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J'étais planté devant elle, tirant le tissu, ou plutôt le drap de mon lit en essayent de dévoiler sa peau nue. Pour le moment seul son dos avait cédé sous mon insistance puisqu'elle avait bloqué mon élan par ses mains porté sur sa poitrine. Mince, je pensais être plus rapide mais visiblement, elle avait deviner mes intentions. Après ses mots remplis de sous-entendues, je ne pouvais qu'afficher un sourire narquois. Et c'est moi qui jouais ? Je n'étais pas le seul à jouer à ce que je pouvais voir. Mise à part quelques remarques sur ses suçons, elle n'avait pas une seule fois arrêté de dire que c'était dommage que ses souvenirs se soient envolés. Bon pour la robe, j'avais peut être un peu déconné pour le coup, mais j'étais quelqu'un de parole et je comptais lui en acheter une, plus jolie que ce vieux bout de chiffon. J'aimais les femmes classes, avec une élégances même et mes parents m'avaient depuis tout petit enseigné tout ça. J'étais riche, le seul hérité d'une famille ayant un capital supérieur à ce que tout le monde pourrait pensé, il était normalement que le dress code fasse parti de ma vie. A quoi je joue ? Répétais-je avec une pointe d'interrogation dans la voix, montrant ma surprise face à cette demande. J'étais un charmeur et même face à cette espèce de pitbull, j'étais obligé de céder. Je ne pensais pas paraître si faible sous son charme alors qu'elle détenait un caractère si repoussant. C'est bien possible. Répondis-je en me rapprochant d'avantage de la jeune femme, diminuant alors l'espace entre nous. Je ne savais pas dans quoi je m'embarquais mais j'y allais et sans prendre de gant. Tu veux que je t'aide à enfiler ta chemise ? Demandais-je en haussant les épaules, jouant l'ignorant, l'air de rien. Je posais par la suite mes mains sur ses joues, enlevant de mes pouces son maquillage noir ayant coulé. Bon, là tu ressemble comme même à un zombie. Dis-je tout à coup cassant alors le moment presque excitant que je voulais mettre en place. J'étais obligé de faire redescendre cette palpitation dans mon coeur seulement en l'a touchant. J'avais un faible pour les jolies jeunes femmes et j'en avais une devant moi. Problème. Par la suite, mes mains glissèrent sur sa peau, le long de son cou, de ses épaules et enfin de sa taille. Je rencontrais de nouveau de tissu sous mes doigts ayant une envie fulgurante de lui enlever. Enlève ça. Grognais-je en plantant mon regard bleu dans le sien, pénétrant ses pupilles avec aisance. Mon caractère autoritaire refaisait surface malgré moi et surtout quand je voulais quelque chose tout de suite.
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