Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityKONRAD ✤ Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix.
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KONRAD ✤ Les ennuis, c'est comme le papier hygiénique, on en tire un, il en vient dix.

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Jour 6

       
Zoro est arrivé (a) sans se presser.

       
Heure : Minuit voir plus (a)
   Lieu : A la sortie d'un petit bar convivial.
   Contexte : A force de boire & fumer et de trainer avec n'importe qui. Les ennuies arrivent toujours au bout d'un moment.
   Participants : Rien que toi & moi. Konrad & Apo ♥

   


« Encore un verre pour la belle blonde. » ta tête commençait déjà à te taper, tu commençais à voir à moitié flou, tu étais morte. Totalement morte que tu ne savais même plus ce que tu faisais, ce que tu allais faire par la suite et comment tu allais sortir de cet endroit. Tu attrapais de ta main gauche le verre que tu buvais d'un seul coup, reposant lourdement celui-ci sur le comptoir. Tu arrêtais, tu devais arrêter, tu étais mal, tu commençais vraiment à te sentir mal. Ta tête tournait, tes mains commençaient à trembler, tu commençais à partir, oui partir. Cette sensation étrange qui te faisait du bien comme du mal. Tu rigolais et tu te laissais aller contre un jeune homme que tu ne connaissais pas, il te tenait par la taille, doucement et commençait à te faire traverser la pièce à l'aide d'un de ses amis. Tes bras étaient sur les épaules des deux mecs et tes jambes commençaient à se dérober sous ton poids, tu perdais un talon puis le deuxième. Ils prenaient le temps de les ramasser et te sortaient du bar. Tu ne savais pas ce qui allait t'arriver, ta tête basculait en avant tel un cadavre. « Putain. » soufflais-tu doucement, tu te sentais mal et tu savais que dans quelques minutes tu allais vomir tout ce que tu avais pu ingurgiter. Tu avais fumé deux joints en moins d'une heure d'intervalle et un nombre incalculable de verres que tu avais enchaîné sans même prendre le temps de manger quelque chose. Tu tombais d'un seul coup à genoux sur le trottoir, une douleur qui te tirait dans chaque genoux, tu sentais ta veste glisser le long de tes bras sans que tu puisses comprendre quelque chose. « Arrêtes. » lâchais-tu doucement.
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Je sortais tout juste d'un bar, non je n'étais pas complètement déchiré, j'étais sobre, je ne m'étais contenter que d'un verre de whisky, ce soir je n'avais pas envie de faire la fête, de me déchirer la gueule, je voulais rentrer à l'hôtel et me reposer parce que j'étas mort, le rythme à suivre devenait dur et c'est sur e chemin en rentrant vers l'hôtel que je vis une blonde par terre, elle semblait en mauvais état et en me rapprochant je remarquais que c'était Appo, mais qu'est-ce qu'elle foutait là dans un état pareil ? Appo ?! dis-je arrivé à sa hauteur, elle était accompagnée de deux mecs dont un tenait ses escarpins, je les regardais noir avant de me baisser pour essayer de la relever, elle était complètement morte, raide à chier, autant dire ce qui était Appo, ça va ? demandais-je quand même, il me fallait vite une explication où je crois que ces deux gars près d'elle passeront pour des coupables.
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Tu n'aurais pas du boire autant, mais les personnes de cette ville étaient bien plus sympathiques. Ils t'offraient autant de verre que tu voulais, mais tu ne savais pas ce qui se passait par la suite. Ils n'étaient certainement pas aussi sympathiques que tu le pensais. Puisqu'ils te traînaient dehors sans même que tu sois d'accord. Mais tu n'avais vraiment pas le choix, tu ne pouvais résister, tu étais totalement morte. La fatigue, l'alcool et la drogue ne faisait jamais bon ménage et pourtant tu le savais. Tu étais parfois folle, ou même toujours, tu étais limite sur le point de te faire violer par deux inconnus. Tu n'avais plus que tes yeux pour pleurer, ils te tenaient tellement fort, que tu n'arrivais même plus à bouger tes poignets et tu te retrouvais au sol. Les genoux plaqués contre le trottoir, la tête qui basculait en avant et ta veste venait de tomber à tes côtés. Un des mecs avait pris soigneusement le temps de te l'enlever et il n'allait certainement pas s'arrêter à là. Tu avais beau souffler quelques mots, ils s'en foutaient totalement. Alors que tu pensais que tout était fini pour toi, tu entendais une voix, qui au final n'était pas bien loin voir devant toi. Tu sentais quelqu'un qui te relevait, quelqu'un qui te prenait près de lui. Tu ouvrais les yeux et tu remarquais que c'était Konrad. « Non. » soufflais-tu, tu ne pouvais dire que ça, tu n'arrivais pas à trouver des mots, tu n'arrivais à rien.
