You're sexy and you know it ∆ Umberto

Un sourire au coin de me lèvres, planait discrètement depuis que j'avais ouvert cette porte. Je ne pouvais pas cacher que voir ces trois futurs amants profiter pleinement de leur soirée ne m'avait pas fait le moindre effet ! Pas plus que je ne pouvais cacher que sa réponse me fis frissonner de tout mon être.
Un sourire en coin j'attrapais doucement sa main sans le quitter des yeux pour l'attirer vers moi. Dos au mur, j'attrapais d'une main et le tirait légèrement vers moi pour l'embrasser timidement d'abord avant de me laisser habiter part toute la passion que mon ivresse et cette proximité avait soigneusement entretenue. Je m'éloignais peu après cette échange reprenant mon souffle, satisfaite d'avoir pu goûter à la douceur de ses lèvres et d'avoir pu me blottir contre ce corps que j'avais hâte de pouvoir toucher, je souriais et le guidais à nouveau à travers le couloir.

En arrivant, les filles qui m'ont invitées m'avaient rapidement fait visiter, je pus donc aisément retrouver la salle de main et verrouillait le loquet derrière nous afin que personne ne puisse nous déranger. Un sourire aux lèvres, j'arquais un sourcil interrogateur avant de lui prendre la bouteille des main.

C'est mieux comme ça ? demandais-je d'une voix taquine avant de m'abreuver du doux nectar sucré que j'avais préparé.

Mickaela & Umberto
You're sexy and you know it

mise en page par .Stay Away

Voir ces quelques personnes avaient apparemment donner encore plus envie à la jeune femme de passer à l'acte. Cependant, elle allait devoir simplement se contenter de Berto. Enfin, elle allait bien vite comprendre que c'était largement suffisant pour passer un agréable moment. Que dis-je, le moment le plus agréable de sa vie. Ils continuaient à marcher, lorsque la blonde décida qu'elle en avait assez d'attendre. L'attirant contre elle, elle se plaça contre un mur avant de venir goûter à ses lèvres. L'italien prolongea, passant sa main sur la hanche de la jeune femme avant de remonter jusqu'à ses cheveux. Il joua avec sa langue un moment, avant que le baiser ne prenne finalement fin. Il se mordilla un instant la lèvre, lui souriant, puis ils reprirent leur route. Finalement, elle l'entraina dans une salle de bain, fermant la porte derrière eux. "C'est mieux comme ça ?" dit-elle, récupérant la bouteille. Le brunet la regarda de bas en haut, sourire aux lèvres, puis haussa les épaules. "Ce sera mieux lorsque je te verrais enfin nue.." Elle était bien trop habillée là. Puis bordel, cette robe semblait recouvrir un corps de rêve, on allait pas se le cacher.

A Harvard, j'aurais sans doute entendu une petite voix dans ma tête, toujours porteuse de bon conseil me murmurer que ce n'était pas une bonne idée. Que je ne le connaissais pas ! Ce soir, soit ma conscience était d'accord avec moi, soit j'étais trop ivre pour l'entendre. Je riais doucement à sa réponse et tendait le bras pour déposer la bouteille sur ce meuble sur la droite.
Je m'avançais de vers lui après m'être sensuellement humidifier les lèvres. Mon corps tout entier bouillonnait d'impatience et d'appréhension. Je le voulais, mais j'aimais aussi beaucoup ses instants d'attente et de préparation qui rendait l'acte si... Un frisson me parcourait coupait court à mes pensées, quant à moi, j'étais à quelques centimètre de lui.

Toi d'abord... susurrais-je à son oreille.

Après quoi je commençais, sans attendre de permission à déboutonner sa chemise tout en allant taquiner du bout de ma langue et mordiller cette même oreille. La quittant ensuite pour embrasser son cou tout en achevant ma tâche, je laissais mes doigts glisser sur son torse et remonter lentement jusqu'à ses épaules pour faire le vêtement.
Inutile de jouer les filles mystérieuses ! Pas après lui avoir clairement fait comprendre pourquoi ils étaient tous les deux là... Je faisais alors descendre la fermeture éclaire latérale de ma robe
avant de faire lentement volte face, dégageant mes boucles blondes cheveux qu'il puisse lui même dénouer le nœud que formait le col de ma robe.

Mickaela & Umberto
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Maintenant seuls dans la salle de bain, on savait très bien comment cette histoire allait se terminer. La jeune femme s'approcha de lui, s'humidifiant les lèvres au passage. Des lèvres pulpeuses que Berto avait déjà hâte de retrouver sur une toute autre partie de son corps. "Toi d'abord..." Elle s'attaqua alors à sa chemise et le brunet la laissa faire, la regardant dans les yeux. Elle commença alors à s'attaquer à son oreille, tandis qu'il fermait les yeux, s’imprégnant de son odeur. La chemise de l'italien se retrouva rapidement au sol, alors elle se recula pour défaire la fermeture de sa robe. Il sourit puis passa sa main derrière sa nuque pour défaire l'élastique. La robe descendit le longe de son corps avant de se retrouver au sol. Le brunet la regarda de bas en haut sans se gêner. Okay, elle avait vraiment un corps de rêve. Il était décidément bien tombé ce soir. Prenant la bouteille, il en prit quelques grandes gorgées avant de la reposer puis de s'approcher d'elle, venant capturer ses lèvres pour un nouveau baiser enflammé. Il retira lui même sa ceinture et la jeta plus loin, attendant que la jeune femme ne s'attaque au reste de son jean.

Il ne me quittait pas des yeux, et j'aimais ça ! D'ailleurs, je faisais pareil, plongeant inlassablement mes yeux bleus dans son regard. J'avais le souffle court, je sentais le sien dans mon dos et sa main dans mon cou. Je frissonnais à ce contact avant de sentir ma robe glisser le long de mon corps.
Je me tournai à nouveau pour lui faire face et lui dévoiler ma poitrine dénudée, dont les pointes étaient dressé par le désir. Désormais vêtue boxer en dentelle qui ne cachait rien de mes formes, je le regardait avaler de nouvelles gorgées à même la bouteille avant de réduire considérablement la distance qui nous séparait pour répondre à son baiser avec autant de passion que lui, laissant mon corps s'enflammer à ce contact.
Mes mains se posèrent d'abord sur son torse, attendant qu'il se débarrasse de sa ceinture pour que je puisse plus aisément permettre à son jean de rejoindre le reste de nos vêtements sur le sol.

Le jeune homme me dévorait littéralement du regard et me sachant observée, j'échangeais avec de temps à autres des regards malicieux, sans pour autant trop en faire.
Gourmande, je poursuivais ma course ...