Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityWHAT'S HAPPENING ? (+ Leo) - Page 2
Le Deal du moment : -19%
PC portable MSI Gaming Pulse 16” -Ultra7 155H ...
Voir le deal
1299 €


WHAT'S HAPPENING ? (+ Leo)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Honnêtement, j'étais étonnée. Leo Halberstam savait se montrer raisonnable et ça, c'était une première. Monsieur se limitait aux filles célibataires, c'était déjà un bon début. Ce n'était pas vraiment l'image qu'il essayait de se donner, tel un petit boute-en-train qui aimait butiner par-ci, par là. Mais ce qui me surprenait le plus, c'était l'espèce de compliment implicite qu'il faisait dans sa phrase. Je levais un sourcil, prête à rétorquer quelque chose de sanglant afin de lui renvoyer son compliment dans sa petite tête, pour lui montrer que c'était toujours moi qui contrôlais la situation et à quel point il était ridicule. Mais non, je me ravisais, il n'était pas ridicule, et il m'arrachait même un sourire. J'étais pitoyable, je perdais de mon répondant pour un sourire, pitoyable, c'était le mot. Je sais pas... dis-je en me mordant la lèvre. Moi par exemple, ça ne m'aurait pas dérangé que tu aies une petite amie... enfin bon, c'est que je dois être plus tenace que toi dis-je avec un clin d'oeil. Evidemment, je ne le pensais pas. Enfin si, j'étais plus tenace que lui, ça, je le savais. Pas de doute. En revanche, je n'étais du genre à fréquenter des hommes en couple, du moins pas intentionnellement. Il faut toujours éviter de provoquer la colère des hyènes en chaleur, toujours, sinon vous risquez de passer une bien mauvaise journée. De vraies vipères qui préfèrent haïr la maîtresse pour fermer les yeux sur leur salopard de mec. L'amour rend aveugle, certes, mais surtout fou, fort heureusement je n'étais pas amoureuse. Dieu merci. Mais bon, j'ai de la chance, tu n'as pas de copine... dis-je. Je n’étais pas certaine, il n’y avait personne dans sa vie d’après ce que j’observais et ce qu’il laissait sous-entendre, et je ne voulais pas demander. J’avais trop d’amour propre et je ne voulais pas être ridicule, surtout pas après les accusations qu’il venait de me faire. Je lui demandais de me faire confiance, lui confiant que de mon côté, j’étais prête à essayer. Attention, je disais bien « essayer » pas « y arriver ». Très bien. Puis je l’embrassais une nouvelle fois, mêlant ma langue à la sienne, répondant dans un baiser, comme si je ne pouvais m’en passer. Je vais commencer à croire que tu m’aimes bien, attention. Je souriais avant de m’écarter légèrement. Puis, je bloquais sur dernières ses paroles. Je crois ? Pardon monsieur Halberstam ? Je me levais, un sourire espiègle aux lèvres. Il n’y a pas de je crois si vous me voulez une nouvelle fois dans votre lit… enfin pour une première fois du coup. Je veux des certitudes ! Je venais m’asseoir avec une assurance surprenante, à califourchon sur lui. Compris ? Plus de je crois. J’suis pas le genre de personne à faire attendre. Je prenais son visage entre mes mains avant de l’embrasser.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Leo laissa échapper un rire surpris, et ben tiens ! Madame Thomspers herself ne se serait pas laisser décourager par une éventuelle copine du côté du Mather. Il n'y croyait pas une seule seconde, elle se prenait trop pour une princesse boxeuse pour se contenter de n'être qu'une maîtresse devant s'écraser devant l'officielle. Puis même, c'était pas son genre, il en savait rien, mais elle n'avait pas une tête à venir chercher les hommes en couple par la peau des fesses pour son bon plaisir à elle. « J'aurais été curieux de voir ça. » répondit-il avec un petit sourire en coin. Oh elle en était sure de ça ? Il aurait presque envie de lui faire croire qu'il vaudrait mieux qu'elle parte avant de sa chère et tendre arrive, surtout