Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityvalentines day ? it's not really romantic. + feat alaska.
-43%
Le deal à ne pas rater :
-100€ Pack rééquipement Philips Hue Play : 3 barres lumineuses ...
129.99 € 229.99 €
Voir le deal


valentines day ? it's not really romantic. + feat alaska.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

J’étais dans le canapé, à regarder un match de socker, une bouteille de bière à la main. J’allais passer cette soirée comme un bon célibataire, seulement accompagné de l’alcool. Ça m’allait vraiment bien, je n’avais pas réellement envie de bouger de toute façon, regarder les gens amoureux du balcon m’irait parfaitement d’ordinaire, mais bon, je n’allais pas leur cracher dessus le jour de leur fête super commercial et absurde. Je roulais des yeux en pensant à ma mère qui devait faire sa traînée avec son nouveau mari. Elle m’avait envoyé une tonne de messages pour savoir pourquoi je n’étais pas venu à son mariage et je ne lui ai pas encore répondu. Après tout, je ne comptais pas le faire de si tôt. J’entendais toquer à la porte, et je me sentais terriblement seul. Si seulement les filles étaient là, elles seraient aller ouvrir et je n’aurais pas eu à bouger. Bouteille toujours à la main, je buvais une gorgée avant de lever mes fesses et d’aller ouvrir. Une petite tête blonde face à moi, je reconnaissais bien Alaska et d’un coup la scène dans la boulangerie me revenait en tête. Merde. « Hey, qu'est-ce que tu fais là ? » Je souriais, je ne savais pas vraiment quoi faire d’autre. Elle me rendait vraiment tout chose, puis sa tenue ne lui ressemblait vraiment pas. Comme si elle avait un plan en tête. J’avais été charmant en disant ma phrase, je ne l’agressais pas du tout. Puis, franchement, je savais qu’elle devait se douter que l’histoire de la dernière fois n’était qu’une blague, parce que sinon, j’allais devoir lui expliquer gentiment. Ou pas. Refermer la porte était une solution, mais à la place je m’étais écarté pour la laisser rentrer. Après tout, j’étais un gentleman anglais, je n’avais pas à être malpolis.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Petite robe rouge, cheveux boucler, make up leger, un coup de miss dior dans la nuque,  et sur les poignets et une boîte de chocolat en forme de cœur. La Saint-Valentin était une soirée horrible pour les célibataires, j'ai beau penser que c'était commercial et qu'il n'y avait aucunement besoin d'un jour particulier dans l'année pour dire à une personne qu'on l'aime, et pourtant, je n'aurais pas était contre une petit bague de chez Swagorvski ou encore un bouquet de rose au seuil de ma porte. Après être partit de la soirée anti-st-valentin un peu précipitamment, je décide de passer à la phase deux de ma soirée de st-valentin, pas raté. J'avais prévue de faire ce truc qu'on voit dans les films. Quand la film arrive chez le mec, à moitié nue, avec un manteau pour seule vêtement. Bien sûr, j'avais tout de même garder une petite nuisette histoire  de ne pas me gêler les seins. J'étais déjà un peu pompette après les deux bouteilles de vodka que Macsen,  Asia et moi on s'est enfiler, mais j'étais assez sobre pour savoir ce que je faisait. Caler contre sa porte, j’attends qu'il ouvre pour lui faire le coup du « Je n'ai rien sous mon manteaux. » . Les cheveux en arrière, et un sourire au coin, j'ouvre mon trench lorsque la porte s'ouvre. « Quelqu'un à commander une poupée Barbie pour la st-valentin ? » je glousse, avant d'entre dans l'appartement et de virer mon manteaux, un peu n'importe où sur le canapé. Bon, c'était une réplique de merde, je suis devoir déjà trouver mieux mais dans l'immédiat, je suis capable de m'en rappeler. « T'es content de ta surprise ? Parce qu'y a pas mal de surprise encore après. » dis-je en lui faisant un petit clin d'oeil, avant de m’asseoir sur le canapé.