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JARIELLE + I wanna feel like you've let me go, so let me go.

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Jour 2

   
i'm sorry.

   
Heure : 12h00
Lieu : plage, wellington.
Contexte : une petite explication s'impose.
Participants : Jamie & Arielle.



Dimanche, deuxième journée du séjour, le commencement de tout. Aujourd'hui nous a été présenté comme une journée libre, autrement dit pas de visites ni de sortie organisée, ce qui, je dois bien l'avouer, n'est pas plus mal. Ce matin, après m'être réveillé dans un lit n'étant pas le miens, j'ai filé dans ma chambre pour me laver et me changer avant de rejoindre ma meilleure amie, Emily en terrasse pour discuter de nos premières impressions. J'avais beau avoir passé le vol entier avec elle la veille, j'avais besoin de la voir et j'avais un million de chose à lui raconter déjà. Cette Cabot là, c'est un peu mon journal intime quand on y réfléchi bien, je lui raconte un peu tout, je lui demande presque tout le temps son avis autant pour des choses importantes que futiles. Je suis même capable de lui téléphoner quand j'ai acheté des sous-vêtements et que je veux son avis de vendeuse avérée. Alors que je m'apprêtais à lui raconter ma vie, j'avais été interrompu par une adorable tête blonde que je ne m'attendais pas à trouver ici ; ma cousine. Finalement, elle nous a rejoint et nous avons passé un moment toutes les trois. Je leur aurais bien dédié toute ma matinée, mais entre temps j'ai reçu un message de Jamie me demandant de le rejoindre à la plage pour midi. J'ai beau les aimer comme il n'est pas permis ces deux filles, d'elles à Jamie le choix était vite fait. J'ai donc rapidement pris la route pour la plage les laissant toutes les deux, en confiant bien à Emily la mission de rendre soin de ma tête blonde. C'est probablement le seul membre de ma famille qui a une véritable importance pour moi désormais. Après une petite marche d'une dizaine de minutes j'ai fini par arriver à la plage, sans me perdre ce qui est quelque chose d'incroyable quand même. J'avais peur de ne pas le trouver de suite sur cette immense étendue de sable, mais forte heureusement pour moi il ne s'était pas mis bien loin. Retirant mes chaussures avant de m'avancer sur le sable chaud d'un pas rapide, je le rejoins facilement pouvant alors constater que monsieur avait pris le soin de nous organiser un pique-nic. Bonjour m'sieur. lâchais-je tout sourire avant de venir déposer un baisé sur sa joue et de m'asseoir à ses côtés. Décidément, ce spring break commence merveilleusement bien.
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Ça faisait une heure que je préparais l’endroit idéal pour le pique-nique. J’avais tout préparé depuis hier soir, l’ambiance, le déroulement, l’amusement. J’avais choisie la plage, parce que je voulais qu’on puisse se baigner et partager du bon temps pour une fois. Je lui envoyais un message pour lui donner rendez-vous à midi tapante, et je savais qu’elle serait là. Je savais qu’elle serait à l’heure. J’avais fait le voyage avec Skyler, mais j’aurais vachement préféré que ce soit avec cette beauté qui me trouble le cœur.  Non pas que je n’étais pas heureux d’avoir été pendant ces longues heures avec une personne qui compte pour moi, mais parfois je préférerais juste poser mon regard sur Arielle pour être paisiblement heureux. Je faisais des vas et viens sur la plage, jusqu’à me couper le gros orteils sur un putain de coquillage, je m’étais roulé dans le sable, de douleur parce que merde, c’était vraiment pas la chose la plus agréable au monde. Jusqu’au moment où je décidais de prendre un grand bol d’air et de souffler encore et encore, jusqu’à tendre le bras et accéder à mon sac. J’en sortais un pansement, mon seul et unique, que je collais sur la plaie. Appuyant légèrement pour que le sang s’arrête de couler. Et je la voyais, Arielle. Elle arrivait sur la plage et enlevait ses chaussures pour me rejoindre. Je souriais quand je la voyais s’approcher. Jusqu’au moment où elle venait poser ses lèvres sur ma joue. C’était un véritable bisous d’honneur ça. « Hey ma belle sirène. » Je souriais et me rapprochais d’elle quand elle était finalement assise, laissant glisser mes lèvres dans le creux de son cou pour y déposer un baiser. Puis je revenais à ma place, la regardant amoureusement avec le sourire sur mon visage. Collé à ce dernier. « Alors tes premiers jours se passent comment ? » Sérieusement, je ne savais pas trop comment prendre le fait de ne pas avoir été avec elle dès le premier jour. Ça me hantait complètement de me dire qu’elle avait passé une première soirée sans moi. Je voulais passer le plus de temps possible avec ma sirène avant le retour pour l’école, était-ce un crime ? Certainement pas.
