Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityI fucking fuck you ✱ Naline - Page 2
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I fucking fuck you ✱ Naline

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C'était pas comme ça que tu devais agir. Pas avec ton copain bordel. Tu comprenais vraiment pas pourquoi tu faisais ça. Au final, c'était toi qui l'avait choisit. T'avais voulu être avec lui et tu ne regrettais pas ton choix alors fallait que t'arrête de t'éloigner de lui comme ça alors que vous veniez à peine de vous remettre ensemble. Fermant les yeux, t'essayais vraiment de trouver ce qui pourrait tout arranger sans pour autant avoir la solution. Et Nate venait te rejoindre attrapant ta main par la même occasion. Tu resserais tes doigts autour de sien avant de te tourner légèrement vers lui. « Ouais.. » C'était bizarre de parler de ça avec lui, non ? Et puis peut être qu'il pouvait se poser des questions du coup. Sauf que ce n'était pas ce que tu voulais. Bien au contraire. « Mais ça change rien. Je t'aime et je veux être avec toi. Juste avec toi. » T'avais fais ton choix. C'était lui et pas un autre et même si Aaron était toujours là, tu finirais par réussir à l'oublier. Pas vrai ?
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C'est bien ce qui me semblait. Je la connais depuis le temps, et j'arrive presque tout le temps à cerner ce qui va et ce qui ne va pas. Là, en l'occurrence, ce n'est pas la joie. Évidemment, je suis bien moins triste qu'il y a quelques semaines, quand je me sentais seul et abandonné, mais ce n'est pas encore ça. Je serais complètement épanoui quand Charline le sera également. Je l'aime, et je veux juste qu'elle soit heureuse, et que nous puissions être comblés l'un comme, l'autre. J'esquisse un sourire quand elle me dit m'aimer aussi, et bien qu'elle me l'ai déjà dit plusieurs fois, je ne me lasse pas d'entendre ces mots. C'est rare les déclarations venant de Charline, on se ressemble assez sur ce point d'ailleurs. Je me tourne légèrement vers elle, prenant son visage entre mes mains, la regardant avec amour. « Qu'est-ce que je t'aime. » dis-je à mon tour avant de venir prendre possession de ses lèvres, le coeur battant. J'ai l'impression d'être un ado vivant son premier amour.
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De toute manière, t'avais pas tellement le choix. Tu ne pouvais pas continuer comme ça à ressentir des choses pour deux personnes. Il fallait que ça s'arrête parce que c'était en train de te détruire toi tout comme ça faisait du mal à Nate. Et tu savais très bien que c'était le cas même s'il essayait de faire bonne figure vis à vis de ça. Tu continuais à le regarder alors qu'il plaçait ses mains de part et d'autre de ton visage te disant qu'il t'aimais. Et tu ne pouvais pas t'empêcher de sourire parce qu'il y avait rien de plus merveilleux que d'entendre qu'on était aimé en retour. Ses lèvres contre les tiennes t'apportais la paix dont t'avais besoin à ce moment précis et tu posais tes mains sur ses joues lui rendant son baiser avec toute la passion dont tu pouvais faire preuve. T'avais besoin de lui, c'était dingue. Tu pouvais pas imaginer qu'il s'en aille. Absolument pas. « Je t'aime, je t'aime, je t'aime. » Tu murmurais entre deux baisers.
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Je voulais la rendre heureuse et épanouie, et j'espère vraiment que j'allais y parvenir. C'est vrai que notre passé est quelque peu houleux, mais depuis que les sentiments se sont installés réciproquement, c'est plus pareil. Bien entendu, on finit toujours pas se taquiner et ça peut même péter parfois, mais on s'aime. Et ça, ça change tout. Si j'avais cru que je tomberai amoureux de Charline un jour ? Jamais. Mais l'amour ne prévient pas comme on dit. Alors que je l'embrasse tendrement, comme pour sceller mes paroles, la jeune femme me dit une nouvelle fois qu'elle m'aime. Décidément, elle est d'humeur adorable ce soir, ça doit être les hormones. J'esquisse un sourire suite à ses paroles, rivant mes yeux vers son ventre avant de les reporter dans le regard de Charline. « Comment ça se passe pour.. la grossesse ? T'es pas trop fatiguée ? » Ouais, j'ai encore un peu de mal à me rendre compte qu'elle est enceinte. En fait, tant que je ne saurais pas qui est le père, je pense que je ne pourrais pas me réjouir. Il y a une chance sur deux, et autant dire que c'est atroce d'être dans une telle situation.
