(oliviara) remember me. (soirée disney)

remember me (oliviara)

C'était un saut de joie qui t'avais échappé lorsque tu avais appris l'organisation de cette soirée disney chez les lowells. Tout excité, t'avais passé la semaine à penser au costume que tu pourrais enfiler. Le nez entre deux boulots, les mains entre pizza et autres livraisons, t'avais imaginé quel héros disney t'allais bien pouvoir endossé pour parâitre un minimum potable. Mais avec tes heures supplémentaires et cette semaine passant à une vitesse abominable, tes rêves de costumes incroyables avaient vite disparus, et tu t'étais retrouvé le soir même sans rien à te mettre. T'avais filé sur youtube chercher quelques tutos, n'ayant même pas le temps de tourner une nouvelle vidéo : les abonnés allaient gueuler. Un peu de gel dans tes cheveux, un veston en jean, et huit brossages de dents plus tard, t'étais transformé en Flynn Rider, et le résultat avait de la gueule quand même. Il fallait juste l'attitude maintenat. Le dragueur voleur ? C'était drôle, mais pas du tout ton genre. Mais avec un tel costume, t'avais beaucoup de chance avec les filles.
Quelques heures plus tard t'étais arrivé dans la soirée. Préférant ne pas te méler aux inconnus discutant tous entre eux, tu passas de connaissances à amis dont la tête te revenais, déblatérant en riant avant d'aller te chercher un verre au bar. Tu eus le droit à plusieures Raiponce toutes ravies de partager ta coupe, et un peu gêné, tu tâchais de répondre à leurs approches un peu maladroitement malgré toi. Tu mordillas ta lèvre, avant de te détourner, rentrant un peu brusquement en collision avec une inconnue dont tu ne reconnus pas tout de suite les grands yeux gris. « Oh pardon, je vous ai fait mal ? Je suis désolé. » Tu t'excusas de suite.

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Maggie c'est ta reine, Maggie elle t'as à la baguette et quand Maggie veut quelque chose, Maggie là. Surtout depuis que Maggie est enceinte, ses pulsions et son hormones te mette à rude épreuve. Et si avant tu avais ton mot à dire dans vos activités, depuis que madame est devenue citrouille-girl, tu n'avait plus le choix que de hocher la tête et dire que c'était une bonne idée. Pour la saint-valentin d'ailleurs, au lieu de te laisser draguer au bar ou encore passer une soirée avec les célibataires endurcit qui aime se chercher des coups d'un soir, elle te force à aller à une stupide fête disney organiser par les siens. Bien sûr, tu acceptes, parce que tu ne vas pas dire non à la plus grande fan de Disney que ce monde est crée. Elle avait déjà prévue sa tenue de reine des neiges, s'étant même mis d'accord avec sa petite sœur Vanille pour jouée, Anna et Elsa, et même faire un petit duo debout sur une table à danser comme si une dizaine de gens ne les regardais pas, ou même pire les filmer. Tu avais eu un moment de doute en te disant que tu n'allais pas te déguiser, mais ça aurais attirer les foudres de Maggie-enceinte-citrouille, et elle t'aurais forcer à porter le costume d'Olaf. Tu préférais donc te choisir toi même ton costume, et finit par cédé à la petite vanellope von schweetz, du pixar le monde de Ralph. Elle te ressemblais après tout. Une fois à la soirée, tu te rendis compte que tu connaissait pas grand monde, tu es donc rester près du buffet pour grignotais tandis que ta meilleure amie s'éclater sur le danse floor. Lorsqu'elle te fit signe de la rejoindre, tu te retourner avec hâte, et ne te rendit pas compte de la personne que tu venais de bousculer. « Mince, mince, mince. » dis-tu en épongeant ta tenue, il te fallut un moment pour reconnaître cette voix, lorsque tu lever les yeux, ce fût comme un coup de poignard dans le cœur. « Tu..Je... » tu secoue la tête, négativement. « Tu m'as déjà fait pire... Je veux dire, j'ai déjà vu, pire, pardon. » tu le bouscules presque pour le pousser hors de ta vie, Maggie fait les gros yeux lorsqu'elle te voit quitter la pièce, tu avais besoin d'un peu d'air, de l'aiiiiir oh mon dieu. Tu te retrouve sur le balcon dans ta jupe de lycéenne chinoise.