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Il y a un truc complètement dingue, un truc que je ne m'explique pas, mais qui se manifeste assez souvent. Chaque fois que Jamie m'envoie un message et qu'il me notifie qu'il a envie de me voir, qu'importe ce que j'ai pu prévoir et l'endroit où je suis, je lâche tout, j'arrête tout et je me sauve sans même prendre le temps d'y réfléchir. J'ai essayé une fois de ne pas courir le rejoindre, mais en bonne faible que je suis, je n'ai clairement pas réussi à attendre plus de vingt minutes avant de le retrouver. Encore une fois ça se vérifiait. J'étais en bonne voix pour passer une belle journée entre filles et arpenter la ville à la recherche de jolies boutiques à dévaliser, mais il en avait voulu autrement et il en était donc autrement. Je crois que c'est aussi parce que je ne l'ai pas vu depuis cette nuit à la mather, quelques jours avant le départ pour la nouvelle-zélande. Même en embarquant, je ne suis pas tombée dessus, ni même sur skyler d'ailleurs. J'ai donc fait le voyage avec la cabot de ma vie. Arrivant à la plage, je retire mes chaussure pour fouler le sable chaud de mes pieds nus. J'ai toujours aimé cette sensation, probablement à cause de mon côté sirène. Je presse le pas et rejoint vite le brun, déposant un baisé sur sa joue avant de m'asseoir près de lui. Il en profite pour se rapprocher et glisser un baisé dans mon cou. Un frisson me parcours le corps tout entier avant de disparaître et de m'arracher un sourire. Eh bien, ça va. dis-je, alors qu'il m'interroge sur le déroulement de mes premiers moments à wellington. Une once de culpabilité me parcours, mais je la repousse férocement. Pas maintenant, pas tout de suite. T'as un peu annulé ma journée entre filles par contre. un petit rire s'échappe alors que j'essaie de prendre un ton accusateur, juste pour l'embêter un peu. Et pour toi, ça a été ? Je ne t'ai pas vu pendant l'embarquement. Ni même dans l'avion en fait. T'as fait le trajet avec qui ? demandais-je, peut-être un peu trop rapidement. Je n'ai clairement pas envie d'aborder un sujet fâcheux maintenant, j'aimerais bien pouvoir profiter un peu.
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Arielle, c’est la fille que j’aime. Si jamais demain je ferais une connerie, j’attendrais qu’elle vienne me remettre les idées en place, principalement parce que je sais qu’elle prendrait aussi conscience d’une chose à ce moment-là. On était amoureux, mais elle n’était pas prête à se laisser aimer des autres, et je l’acceptais complètement, je l’acceptais pour ne pas la perdre. Quand je déposais mes lèvres dans son cou, je voyais un sourire se mettre sur ses lèvres, sur son si joli minois. Elle allait bien, et je souriais de bonheur, parce que j’aimais le fait qu’on aille tous les deux bien pour une fois, qu’aucun de nous n’avait merdé. « Tant mieux alors, on pourra enfin passer une journée normale. » Je lui demandais par la suite comment c’était passé ses premiers pas ici, et selon son teint ensoleillé, je comprenais qu’elle devait adorer ça, la liberté de cette île. Elle prenait la parole pour dire que j’avais gâché une journée entre fille, et j’ouvrais un peu la bouche, pas très à l’aise avec cette discussion. « Pourquoi tu n’as pas annulé pour rester avec elle ? » Elle rigolait, laissant un sourire sur ses lèvres avant de me demander comment ce passait ma vie jusqu’ici. Elle ne m’avait pas vue à l’embarquement, comme je ne l’avais pas vue non plus, et c’était assez frustrant, car je m’étais demandé durant tout le voyage ce qu’elle pouvait bien faire. Elle me demandait avec qui j’avais fait le trajet, et sérieusement, je n’avais rien à cacher de ce que je faisais, alors je répondais de manière honnête. « C’est génial pour le moment, je suis super heureux. Par contre, je ne t’ai pas non plus vue à l’embarquement, et encore moins dans ce truc qui vole au dessus de l’océan. Mais, bon j’étais avec Sky donc c’est passé vite comme vole. Et toi tu étais avec qui ? Tu as fait des rencontres jusqu’à présent ? » Oui, je fouinais, mais je voulais de l’honnêteté, autant que je lui en donnais. Je voulais qu’on puisse tout se dire sans avoir peur, sans regarder à côté, en étant simplement nous.
