elle panique ₪ HARDIN

elle panique

HARDIVE

Son regard perce le tient. Il s’y plante, il y prends racine. C’est.. déstabilisant. Oh, c’est toi qui est censé le déstabiliser, pas l’inverse. C’est toi qui a la situation entre les mains.. Bien que là, tu ais l’horrible sensation de ne rien contrôler. Fais tes preuves, Olive. Tu appuies légèrement tes doigts sur son entrejambe, passant ta langue entre tes lèvres pour les humecter. Cet endroit est un peu trop.. public. Du moins, pour ce que j’ai en tête. murmures-tu en approchant dangereusement ta tête de celle du jeune homme. Tu mordilles délicieusement la lèvre inférieure d’Hardin. Paye, j’t’attends dehors. dis-tu en quittant le jeune homme pour aller rejoindre l’air frais qui te fouette le visage dehors.
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HARDIVE

La soirée prenait un tournant que je n'avais pas imaginé en entrant ici et encore moins avec elle. C'était étonnant, mais pas désagréable sincèrement. Je lui disais clairement de faire ses preuves, je voulais voir ça. Je le sentais faire pression sur mon entrejambe et je savais que j'pourrais lui céder si elle continuait sur cette voie, à un moment donné. Cet endroit est un peu trop.. public. Du moins, pour ce que j’ai en tête. Je hausse les sourcils quand s'approche de moi et mordille ma lèvre, intrigué et impatient de découvrir ce qu'elle planifie. Je baisse les yeux en souriant, je suis en train de gagner on dirait. Paye, j’t’attends dehors. Et je la vois s'éloigner pour sortir du bar. Je paye le barman, en sachant moi même plus trop ce que j'ai pris, enfile ma veste et quitte à mon tour le bar. Il fait assez froid mais c'est supportable. J'aperçois Olive plus loin, je la rejoins, m'approchant lentement près d'elle. Tu te défiles pas. Tu commences petit à petit à remonter dans mon estime.. dis-je en atteignant sa hauteur en me mordant la lèvre inférieur, sans la quitter du regard une nouvelle fois.
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HARDIVE

Il te rejoint enfin à l’extérieur. T’aurais bien dit « devant le bar » mais tu tenais tellement difficilement sur tes deux jambes que le vent qui soufflait te faisait perdre ton équilibre et tu avais considérablement reculé. Soit. Tu te défiles pas. Tu commences petit à petit à remonter dans mon estime.. Tant mieux. C’était un peu le but de l’opération aussi. Tout ça pour rien, ça t’aurais incroyablement fait chier. Surtout que.. non, n’y pense même pas Olive. Ce soir, on fait un saut dans le temps. Hm, t’essayes de réfléchir un instant mais ça semble difficile parce que ton cerveau est plus irrigué par l’alcool que par son sang à l’heure actuelle. Une Shark ne se défile jamais devant rien putain, rentre toi ça dans la tête. dis-tu en repensant à ce qu’il avait dit juste avant. Oui, il t’avait fallu un moment pour répondre. J’espère que t’as encore des thunes ? Ce soir, tu m’emmènes à l’hôtel. dis-tu en le tirant par le bras vers l’hôtel le plus proche. Il était hors de question que tu le ramènes chez Skyler, ni à la MH, ni chez toi. Oh lààà, non, surtout pas chez toi. Et chez lui ? Non, tu n’avais pas envie. L’hôtel, c’est cool.
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J'avais donc rejoint Olive plus loin à l'extérieur du bar et visiblement elle ne s'était pas défilé, c'était un bon point à noter. A croire que je l'évaluais ce soir, c'était drôle. Une Shark ne se défile jamais devant rien putain, rentre toi ça dans la tête. J'avais l'impression de m'entendre parler là, c'était drôle ça aussi. Ouais ouais mais tu sais je crois que c'que je vois moi. Je fais confiance à personne avant d'avoir des preuves, et ça marchait pareil avec elle ce soir. J’espère que t’as encore des thunes ? Ce soir, tu m’emmènes à l’hôtel. Je me stoppais net même si elle me tirait par le bras, j'avais plus de force qu'elle. A l'hôtel ? T'es sérieuse là ? J'habite juste à côté. J'avais pas envie d'aller dans un hôtel, mais j'voyais qu'elle risquait pas de renoncer de si tôt.
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Ouais ouais mais tu sais je crois que c'que je vois moi. Evidemment. Bon, tu décrètes que ce soir vous irez régler votre affaire à l’hôtel. T’as envie d’un terrain neutre, et l’hôtel te semble une bonne idée. Le tirant vers celui le plus proche, il s’arrête net, manquant de te faire tomber par terre. Putain, le con. Il avait pas compris que tu tenais difficilement sur tes pieds ? A l'hôtel ? T'es sérieuse là ? J'habite juste à côté. Tu clignes des yeux trois fois, cherchant le rapport. C’est bon, tu l’as. Mais t’en a rien à foutre qu’il habite juste à côté. Alors rentre chez toi tout seul et fous toi là derrière l’oreiller ! Et tu commences à repartir en direction de l’hôtel, t’arrêtant quelques mètres plus loin contre une vitrine. Tes chaussures te font mal aux pieds. Tu ne mets jamais de talons, pourquoi diable t’étais tu enquiquiner à en mettre ce soir ? Et pourquoi Hardin mettait tant de temps à te suivre ? Tu sors tes pieds de tes escarpins, les laisses sur place, et fait demi tour pour retourner voir Hardin. Sans dire un mot, tu l’attrapes par les épaules, le plaque doucement contre le mur de brique et vient capturer ses lèvres profitant du court instant où il les entrouvres pour glisser ta langue dans sa bouche. Putain.
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J'arrivais pas à trouver l’intérêt qu'elle trouvait dans le fait d'aller dans un hôtel alors que mon appart se situait juste à côté d'ici. De un c'était plus grand, plus confortable et gratuit aussi. Bon j'me fiche de la dernière partie après tout j'ai de l'argent et pas qu'un peu alors bon. Je restais quand même sur mes positions un instant. Alors rentre chez toi tout seul et fous toi là derrière l’oreiller ! Je rigolais un peu à sa remarque, la voyant s'éloigner devant en retirant ses chaussures à talons. Ca devait faire sacrément mal ces conneries. Soudain, elle revient jusque vers moi et m'embrasse d'un coup sans crier gare, en m'emportant contre le mur de brique. Je me laissais faire, lui rendant son baiser. Nos langues s’entremêlèrent alors plus rapidement. Je stoppais le baiser en mordillant sa lèvre inférieur et en reprenant mon souffle. Ca va t'a gagné, t'auras ton hôtel Shark. Suis moi, et oublie pas tes chaussures, ça serait con de les laisser là. Je trouvais donc un hôtel, où on demandait une chambre. Pas un hôtel merdique, en même temps on se trouvait sur Inman Square alors. C'est la numéro 322, et nous nous trouvions dans le couloir indiqué par l'accueil.
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Sa langue s’emmêle avec la tienne et il met finalement fin au baiser. Qu’il essaie une seule fois de dire qu’il n’a pas aimé et tu lui bottes le derrière. Ca va t'a gagné, t'auras ton hôtel Shark. Suis moi, et oublie pas tes chaussures, ça serait con de les laisser là. Un sourire en coin sur les lèvres : une fois de plus, t’es fière de toi, tu as obtenue ce que tu désirais. Ca semble tellement plus simple avec l’alcool. Vous partez donc tous les deux en direction de l’hôtel – tu n’oublies pas de récupérer tes chaussures lorsque vous passez devant – et tu laisses Hardin réserver la chambre. 322. Tu t’étais rendue compte qu’en sortant de l’ascenseur que t’aurais pu lui donner un petit avant goût. Mais trop tard. Les idées ne suivent pas bien le temps qui passe, c’est pas tout simple. Bon, Hardin. A moins que tu ne veuilles me baiser sur cette moquette, dépêche toi d’ouvrir cette porte. souffles-tu contre son oreille, juste derrière lui. Tu avais même du te mettre sur la pointe des pieds. Enfin la porte s’ouvre et vous entrez dans la chambre. Tu la refermes, t’adossant contre celle-ci. Bien, j’imagine qu’on va pouvoir passer aux choses sérieuses. dis-tu en te débarrassant de ta veste que tu croches sur l’un des portant et en jetant tes chaussures contre le mur.
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HARDIVE

