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when I grew up I called him mine (tobias)

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Jour 9

       
When I grew up I called him mine

       
Heure : 12h34
Lieu : Un peu partout
Contexte : Les retrouvailles de Tobias et Lyson après plusieurs années de séparation
Participants : Tobias & Lyson



When I grew up I called him mine.
J’étais comme qui dirais misérable, depuis le début du Spring Break. Boire, fumer, rentrer dans la débauche, c’était pas quelque chose de super agréable, pas vrai ? Et pourtant j’y étais, je plongé littéralement dedans comme-ci ça pouvait m’aider à échapper à mes problèmes. Foutaises. J’allais probablement rester misérable longtemps encore, et encore longtemps après ça. Mais qu’importe, aujourd’hui, j’avais envie de faire quelque chose de nouveau, m’amuser. Du coup, je m’étais rapidement vêtue d’un short en jean et d’un t-shirt à motif fleurie pour finalement me diriger jusqu’à un arrêt de bus. Je m’essayais alors sur le banc qui nous permettait d’attendre la prochaine poubelle, oops, le prochain bus puis laissa mon regard émeraude parcourir les environs à la recherche d’une distraction quelconque. Aujourd’hui j’avais envie de prendre le bus et de me laisser guider dans les contrés de la Nouvelle Zélande, appréciant le voyage un peu à chaque instants. J’avais pris de quoi fumer, et j’avais surtout une bouteille de Whisky dans mon sac à dos. Tout était parfaitement millimétré afin que je passe une bonne journée, et possiblement soirée. A moi la liberté.

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Je suis en très grande forme depuis le début de ce spring break. J'enchaîne les soirées à boire, fumer et, baiser. Je profite de choses dont j'ai été privé quand j'ai atterri en prison pour avoir sauvé une femme. Bref, je préfère penser au présent c'est largement mieux inspirant. Passons. Je m'étais vêtu d'un short et d'un tee-shirt blanc après ma douche. J'ai une envie soudaine de visiter les contrés de la Nouvelle-Zélande. Autant en profiter au maximum. Surtout que c'est probablement la seule fois que je viens dans ce pays merveilleux. Je récupère un peu de joint pour que je puisse malgré tout fumer un peu pendant mon petit voyage improvisé et une fiole de vodka. Faut vivre sa vie au max, c'est ce que j'ai compris lorsque j'étais en taule. Du coup, je rattrape tout le temps gâcher par mes conneries de l'époque. Je me dirige ensuite vers l'arrêt de bus le plus proche. J'ai vraiment hâte d'entamer ma petite escapade solo. C'est tellement réjouissant de pouvoir profiter d'un moment seul. Un moment de liberté. Sauf, que plus je m'approche de l'arrêt de bus. Plus je reconnaissais la jeune femme qui était assise et qui attendait certainement le bus. Je ne sais pas trop, si je dois continuer à m'avancer ou pas. C'est assez bizarre comme situation. Surtout que la jeune femme était en quelques sortes une jeune femme que je courtisais quand j'étais à New York. M'enfin, je voulais vraiment faire ce petit voyage. Alors, je n'allais pas m'en priver. Puis, après tout elle m'avait peut-être oublié de son côté. Du coup, je continue de m'avancer et, je m'installe sur le petit banc qui était sous l'arrêt de bus. J'attendais avec impatience que ce bus arrive. Pendant ce temps, je viens à me rouler un joint.
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Il y a de ces choses que les gens font quand ils sont au bout du rouleau, et puis il y a de ceux qui se laissent sombrer dans les méandres de la vie. Espérant sortir de l’eau, alors qu’ils sont dans le déni, et que la seule chose qu’ils arrivent à faire, c’est de se noyer. J’avais l’impression d’être dans cette optique là. Celle de la fille qui n’arrive pas à apprécier la vie, qui a sans cesse été expédiée par les hommes, rejetée, détruit et meurtrie. Quoi que dans un sens, je n’étais pas forcément une bonne personne non plus. Je refusais de m’ouvrir à qui que ce soit, refusant de parler de cette ancienne vie que j’essaye de laisser derrière moi. Du coup, j’avais choisi l’option de la débauche, de la vie qui ressemblait à un allé simple jusqu’aux enfers. Je m’étais plongée dans la drogue, l’alcool et les coucheries à gogos, essayant de panser d’anciennes blessures. Assise sur ce banc, à cet arrêt de bus, attendant qu’un car difforme s’arrête pour prendre une nouvelle inconnue à sa charge. Voilà ce que j’attendais, et les cernes sous les yeux, le pétard entre les lèvres, et des vêtements qui ne me ressemblait pas, mon regard émeraude furent attirés par une personne qui me disait quelque chose. Je fronçais les sourcils, plissés les yeux comme pour essayer de mieux voir. Je retirais alors le joint encore neuf de mes lèvres, puis inspirant profondément, je compris qui était cette personne. Tobias ? Je ne l’avais pas revu depuis New York et je m’étais toujours demandé ce qu’il avait bien pu devenir. Notre relation avait toujours été particulière c’est vrai, et j’avais toujours adoré ce lien qui nous unissait, mais le revoir après tant d’années, me fit prendre conscience qu’il était une personne en plus dont je n’avais pas pris de nouvelles.