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Je la regardais passer la porte après avoir prononcé la phrase la moins sexy du monde. Non, bien sûr que non je n’avais pas commandé de poupée barbie pour la saint-valentin, le plastique ce n’est tellement pas mon truc, je déteste cette sensation, beurk. Je la regardais avec de grands yeux sans même réellement prêter attention au fait qu’elle enlevait son manteau et qu’une pauvre nuisette ce trouvait en dessous. Je n’étais pas du tout content de ma surprise, parce que je savais que je risquais de succomber et je n’avais pas trop envie de lui donner de l’espoir à ce niveau-là. Elle est charmante quoi que flippante, mais je n’avais pas envie qu’elle souffre parce qu’elle allait espérer plus après ce soir. Si jamais je terminais par la toucher. « Écoute Alaska, c’est une grosse erreur, je peux tout t’expliquer mais rhabille-toi d’abord, s’il te plaît. » Je tournais ma tête vers la télévision, buvant une grosse gorgé de bière. Cette fille avait un corps de rêve, mais je n’étais pas le genre de mec à coucher pour se débarrasser. Cette fille valait mieux qu’une seule nuit avec moi. Pourtant je n’arrive pas à considérer de sortir avec elle, tellement je la connais peu en fait. « Tu sais, quand je t’ai déclaré ma flamme à la boulangerie, c’était pas pour de … » Je m’arrêtais là, et je la regardais dans les yeux. Purée qu’est-ce que son visage avait l’air doux et sa bouche pulpeuse. Je me mordais la lèvre inférieure, m’approchant d’elle doucement. Quand nous étions à proximité, je replaçais la mèche devant son visage derrière son oreille, posant mon front contre le sien. Elle me m’était mal à l’aise et je ne savais définitivement pas comme le lui dire gentiment. « Tu me fais capoter… » Je me décollais d’elle, allant m’asseoir sur l’accoudoir du divan.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Cette scéne devait être parfaite, si je n'avais pas oublier les lignes du scénario que je m'étais fait. C'était un truc plus sexy et moins pervers, parce qu'entre nous, qui a envie de se taper une poupée Barbie ? Je m'imagine trop Robert ; 59 ans, divorcée. Les putes sont devenue trop cher alors il se tape une poupée gonflable quand il n'y a pas Joséphine ange gardien à la télé. J'essaie de paraître sexy, mais je n'y arrive pas trop, je manque d'ailleurs de tomber sur le canapé, comme à mon habitude au lieu de m’asseoir doucement. Il bégaye, pas sûr de lui, il me rappel la scène de la boulangerie, mais merde, je m'en rappel même pas de cette scène. J'avais tellement pleurer que mon cerveau était devenue moue, et que mon manque d'eau me faisait tourner la tête. « ça n'a rien avoir, avec ta stupide déclaration. » dis-je en haussant les épaules, la tête contre le canapé, je le regard avec détail, tandis que son regarde est tournée vers l'écran. « c'est juste moi, le jour de la saint valentin, qui as envie de te donner un cadeau, un peu spéciale. Qui sors du chocolat ou des cartes ridicule, avec des animaux marrant et amoureux dessus. » dis-je dans un gloussement, tout en restant absorber par sa mâchoire et ses lèvres, oh mon dieu. Je croise les jambes, non, je les décroise, non je suis pas sûre. J'hésite un instant, essayant de cacher, ma panique. Je sent son regard sur moi, mes muscles se détaches et je finit par laisser mes jambes comme elle étaient. Il me sors une tirade d'excuse, je sent que je vais devoir rester chez moi, mais sa voix s'arrête au milieu de la phrase, je me tourne vers lui, ses yeux vert dans les miens. Son visage s'approche, je sent presque son haleine. Ses doigts remettre une mèche, en place, je sourit doucement, je crois que je devient tomate, à l'entente de sa dernière phrase, je sent que je ne vais pas rentrer au final. Je prend un peu les devants, malgré ma maladresse, je pose mes doigts sur sa nuque et plonge mes yeux dans les siens.  « Je pense qu'entre nous deux, celle qui capote le plus, ça doit être moi. Ou je doit être vraiment être bourrée, pour faire ce genre de chose ?  » Je penche ma tête et lui donne un ridicule petit smack sur le bout des lèvres.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Oui, je n’avais pas été tendre avec Alaska ce soir, mais que voulez-vous, je n’allais pas toujours la laissé me charmer ainsi, surtout que ça marchait plutôt bien pour le moment. Elle avait l’air presque bizarre et je devinais que je n’étais pas le premier endroit où elle avait dû passer cette soirée. Mais franchement, elle avait fait fort pour s’habiller ainsi. Je ne lui en voulais pas de s’être déclaré poupée barbie, mais je trouvais que ça ne lui rendait en rien justice, car une poupée ce n’est pas vraiment ce pour quoi je me couperais une jambe si je devais le faire un jour. Ce serait plutôt pour une femme, bien réelle. Selon elle ma déclaration avait été… Stupide. Merci du compliment. Je préférais regarder la télévision, ça au moins, ça me calmait un minimum. « Waw. Stupide, hein. » Elle parlait d’elle, comme si j’étais le gars idéal pour passer cette maudite soirée. Comme si j’étais celui qui définitivement lui donnait envie de s’habiller ainsi. Sauf que je ne lui ai jamais demandé. Elle serait venu avec de vrais vêtements, là je lui aurais sauté dessus, parce que j’aime par dessus tout la vraie elle, pas cette mini version dévergondé à la limite de l’outrance, même si… Oui, je l’avoue je voulais encore plus luis sauter dessus rien qu’en imaginant ses divines courbes. Je la regardais croiser et décroiser ses jambes, je ne comprenais pas trop à quoi elle jouait, mais je laissais couler un instant, ça ne valait pas la peine de faire un commentaire interrogateur, pas du tout. « J’aime les cartes. » Je rigolais tout en faisant un sourire charmeur. Sérieusement, les cartes c’est trop la classe, sauf quand dessus il y a écrit que vous êtes cordialement invité au second mariage de votre mère. Je m’étais dangereusement rapproché d’elle, et bizarrement en replaçant sa mèche derrière son oreille, j’avais senti une certaine connexion entre nous. De la tendresse, de la vie. Mon regard se perdait dans le sien et vice versa. Elle pose délicatement ses doigts sur ma nuque après mon petit laissé aller vocal, et elle me déclare qu’elle était celle qui capotait le plus des deux. Ou alors, elle devait être bien bourrée et dans ce cas précis, je n’allais pas trop m’amuser ce soir, j’allais plus regretter d’avoir abusé d’elle sans qu’elle ne soit réellement consentante. Je ne quitte pas ses yeux d’une semelle et je les vois se rapprocher jusqu’à sentir une infime partie de ses lèvres contre les miennes. Jamie, ce soir tu vas devoir ravaler ta monotonie et sortir le grand séducteur qui est en toi. Je passais mes mains dans sa nuque aussi, ramenant son visage contre le mien, l’embrassant langoureusement. Assez longtemps pour que nos langues se cherchent, mais pas assez pour que ça n’aille plus loin tout de suite. J’enlève délicatement sa main de ma nuque tout en disant. « Pourquoi moi ? Qu’est-ce que tu veux exactement ? » Je perdais mon regard dans le sien, incertain de sa réponse. J’avais seulement peur qu’elle me dise que j’avais été choisi au hasard, simplement.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

