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Chrissy (+) You're crazy!

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Arrivé comme à mon habitude en retard en cours, les portes cette fois-ci étaient réellement fermés comme pour me faire comprendre que cette fois-ci ça ne passerait pas. Sérieusement faut vraiment que je change de radio réveil, remarque avec une heure de retard, il était évident que je finisse à la bourre. Planté devant les portes, la main sur la poignet, j'avais fini part abandonné et je rebroussais chemin quand en voyant les toilettes, une envie soudaine interrompait ma marche. Arrivant dans les toilettes des femmes sans y avoir réellement prêté attention, j'étais surpris de ne voir que des toilettes assissent étaient présents. Pisser debout c'est interdit maintenant ou quoi ? Ruminant j'entrais dans une toilette, baissant mon pantalon et mon boxer tout en m'asseyant sur les cuvettes. Tranquillement installé, j'étais déjà entrain de me préparer mon petit programme de ce matin ; rien foutre dans mon bain en fumant une clope. Comme d'habitude. Je ne pouvais plus m'en passer. Sortant tout à coup mon paquet de cigarette, j'en sortais une, l'allumait et l'a fumait sans pression. Personne n'était présent, bien trop occupé à être en cours, là où j'aurai dû être normalement. Tirant sur une taffe, j'étais entrain de me dire que finalement, c'était pas mal d’être assit sur la cuvette des toilettes. Tirant sur une seconde taffe, j'entendais alors soudainement la porte des toilettes s'ouvrir, puis se refermer. J'haussais simplement un sourcil en voyant les chaussures d'une femme passer devant ma porte. Qu'est-ce qu'elle foutait dans les toilettes pour homme celle-là ? A moins qu'un garçon l'a suive, j'avais vraiment aucune idée. Je suis pas un pervers, mais je savais de source sûr qu'ici, où je me trouvais peut être s'était déroulé une épreuve oral. Frissonnant de dégoût, je me décidais enfin à bouger mes fesses. Je laissais tomber ma cigarette dans les toilettes et tirait la chasse d'eau, avant de me rhabiller et de passer la porte qui me séparait des lavabos. Allez, on va rentrer faire une petite sieste.
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Le teint blâfard, les yeux cernés de noir. Tu perdais facilement contenance ces derniers temps. Et malgré tout les artifices employés, tu ne pouvais pas tout masquer. Le maquillage, les jolies robes et les bijoux ne cachait pas la réalité. Tu pouvais bien essayer de te planquer encore et toujours que ça finirait par devenir un peu trop présent. Pourtant, t'essayais. C'était une matinée comme les autres rythmées par tes sourires et tes rires sonnant étrangement faux. Les faux semblants tu savais faire mais ton physique ne trompait pas. Ta pâleur extrême était la sonnette d'alarme et tes traits tirés semblait de plus en plus réveler le mal être dans lequel tu étais plongée. Stylo à la main, tu te perdais dans les limbes de ton esprit n'entendant plus que le tic tac incessant d'une montre bon marché. La voix du professeur semblait ronronner à travers la pièce mais c'était à peine si tu pouvais percevoir les mots. L'air ailleurs, tu finissais par revenir à la réalité quand la toux d'un étudiant venait te déranger. « Je dois aller aux toilettes. » Soudainement tu te redressais faisant claquer tes talons sur le parquet. Quelques regards se tournait vers mais sans en tenir compte, t'appuyais sur la poignée de métal t'offrant ta sortie de secours. Tu tournais à l'angle te dirigeant vers ce lieu qui semblait être ton refuge ces derniers temps. Verrouillant la porte par automatisme tu plaçais tes mains de part et d'un autre du lavabo contemplant ton reflet dans le miroir. Pathétique, misérable. Elle était belle l'estime de toi même. Un sanglot venait perturber le silence et tu allumais l'eau comme pour te rafraîchir un peu. Une odeur de tabac reposait dans l'endroit te donnant la nausée alors que toujours les même pensées te revenait en tête. Moche, grosse et inutile. Relevant tes cheveux en un chignon mal fait, tu tournais les talons poussant la porte d'une cabine. Comme toujours, ton échappatoire. A genoux devant le wc, tu plaçais deux de tes doigts dans ta bouche jusqu'à écoeurement. La suite, tout le monde la connaissait.