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Ouais, ce n'était pas toi. Te montrer aussi démonstrative ne te ressemblais absolument pas mais.. Tu mettais ça sur le compte des hormones. Fallait dire que t'étais sérieusement chamboulée au niveau de tout et qu'il te faudrait certainement un temps d'adaptation puisque ce n'était pas la chose la plus facile au monde. Puis, t'avais besoin de lui. Vraiment. Et tu ne pourrais pas supporter l'idée qu'il s'en aille un jour. Alors ouais, tu voulais qu'il comprenne que tu l'aimais. Que tu l'aimais réellement et que tu ferais tout ce que tu pourrais pour ne plus le faire souffrir. « Fatiguée et.. Complètement à côté de la plaque. » Effectivement, t'avais aucune idée de comment gérer tout ça. Et c'était compliqué parce que par moment tu te sentais vraiment seule et t'avais vachement de mal à supporter. « Mais j'finirais par m'y faire. » Tu poussais un soupir avant de te mordre la lèvre. Techniquement, Aaron aurait du venir avec toi mais.. Tu supposais que ce n'était plus vraiment d'actualité et de toute manière, tu n'avais pas envie de tenter le diable en passant du temps avec lui donc.. « Tu m'accompagnerais à l'échographie ? »
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Même si nous traversons une période assez compliquée, j'ai envie d'être là pour elle, Charline est quand même enceinte. Il ne faut pas l'oublier. Du coup, bien que je ne connaisse toujours pas l'identité du père, j'ai envie de l'aider dans cette épreuve. S'il s'avère finalement que je ne suis pas le père de l'enfant, je ne sais pas comment je réagirais, mais ce n'est pas encore au goût du jour. « T'arrives toujours à suivre les cours ? Sinon il faudrait que tu t'arrêtes un peu. » Ou au moins ralentir. Dieu sait à quel point le niveau d'exigence est élevé à Harvard, et un simple manque de concentration peut nuire aux bons résultats. « Ça fait combien de temps maintenant ? » A peu près hein. J'ai vraiment peur qu'Aaron soit le père, ça me rend dingue, mais je préfère ne pas y penser pour le moment. Je profite de ma copine, c'est déjà plus que bien. Quand Charline me demande si je veux l'accompagner pour son échographie, j'esquisse un petit sourire, en réalité je suis ravi. Et un peu flippé aussi. « Avec plaisir ouais. » C'est un truc de fou de se dire qu'un petit être grandi dans son ventre, trop choupi.
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Tu le prenais pas pour une roue de secours han ? Que les choses soient clairs. Mais tu ne voulais définitivement pas y aller avec Aaron et.. Nate était ton petit ami et ce genre de chose là, tu voulais le partager avec lui. C'était normal pas vrai ? « S'arrêter ? Ça existe pas à Harvard. » Fallait être excellent dans tout. Alors même si t'étais fatiguée, même si t'avais du mal, t'étais obligée de continuer et t'étais consciente que ça serait encore pire au cours des prochains mois. Mais t'avais fais un choix que tu devais maintenant assumer. « Un mois et demi je dirais. Mais sans l'écographie, j'pourrais pas vraiment confirmer. » Et tu savais que la période t'aiderais à savoir qui était le père mais t'étais sûrement aussi terrifiée que Nate à l'idée de connaitre le résultat. « Merci.. » Il était clair que tu ne pouvais pas le faire toute seule. Tu ne voulais pas le faire toute seule et savoir que Nate serait à tes côtés dans ce moment, mine de rien ça te rassurais.
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C'est vrai qu'arrêter ne serait-ce que quelques semaines à Harvard, c'est mission impossible, et très difficile de continuer à suivre. Quand j'étudiais en Angleterre avant de passer par la case prison, ça avait été très compliqué pour moi de reprendre une fois arrivé ici. Il faut s'accrocher tant bien que mal, et parfois, la vie fait que ça ne facilite pas les choses. « J'pourrais aller en cours à ta place.. » dis-je en lâchant un petit rire, conscient que c'est totalement inenvisageable du fait que mes cours me prennent déjà beaucoup trop de mon temps. Et puis, on étudie pas du tout dans le même domaine et je serai complètement perdu si je devais aller dans ces amphis. « Ouais j'imagine. T'en as pas fait encore ? » demandais-je à Charline en référence à l'échographie. Moi j'y connais rien à tous ces trucs là, c'est nouveau pour moi. Bien entendu, j'allais l'accompagner à la clinique pour qu'elle effectue tous ces examens, je n'ai pas envie de la laisser seule face à tout ça. C'est tout de même assez difficile à encaisser de base, je ne me vois pas l'abandonner. « De rien voyons. »
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Au final, tu détestais vraiment tes émotions ces derniers temps. T'étais par habitude du genre à aimer faire les choses seules. T'avais pas besoin de l'aide des autres et t'avais passé la moitié de ta vie à prouver que tu pouvais très bien t'en sortir toute seule. Et voilà que maintenant, t'avais besoin de l'aide et du soutien de tout le monde. C'était presque si ça t'écorchais la bouche de formuler ce genre de chose à voix haute mais.. Au fond, tu savais que si tu ne le faisais pas, tu finirais par sombrer. Tu pouvais bien jouer aux femmes forte que ça ne changeait pas qu'à l'intérieur, t'étais qu'une gamine effrayée. « Et j'suis persuadée que t'aurais des idées de design terrible. » Ouais, t'osais pas vraiment imaginer ce que ça pourrait donner. T'étudiais quand même l'architecture depuis cinq ans, c'était pas rien. « Non.. » Parce que t'étais seule et que.. Tu voulais pas affronter ça. C'était idiot mais t'avais jamais eu autant la trouille qu'aujourd'hui. Et ça te rendais malade de te sentir aussi faible face à ça.
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