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Je ne revais pas, il s'agissait bien d'Appo par terre, elle était dans un sale état, j'avais pas mis de temps à arriver vers elle et je voyais deux mecs qui étaient là, un avait ses escarpins et l'autre sa veste, je sentais quelque chose de louche là, je lui demandais si ça allait en me baissant pour essayer d'entendre quelque chose mais mon dieu quel piteux état, elle n'arrivait presque plus à ouvrir les lèvres, à articuler, elle était pire que bourrée là et ces mecs derrière elle, que voulaient-ils ? Je me redressais pour leur parler Pourquoi elle est dans cet état ? leur demandais-je, ils avaient nteret à me donner très vite une réponse, personne ne pose la main sur Appolinarya, personne et j'ai vraiment un doute en les fixant, ils sont louchent.
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Tu avais l'impression d'entendre trois fois ce qu'il disait, chaque mot résonnait une ou deux fois dans ma tête. Tu avais envie de partir, de partir loin d'ici. De dormir ou même de décuver, mais rester ici ne t'aiderait pas non, loin de là. Tu tombais à moitié dans les bras de Konrad, un soulagement, mais tu avais honte. Honte qu'il te retrouve dans cet état-là. Tu essayais de rester stable, de rester debout mais tu étais à bout de forces et tu posais ta tête contre son torse, comme pour te calmer et te retenir. Tu respirais rapidement bien trop rapidement, tu avais l'impression que ton cœur allait lâcher et que ta tête allait exploser. Ce qu'ils te faisaient ? Tu ne pouvais pas dire quelque chose, non tu ne savais pas. Mais, eux, n'avaient rien trouvé de mieux que de dire « On l'aidait, c'est tout. » ils avaient lâché tes escarpins et ta veste au sol et rentraient de nouveau dans le bar. Tu étais totalement déconnecté, tu ne pourrais même pas marcher cinq mètres avant de t'effondrer au sol, tu serais capable de dormir sur le trottoir dans cet état.
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Appo c'est la prunelle de mes yeux, certes il y avait Melody mais depuis la bombe, j'ai renforcer ce coté protecteur et possessif avec Appo, alors quand je vois ces deux mecs prêt d'elle, je les regarde noir, normal je ne les connais pas et je la découvre dans un état pitoyable,. Je l'aide à se relever, elle ne tient quasiment plus sur ses jambes, elle s'aggripe à mon t-shirt, sa tete reposant contre mon torse, je la tiens d'un bras par la taille, je ne quitte pas les deux autres des yeux leur demandant pourquoi était-elle ainsi et ils me répondaient juste qu'ls l'avaient aidés Ouais cassez-vous. murmurais-je les voyant rentrer dans le bar, ils avaient lâchés la veste et les escarpins d'Appo, ce n'est qu'une fois la porte du bar refermée que je me préoccupais d'elle. Bon bébé, je connais qu'un remède contre cet état. la soutenant toujours je récupérais ses escarpins et sa veste puis je la prenais dans mes bras pour la ramener à l'hôtel et en moins de deux nous étions dans ma chambre. Je la reposais sur le couvercle des chiottes, elle ne tenait même pas assise, c'était vraiment pas croyable, je m'accroupissais pour lui tenir les joues, elle arrivait à peine à ouvrir les yeux, mon dieu c'est bien la première fois que je la voyais dans un état pareil. Je la déshabillais puis je la portais de nouveau dans la douche, je m'en fou si j'étais habillé mais de l'eau froide lui fera du bien, je tournais les robinets et c'est de l'eau froide qui lui coulait dessus, elle allait aller mieux, enfin je l'espère.
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Ils partaient rapidement, ils ne faisaient même plus attention à toi. En même temps tu servais pratiquement à rien vu ton état, ils n'auraient rien pu faire du moins pas grand-chose. Tu tombais rapidement dans les bras de ton ami, dans ses bras, là où tu te sentais si bien et protégée. Tu fermais les yeux, tu avais besoin de te reposer et de te calmer. Il ramassait tes affaires et d'un seul coup, il te prenait dans ses bras et tu laissais un léger sourire apparaître sur ton visage. Tu ne pouvais pas faire mieux et c'était déjà mieux que rien. Un léger sourire que tu offrais seulement à lui et tu déposais de nouveau ta tête contre lui, te laissant bercer par son allure et en peu de temps tu te retrouvais tout d'abord vers les toilettes et il te déshabillait. Tu ne pouvais rien faire et pourtant tu le laissais faire, tu lui faisais confiance, tellement confiance qu'il pouvait tout te faire sans que tu lèves le petit doigt. Il te déposait dans la douche et faisait couler l'eau froide sur ton corps. Tu ouvrais avec du mal tes yeux et tu essayais de te plaquer contre la paroi, tu voulais échapper à ce jet d'eau froide. Tu savais comment tu allais finir, tu allais vomir et ça pendant un bon moment et tu ne voulais pas le faire devant lui. Tu te retenais, posant ton regard dans le sien « Tu veux me tuer avec ce froid ? » tu te recroquevillais sur toi-même, tu ne supportais pas l'eau froide, tu commençais à frissonner, tu commençais à réellement avoir froid. « Pourquoi tu viens pas me réchauffer ? » tu disais des choses que tu ne pensais pas, du moins que tu ne contrôlais pas. Demain, tu allais le regretter.