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Flynn avait l'air de plaire mais t'étais pas certain à cent pourcent que c'était en fait vraiment le genre de personnage qui te correspondait. But who cares ? Tu reconnus quelques personnes dont le visage ne t'étais pas inconnu et tu passais de petits à groupes à petits groupes, en profitant pour amasser quelques coupes de différentes boissons plus ou moins alcoolisées que tu pouvais chopper. Tu repérais un verre plutôt alléchant lorsque tu te retournais, et rentrais un peu bêtement dans quelqu'un. Tu grimaças, t'excusant immédiatement comme par mécanisme. Tu n'avais aucune idée de si c'était ta faute ou de celle de la jeune femme, mais tu n'étais pas du genre à te prendre la tête par rapport à ça. T'étais plutôt du genre à temporiser les choses, et tu t'étais simplement et platement excusé. Seulement, lorsque tu relevas les yeux vers la jeune femme, tu fus incapable d'ajouter quoique ce soit. Dans ces yeux gris que t'aurais reconnus parmi milles autres, tu découvrais une Kiara que t'avais pas vu depuis des années. Mais à peine tu eus le temps de rassembler tes idées, qu'après une pique, elle disparaissait. Secouant la tête pour reprendre tes esprits, tu ne songes pas une seconde de plus et tu la suis, la rejoignant sur le balcon en déglutissant. « Attend Kiara ! » Tu l'interpelles, la rejoignant sur le bacon en refermant la porte derrière toi, et trottinant jusqu'à elle. « Je... J'arrive pas à croire que ce soit toi... Qu'est-ce que... je pensais que tu étais à Juliard... » Tu ne sais pas comment engager la conversation, parce que tu sais qu'elle n'a sûrement pas envie de te parler. Mais c'est comme ça, il faut que tu lui parles.

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Non, non, ce n'est pas possible. Ce n'est pas vrais. Tout semblais aller pour le mieux pour toi, tu avais finit par retrouver ton frère à Harvard, mettre une marge entre toi et ta vie de princesse. Tu finit par chasser tout ça de ta tête, malgré la tempête Maggie qui va s’abattre sur toi. Les gens sont très heureux pourtant enrouler dans leurs costumes de Disney, ils retombent tous dans une périodes de leurs vie ou c'est la magie et le bonheur, comme celle que tu as vécue, aussi courte soit-elle avec Oliver. Oliver, même son nom sonne encore irréelle dans ta tête. Pourtant il est bien là, en chair et en os, et il a ruiner ta robe en plus de ça. Tu fonces au balcon, quel idiote. Tu ne pouvais pas partir par la porte de sortit non ? Prendre un taxis et faire comme si, ce n'était qu'un mirage ? Non il fallait que tu restes bloquer sur un balcon ou la seule solution était de repasser par l'endroit ou il est, ou sauter par dessus les voitures et ce la jouet Mario. « Je... J'arrive pas à croire que ce soit toi... Qu'est-ce que... je pensais que tu étais à Juliard... » tu as le dos tourner, tu n'oses même pas le regarder. C'est un fantôme non ? Si tu n'y crois pas il disparaît. Le regards perdue dans l'immensité des lieux, tu te demandes comment es-tu arriver là. Pas maintenant, ici, tout de suite, mais à Harvard, dans ce pays, avec ce garçon que tu n'aurais jamais du rencontrer. Tu secoue la tête, ça ne peut pas être réel, disparaît Oliver, disparaît comme tu l'a fait la première fois. « Je t'ai dis, que je n'allais pas passer ma vie là-bas. » finit-tu par marmonnait tout en soupirant. Tes épaules se relâches, et tu en oublie même le froid qui te paralysée au par avant. Tu avait une tonne de question à lui dire, tu voulais tellement en savoir plus sur lui, mais non. Tu ne les poseras pas, t'aurais aimer moi dire : « Et toi ? Qu'est-ce que tu fais ici ? Tu m'avais dit que tu ne savais pas ce que tu voulais faire. Tu ne penses pas qu'on aurais pue être ensemble, maintenant. On se serais déguiser comme ses couples débiles, et on aurais bue un chocolat chaud avec Maggie et Niko et on serais rentrer, fatigué, épuisé, mais pas assez fatigué et épuisé pour faire l'amour. Et pour se dire qu'on s'aime, mais non, t'as choisit la fuit et tu oses me reparler ? » mais tu restes silencieuse, uniquement les sons de la fête à deux pas de vous, brise se silence pesant. Tu finit par te retourner, il est comme il t'avais laisser. Une tête de plus que toi, les bras musclé et sexy, la mâchoire droite, ce même regard qui as fait fondre ton petit cœur alors que tu n'avais que dix huit ans. « J'ai essaye de fuir. Quelque part, n'importe où. J'ai pris de faux papier et j'ai rouler pendant trois jours. J'ai dormis dans la voiture, j'ai écouter une dizaine de fois l'album d'Adèle en pleurant. Et je me suis arrêter, je me suis imaginer une vingtaine de scénario dans lequel tu sortirais de nul part avec ton scooter, dans ta tenue stupide. Que tu me prennes dans tes bras et que tu me dise que c'est moi. Moi, Kiara, la clés de tout tes malheur. Celle qui te feras montée d'un niveau, et que sans moi ça marcheras pas. » je marque une pause, ente les bruits de Maggie qui chante je voudrais un bonhomme de neige, et sa sœur qui roule autour d'elle, dans de grand geste. « Mais c'était que des scénarios. Alors j'suis monter dans la voiture et j'ai fait le chemin retour. Et comme tu peut le voir, j'ai survécut sans toi. »