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Avec toutes les épreuves que j'avais accumulées dans ma vie. Je suis passé du côté obscur de la force. Je passe mon temps à fumer, boire et copuler de droite à gauche. Si je suis devenu dans cette optique de la vie. C'est certainement en cause de mon ex. Elle m'avait détruit et meurtri avec sa trahison. D'ailleurs, je ne l'ai toujours pas avalé. Du coup, je me refuse de m'ouvrir aux autres. Je ne parle pas de l'ancienne vie que j'ai pu avoir. Je préfère laisser planer le doute. Ayant un peu de mystère. En gros, je panse mes blessures passées. Je continue de m'approcher de cet arrêt de bus. Une fois à proximité, je m'assoie sur le banc qui était en dessous. J'avais hâte que ce bus arrive pour visiter les alentours de la Nouvelle-Zélande. Ce pays me fascine, c'est ahurissant. J'étais donc assis sur le banc et, je commençais à me rouler un joint. J'avais besoin de fumer, de sentir quelques choses entre mes lèvres. Comme un besoin vitale pour survivre. J'allais allumer mon joint quand j'entendis mon prénom. Elle se rappelait bien de mon prénom et, de la personne que j'étais. Malheureusement ... Lyson serait très rapidement rattrapé par la réalité. Je ne suis plus l'homme qu'elle a connu par le passé. Mais, elle s'en apercevra en temps voulu. « À votre écoute mademoiselle. » C'est une réponse positive à sa question. Je n'avais rien d'autre en stock pour le moment. Toutefois, j'étais un minimum ravi qu'elle puisse se souvenir. Malgré le lien quelque peu étrange qui nous unissait quand on s'est rencontré à New York.
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J’avais envie de penser à rien, et en réalité la Lyson d’autrefois avait bien changé. Je n’étais plus la même, quoi que assez similaire à ma période où je vivais encore à Las Vegas ou New York, à me pourrir la santé mais, mon caractère avait d’avantage changé, et j’étais devenue ce qu’on appelait plus « aigri ». Du coup, j’essayais d’oublier plusieurs choses en me bourrant la gueule, comme-ci je pouvais oublier d’avoir été abandonné par tous les hommes de ma vie. Je levais les yeux aux ciel, je n’aimais pas spécialement ce que j’étais devenue et pourtant, je continuais à descendre la pente jusqu’aux enfers de la sorte. Peut-être que j’avais des tendances masochiste, je pense que c’était quelque chose dans le genre. Du coup, j’étais genre là, assise sur mon banc tranquillement, un joint entre les lèvres, le regard porté en face de moi, alors que j’attendais que la poubelle passe me prendre pour que j’aille me perdre dans la campagne de la Nouvelle Zélande. Et là genre un mec, tout naturel, bien poser son cul à côté du mien, j’arque un sourcil, tord ma bouche en une drôle de moue avant de me rendre compte de qui c’était. Tobias. Ancien ami, et connaissance quand je vivais à New York, notre relation avait toujours été particulière. On se courrait après, dans un jeu du chat ou de la souris, tout en étant jaloux et possessif quand des personnes approchait l’autre. Vraiment bizarre. T’es encore vivant ! Je souriais alors grandement et amusement, ouais parce qu’il fallait quand même avouer qu’il était pas débauché pour le coup. Le car arriva enfin, alors que je me levais afin de monter dedans, tournant mon regard émeraude vers Tobias. Tu viens ? Ben oui Lyson, faisons comme-ci vous étiez encore super potes de la vie.