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Je ne l'avais jamais vu dans un état pareil, sérieusement c'était bien la première fois que je la voyais si mal au point, quasiment incapable de tenir debout, d'ouvrir les yeux, de parler et d'articuler, elle était pire que bourrée, c'était la total, drogue plus alcool, jamais ça n'a fais bon ménage, je devrais fermer ma gueule là-dessus parce que c'est ce que je fais depuis huit ans. Quoiqu'il en soit les gars louchent lâchaient les affaires d'Appo et retournaient au bar, je la prenais dans mes bras après avoir récupérer ses affaire set je la ramenais à ma chambre à l’hôtel. Une fois à l'intérieur, je la déshabillais pour qu'elle prenne une douche et je faisais couler le jet d'eau en plein sur elle et ça avait l'air de faire son effet Te faire revenir à la réalité surtout. lui dis-je alors qu'elle se recroquevillait sur elle-même, elle détestait les douches froides, je ne savais mais il n'y a rien mieux qu'une douche froide pour se remettre les idées en place même dans un état comme celui d'Appo. Et là voilà qui veut que je la réchauffe, je souriais faiblement Non Appo. jarrêtais les robinets, assez d'eau froide avait coulée sur sa peau, je sortais de la douche pour prendre une serviette et l'enrouler autour d'elle Aller viens. dis-je l'aidant à sortir de la douche, déjà elle arrivait à tenir sur ses jambes Qu'est-ce qui s'est passé là-bas sérieux ? demandais-je en fritant la serviette contre elle pour qu'elle se réchauffe et l'essuyer en même temps, elle à sa tête reposée contre mon torse pendant que je l’essuie, elle est vraiment dans un sale état.
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Tu ne pouvais pas rire, non il n'avait pas envie de rire. En même temps ça se comprenait vu ton état, il pouvait se poser des questions et s’inquiéter. Tu soupirais et tu commençais à reprendre tes esprits, doucement mais sûrement. Tu savais que tu allais prendre cher demain, tu n'avais qu'a pas picoler comme un trou. Tu le regardais, tu ne le lâchais pas du regard et tu faisais ta tronche de bébé panda triste pour essayer de l'amadouer. Mais rien n'y faisait, il restait toujours de marbre, bien trop sérieux et ça commençait à t'inquiéter. Tu l'avais rarement vu comme ça et tu ne comptais pas te retenir de dire ce que tu pensais. En même temps, tu étais tellement pleine que tu ne pouvais pas retenir les mots que tu voulais balancer. « J'aime par quand tu es comme ça. » laissais-tu sortir de ta bouche, tu commençais à faire la gueule. Oui tu pouvais changer d'émotion d'un seul coup, c'était certainement l'alcool qui te faisait ça. Il ne voulait pas te rejoindre et tu l'avais amplement mérité, tu te levais doucement avec son aide et tu t'enfilais dans la serviette et tu le laissais t'essuyer. Tu posais ta tête contre son torse, et tu t'accrochais à lui pour ne pas tomber ou glisser. Tu déposais un baiser sur sa joue avec un léger sourire « merci. » lançais-tu rapidement.
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Je n'étais vraiment pas d'humeur, elle me décevait à finir aussi mal, c'était tellement pas elle, ok boire et fumer ok, je lui en voulais pas, être bourrée ou à la limite déchiré ça je lui en voulais pas mais être un vrai cadavre, non. Je l'avais récupéré en petit morceaux dans la rue, je l'avais ramener dans mac chambre et là elle reprenait ses esprits sous une douche froide, rien de tel pour contrer les dégâts de l'ivresse et de la défonce et même si maintenant elle pouvait parler assez aisément, elle était toujours dans un état pas stable et elle voulait que je la réchauffe, elle savait plus ce qu'elle disait Bah t'as pas le choix, j'vais pas te laisser crever dans le caniveau. lui dis-je arrêtant les robinets pour chercher une serviette et l'enrouler dedans avant de la sortir de la douche. Elle pouvait maintenant tenir sur ses jambes, elle s'était collée à moi alors que je la frôtais pour l'essuyer et la réchauffer, elle me remerciait à haute voix et avec un baiser sur es lèvres, mais elle ne répondait pas à ma question Répond moi qu'est-ce qui s'est passé ? lui demandais-je, avant de la frocer à me regarder, posant mon index sous son menton pour que ses yeux ffixent les miens.
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