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Le pire reste sans doute le fait que malgré les années, Kiara est toujours aussi belle. Et après ta stupide fuite, tu as pourtant eu le temps d'y méditer, sur cette beauté. Tu n'as jamais réussi à la détester, à simplement tirer une croix dessus, Kiara est toujours restée là, une main poignante sur ton coeur. Ce que jadis tu ne comprenais pas te sautes stupidement aux yeux des années après : elle est terrible belle. Mais désormais c'est différent, parce qu'elle te déteste. Et elle a se raisons pour cela. Tu es le lâche qui revient stupidement comme une fleur. Non, tu n'y as pas le droit. Mais aussi bêtement que ça puisse paraître, tu as besoin de lui parler. Tu n'y réfléchis pas plus que ça, tu la suis simplement là où elle s'enfuie, le coeur serré. Son visage fermé et ce ton mauvais te brise, mais tu ne bronche pas, poussé à la suivre. Mon dieu, cela faisait tellement longtemps. Continuant dans ta bêtise naïve, tu lances la conversation un peu simplement et tu l'écoutes parler, secouant la tête. Elle te répète qu'elle t'avait dit qu'elle ne resterait pas à Havard, et tu grimaces un peu. Oui, c'est vrai, elle te l'avait dit. Tu te retrouves maladroitement debout sur tes pieds, restant à une distance raisonnable de la demoiselle. Bizarrement, tu le sens, cette claque arriver...? Kiara, je sais que j'ai fais le con, je sais pas quoi te dire, je m'en veux. J'étais trop con, j'étais trop jeune, mais maintenant j'ai compris. Je te demande pas de m'aimer, juste de me pardonner. Je t'en pris. Mais c'était trop facile de dire ça, c'était impossible. Puis tout à coup elle se remet à parler, et tu baisses les yeux vers elle, que tu dépasses d'une tête. Elle est petite mais tu aimes les filles petites. Elle est tout à fait ton genre de fille, pire, t'as toujours recherché des filles de son genre, parce qu'elle te manquait. Tu l'écoutes et t'es ému, de l'entendre dire ça. Ton coeur se serre, toi qui déteste faire du mal aux gens c'est loin d'être une réussite. « Je sais, je suis impardonnable. » Tu souffles, faisant quelques pas de plus vers elle. Tu es effrayé, tu as peur qu'elle recule, qu'elle t'échappe encore une fois, qu'elle t'échappe comme tu as pu lui échapper. « Je ne me chercherai pas d'excuses parce que je n'en ai pas. J'avais dix huit ans et j'ai pris peur sur ce qui était en train de se passer, j'ai juste voulu redescendre les marches des escaliers et je me suis bêtement cassé la gueule. J'ai fais une erreur, une immense erreur. » Tu la priais, vite, avant qu'il ne se passe quoi que ce soit, avant qu'elle ne te dise de te taire ou qu'elle disparaisse. « Tu as souffert, tu as souffert par ma faute. Ca n'a jamais été mon but. Tu comptais beaucoup pour moi... J'ai juste... Je sais pas comment dire ça autrement, j'ai flippé de découvrir que j'avais des sentiments pour toi, et pourtant t'étais toute ma vie. »