qu'avec Beezus qui squattait chez lui, la chambre d'enfant et compagnie, il aurait bien vite fait de construire une couverture bien solide. Mais bon, il l'avait quand même accusé de lui avoir caché une liaison, ce qui s'était révélé faux, il lui avait mis sur le dos les coups qu'il avait reçu, il avait râlé et gueulé, et il ne voulait pas se rabaisser à une blague aussi nulle que ça, pas dans ce contexte en tout cas, même s'il avait effectivement envie de voir si la sorcière était si tenace que ça. « Non pas de copine. » affirma-t-il le plus sagement du monde. Et quelle bonne nouvelle, parce que Caly avait quand même des dons. Il répondait à ses baisers, ne doutait plus de la compatibilité évidente de leurs baves mais il ne dit rien, déjà qu'elle l'accusait de bien l'aimer, il n'allait pas en rajouter une couche. « Prends pas ton cas pour une généralité, c'est pas parce que tu m'aimes bien que je t'aime bien. » Elle s'arrêta aux dernières paroles de Leo, bah oui il croyait mais depuis sa dernière expérience dans la matière, il ne voulait pas faire la bêtise de lui refiler autre chose. À elle ou une autre. Non à elle, après les autres … Leo la regarda faire en souriant. « J'ai jamais dit que je voulais te mettre dans mon lit tu te fais des idées. » Il ricana avant de poser ses mains sur ses cuisses, la regardant, attendant la suite. Elle le provoquait, il lui avait filé la syphilis, mais non elle revenait à la charge, cette fille était absolument extraordinaire. « Vraiment ? Je crois que c'est exactement ce que je vais faire alors, te faire attendre … » Un nouveau baiser, encore, et il fit dériver ses mains sous le haut de la jeune femme, souriant un peu … beaucoup, il ne céderait pas le premier.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je venais de prétendre que si monsieur avait eu une copine - quoique, qui voudrait supporter un spécimen pareil ? -, cela ne m'aurait en rien dérangé. Même si j'avais très envie de lui dire que non, ce n'était pas vraiment mon genre de faire dans les personnes déjà en couple, je me ravisais, de toute manière je n'étais pas très crédible. Puis s'il pensait que j'allais me la jouer petit ange parfait lorsque j'étais avec lui c'était loupé, je n'étais pas parfaite, loin de là. Et bien malheureusement, ça n'arrivera pas ! dis-je avec fierté. Mais peut-être avait-il une copine ? Je venais de demander confirmation de manière implicite, parce que j'avais trop de fierté pour le demander directement. Ce n'était pas non plus le genre de question que je pensais un jour lui poser, parce que ça ne m'intéressait tout simplement pas auparavant. Seules les insultes que je pouvais trouver à lui dire m'intéressaient. Néanmoins, si la réponse était positive, il ne manquait pas d'air de me faire la leçon par rapport à Priape et surtout de réagir de cette manière. Mais apparemment, il n'avait pas de copine. Tant mieux alors dis-je en souriant avant d'enlacer son cou de mes mains. J'aimais cette proximité, peut-être trop. J'aimais embrasser monsieur Halberstam, j'aimais l'entendre me lancer une remarque désobligeante sans l'être vraiment, j'aimais qu'il soit différent. Il n'était pas à mes pieds, ni à me faire la cour, il me donnait du fil à retordre et... j'aimais ça.  J’avais un sérieux problème. Ah parce que tu crois que je t’aime bien ? J’ai le droit de rire ? À présent je me trouvais sur lui, cette position me rappelait la première fois où je l’avais embrassé. Je n’y avais pas pensé directement mais à présent que je l’embrassais de cette manière, les images me revenaient en tête et je souriais légèrement. On avait évolué depuis ce jour-là. Oh tu sais, un lit, ou autre chose… tu préfères les couloirs, je sais, mais je t’assure les lits c’est pas si mal. Je sentais les mains du jeune homme se poser sur mes cuisses avant de remonter en