« Si tu me trouves stupide ou pathétique, dis le, parce que j'ai vraiment l'impression de l'être, là tout de suite, là maintenant. » Je suis la reine du friendzone. A chaque fois que je voulais plus avec un garçon, j'avais toujours le droit à cette phrase qui commence par : désolée Alaska mais.. et qui finit par on peut rester ami ? Ça suffit. J'ai déjà trop d'amis, trop de protecteur, trop de personne bienveillante qui sauterais sur le premier gars qui me regarde de travers. Mais est-ce qu'ils ont penser que ça ne me dérangerais pas qu'on me regarde de travers ? Qu'on louche sur mon derrière ? Ou même qu'un mec vulgaire de treize me dise : hé mademoiselle, t'es charmante, ça te dirais une glace à la menthe ? Juste qu'on me voit plus que la bonne amie, qui seras toujours là quand untel ou untel vous briseras le cœur. Cette soirée ne devait pas se passer comme ça, je devait juste passer lui refiler une carte de saint-valentin, comme une petite gamine de douze ans qui vient de découvrir le sens de la saint-valentin et attendre sagement qu'il me rappel dans trois mois pour me dire que c'était une intention sympa, mais qu'il n'a pas eu le temps de répondre entre les trois milles autre cartes qu'il avait reçue se même jour. Alors j'ai changer les plans, j'ai passer mon mercredi chez victoria secret pour me choisir une nuisette, mon jeudi à me faire épiler de partout et mon vendredi chez le masseur pour avoir une peau plus douce que celle d'un nouveau né, résultat, je me retrouve encore dans la friendzone et merde, il aurais préféré avoir une carte avec deux singes amoureux. « Je t'offrirais toutes les cartes que tu veux. Avec tout les animaux que tu veux, mais s'il te plais, ne me demande pas de partir. » pas quand il fait trois degrés dehors et que je vit à l'autre bout de la ville. Nos yeux se croise, il finit par arrêter de résister. Je me sent un peu moins bête maintenant. Je n'ose pas totalement me lâcher en l'embrassant sauvagement, arracher ses fringues et lécher chaque parcelle de son corps, même si l'envie y est. Je me contente de lui faire un smack, un peu timide. Je sourit presque lorsque le geste est réalisé. Mes yeux dans les siens, il est un peu sur le cul, avant de s'y donner à cœur joie. Je sent ses doigts sur ma joue, ses lèvres sur les miennes. On s'échange un long et langoureux baiser. J'doit être rouge pivoine ou carrément être madame tomate à cette heure-ci. Il se stop, mes lèvres encore en attente, je fait un grand sourire, presque en poussant un cris de joie, que je retiens bien sur. Mais intérieurement :  J'AI EMBRASSER MON CRUSH,  J'AI EMBRASSER MON CRUSH. DANSER DE LA JOIE. « Parce que.. Parce que j'ai foiré avec plein de gars, entant trop.. Moi ? Ou trop gamine, ou trop Alaska. Et j'ai envie de faire différemment avec toi, parce que t'es différent et que tu me supportes, c'est le cas de le dire, tu m'as laisser entrer alors que je suis habiller comme une pute. Je pensais me contenter de t'envoyer une carte et attendre que tu me dises que t'aimerais bien quelque chose avec moi, mais j'en ai marre d'attendre, je veux prendre les devants. Et qu'avec toi.. » je m'arrête un instant, perdu dans mes propres mots. Je pose mes mains glacer sur les siennes et la tiens doucement. « Je me sent vivante. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Je soupirais. « Je n’ai jamais dit que tu étais stupide Alaska. » Elle avait le don de passer de charmante à presque agressive sur le moment. Comme si quelque chose la contrariait, mais le fait d’entendre que ma déclaration avait été stupide m’a quelque peu fait changer de zone. Je me suis placé dans le mec blasé peu sûr de lui sur le coup. Elle était forte, dit donc pour me faire me sentir bizarre. Ça se voyait qu’elle avait fait un effort surhumain pour passer le froid habillé de cette manière, je me devais d’être un minimum conciliant avec elle. Je ne savais pas ce qu’elle attendait de moi, mais je pouvais peut-être tenter de ne pas jouer au con pour une fois. Elle disait qu’elle pourrait m’offrir toutes les cartes que je voudrais, avec tous les animaux qui me plairaient. Tout ça pour quoi, pour ne pas partir. Je faisais un sourire en coin, buvant une autre gorgé de bière. Je l’avais prise plus forte que d’habitude et je ne regrettais pas du tout. Ça tombait bien que j’avais fait les courses cet après-midi. « Pas la peine de faire un échange de bons procédés. Si