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Tu fronces les sourcils, tu croise les bras, tu soupires et soupire encore. Tu roules des yeux, encore une fois et tu finit par vomir. Vomir quelque chose que tu avais sur le cœur depuis si longtemps, vomir un acte de ta vie que tu n'as jamais raconter à personne, vomir un fait dont tu es la seule au courant, mais tu avais envie qu'il voit ce que tu lui avait cacher, ce que tu cacher au monde, parce qu'il a toujours était le gardien de tes secrets. Certes, Maggie à pris la relève une fois que tu l'a rencontrer et que tu lui a fait confiance, les choses sont aller si vite et si simplement qu'elle connaissait toutes les parcelle de ta vie, et pourtant, personne ne pouvait jamais remplacer Oliver. Parce qu'il est irremplaçable voilà tout. Le rôle à pourtant était joué et tenté par des dizaines voir plus de prétendant, mais jamais personne n'a réussi à décrocher le rôle. Ils sont tous revenue dans les coulisses en se lamentant, parce que personne n'a jamais réussi à faire fondre le cœur de la petite tigresse de Monaco. Et personne ne veut plus essayer d'ailleurs, c'est peine perdue. Sauf lui, ça a toujours était lui, et ses yeux dans les tiens, et son souffle dans le tiens, et ses deux pas qu'il fait en ta direction alors que tu es stocher, sans aucun autre moyen de sortir. « pourtant t'étais toute ma vie. » tes yeux se lèves comme par automatisme, alors que tu t'efforcer à scrute les immeubles, cette phrase déclenche en toi comme une réponse que tu attend depuis si longtemps, « est-ce qu'il n'a jamais tenue à moi pour me laisser aussi facilement ? » voilà ta réponse. Tu soupire, secoue la tête comme pour dire non et le repousse du bout de tes doigts, en poussant doucement sur son torse musclée. « Est-ce que tu peut imaginer ce que ça fait d'être seule ? Sans personne ? Non, encore être Entourer de débile et de crevard qui en veulent juste à ton fric ? J'avais besoin de toi, Oliver. J'avais besoin de toi, parce que tu me donner foi en l'humanité et que ses crétins, ils me donnent envie de faire des génocides de boloss ! » Dis-tu en faisant de grand geste, tu monter un peu le ton, mais ce n'était rien comparer à je voudrais déjà être roi, que le petit peuple hurler à côté de vous deux. Tu cherches tes mots pour lui faire comprendre l'horreur que ça a été d'être sans lui durant toutes ses années. « Je n'avais que toi. Et je me suis retrouver seule, j'avais besoin de toi comme Mérédith à besoin de Dereck. Je ne te voulais pas forcément dans mon lit, ça aurais été un bonus, mais j'aurais aimer que tu soit là pour dire : hey, ça va aller. Même si on sait tout les deux que tant que je serais vivante et dans cette famille, ça n'iras jamais. »

