tenais trop à elle pour m’aventurer sur ce terrain là. « Tu devrais aller te coucher au lieu de faire des choses que tu vas regretter demain matin au réveil… » conseillai-je à mon amie.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)