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Bizarrement, il faut impérativement que je souffre pour avancer dans la vie. Je suis masochiste, j'en suis conscient. Mais, c'est ce qui fait mon charme on va dire. En ce moment, je picole énormément pour oublier certains détails de ma vie misérablement merdique. Sauf, que je suis en Nouvelle-Zélande. Faudrait que je laisse mes problèmes de côté pour pouvoir profiter de ce voyage pleinement. J'avais atterri à un arrêt de bus quelconque avec une bouteille de vodka en ma possession et, de quoi fumer pendant ma petite escapade. Mais, quand je m'approche de cet arrêt de bus j'aperçois une silhouette que je connais me semblait-il. J'en étais pas très sur mais, cela se confirme une fois que j'ai posé mes fesses sur le banc. Quand, elle vient à me dire que j'étais encore vivant. Je trouve ses paroles assez culottée de sa part. Ce n'est pas ce qu'on s'attend à entendre de la part de quelqu'un. « J'en ai bien l'impression. » Je ne savais pas quoi répondre de plus. Je termine de rouler mon joint pour pouvoir le fumer. Cependant, le bus venait d'arriver. Et, voilà que Lyson vient à me demander si je venais. Comme si on était encore proche, comme à l'époque de New York. Alors, qu'on ne s'était plus adressé la parole depuis cinq minutes à tout casser. « Monte, je te rejoins. » Lui dis-je. Je voulais avant tout fumer mon joint. Donc, je laissais Lyson monter à l'intérieur et, je demande au chauffeur s'il pouvait attendre un peu le temps que je fume. Il accepta à ma grande surprise. Du coup, je monte dans le bus quelques minutes plus tard. Je m'installe sur les places libres devant sans rejoindre Lyson. Si elle veut vraiment qu'on se parle comme à l'époque de New York. Elle devrait faire l'effort de me rejoindre à mes côtés. Je ne ferai probablement pas le premier pas. Toutefois, cela reste à voir aussi. Puisque je peux faire des efforts sur-humain quand je veux réellement quelque chose.
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Revoir d’anciennes personnes de votre vie passée, autant dire que ça faisait sacrément bizarre. Ouais, je venais de retomber sur Tobias, et je m’étais surprise à le voir encore en forme. Et même si je lui demandais s’il était encore vivant, c’était plus pour souligner le fait que peut-être que moi, je n’avais pas pris contact avec lui, mais il ne l’avait pas fait non plus, alors dans un sens, c’est qu’il avait fait le mort, vous voyez le truc ? Je souriais alors en coin, quand il me répondit amèrement. Je ne cherchais pas la guerre, qu’il redescende de son nuage. Et bien tant mieux, pas vrai ? Je souriais d’avantage alors que le bus finissait enfin par arriver. J’avais hâte de partir à l’exploration de la cambrousse, à vrai dire, je voulais me retrouver en mode sauvage dans la nature, pourquoi pas créer un tipis et vivre dedans jusqu’à la fin de mes jours ? Je souriais en coin à cette pensée, moi qui détestais le camping en temps normal, je me voyais mal vivre dans la nature, jusqu’à la fin de mon existence. Je montais alors dans le bus, lorsque Tobias m’avoua qu’il allait me rejoindre. Bien évidement, je n’en croyais pas un mot, et j’eu raison, alors que je le voyais s’installer à l’avant du bus. Je levais les yeux au ciel, exaspérée par ce genre de comportement, puis haussait les épaules, alors que j’attrapais mes écouteurs et que je les mis dans mes oreilles, la musique à fond. J’étais un peu entrain de planer, même si ce n’était pas beaucoup, comparer à d’habitude, du coup j’étais dans un état plutôt agréable, et c’est ce qui m’importait le plus. Je posais mon front contre la vitre du car, alors que j’observais l’extérieur, pour finalement sentir le véhicule quitter son arrêt. Enfin, j’étais partie pour une exploration à la Robinson Crusoé.