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C'était comme sortir du placard. Rien de gay à cela, t'étais complètement hétéro. Mais c'était comme jouer à cache-cache, quand on était gosse. Tu y repensais un instant, à ce placard rouge au fond de ta chambre, dans lequel tu te cachais tandis que t'entendais tes frères compter. Tu te souvenais du noir qui t'entourrais, de ta respiration que tu devais retenir. Puis lorsqu'il te trouvait, de la lumière immense, venant saisir tes pupilles, de ce soleil venant illuminer d'un seul coup ta vision, la paillette pimpant ta vie. Kiara était ce rayon de soleil, et ce soir, elle illuminait tristrement ta soirée, sans que tu puisses y faire quoi que ce soit. Et t'étais l'idiot planté là à la regarder, aussi expressif qu'un ragondin écrasé. Qu'est-ce que tu pouvais lui dire ? Je suis désolé, je suis désolé, je suis désolé. C'est tout. Parce que c'était ce que tu étais, et que tu savais pas comment te faire pardonner pour cette connerie monumentale que tu te modissais un peu plus chaque jour d'avoir faite. T'aurais jamais dû fuir. Pardon Kiara, j'aurai dû prendre soin de toi comme tu aurais aimé que je le fasse, j'aurai dû être là pour toi. Je t'aurais fait rire, t'aurais pardonné mes maladresses, aimé mes défauts que je déteste, et moi j'aurai aimé les tiens. J'aurai supporté ta musique collorée à la Katy Perry et toi mes blagues pipi caca qui ne font rire que moi. Tu m'aurais aimé comme personne, j'en suis sûr, mais je suis trop con. « Mais comment c'est possible ? Comment peux-tu ne pas être heureuse et seule ? T'as tout pour toi, t'es une fille géniale, drôle, maligne... Belle. Comment peut-on échouer à ce point dans la quête du bonheur ? » Tu grognais. T'arrivais pas à comprendre qu'elle puisse être seule, elle qui était si... Si Kiara. y'avait-il aurait de cons qui te ressemblait sur cette planète ? Puis tu reprenais, avec plus de tendresse, un soupir après qu'elle t'ai doucement repoussé. « C'est pas possible, faut vraiment s'appeler Oliver Wayne pour passer à coté de toi, Kiara... » Mais tu serrais les dents lorsqu'elle poursuivait, détournant les yeux. C'était pas drôle mais t'avais envie de rire, comme un rire nerveux. T'avais aucune excuse, c'était bien ça le problème. Tu soupiras, t'asseyant doucement sur le bord de la terrasse, l'observant sans un mot de plus. Tu l'avais abandonné, lorsqu'elle avait eu besoin de toi. « Je n'ai pas d'excuse, juste ma stupidité. Mais t'es la première à le savoir ça, que je suis débile. » Tu déglutis. « Est-ce que tout est trop tard maintenant ? » Est-ce tout était vaincu, ou simplement à reconstruire ?



(pardon hein, j'avais des mots chelous à placer )

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Tu sais qu'il s'en veut, il a ce regard qui ne trompe pas. Même des années après, il est toujours là, e petit je ne sais quoi, qui fait que tu sais quand il est sincère. C'était comme un don que tu avais, et ça ne marchais que sur lui, quand il ne vas pas bien et qu'il essaie de cacher ça derrière des blagues pourrit, ou encore quand il sourit avec toutes ses dents, alors qu'il explose intérieurement, tu pouvais lire en lui comme un livre ouvert, et c'était l'une des raisons pour lequel tu te sentait si bien à ses côtés. Pourtant, là, tout de suite, dans ce froid et cette atmosphère pesante, tu essaie de retenir un hurlement, qui pourrais faire changer le sens de la rotation de la terre. « Parce que personne n'est capable de me rendre heureuse, comme toi tu l'as fait. » ses mots, ses gestes, son humour, son rire, ils sont inconnues dans ce monde de crétins qui parle en rap et qui te sorte des punchline pourrit pour te « géré » toi la petite princesse au cœur sauvage. C'était comme un défis pour eu de t'avoir, et dès lors ou c'est retomber, tu es redevenue la simplette petite Charlotte Grimaldi, celle dont la disparition en serais pas une tragédie. Pourtant, lui il a vu au dessus de tout ça, par dessus les rôles que tu joue et les faux sourire, il sait quand tu es Charlotte et il sait quand tu ne veux plus jouée, parce que c'est trop pesant d'être ce que l'on est pas. Tu le regarde, alors qu'il se parle à lui même, il se rend compte de son erreur, tu le sait, tu l'as compris, mais comment effacer tout ça d'un revers de la main ? Tu ne vas pas dire : d'accord, soyons amis, alors que non. Tu es blesser, et trahis, et ses mots ne suffirons pas. Tu te pince la lèvre, il fallait que tu trouves quelque chose à dire, que tu lui dise : non, je ne veux pas te pardonner. Mais tu n'y arrive pas, tu t'agites, roules des yeux et soupire : « est-ce que tu as penser à moi, ces dernières années ? » parce que j'ai penser à toi, moi, prèsque tout les jours.

