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J’avais jusque-là le premier rôle, c’était moi qui menais le bal, mais tout cela était sur le point de changer. Les préliminaires avait jusqu’à maintenant été concentré sur elle, mais c’était à mon tour d’avoir un peu d’attention. Elle commença par me relever doucement le menton et me dit de m’allonger, chose que je fis sans rechigner, après tout il ne me fallait pas un dessin pour comprendre ce qui allait se passer. Couché sur le lit, je l’observais dans toute sa beauté, elle, nu sous la lumière de la lune dans toute sa fragilité. Il ne fallut pas plus de quelques secondes avant que je la rejoigne à mon tour dans sa nudité, elle, glissant mon boxer jusqu’à mes cuisses, laissant respirer mon sexe bien éveillé pour la première fois de la soirée. Je lisais l’excitation sur son visage, une expression que nous semblions partager ce soir, elle se mordilla à nouveau les lèvres, dieu que c’était sexy. Elle commença avec sa langue, de bas en haut, puis se lécha les lèvres comme si elle s’en régalait. Soudain elle prit une pose, me regardant, un frisson d’excitation me parcourra l’échine. ‘’ T’arrête pas, continue…’’ Soupirais-je brisant le silence de la pièce. J’étais sur le dos, accoudé simplement contre le matelas, l’observant à l’œuvre, appréciant chaque mouvement de tête, chaque mouvement de langue. Je tendis le bras, lui caressant les seins, puis les fesses. J’adorais ce qu’elle faisait, mais j’avais envie d’elle, j’avais envie de l’entendre gémir, de sentir à nouveau ses ongles contre mon dos. De sentir son corps contre le miens, ses frissons, de la sentir raidir sous le plaisir. L’excitation de l’anticipation me fis frissonner. Je passai une main dans ses cheveux, lui libérant le visage. Puis je la regardai dans les yeux, j’essayais de retrouver ce vert envoutant aperçu plutôt, mais sans succès la lumière de la lune était trop faible, ajoutant un voile mystérieux à la scène. ‘’T’es magnifique… J’ai envie de toi…’’ Lui soupirais-je.
Elle avait compris le message, le sexe oral c’était bien, mais le vrai sexe c’était cent fois mieux. Savoir qu’on donnait autant de plaisir qu’on en recevait c’était d’autant plus excitant et c’est ce qui rendait la chose si intime, le souci de l’autre. Elle monta sur moi, je senti ses mains chaudes contre mes abdos, puis sa bouche contre mon cou, si mon érection n’était pas titanesque avant elle l’était sans aucun doute à présent. Elle me complimenta de sa voix douce, tout d'elle était magnifique ce soir. ''T'es cent fois plus jolie.'' Me contentais-je de lui soupirer. Puis je sentis nos intimités se toucher, frôlant ses lèvres intimes à mon sexe. Je pris son menton doucement avec mon pouce et amenai ses lèvres aux miennes pour l’embrasser, d’un de ces baiser qui disait merci, qui disait je te veux, qui disait ce soir il n’y a que toi. Je descendis alors ma main prenant ma verge et la guidant en elle. Je fermai les yeux un instant lorsque j’entrai en elle, la chaleur de son intérieur me fit frissonner de tout mon être. Je continuais de l’embrasser. J’étais presque assis avec elle sur mes cuisses, passant mes mains le long de son corps, l’embrassant dans le cou, sous la mâchoire, sous l’oreille. Je l’embrassais donnant lentement des petits coups de hanche, poussant mon sexe profondément en elle. Son corps bouillant contre le mien, mes lèvres contre sa peau nu, tout de ce moment m’excitait.
Ses hanches bougeaient de concert avec mon bassin, son corps se cabrant, elle gémissant. Elle planta ses ongles dans mes épaules, j’adorais ça. Ses yeux, que je ne percevais à peine il y a quelques minutes, m’envoutait de leurs verts profond parfaitement visible à présent. Chacun de ses soupirs, chacun de ses frissons, chacun de ses murmures me donnait envie d’elle encore plus. Je restai encore un moment dessous, l’embrassant, la caressant. Puis je la retournai d’un geste rapide et précis. Elle était à présent couchée sur le lit, moi par-dessus. Je pris un instant pour admirer son magnifique corps nu, glissant mes doigts brièvement sur son intimité humide. ‘’Gimme a sec...’’ Me contentais-je de lui dire avant de prendre un oreiller et de le placer sous ses reins. Puis je pris ses jambes et je montai l’intérieur de ses genoux sur mes épaules relevant par le fait même ses fesses et son sexe. Je caressai ses seins d’une main pendant que l’autre guidait mon membre en elle à nouveau. Je donnai un coup de bassin pénétrant ma verge totalement en elle, me faisant par le fait même frémir d’excitation. Puis je sorti presque totalement avant de recommencer le manège quelques fois. J’accélérai le rythme, laissant de côté les grands mouvements pour les remplacer par des allers-retours plus court, mais aussi plus rapide sans toutefois allez trop vite. Je l’embrassais toujours, alternant encore une fois entre ses lèvres, son cou et sa poitrine, pendant que mes mains découvraient son corps aussi sensuellement qu’il m’était possible.
L’entendre gémir et murmurer mon nom entre deux soupirs ne faisaient que renforcer mon excitation, si bien qu’à présent j’œuvrais simplement à la faire gémir plus fort, plus souvent, je voulais qu’elle dise mon nom, qu’elle le crie, je voulais effacé tous ceux qui était passé avant moi et rendre pour elle terne chaque relation après celle-ci. Je devais être marqué de la tête au pied, j’avais déjà le dos bien rouge de ses ongles plus tôt, et maintenant c’était mes cuisses, mais c’était loin de me déplaire, des blessures de guerres comme ça signifiait tout simplement que le sexe était excellent et j’aimais savoir que j’y excellais. Je continuais mes mouvements de vas-et-viens tapant mon bassin contre elle, produisant un bruit de claquement semblable à un applaudissement, comme si j’avais un public pour m’encourager quand une pensée me traversa la tête. J’avais pas mis de capote, dans l’excitation j’avais oublié de mettre une capote… Bon il est un peu tard maintenant, mais ça me faisait un peu flipper me faisant perdre le rythme du même coup. Et si elle avait un truc, et si elle tombait enceinte. Non je ne devais pas y penser sinon j’allais devenir tout mou et après je ne serai pas pas connu, je deviendrai le mec qui arrive pas à baiser jusqu’au bout non ça pas question. Je me ressaisi et passai une main sur son bouton d’amour pour le caresser tout en continuant de la pénétrer, me penchant du même coup pour lui embrasser le cou, pour l’embrasser sous l’oreille et finalement pour terminer sur ses magnifiques lèvres qu’elle mordillait depuis un moment.