UMIELLE + Nice to meet you.

Je déteste les stéréotypes, mais je dois bien avouer que j'ai tendances à en alimenter certains. Comme celui qui dit que les gens de l'Est ne boivent que de la vodka ou encore celui qui dit que pour plaire aux femmes il faut un côté protecteur. Particulièrement celui-là en fait, parce que je finis toujours par craquer pour les grands hommes tout en muscle ayant ce côté un peu rassurant. Et plus je le jauge dans ce petit ascenseur, plus je constate qu'il a tout pour me plaire cet Italien. Je me vois stoppé dans l'expertise de son corps tout entier lorsque les portes s'ouvrent et j'en viens à regretter de ne pas être plus haut. Je me dirige alors jusqu'à ma chambre, le laissant seul avec les bagages derrières. Il a voulu les porter, je ne vais pas le priver de ce plaisir. Une fois devant, j'ouvre la porte et entre alors qu'il se contente de déposer les valises à l'entrer. L'endroit n'est vraiment pas mal et retrouver le luxe dans lequel j'ai baigné pendant bien longtemps avant de me retrouver à la Mather House me fait un bien fou. T'auras fini ton boulot uniquement quand tu les auras mises au pied de mon lit tu sais. lâchais-je en riant avant de lui faire face. Il n'allait quand même pas les laisser là et partir, pas vrai ?

Arielle & Umberto
Nice to meet you

mise en page par .Stay Away

Dans l'ascenseur, Berto remarqua le regard que portait la jeune femme sur lui. C'est limite si elle ne le déshabillait pas du regard. Enfin, le brunet ne s'était pas vraiment gêné pour faire la même chose. Il faut dire qu'elle avait l'air d'avoir un corps à la hauteur de sa beauté. Hmm, Arielle, c'est ça ? Il allait falloir qu'il la revoit cette petite, un jour ou l'autre. C'est bien sagement que le brunet ramena ses valises jusqu'à sa chambre. Il n'allait tout de même pas s'imposer sans permission. "T'auras fini ton boulot uniquement quand tu les auras mises au pied de mon lit tu sais". Bizarre, n'est-ce-pas ? Normalement, elle aurait dû se contenter de ce voyage. C'était assez dangereux de demander au winthrop d'avancer jusqu'à cette zone. Soit elle avait une idée derrière la tête, soit elle était vraiment flemmarde. Alors le jeune homme s'exécuta, et avança dans sa chambre bagage en main. Une fois aux pieds du lit, il se tourna vers elle. "Madame est satisfaite ?" Surement pas. Du moins, pas encore. Mais pour ce qui est de la satisfaire, l'italien avait plus d'un tour dans son sac. La regarda de bas en haut, il l'imaginait déjà nu. Viens vite te jeter sur lui, sinon il risque de t'arracher tes vêtements sans que tu t'en rendes compte..

S'il y a bien quelque chose dont je suis fière dans mon caractère, c'est ce côté déterminée et prête à tout pour obtenir que j'ai hérité de mon père. Un féroce homme d'affaire qui a ce qu'il veut, tout le temps. Et, je suis exactement comme lui. Je veux, j'obtiens, qu'importe qu'il y ait des efforts à faire. Ca a toujours fonctionné comme cela, y compris avec les hommes et je dois bien reconnaitre que ça m'a permis de passer de bons moments. En le bousculant, je crois que j'ai officiellement marqué l'ouverture du spring break et de tous ses excès. Il est le premier que je vais faire, je crois. Alors qu'il dépose les bagages comme je le lui ai demandé un large sourire prend de nouveau place sur mon visage. Comme quoi, les mâles peuvent être serviable quand ils le veulent. Je m'avance alors vers lui, réduisant la distance entre nos corps à néant avant de venir déposer mes lèvres sur les siennes doucement. L'envie de laisser ma main courir dans ses cheveux me prend, mais je la retiens et fini par rompre le contact. Prend ça comme un remerciement. lâchais-je accompagnée d'un sourire. Je crois que je me suis décidée ; je le veux.