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Le spring break est clairement l'un des événements que j'attends le plus chaque année. Premièrement parce que j'adore faire la fête jusqu'à pas d'heure et me dorer la pilule au soleil et deuxièmement parce que j'ai toujours adoré voyager, découvrir de nouveaux endroits, de nouvelles cultures. Je n'avais jamais eu le loisir de poser les pieds en nouvelle-zélande, ce voyage me permet donc une découverte complète. Puis, ça fait toujours beaucoup de bien de changer d'air, c'est ressourçant. Assise près de lui, je compte bien profiter de cette journée et de ce cadre idyllique pour passer un bon moment, parce que l'air de rien en ces derniers temps nos véritable bons moments ce font rares. Lorsqu'il me notifie que nous allons enfin passer une journée normale, il fait naître un léger sourire en coin. Il a donc prévu de m'accaparer toute l'après-midi aussi. Un mélange d'excitation et d'impatience prend vie au creux de mon ventre. J'ai vraiment d'oublier toutes les tentions qui nous ont animés dernièrement. Tout simplement parce que je préfère être avec toi. dis-je, tournant le visage pour trouver son regard alors qu'il me demande pour quelle raison je n'ai pas annulé pour rester avec les filles. Un après-midi commérage, découverte et fou-rire ça se déplace, pas une après-midi avec lui. C'est bête, mais je n'aime pas avoir à annuler ou à déplacer quoique ce soit avec lui. Affichant un sourire, je lui demande ensuite avec qui il a fait le trajet et je dois dire que j'aurais pu y mettre mon bras à couper sans prendre de risque. Skyler, j'en viens à me demander si elle le lâche un peu parfois, m'enfin. Oh, j'ai fait le voyage avec l'amour de ma vie, la cabot de mon coeur. Ce fut pleins de rebondissements d'ailleurs ! lançais-je avec un sourire trop large pour visage. Emily est clairement ma plus belle histoire d'amitié et je l'aime comme pas permis. Et, euh, ouais, j'ai rencontré un Italien. Et j'crois que j'ai aperçu mon demi-frère aussi, mais je n'en étais pas certaine alors bon, j'ai pas bronché. annonçais-je en soufflant. Pitié, pas de question sur Umberto, pitié.
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Ma plus belle réussite c’était d’enfin pouvoir être avec Arielle, avec cette fille qui faisait battre mon cœur sans cesse. Dès que ses yeux se posaient sur moi, je m’imaginais l’embrasser pour toujours, mais je me retenais, bien sûr. Parce que si nous devions passer le reste de notre vie sur cette plage à s’embrasser, nous aurions des coups de soleil pas possible, enfin, des bronzages atroces avec les marques de vêtements. Je voulais passer plus que cette journée avec Arielle, je voulais passer le reste du séjour à la regarder, mais je savais bien que ça ne pourrait pas être possible, que nous serions forcément submergé avec nos amis à un moment ou à un autre. Mais, je me rendais compte grâce à elle, qu’elle n’avait même pas bronché sur le fait de déplacer son après-midi de fille. Je devais vraiment être un petit veinard, et un charmant compagnon de journée. « Tu ne peux pas savoir à quel point je suis heureux de l’entendre. » Elle préférait être avec moi, et je peux vous dire que le fait qu’elle dise une phrase comme ceci n’était pas commun avec cette brunette. Ho non, il fallait normalement insister pour avoir ne serait-ce qu’un je t’aime bien. Mais là, le changement d’air, l’horizon nouvelle, tout ça nous faisait du bien, j’avait l’impression d’être plus en communion avec elle que jamais. « Cool, on a été bien accompagné alors durant le vol. » Je ne rigolais pas. Je savais que Skyler pouvait en énerver plus d’un, mais là, j’espérais vraiment qu’Arielle n’était pas jalouse de la relation que j’entretenais avec elle, ça aurait été idiot, franchement. Puis, Skyler c’est pas le genre de fille à ce prendre la tête donc, il ne fallait pas s’en faire. C’était comme ma sœur, rien d’autre. « Un italien ?! » Ouai, je n’avais même pas écouté le reste de sa phrase, j’avais juste entendu ça. Elle le qualifiait par ses origines, ce qui ne me plaisait pas du tout, on aurait dit qu’il avait de l’importance, et quand je répétais ce mot, je voyais que quelque chose clochait mais je ne savais pas vraiment quoi. « Il s’appel comment ? Vous avez passez la journée ensemble pour découvrir les environs ou… ? Vous avez fait quoi ?! » Ouai, j’étais la pire fouine du monde, mais elle venait de me donner une excellente raison d’être inquiet, alors bon, autant ne pas se laisser beurrer.