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Depuis que je m'étais installé à Cambridge pour mes études. Je fais sans cesse des retrouvailles avec d'anciennes personnes de mon passé. Y a quelques jours, j'avais retrouvé Chrissy, une jeune femme que j'avais sauvé d'un viol ainsi que mon ex Chrysta lors d'une fête sur la plage. Et, maintenant voilà que je vois Lyson. Elle ne semblait pas au meilleur de sa forme. Mais, je n'allais pas lui demander ce qui se tramait dans sa vie. Vu qu'on n'était plus aussi proche qu'à l'époque de New York. Puis, je n'ai pas repris contact avec elle. Faut dire que j'avais fait de la prison. Donc pour communiquer avec le monde extérieur était assez compliqué. « Exactement. » Je ne pouvais rien dire de plus de toute manière. J'aperçois par la suite que le bus venait de s'arrêter pour nous récupérer. Sauf, que je voulais avant toute chose fumer mon joint. Une fois le joint terminé, je monte à l'intérieur pour m'installer à l'avant. Si je me suis mis à l'avant, c'est parce que je crains le bus. Et, y a que quand je suis à l'avant que j'arrive à supporter le bus. Depuis, que je suis gamin j'ai cette peur et crainte. Je n'ai jamais réussi à la vaincre. Je regarde ensuite en direction de Lyson. Je la vois regarder la vitre avec les écouteurs à ses oreilles. Elle était toujours autant solitaire qu'à l'époque. Bref, je repose mon regard sur la route. Cela me permet de ne pas trop avoir l'envie de gerber à la première secousse du bus.
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Oui, ça faisait une éternité que je n’avais pas vu Tobias, et des fois je me demandais ce qu’il avait bien pu devenir, si je lui avais manquait, ou si au contraire, il n’en avait rien à faire. Visiblement, la deuxième optique semblait être la plus exacte, et même si je n’appréciais pas forcément ça, je n’avais rien à dire non plus. Après tout, moi non plus je ne lui avais pas donné de nouvelles, donc dans le fond, j’étais aussi un peu fautive pas vrai ? Je ne répondais pas à sa réplique, alors que je tournais finalement les talons pour monter dans le bus, alors qu’il m’affirmait qu’il me rejoindrait. Sauf que voilà, je le voyais monter dans le car et s’installer à l’avant. Je levais les yeux aux ciels, en réalité, s’il n’avait pas envie de me parler, ni même de me voir, il suffisait juste qu’il me le dise, ce n’était pas avec ça que j’allais être vexée. Mettant alors mes écouteurs dans mes oreilles, et après avoir levé les yeux aux ciels face à son comportement, je posais ma joue contre la vitrine, alors que j’observais finalement le paysage défiler devant mes yeux. Les paysages étaient magnifiques, et j’étais contente de pouvoir m’en mettre plein les yeux de la sorte. Attrapant une mèche de cheveux que j’enroulais autour de mon doigt, je redressais finalement le visage, alors que je basculais la tête au rythme de la musique qui se dégageait de mes écouteurs. J’avais hâte d’arriver au terminus du bus, histoire de me perdre l’air de rien dans la nature, sans avoir personnes sur mon dos, alors que j’allais finalement pouvoir profiter de la solitude dont j’avais besoin, ces derniers temps.
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you make me smile.
Je m'étais demandé je ne sais plus combien de fois, comment Lyson pouvait aller après son départ précipité de New York. Faut dire qu'après, j'ai pas mal sombré dans un mauvais côté de ma personnalité. Puis, le fait de faire de la taule pendant quelques mois ne m'avait pas aidé. On était fautif l'un comme l'autre. Puisqu'on n'avait pas pris le temps de se donner des nouvelles où même en quémander. Si, finalement Lyson avait été installé à l'avant du bus. Je pense que je l'aurais rejoint mais, elle s'était vers l'arrière. Et, ayant une crainte atroce des bus. Le seul endroit où je me sens encore en sécurité, c'est à l'avant. D'où le fait que je me sois installé là-bas et non au côté de Lyson. Ce n'est pas que je n'ai pas envie de lui parler. Bien au contraire, j'aurais apprécié rattraper le temps perdu avec elle. Mais, ayant une crainte assez énorme pour les bus. Il m'était difficile de passer outre cette crainte. J'ancre ensuite mon regard sur sa silhouette. Faut dire qu'elle était toujours aussi belle que par le passé. Mais, je m'enlève rapidement cette idée de ma tête. Je regarde par la fenêtre les paysages qui défilaient. C'est vraiment un paradis sur terre la Nouvelle-Zélande. J'étais heureux de m'en mettre plein la vue malgré ma crainte d'être dans ce bus. Toutefois, profiter de ces magnifiques paysages tout seul ne m'intéressait pas. Surtout que je connais la présence de Lyson pas loin de moi. Du coup, je me décide de me lever de ma place, pour aller m'installer à ses côtés. Je viens à lui retirer un écouteur de ses oreilles pour lui dire. « Tu pourrais au moins me faire un beau sourire ? » Dis-je d'une voix taquin !
lyson & tobias
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