tu veux rester, reste. » Je la regardais, et mes gestes attentionnés étaient venu seuls et sans mon consentement. Je me laissais dépasser par la situation. Elle m’avait frôlé les lèvres et moi j’avais presque dévoré son essence avant de l’embrasser langoureusement. En coupant l’action, je voyais ses joues anciennement nacrées étaient bien rouges à présent. J’avais peut-être fait une erreur en faisant cela, mais qui le saurait à part nous. Elle répondait à ma question, nos visages étaient si proche, et je faisais des vas et viens visuels de ses yeux à sa bouche. Je me mordais la lèvre inférieur, jusqu’au moment où elle me disait qu’elle se sentait vivante avec moi. Pourtant, jusqu’à ce que je fasse le premier pas, on était à la limite de se prendre le bec. Comment elle peut se sentir vivante avec moi, je suis un cadavre quand je bois trop. « Je vais te dire un truc. Quand je t’ai vue pour la première fois, la chose pour laquelle je t’ai donné mon numéro, c’est bien pour cette gamine extravertie. Puis, je t’aurais laissé entrer de toute manière tu sais, j’avais trop peur qu’un pédophile arrive et te voit comme ça. Tu aurais dû l’envoyer ta carte, j’adore les cartes, je suis fan des cartes, surtout celles avec ma tête dessus, elles sont rare mais parfaite. » Je me lève du canapé, finissant ma bouteille et la jetant dans la poubelle la plus proche. Je revenais et éteignais la télévision. Dommage, je consulterais les résultats sur internet plus tard ou demain. Je m’asseyais sur la table basse, en face d’elle, la regardant puis regardant mes mains. « Bon, tu veux que je vole des vêtements pour toi, ou je sais pas. Zéph devrait avoir ça dans ses tiroirs. » Je rigolais, je connaissais cette fille depuis peu mais je me permettais déjà de penser à lui voler ses vêtements, pas mal, pas mal. Je recommençais à regarder Alaska, elle devait être un peu controversé avec le baiser puis la nouvelle distance qui nous séparait, mais je préférais pas trop m’avancer pour le moment, j’avais peur qu’elle pleure en me disant que je suis parfait, je préférais prévoir ces choses-là. « Je suis désolée de t’avoir embrassé, j’aurais peut-être pas dû vu que tu as clairement une immense et indescriptible attirance amoureuse pour ton chanteur guitariste. Donc pour moi. » Si l’un de nous devrait faire le premier pas, ce serait elle. Vas y, force moi à t’embrasser encore, mais surtout ne te déshabille pas de suite. Alaska, tu vends du rêve, mais montre moi que je suis ton jouet.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

J'étais sincère dans ce que je racontais, ce n'étais pas seulement un élan d'amour dû à la vodka et à l'effet saint valentin. En effet, je me sentait vraiment morte, depuis un long moment. Après tout, mon copain m'a lâcher en me disant clairement qu'il en aimer une autre, ma première fois m'a laisser en plan parce qu'il en aime aussi un autre, et la fille que j'aimais bien, m'a fait comprendre qu'elle ne voulais rien avec moi. Je suis devenue une paria de l'amour, une pauvre friendzone avant que lui, sa voix, ses yeux, ses cheveux, son rire, ses fesses n'arrive dans le paysage. C'était comme recevoir un coup d’électrochoc, nager jusqu'au fond, penser manquer d'air et respirer un bon coup. Un second souffle.  « Je te ferais une carte avec un collage de ta tête dessus. » dis-je dans un gloussement. J'arrête pas de gloussait, ça doit être chiant. Il se lève du canapé, pour se mettre sur la table de basse en face de moi. (alors sa proprio/colocataire lui a interdis de s’asseoir la dessus, étant donner que c'est du bois fin. ) Je pensais qu'il aller prendre les mains dans les siennes, et me dire à quel point j'étais jolie ce soir, mais m'a juste demander si je voulais des fringues de sa coloc. Je roule des yeux un peu déçue, et vexer aussi. Je veut dire, j'ai passer trois jours à me pomponner pour ça, et