Une fois arrivé jusqu'au couloir indiqué, je me mis à chercher la chambre 322. Rapidement chose faite, je sorti la carte de ma poche, sentant Olive derrière moi. Bon, Hardin. A moins que tu ne veuilles me baiser sur cette moquette, dépêche toi d’ouvrir cette porte. Une fois encore je souris à ses mots. Je pourrais retirer sur le champ le fait d'avoir dit qu'elle n'était pas fun tout à l'heure. Mais bon, je ne le ferais pas. J'ouvrais alors la porte, pénétrant à l'intérieur, la jeune femme derrière moi. C'était plutôt grand, il y avait un seul grand lit, un grand miroir, une grosse armoire et une salle de bain. Les lumières étaient toujours éteintes et j'avais comme l'impression qu'elles risquaient de le rester. Bien, j’imagine qu’on va pouvoir passer aux choses sérieuses. Je me retournais vers la blonde, qui était adossée contre la porte. Elle venait de retirer sa veste et de jeter ses talons. Je le regardais de haut en bas, me laissant à penser que oui, elle était sexy. Je m'approchais d'elle, retirant ma veste au fur et à mesure, sans quitter ses yeux. Arrivé à sa hauteur, je passais mes doigts dans son cou, pour y dégager une mèche de cheveu. J'attends. déclarais-je, un sourire en coin. Je la laissais faire pour le moment, je prendrais les choses en main un peu plus tard, quand le jeu sera encore plus drôle.
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HARDIVE

Le contact de ses doigts sur ta peau t’électrise, t’enflamme, tout doucement. Comme une braise sur laquelle on souffle tout doucement pour la faire partir. C’est le début. J'attends. Tu passes à côté de lui sans lui adresser un regard et t’assoie sur le bord du lit, décidant encore ce que t’allais faire. Ta tête avait du mal à réfléchir et ton corps avait envie de tout faire en même temps ce qui était.. impossible. Finalement, tu optes pour du basique. Vous innoverez après, selon vos envies. Tu te relèves et pousse le garçon sur le lit si bien bordé, venant te mettre à califourchon sur lui. Tes mains glissent sous le tissu de ton tee-shirt, redécouvrant la forme de son torse. Miam. Finalement, elles redescendent et s’attardent sur le bouton et la fermeture Eclair de son jean. Oui, toi, tu vas droit au but. C’est souvent comme ça quand t’es bourrée, mais c’est aussi comme ça que l’on s’éclate le plus. De deux doigts habiles, tu fais sauter le bouton et dézippe la fermeture, glissant ta main sur la bosse qui s’était formée dans son boxer. J’ai plutôt l’impression que je t’excite pour une fille.. éteinte. souris-tu avant de l’embrasser.
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