Loan - le hippie n'urine pas, il peace

“Et le truc c'est qu'on passe notre temps à dire que ça passera,
mais c'est que des mensonges, des putains de gros mensonges.”

Loan London, John

age ░ 22 ans date, lieu de naissance ░ 3 Octobre, Seattle métier/étude ░ Photographe statut Célibataire

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Tu étais mon nord, mon sud, ma lune, mon soleil, ma nuit, mon jour.
Je vivais pour toi, tu étais mon sauveur, la seule personne avec qui je me sentais bien. Dans tes bras, je me réinventais un monde, un monde où nous serions réuni pour toujours, toi et moi. Seulement, je n'ai plus donner signe de vie. Nous nous sommes rencontrés à l'âge de 15 ans, un amour fusionnel, passionnel. Je ne t'ai jamais parlé de ce que je vivais à la maison car je ne voulais pas te sensibiliser, je voulais être dans un terrain neutre. Pour une fois, être quelqu'un de normal.


♀ Toi, t'es vraiment une biatch. Plutôt ma biatch. Je veux dire quand je te vois, des millions de papillons volent dans mon ventre. Tu es belle, tout ce que j'aime. T'es ma meilleure amie, celle avec qui on s'éclate. Même si je dois avouer qu'il y a quelques baisers volés. Rien de bien méchant. On est comme frère et soeur, comme les deux doigts de la main. Mary E. Windsor

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Je te vois dans le couloir, je baisse les yeux. C'est bien la première fois que je ne provoque pas quelqu'un. Tu me rends timide. Tu n'es pas beau, mais tu as un charisme. Je n'ose pas venir te parler mais je sais qu'un jour, nous aurons droit à notre rencontre.

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Le deal est simple. Tu me l'as fournit. De temps en temps, on se fera une petite soirée de défonce, on se retrouvera comme des grosses larves avachis par terre à regarder en l'air, les étoiles, le plafond, peu importe. Tu es mon vendeur de bonheur, de pilule d'oubli. Nic

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A la base, c'était purement professionnel. Tu es mon modèle, je suis la photographe point. Puis j'ai vu en toi quelque charme, ce qui m'a poussé à prendre la parole et à passer un peu plus de temps avec toi.

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Tu sais tout. Tu étais ma correspondant(e) pendant plusieurs mois. Puis je ne me suis plus jamais connectée. Je voyais en toi comme un journal intime, pour y déposer mes peines et mes joies. Et toi, tu me faisais voyager, à travers tes souvenirs, ta belle vie, tes photos d'un pays inconnu. C'est d'ailleurs toi qui m'a donné envie de venir ici, de découvrir.  

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J'étais seule et puis, t'étais là. Tu m'as dit " Aller viens, j't'enmène loin". Je t'ai suivis. Tu ne sais rien de moi, mais je te cherche, tu me cherches, on craquera, c'est sur. Mais qui sera le premier ?

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Jeune fille bien rangée, fille à papa, tu n'as jamais rien osé. Pourtant, je t’emmène avec moi. On fait les 400 coups, tu ne poses pas de questions, tu me suis. Au bout de la nuit Leyla
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