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Allumant le robinet d'eau, je me lavais les mains en regardant mon reflet dans ce miroir accroché devant moi. Un homme brun, aux yeux bleus et à l'allure fatiguée s'y reflétait parfaitement. En ce moment je dormais très peu à cause des embrouilles en Australie avec mes parents. Pas contre moi pour une fois, mais leur mariage semblait de plus en plus tangué pour mon plus grand plaisir, mais j'avais tout de même une boule au ventre. Je ne sais pour quelle raison, j'étais perdu moi même dans ce genre de sentiment trop compliqué à décortiquer. J'en avais marre de toutes ses histoires, j'arrivais à un âge où je ne voulais plus de conflit, j'avais besoin de calme, et visiblement ce n'est pas dans mon foyer que j'allais le trouver. La stabilité, y'a longtemps que je ne l'a connaissais plus. M'apprêtant à partir, retrouver mon chez moi et dormir comme un bébé, une bruit dégueulasse m'arrêtais. Vous savez ce bruit après une soirée qui vous donne envie de vomir ? J'en avais presque froid dans le dos. La jeune femme qui était passée devant ma porte était entrain de vomir ? Je fronçais les sourcils en m'inquiétant tout de même. Mauvaise digestion ? Voir était-elle enceinte ? A cette pensée, je déglutissais lentement en m'approchant de sa porte. Si jamais il lui arrivait quelque chose à cause de son enfant ? On sait jamais ce qu'il peut se passer dans ce genre de moment. Noyée dans la cuvette des toilettes en titre des journaux et c'est ma culpabilité qui serait mise à rude épreuve. Frappant doucement, je me raclais la gorge avant de demander d'une voix douce « Ça va ? » Je me faisais du soucis, mais c'était très plausible qu'elle rentre de soirée et que l'alcool remonte après plusieurs heures dans son corps. Ou alors un empoissonnement ? Une multitude d'idée m'obstruais l'esprit sans que je n'arrive à trouver une réponse logique.
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Il était compliqué d'expliquer ce genre d'addiction. Paraitrait-il que ça venait avant tout du cerveau. Une sorte de dépression à ce qu'il se disait mais, c'était beaucoup plus que ça. C'était comme une délivrance que rien d'autre t'apportais. T'avais besoin de ça parce que ça te soulageais. L'irritation dans ta gorge, la sensation de brûlure. Certes, ça pouvait paraître douloureux et désagréable mais ce n'était rien en comparaison de ce que tu ressentais au quotidien. Et oui, te faire vomir t'aider un peu. A ne pas grossir, à te libérer. Les deux mains agripés sur les rebords du siège couleur nacre, tu reprenais ta respiration doucement alors qu'une voix venait te déranger. Les larmes avaient coulés le long de ton visage tel un torrent d'eau salés souillant un peu plus cette image de poupée que tu renvoyais habituellement. Un morceau de papier pour essuyer tes lèvres tremblantes, tu te redressais appuyant sur la chasse d'eau faisant disparaître toute trace de ton action. Toutes les traces sauf une. Cet homme présent dans les toilettes pour femmes. C'était le début des problèmes, quoi qu'étrangement, tu te douterais qu'il en avait sûrement rien à faire. Prétexter une cuite un peu trop sévère suffirait à arranger les choses. Dévérouillant la porte de la cabine, tu passais devant lui retournant à un point d'eau. « Ça va, merci. » Pur mensonge. Tout pouvait en témoigner. Ton teint, ta voix et surtout ta maigreur affolante. Maigreur que tu ne semblais pas remarquer plus que ça. Toujours trop grosse.
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L'oreille collée contre la porte froide aux allures d'un stalker, j'essayais de comprendre. Enfin, j'étais beaucoup plus porté par la curiosité qu'autre chose pour le coup. En entendant la chasse d'eau, je me reculais vivement en m'accoudant tout contre le mur en face. Découvrant alors une blonde, un peu poupée, je me taisais quelques secondes en étant presque bouche bée par tant de beauté dans une seule femme. Ce devrait être un crime. Son ton vague et son visage pas tellement enjoué arrivait à me faire douter de ses propres mots. Je n'étais qu'un simple mec passant par là, un inconnu, c'est logique qu'elle ne veuille pas m'en dire plus. « Par contre, c'est les toilettes des garçons, fait attention la prochaine fois. » Répondis-je avec calme, même si le ton de ma voix renfermait une certaine autorité. C'était comme un conseil afin qu'elle ne se trompe pas de porte la prochaine fois. « T'es vraiment sûr qu ça va ? » Demandais-je de nouveau en grimaçant. Je levais alors la main vers elle, effleurant ses cheveux d'un blond platine tout en surveillant ses yeux froids, implacables. Une beauté froide sans doute et peu bavarde pour le moment. Reprenant mon sac que j'avais laissé dans un coin avant de courir me soulager aux petits coins. Je pensais finalement passer mon chemin, jusqu'à ce que je me rappel que j'avais des médicaments puisque l'un de mes potes cette semaine avait été malade comme un chien à cause d'un mauvais virus. « Tu veux un médoc ? » Demandais une fois encore en essayant d'être vraiment le plus sympathique possible. J'aimerai que dans ce genre de cas on m'aide. Alors c'est ce que je fais pour les autres. C'est ça l'âme d'un Quincy.