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Pourquoi tout était toujours si compliqué ? T'avais jamais été une tête toi, malgré l'immense école dans la laquelle t'avais atterrit. Non en vérité, t'étais plutôt quelqu'un de simple, qui vivait pour sa passion d'audiovisuelle et qui pouvait regarder un disney avec les mêmes étoiles dans les yeux que celles lorsqu'il était gamin. T'étais quelqu'un de spontané qui n'aimait pas les choses trop compliquées, qui se satisfaisait des choses simples, mêmes celles qui ne s'expliquent pas. T'avais aimé Kiara, sans t'en rendre compte, tu l'avais juste aimé. Mais ça avait eu quelque chose de nocif parce que comme t'avais jamais été capable de mettre un terme sur votre relation, t'avais pas pu te rendre compte de tes sentiments lorsque tu l'avais quitté. T'avais fais une énorme erreur, et voilà que maintenant t'étais là à regretter comme un con. Et t'avais l'impression qu'à chaque fois que tu faisais un pas en avant, elle en faisait immédiatement deux en arrière, alors que pourtant, vous ne bougiez plus d'un pouce. « C'est pareil pour toi, mais j'étais juste trop stupide pour m'en rendre compte... » Tu dis doucement, d'une voix plus douce, mais toujours aussi sincère. De toute façon, tu ne sais pas jouer la comédie. La preuve, à chaque fois que tu cherches à faire une farce tu finis par éclater de rire,parce que tu es un piètre menteur, parce que tu es trop naturel et franc avec les gens. Ça fait partit de toi, comme la couleur de tes yeux, même si tu voulais, tu ne pourrais rien y changer. Et soudain elle pose une question, et tu relèves tes yeux un peu honteux vers elle. Tu inspires. « Tous les jours. D'abord je flippais, puis j'hésitais... Pendant un temps je me suis dis que je pouvais peut-être te récupérer, et puis j'ai pensé que tu m'en voudrais. J'ai essayé de t'oublier, mais je... Je crois que des sentiments ça s'oublie pas aussi facilement. Le problème c'est que je me suis rendu compte que j'étais amoureux de toi beaucoup trop tard. » Au moins, c'est dit.

remember me (oliviara)

Tu es accoudée contre la barre en fer glacer à présent, tu te dis qu'elle est vraiment froide cette barre, mais qu'il suffit de rester un moment dessus pour se rendre compte qu'elle s'adapte à la personne. C'est ce que tu as toujours fait : t’adapter, et quand ENFIN, tu avais trouver la personne avec qui tu n'avais pas besoin de le faire, elle te laisser tomber en te trouvant des excuse invalable. Tu avais essayer de comprendre, mais tu n'as jamais réussi, pour toi, il ne t'aimais pas et fuir était la seule solution possible et inimaginable. Il ne voulais pas de toi, il ne t'aimais pas, il ne voulais pas perdre de temps avec toi.. Pourtant, pourtant il était devant toi, les yeux dans les tiens, à te demander pardon, et te supplier de le reprendre, mais tu n'y arrivais pas, parce que tu avais trop pleurer, parce que tu avais trop souffert, jusqu’à ce qu'il murmure : « Le problème c'est que je me suis rendu compte que j'étais amoureux de toi beaucoup trop tard. » tu lèves les yeux vers lui, surprise, la bouche béante, comme si on venais de te dire que merde manger un Diosmectite peut arrêter la chiasse et te donner des supers pouvoirs, c'était là juste devant tes yeux. « Tu.. Tu quoi ? » on est tous d'accord que tu aurais pue dire autre chose, face à cette déclaration, mais merde, t'étais pas capable de dire plus. Tu cherches de l'air, alors qu'y en avait déjà pas mal, et tu avales ta salive, comme si ça allait t'aider à rattraper le : tu quoi. Tu lèves les yeux vers lui, un peu déboussoler. « Pourquoi tu m'as laisser alors ? Pourquoi on a pas fait comme les autres ? » tu pointe Maggie et Niko, l'un dans l'autre, son bébé dans le ventre, ses doigts autour de sa nuque, sa tête contre l'épaule du blondinet, leurs rires qui s'entremêle, leurs sourire qui n'en font qu'un, tu voulais ça, oui t'étais jalouse, tu voulais ça, avec lui. « On ne peut pas remonter le temps, ni effacer le passer, alors on fait quoi ? On peut rien faire, tu peut continuer ta vie et je ferais de même pour la mienne. » parce qu'on va se détruire, parce qu'on seras pas capable de s'aimer comme il le faut, qu'on ne sait que ce déchirer.