dessous de mon tee-shirt. Il ne résistait jamais, il n’avait aucune volonté, comme moi. De toute manière, tu n’as pas le choix puisque monsieur "croit" qu’il doit faire des examens, donc tu risques de te contenter de ta main en dessous de mon tee-shirt pour aujourd'hui. Je disais ça avec un tel aisance, comme si c’était normal, et le pire, c’est que je le disais en souriant. Il m’énervait, je n’avais qu’une seule envie c’était de lui enlever son haut à lui, et tout le reste d’ailleurs, mais je n’avais pas envie d’attraper de nouveau quelque chose ni d’empirer ma maladie qui partait, ou qui était partie, comment j’pouvais savoir moi.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ça n'arrivera pas, ça ils n'en savaient rien même si les chances – ou plutôt les risques – que Leo se trouve une petite amie dans les prochaines jours étaient assez faibles. C'est pas ce qu'il cherchait dans la vie. Il fronça des sourcils, depuis quand elle lui demandait la permission de se foutre de sa gueule ? Elle ne s'en privait jamais, et ça ne le dérangeait pas plus que ça, les gentilles filles ça va bien cinq minutes, mais qu'est-ce qu'on s'ennuie ! « C'est nouveau ça, que tu me demandes ce que tu as le droit de faire ou pas. Ça va te force pas, esclaffe-toi, ça veut pas dire que c'est faux. » Leo se laissa embrasser, il l'embrassa en retour. La rancune il connaissait plus là, bizarrement, même pas une demi-heure avant il lui en voulait, et même s'il savait désormais la vérité, qu'elle n'avait pas de petit copain caché, il aurait pu tout aussi bien lui en vouloir pour les jolis bleus qu'il avait reçu à cause d'elle même si c'était indirectement. Il l'embrassait encore un peu avant de la relâcher, souriant à son tour. Ah les couloirs. « Je sais que tu as terriblement envie de tester ma literie. » Calypso avait raison, dans l'état actuel des choses, il ne prendrait pas le risque d'aller plus loin, autant patienter encore un peu que faire durer le supplice en aggravant leur cas à tous les deux. Pas qu'il soit pressé de remettre ça, c'est bon il n'était pas non plus désespéré. « Je sais. » souffla-t-il avant de l'embrasser une nouvelle fois, sa langue glissant contre celle de la jeune femme, ses mains ne quittant certainement pas leur nouvel habitat. Leo souleva même un peu plus le tee-shirt de la blonde. « Mais c'est pas grave on se contentera de ça pour aujourd'hui. » dit-il en souriant avant de l'embrasser de nouveau. C'était légèrement frustrant, même carrément, parce que même s'il se sentait tout à fait prêt à gérer et pas s'emporter, c'était pas possible à un certain niveau, de toute façon elle avait l'habitude de ce genre d'accident. Halberstam finit par enlever ses mains du dessous du haut de Caly avant de l'embrasser doucement. « C'est dommage cette histoire d'examens, tu m'étais presque sympathique là. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je disais une phrase pour me moquer de lui, et il en profitait pour croire qu’à présent je lui demandais une autorisation pour rigoler. Non vraiment il était incorrigible, il se prenait pour ce qu’il n’était pas parfois, il devait penser que j’étais folle de lui au fond, tant mieux si ça pouvait le faire se sentir mieux avec son égocentrisme omniprésent. Tu sais pas si je t’aime bien Halberstam, mais ce n’est pas le cas, rassure toi, vraiment… Je ne rigolais même pas, sinon il allait être trop content, puisqu’il venait de me dire que je pouvais, or si je le faisais, c’était comme si j’étais à ses ordres. Puis, j’aimais bien contredire les gens, on me disait blanc je disais noir, on me disait que je pouvais rigoler, je ne le faisais plus, voilà quoi. Mais j’aimais mon esprit de contradiction, il était si fort que je ne pouvais faire autrement, surtout pas lorsque j’étais en présence de Leo. Il m’embrassait de nouveau et je