Arielle & Umberto
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Cette première rencontre est parfaite. Franchement, Berto ne pouvait pas rêver mieux pour un début de Spring Break. Enfin, si.. Peut-être passer un moment privilégié avec elle. Arielle est canon, comment passer à côté ? Il va donc jusqu'à son lit pour ramener ses bagages. S'il peut aller à l'intérieur de la couette avec elle aussi, ça l'arrangerait. Se tournant vers elle, il la regarda s'approcher, un sourire aux lèvres. Finalement, la belle brune dépose un baiser sur ses lèvres, un baiser que l'italien prolonge, plaçant ses mains sur ses hanches. "Prend ça comme un remerciement". Il sourit, se mordillant la lèvre. Voulait-elle vraiment s'arrêter à ça ? "Tu vas te contenter de ça ?" Ses yeux prouvaient le contraire. Elle avait envie de sexe, c'est évident. Au moins autant que lui. "Car moi, non.." dit-il doucement, avant de venir retrouver ses langues. Passant la barrière de ses lèvres, il vient jouer avec sa langue, glissant ses mains jusqu'à ses fesses qu'il empoigne, avant de descendre ses baiser dans son cou, s'attardant quelques secondes sur son oreille qu'il mordille, le souffle dans son cou.

Toi, t'es le genre de fille qu'on esquive quand on est en couple. Le genre qui se prend toutes les réflexions des nanas jalouses, mais qui s'en fou complètement. T'es le genre dangereuse. Le genre qui aime jouer avec le feu, quitte à se brûler les doigts pour le simple plaisir d'observer la flamme. C'est exactement ce que tu fais là. T'approcher, l'embrasser en guise de remerciement et te stopper net, c'est clairement de la provocation à la Sianova. Cela dit, à toi, on ne peut pas te reprocher de te retirer quand ça devient sérieux. T'es une joueuse, une vraie et t'aime qu'on accepte la partie. Sa question t'arraches un sourire. Ses lèvres viennent trouver les tiennes et vos langues se mettent à danser langoureusement. Lorsque ses mains glissent jusqu'à tes fesses pour les attraper avec fermeté tu esquisses un sourire. Tu as un caractère de tigresse, mais tu as toujours aimé les hommes prenant les devants. Vos lèvres se séparent. Il trouve le chemin de ton cou qu'il parsème de baisés ce qui te procure un doux frisson. Le cou a toujours été ton gros point faible. Tu laisses tes mains courir dans les cheveux un moment avant de finalement les descendre pour les passer sous son tee-shirt pour venir lui retirer non sans son aide. A la vue de son torse tu te mords la lèvre inférieure. Appétissant.

Arielle & Umberto
Nice to meet you

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Ça faisait quoi ? Même pas une heure qu'ils avaient atterrit ? Qu'ils avaient voyagé ensuite jusqu'à l'hôtel ? On peut dire que ces deux là ne perdaient pas de temps durant leur Spring Break. Berto n'avait pas encore visité sa chambre qu'il squattait déjà celle de quelqu'un d'autre. On allait quand même pas s'en plaindre, les vacances sont faites pour se lâcher, pour s'amuser. Ils avaient l'air d'être sur la même longueur d'onde ces deux là. Juste deux jeunes qui veulent profiter, avec quelqu'un qu'ils viennent de rencontrer s'il le faut. L'attirance physique est là, le feeling aussi. Alors, pourquoi se priver ? Capturant ses lèvres, il ne tarde pas à jouer avec sa langue. Elle embrasse affreusement bien, ça promet pour la suite. Franchement, si le sexe était à la hauteur de son sex appeal, il allait certainement vouloir la revoir.. souvent. Empoignant ses fesses, il s'attaqua à son cou. Finalement, la belle brune s'attaqua à son t-shirt. "Appétissant". Il sourit, se mord la lèvre à son tour. "Je suppose que ce qui se cache en dessous l'est tout autant" dit-il, jouant avec le bas de son débardeur. Glissant ses doigts dessus, il finit par lui retirer. Il dépose un léger baiser sur ses lèvres avant de regarder sa poitrine. "Ce n'est pas encore parfait.." dit-il doucement. Finalement, il passe une main dans le dos de la jeune femme pour retirer son soutien-gorge, qu'il fait glisser sur ses épaules. "Hum.." Il se mordilla la lèvre, avant de relever son regard vers ses yeux.