au final il me fait clairement comprendre que j'étais habiller comme une prostituée et que ça le gêner plus qu'autre chose. Je fit une mine triste un quart de seconde, afin qu'il ne pense pas que je soit vexer parce qu'il m'a mis un stop dans notre échange de langue. « Tu peut aussi me prêter un de tes tee-shirt, ça m'ira très bien, je pense. » dis-je avec un petit sourire au lèvre. non, je ne pense pas, je le voulais vraiment. Un truc qui est son odeur, qui me ramène à lui, ce serais parfait. Il m'avoue qu'il n'est pas fier de lui pour le baiser. Et je suis déçue pour la seconde fois, est-ce que j'embrasse si mal pour faire fuir tout le monde autour de moi. Je soupire et me laisse tomber dans les canapés. La prochaine fois, je lui enverrais sa carte par la poste et viendrais le voir après les cours en jogging et sweet i love les zizis. « Moi je ne regrette pas. Si il fallait le refaire, je le referais et plutôt deux fois qu'une. » je me redresse et regarde les alentours. Je voulais juste un peu de tendresse moi, rien de plus. Et un tee-shirt souvenir, comme quand on va au zoo, sauf qu'on est pas au zoo. « Tu me fais visité ? On commence par ta chambre. » dis-je avec un grand sourire de bambin .
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Elle proposait de faire une carte en collant ma tête dessus et je souriais, ça faisait vraiment enfantin, je retrouvais enfin la petite curieuse qui était rentrée dans la salle pendant que je m’entraînais sur une nouvelle chanson. Oui, je préférais cette Alaska et de loin, elle était plus naturelle et dans un élan de vérité, elle me donnait plus envie d’elle que la Alaska qui venait chez moi presque pas habillé. Quoi que je n’y étais pas insensible, malgré tout. « Tu n’es pas obligé. » Je souriais en pouffant un petit rire. J’allais poser mes fesses bien dures sur le canapé, parce oui, j’aimais contre dire les règles, j’aurais presque frotté mes fesses dessus juste pour voir la tête de ma cheftaine colocataire. Elle deviendrait rouge de rage, rien qu’en me voyant en ce moment, mais qu’importe, elle ne rentrait pas ce soir, j’avais l’appartement pour moi. Je regardais son visage changer du tout au tout, devenir triste et sans vie apparemment, j’avais peut-être un peu forcé en lui proposant les vêtements de Zéph, mais bon, je voulais être gentil moi, j’aurais été un vrai connard de simplement aller lui ouvrir la porte et lui demander de partir. Ce n’était de un pas mon style, de deux pas correcte. Elle voulait un de mes tee-shirts, et là je fronçais un peu les sourcils, elle n’allait jamais me le rendre si je faisais ça. Je connaissais bien cette ruse de fille en mode, je te le ramènerais propre, mais en fait le tee-shirt il est perdu à tout jamais dans l’univers de sa chambre à elle. Son sourire disait exactement la même chose que mes pensées. Elle te le prendra pour sniffer ton odeur de mâle, fais attention Jamie. Ouai, je savais ça. Comment ? J’avais perdu quatre tee-shirts en six mois une fois. La grosse merde, je pouvais encore m’habiller mais je passe toujours mes préférés, allez savoir pourquoi. « Je pense qu’il seront un peu grand pour toi. » Elle ressemblait à une crevette, alors bien sûr que mes tee-shirts seraient une taille au dessus, puis je ne sais pas. Je la vois ce laisser tomber dans le canapé, comme si je venais de lui tirer une balle dans le cœur, mais je venais simplement de dire que j’étais désolé d’un simple baiser incohérent. Apparemment, elle ne regrettait pas, et ça me faisait sourire en coin, elle le referait si elle devait. « Ben qu’est-ce que tu attends ? » Oula, monsieur Santhone se lâche on dirait. Je la regardais jeter un œil tout autour et ça me faisait rire, vraiment. Elle voulait visiter… Ma chambre. Pas de problèmes. Après tout, c’était la saint-valentin. Je lâchais un rire sournois avant de me lever. « C’est par là. Mais interdiction de voler quoi que ce soit qui m’appartienne, concentre toi sur les trucs de filles un peu partout. » Je rigolais encore une fois, commençant à marcher en direction de la chambre, je me retournais pour l’attendre. Elle me voulait, elle voulait célébrer cette fête autrement qu’en me regardant affalé sur le canapé tout habillé, et bien que le jeu commence.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