répondais à ses baisers, effleurant légèrement les traces de son altercation avec Priape sur son visage. Le pauvre, mais bon, même comme ça il était toujours pas mal. Pas magnifique, mais pas mal. Si tu savais à quel point j’en ai envie dis-je en rigolant. Bon, en réalité, je ne rigolais pas tant que ça lorsque je disais ça, mais je ne voulais pas qu’il se fasse des idées. Puis, on ne pouvait rien faire puisque apparemment sa santé n’était pas sa préoccupation principale et qu’il devait encore faire des examens, il était nul. C’était frustrant, je devais l’admettre, être sur lui en train de l’embrasser et savoir que je ne pouvais rien faire, oui, c’était bel et bien frustrant. D'un côté, ça l'empêchait d'aller copuler avec une autre fille. Je sentais ses mains se balader dessous mon tee-shirt et j'avais presque envie de l'enlever ce haut, mais il ne méritait pas que je sois si gentille, pas avec son manque d'assiduité. Il semblerait que oui. Je me mordais la lèvre avant de lui répondre de nouveau. Dommage, c'est le mot... enfin bon, moi de mon côté je pense que ça va, alors c'est plus dommage pour toi mon cher dis-je en lui faisant un clin d'oeil. Évidemment, que je n'allais pas aller voir un autre garçon... j'en avais pas très envie, point. Je l'embrassais une dernière fois avant de me reculer afin de retomber sur mes deux jambes. La prochaine fois, enfin espérons qu'il n'y est pas de prochaine fois pour la syphilis, mais tu feras tes examens, pour l'instant je vais te punir à ma manière, mes lèvres vont rester à leur place et je vais partir avec. J'étais prête à repartir, satisfaite, même si je mourrais d'envie de l'embrasser encore et encore.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C'est vrai qu'il n'en savait rien, si elle l'aimait bien ou pas et dans l'état actuel des choses c'était pas très important. Elle était assez casse-pied de base, alors en plus ne jamais savoir où aller avec elle, c'était une cata. Il pouvait s'en bouffer des heures de psycho toute la semaine, ça marchait pas avec elle, Calypso devait avoir un brouilleur d'ondes, ou alors un espèce de bouclier mental. Ou est-ce qu'elle était juste chiante au possible ? Non elle ne l'était pas tant que ça … elle avait des bons côtés, pas beaucoup mais ça compensait un peu. « Arrête de te mentir, tu te fais du mal. » dit-il en souriant, avant de lui jeter un regard curieux. Elle se lâchait sur les mots, toute cette histoire de maladie et compagnie, c'était sacrément handicapant. D'un autre côté, ça l'arrangeait, ça lui donnait une bonne raison de lui refuser un test de matelas, elle avait beaucoup trop de facilité à obtenir ce qu'elle voulait de lui. Elle avait fait mumuse à la piscine, dans le couloir, ok il lui avait filé une IST, mais encore une fois elle revenait et ils en étaient au même point. Trop simple, dans le temps, elle galérait un peu plus ou du moins Leo se montrait moins facile. Il cédait trop vite. « Je m'en doute, surtout mon lit quoi. » Dommage pour lui, oui et non, il s'en sortirait hein, puis elle pouvait dire ce qu'elle voulait, même si c'était bien caché, il savait très bien à quoi s'en tenir. « Tu connais l'adresse maintenant de toute façon. » glissa-t-il, vu la simplicité avec laquelle elle s'était invitée deux fois de suite, pourquoi pas une troisième fois ? Leo regarda le jeune femme se lever à regret. Certes ça n'avancerait à rien qu'elle reste plus, et Caly avait accompli sa mission en venant se défendre contre les accusations du jeune homme, mais il n'en regrettait pas moins son départ. Il se leva à son tour l'accompagnant jusqu'à la porte qui lui ouvrit, déposant une dernière fois ses lèvres contre celles de Calypso malgré les contre-indications de madame Thomspers. « Garde-les pas trop pour toi non plus. »
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)