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C'était triste non ? Ouais, c'était d'une tristesse affolante. Et pourtant, tu ne semblais même pas le remarquer. Comme si ça n'avait aucune importance au final. L'auto destruction, c'était totalement ton truc. Te faire mal physiquement et mentalement. Te brûler à petit feu jusqu'à n'être que l'ombre de toi même. Tu réussissais bien dans ce domaine et tu n'assumais pas. Tu n'assumais pas qu'on puisse dire que t'étais malade. Que quelque chose clochait chez toi. Tout allait parfaitement bien et encore une fois, tu le prouverais en affichant un sourire sur ton visage. Les gens s'en contentaient, tu n'avais pas besoin de faire plus. Au final, personne n'était réellement préoccuper par ton véritable état. Suffique que tu balances quelques ça va pour que les gens autour de toi y croient dur comme fer. Ouais, les choses marchaient toujours comme ça. Tant mieux, ça évitait qu'on ne te pose trop de question. T'essayais de voir le côté positif des choses. « J'aurais plutôt dit que c'est les toilettes des filles. » Ce qui expliquait l'absence d'urinoir et la légère odeur de parfum. Non non, tu ne t'étais pas trompé. Ou alors, t'étais dans un plus mauvais état que d'habitude. « Je vais bien ! » Peut être trop froide. Un brin agressive. Mais son geste te prenais au dépourvu. Ce n'était qu'un effleurement mais ça restait étrange. Tes yeux d'un bleu glacial restaient plongés dans le sien alors qu'il finissait par ramasser son sac sûrement pour partir. « Je ne suis pas malade. » T'étais pas malade et tu n'avais pas besoin d'aide. Tu lui tournais le dos inspirant profondément avant de reconnaître que t'étais peut être un peu trop sèche avec lui. « Mais.. Merci. C'est gentil. »
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Je ne sais même pas pourquoi je m'intéressais tant à elle, ça n'avait aucune sens après tout. C'était une étrangère. Pourtant dans ses yeux, son regard si envoûtant et profond, je décelais un mal être. Peut être à cause de sa présence, mais si elle vomissait parce qu'elle n'était pas malade, y'avait pas trente-six solutions. Et j'en avais une toute trouvée, une que je connaissais, pas pour l'avoir pratiqué, mais pour en avoir eu l'idée quand j'étais gamin. Étrangement, ça m'était familier. Les toilettes des filles ? Répétais-je avant de comprendre que JE m'étais trompé d'endroit. Oh la honte. C'est terrible comme expérience. J'ai pissé dans des chiottes pour femme ! Si je m'écoutais je me pincerai rien que pour être sûr que ce n'est pas un rêve. Sans suivi de ses paroles soudaines et loin d'être agréable. Elle semblait à cran, prêt à me bondir dessus à cause de mon geste pourtant inoffensif. Mon côté tactile est parfois très envahissant. T'es pas malade ? Pourquoi tu vomissais alors ? A moins que tu te fasses vomir ? Son comportement agressif m'irritais fortement. D'où la raison de ma question personnel et de mon changement de ton, plutôt sévère. Pas de reproche, je savais au combien ce genre d'acte était dur à un réel et profond mal être. A moins que je me fourre le doigt dans l'oeil, j'étais presque sûr de ce que j'avançais. Tout est toujours un problème d'apparence dans cette foutue société à la con, et j'en avais été le premier à en faire les frais. Dès le plus jeune âge. Mais dans ce genre de cas, ce n'est pas les autres le problème, mais nous même. On s'enferme dans notre propre cerveau en nous persuadant d'une chose. Et à ce que je pouvais voir devant moi, elle était fausse. Cette femme est juste magnifique. Si j'en avais le pouvoir, je me sauterai sur elle sans aucun soucis. Accoudé près du mur, je posais mes yeux azurs sur elle en attendant une réponse, un brin curieux. Dis moi tout.