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J'ai la sensation que l'air ici me rend plus joyeuse. Je crois que c'est probablement dû au fait d'être un peu loin des tentions avec mon père, de ne pas avoir Ruben sur le dos et plus encore d'enfin pouvoir profiter du beau temps ! Le soleil a toujours tendance à rendre les gens un peu plus heureux et motivé. Je dois bien admettre que c'est quelque chose que je ne comprends pas, mais ça a de l'influence sur moi aussi. Sur la plage le temps est au beau fixe et la chaleur se fait ressentir ce qui me pousse à retirer ma robe pour pouvoir bronzer un petit peu. Apparemment, nous étions là pour un moment et il serait idiot de prendre du retard en ce qui concerne le bronzage. J'aimerais bien rentrer avec le teint bronzé un peu parce qu'être blafarde ça va bien deux minutes. Une fois ma robe retirée je reprends ma place, esquissant large sourire lorsqu'il me notifie être heureux de d'entendre que je préfère lui consacrer mon temps. J'ai fait un grand pas là. Un pas énorme même et j'ose espérais qu'il le remarquera. Il en vient ensuite à me parler de son voyage avec Skyler et moi du miens. Clairement, je l'aime bien sa blonde, mais à petite dose et je crois qu'en ce moment elle me tape un peu sur les nerfs. Faut dire qu'il suffit d'un rien pour me mettre en rage en ce moment. Je force un sourire, qui se révèle être un rictus un peu tordu, faut croire que finalement je ne suis pas toujours douée pour faire semblant. Ouais, un Italien. Umberto. dis-je, essayant de repousser le vent de culpabilité qui monte en moi. Il m'assaille de questions, si bien que j'en reste incrédule pendant quelques secondes. Je l'ai rencontré hier soir, par maladresse. J'lui ai foncé dedans en fait, parce que je cherchais un visage amical dans la foule. Et, il m'a aidé à monter mes bagages bien gentiment. dis-je, d'une voix que je veux neutre. Je me sens mal. J'sais que je vais tout gâcher, encore une fois et bordel, ça me tue intérieurement.
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Un italien, un italien. C’était quoi exactement ça, une race que peu de gens pouvaient haïr, parce que plus elle commençait à parler de ce mec, plus je me sentais m’emporter dans mon fort intérieur. Mais, je ne laissais rien retranscrire, rien du tout. Je montrais de grand sourire et je pensais au fait qu’elle allait sans doute pas passer tout l’après-midi avec moi. Enfin, je n’en avais plus très envie sur le coup. J’avais trop peur d’apprendre qu’elle avait couché avec lui ou un truc du genre. Je commençais à m’inquiéter. Je détestais m’inquiéter comme ça, je détestais me prendre la tête avec elle, j’avais juste l’impression d’être trop con pour la mériter. Puis, si jamais je ne me trompais pas, je serais le plus grand des abrutis, celui qu’il vaudrait mieux tout de suite jeter dans la mer et ne jamais chercher à le récupérer. « Waw, il t’a aidé à monter tes bagages… » Sarcastique ? Un peu oui. J’enfonçais mes pieds dans le sable, de plus en plus, mais je les ressortais en hurlant de douleur. « Merde ! Fuck ! » Putain de crabe de merde, j’allais le tuer moi, j’allais le tuer et le bouffer pour me venger, c’était clair. Je sautillais, parce que j’avais la douleur de ma vie, mais aucune larme ne sortait, parce que je n’en voyais pas l’utilité, je n’en voyais pas la peine, il aurait beaucoup trop à gagner à me faire pleurer ce stupide animal. Je revenais vers ma serviette où j’étais assis et je m’étais mes pieds bien en évidence devant mes yeux, avant de prendre un air un peu triste. « Désolé, mais je crois que je suis jaloux, que tu passes du temps avec d’autres mecs. J’ai même imaginé que tu as pu coucher avec lui, ce qui est juste débile, n’est-ce pas ? » Je partais à rire, complètement. Je me disais que j’étais complètement nul et qu’elle allait bientôt mettre fin à mes interrogations, qu’elle allait bientôt me rassurer pour le coup. Qu’elle me dirait que rien ne c’est passé. C’est tout ce que je voulais entendre. Elle pouvait le trouver beau, charmant et tout ce qui va avec, mais je ne pouvais pas croire qu’elle était allée plus loin. Ce n’était pas une fille facile après tout, hein ? HEIN ?!