« Tu sais que je compte te rendre ton tee-shirt ? Je ne vais pas te le voler, encore moins si c'est des tee-shirt imprimer avec des trucs marrant dessus. » bien sûr que j'allais le garder. J'allais même le porter pour dormir pour avoir l'impression qu'il me sert dans ses bras, ou encore qu'on regarde un film ensemble, ensuite quand l'odeur auras disparue et seras remplacer par l'odeur de ma lessive, je l'accrocher sur un mur de ma chambre, près de mon écharpe poufsouffle et du vinyle de Psy que je garde précieusement. Après tout, il a était connue à un moment ce gars là, et un jour quand il seras mort et que tout le monde voudrais un morceaux de sa vie, je vendrais se vinyle affreusement cher et j’achèterais une piscine de fraise tagada. Quoi qu'il en soit, il doit être au courant de mon plan, parce qu'il fronce les sourcils avec un air méfiant. « Ou je t'en achèterais un autre, au choix. » dis-je pour me rattraper. Et vue ce que j'ai prévue d'en faire, lui en acheter un autre était peut être ce truc là était nécessaire, puisqu'il n'allais pas le revoir de plus tôt. Lorsqu'il m'annonce qu'il regrette le baiser, je roule péniblement des yeux et m'écroule sur canapé. Frienzone again ? Non, non, faut faire bouger les choses. Je lui fait comprendre que je ne regrette RIEN, mais RIEN, r i e n. et que si débarquer chez lui, se prendre la tête, s'embrasser sauvagement, et reparler de tee-shirt était à refaire, je le ferais, encore et encore comme dans une journée sans fin, le film avec Bill Murray. Juste pour avoir de nouveau son souffle dans le mien, ses lèvres douce sur les miennes, ses dans ma nuque. Il me met presque au défis de l'embrasser encore. Si c'était ce qu'il voulais, et si il promettais de ne pas me mettre un gros stop, je n'étais pas contre, mais je gardais ça pour plus tard, puisque je propose une petite visite guidée des lieux. L'appartement est magnifique, et tout semble en ordre. J'aimerais bien sûr visité sa chambre en premier, voir ou il compose, ou il dors, ou il regarde des pornos vers 23h quand il n'arrive plus à dormir. « Est-ce que je doit m'attendre à une pièce en bordel, avec des caleçons qui traîne de partout et une odeur de pied ? Ou est-ce que tes murs sont tapisser de poster de Tokyo Hotel ? Ou encore de poster donner par play boy ? Ou encore des poster de gâteaux érotique ? » dis-je en gloussant doucement. Je montais les escaliers en le suivant jusqu'au couloir. L'appart était vraiment sublime, arriver devant sa porte, il me fait patienter un moment, comme un suspense. Je le scrute de haut en bas en souriant bêtement, comment ça se fait qu'il est si adorable ? Avant d'entrée, je me rend compte qu'il est vraiment très grand et qu'à côté, je suis ridiculement petite. « T'es un géant en fait Santhone, j'peut vérifier un truc ? » je vire mes talons hauts et me colle à lui pour me rendre compte que ma tête arrive tout juste au haut de son torse. Je suis si proche que je sent la chaleur de son haleine contre ma peau, mes yeux croise les siens une fraction de seconde. Je n'hésite pas, je me met sur la pointe des pieds et attrape sa nuque pour coller mes lèvres au sienne, dans un doux et tendre baiser. Rien de sauvage comme il a eu droit, au par avant, il voulais la vrais Alaska, alors la vrais Alaska est maladroite, pas sûre d'elle, trop énergique et aime les baiser long et doux, comme dans les films.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)