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Et, qu'est ce qui était gentil au final ? Son soudain intérêt pour toi ? T'en savais rien en fait. T'avais pas tellement envie de répondre à ses questions, tu ne voulais même pas qu'il en pose. La curiosité était un vilain défaut, t'avais pas besoin d'aide, encore moins de celle d'un inconnu. Mais sans trop savoir pourquoi, c'était comme si chaque geste te trahïssais un peu plus. C'était idiot pas vrai ? Tu ne voulais rien dire et t'avais pourtant l'impression d'envoyer des signaux de détresse à chacune de tes paroles. Triste. « Ouais. » Les toilettes des filles. Tu connaissais bien l'endroit, si bien que t'avais pas le moindre doute. L'erreur venait de lui, pas de toi. Et très honnêtement, outre le fait qu'il n'était pas du tout dans l'endroit où il devait être, il avait en plus de ça envahit la pièce d'une odeur de cigarette dégoutante. Good job. « Laisse tomber ! » Te faire vomir. Comment pouvait-il arriver à cette conclusion aussi rapidement ? C'était comme si tu étais un livre ouvert, comme s'il était facile de découvrir le moindre de tes secrets. Pourtant, même tes proches n'avaient pas l'air de comprendre mais lui, il touchait du doigt ce qui était en train de te détruire avec une facilité déconcertante. « C'est juste une mauvaise période, ça va passer. » Où du moins, c'était ce que tu te répétais chaque jours pour donner un peu moins d'importance à ce mal être. Et peut être bien que c'était stupide mais, tu cherchais tout les moyens possible pour faire paraître les choses moins grave que ce qu'elles étaient. « Garde ça pour toi, s'il te plait. »
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Voyant que la jeune femme m'envoyait de mauvais regards, histoire de me dire clairement de lui foutre la paix, je commençais à regretter mon geste de gentillesse. Qu'est-ce que j'en avais à faire sérieusement ? Et puis, ce n'était pas mon genre de déduire des conclusions si hâtivement, ou d'en déduire tout court. Le problème c'est que vomir parce que tu n'es pas malade, c'est forcément que tu le souhaites, non ? Peut être que c'était pour son corps ou alors parce qu'elle ne voulait pas aller en cours. Je m'étais emballé, parce que je croyais dur comme fer qu'elle était le reflet de moi. De mon enfance. Alors qu'en réalité je n'en savais rien, absolument rien. C'est juste une mauvaise période, ça va passer. Je soupirais en me persuadant que c'était une simple gamine qui ne voulait pas aller en cours. Après tout, je ne l'a connais absolument pas et vu la distance qu'elle m'était entre nous, je n'avais pas envie de l'a connaître. Pourtant, tout comme une mouche, j'étais attiré par la citronnelle, une senteur agréable, lumineuse mais bien souvent empoissonné. « Pourquoi je le garderai pour moi ? Dis-en moi plus, et je verrai si je peux tenir ma langue ou non. » J'avais une chance sur deux, soit elle acceptait et cela levait le mystère sur son agissement, soit, et bien, je me retrouvais comme un con, le bec dans l'eau. A cause du travail ou bien de son "régime" ? Éclaire ma lanterne. D'ailleurs, en y repensant son visage ne m'était pas aussi méconnu que cela, pourtant, son prénom, ça, j'en avais aucune idée.
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C'était comme si tu avouais à moitié que quelque chose n'allait pas. Dans le cas contraire, tu ne lui demanderais pas un truc pareil. Alors oui, ça lui montrais bien que tu avais quelque chose à cacher. Que tu ne voulais pas queles gens sachent ce que tu venais de faire. Pour la simple et bonne raison que tu ne voulais pas d'aide. Peut être étais-ce stupide mais tu te complaisais dans cette manière d'agir. Comme si chaque passage aux toilettes te donnais une forme de libération. Et t'avais besoin plus que quiconque de te sentir libre même si ton exuctoire n'était pas des plus conventionnel. « Je.. » Il était chiant pas vrai ? Et un brin trop curieux aussi. Mais tu venais de comprendre que te montrer sur la défensive ne servait strictement à rien avec lui. Il n'avait pas l'air de vouloir te laisser, du moins pas sans avoir quelques réponses. Et tu ne comprenais pas vraiment pourquoi est ce qu'il se montrait si intéressé par ton cas. Etait-il étudiant en médecine ? Pensait-il pouvoir t'aider ? Dans tout les cas, c'était idiot. Si tu ne voulais pas d'aide, personne ne pouvait t'en apporter. C'était malheureusement comme ça. Tu gardais le silence évitant soigneusement son regard avant de finalement lui faire face à nouveau. Ton regard posait sur lui, tu semblais soudainement plus fragile. Etait-il capable de voir la détresse présente dans tout tes gestes ? Peut être. « Parce que mes proches croiront à une rechute et je refuse qu'on me fasse quitter Harvard sous prétexte que mes agissements nuisent à ma santé. » C'était simple à comprendre. Tu n'avais pas besoin d'un énième suivi médical. Tu n'avais pas besoin qu'on te dise que tu replongeais dans l'anorexie une nouvelle fois. T'avais pas besoin de tout ça et oui, tu préférais largement qu'il tienne sa langue. Pour ton propre bien même si ça pouvait sembler dérisoire.
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