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Je déteste ça. Je déteste cette situation. Je me déteste moi. Quand j'ai émergée ce matin, j'ai eu envie de me gifler. La nuit avait été bonne, certes, mais tout ce qui allait en découler ne le serait pas et j'en avais bien conscience. J'ai laissé cette limite avec le brun dans l'espoir de ne pas lui faire trop de mal. Je ne suis pas faite pour être avec une personne, une seule. Je l'ai fait une fois, j'ai fait de mon mieux, mais ça n'a pas suffit et je me suis vue abandonné comme rien. Je n'ai pas envie de vivre ça de nouveau parce qu'il est certain que je ne suis pas assez bien pour lui et qu'il finirait par prendre ses jambes à son cou pour me laisser seule avec moi-même. C'est tout ce que je mérite de toute façon, être seule et ne pas recevoir d'amour. Je savais que j'aurais à lui parler de Umberto, mais je dois bien avouer que je me voyais lui dire après avoir passé un bon moment. Je suis faite pour gâcher les choses, il n'y a pas d'autre explication. Son sarcasme me fait grincer des dents, j'ai horreur qu'il fasse ça, ça me donne clairement envie de le frapper en pleins visage. Lorsqu'il se met à s'agiter parce qu'il a mal, je me mords la lèvre inférieure pour retenir un sourire mal venu, surtout après ce que j'ai à lui dire. Il reprend sa place et doucement je fais glisser ma main pour qu'elle trouve la sienne et mêler nos doigts. J'ai besoin de le faire, parce que c'est surement la dernière fois. Les yeux rivés sur nos mains, l'envie de pleurer me prend. Je lui donne des coups pour la repousser, mais elle semble tenace. Il aimerait que je le rassure, mais je ne peux pas lui mentir. C'est pas stupide Jamie. C'est naturel, parce que tu sais que je ne suis pas quelqu'un de bien. Et.. tu as raison. lâchais-je d'une voix étouffer. Il va détacher nos mains, se lever, partir et moi, je n'aurais que mes yeux pour pleurer. Mais merde, pourquoi je ne suis pas comme tout le monde ? Pourquoi je n'y arrive pas moi ? Le regard vers la mer pour ne pas lire la déception sur son visage, j'éprouve la soudaine envie de me noyer. Mais la vérité, c'est que je me noie déjà. Je me noie depuis qu'il est là parce que je refuse de le laisser m'aider.
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Sa main s’ancrait dans la mienne, comme si elles étaient destinées à être ensemble pour le reste des temps. Je ne sentais rien de bon à cette petite attention, et j’avais sans doute raison, parce que ça voulait tout dire, vraiment tout. Elle me donnait raison, sur mes inquiétudes, sur mes peurs, et je ne pouvais que la regarder en suspension. Je ne savais pas comment le prendre, comment faire pour pardonner. La nouvelle me restait en travers de la gorge, et je ne détachais pas tout de suite nos mains, j’avais l’impression que c’était la dernière partie d’elle qui m’aimait un temps soit peu. Elle avait fait tellement d’effort en arrivant, était-ce pour m’annoncer ça plus tard ? Pour me démolir ainsi ? Sans doute. Arielle devenait une étrangère pour moi à chaque fois qu’on se prenait la tête. C’était insupportable de me dire que cette fille que j’aimais allait sans doute me changer à tout jamais. Je ramenais sa main coller à la mienne vers ma bouche pour y déposer un baiser sincère, ainsi qu’une larme de désespoir. « Au fond, t’ais-je déjà réellement connu une fois dans ma vie ? » Je coupais le lien qui nous unissait et me levait d’un bond, passant mes mains dans mes cheveux, laissant mes larmes se dissoudre sous la chaleur ardente du soleil. J’aurais aimé qu’elle me dise que c’était une blague, que rien de tout ceci n’était réel. Mais comment faire pour que ce qui était le plus logique devienne invisible. Je me tournais vers elle et voyais qu’elle regardait l’immensité de l’océan. « Je ne sais pas qui tu es Arielle ! Je ne sais plus… Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi tu me détruis quand tout devient plus simple. Tu me détestes à ce point là ?! »
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