Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDo not listen to what I say and stay here pv AIDAN (a)
Le Deal du moment : -20%
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
Voir le deal
239 €


Do not listen to what I say and stay here pv AIDAN (a)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Do not listen to what I say and stay here Do not listen to what I say and stay here pv AIDAN (a) 2511619667

feat. Jackie & Aidan
La réalité reprenait petit à petit sa place. Cela pouvait paraître logique après tout comment pouvait-on vivre dans l'ignorance ? S'était pourtant ce à quoi je m'adonnais depuis mon retour. Ma famille avait été placé sous l'ignorance la plus totale. Parler à ma mère . Parler à mon beau-père ? S'en était trop pour moi et bizarrement je n'étais pas encore prête à faire face à cette réalité. Pourtant, j'étais bien là devant ma mère à tenir un discours de sourd mêler entre l'incompréhension et les reproches. Les mains repliées contre moi, je lui fis assez fort pour être entendu de tout le monde. « Tu as ruiné ma vie ! Tu es partie ! Tu as décidé de ne pas m'inclure dans ta vie alors part et arrête de faire de ma vie un cauchemar. On aurait dû t'interdire d'avoir des enfants, tu ne mérites pas mon attention et à partir de maintenant. Tu m'inclus plus dans ta vie. Je suis morte ! OK » dis-je méchamment et en prenant soin de ne pas rester plus longtemps dans les parages. Je pris la poignée de la porte et l'ouvris rapidement avant de me retrouver devant le père et le fils Norrington. « Ne dites rien ! » dis-je en fusillant le père d'Aidan. Mon regard s'attarda sur le peintre avant de finalement lever les yeux pour contrôler l'excès de tristesse qui se lisait dedans. Je montais rapidement à l'étage, dans ma chambre, pour préparer le peu d'affaire qu'il me restait ici. Exclure ma mère de ma vie était de loin la meilleure solution qu'il me restait. Je le savais et pourtant mes yeux semblaient toujours aussi humides. Au bord des larmes, je fermais violemment la porte de ma chambre avant de finalement ouvrir la fenêtre de ma chambre. De l'air, j'avais besoin d'air. Je pris mon sac et déposais toutes mes affaires sur mon lit. Il fallait que je parte d'ici maintenant. J'entendis ensuite un bruit derrière moi. « J'ai besoin de personne ! » fis-je fébrilement en restant dos à la personne. Maman Stevensen ? Papa Norrington ? Aidan ? Peu importait, j'avalais ma salive en essayant de faire redescendre la pression.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Voilà plus d'un mois que Aidan était de retour à Cambridge, et qui disait retour disait fardeau. Du moins en quelque sorte. Il devait s'acquitter d'une visite à son père. N'allez pas croire que Norrington était homme à se plier aux exigences de l'étiquette ou de celle qu'appelle une bonne éducation. Parce qu'une éducation encore eut-il fallut qu'il en reçoive une de son père. Toutefois, maintenant que sa carrière était bel et bien démarrée, avec un certain succès qui plus est, l'ancien Lowell devait confier l'aspect légal de son art à une personne de confiance. Bien que cela lui arrache les tripes de le reconnaître, son père était le requin parfait pour défendre ses intérêts. Une fibre affective en lui était toujours recherchée et cela pouvait être embêtant lorsqu'on jouait pour cette personne le rôle du fils, mais il n'y avait pas de doutes, son père était redoutable en affaires. Le Peintre avait donc convenu d'un rendez-vous avec son géniteur et celui-ci lui avait aimablement proposé de venir dîner en compagnie de Belle-Maman. On ne pouvait pas dire qu'il portait Maman Stevensen dans son cœur, mais il se sentait un peu piégé, obligé d'accepter l'invitation. Les deux arrivèrent donc à la porte de l'appartement, quelques éclats de voix se faisaient entendre et Aidan en saisit quelques mots mais surtout les propriétaires. Aussitôt, il avait envie de faire demi-tour mais comment expliquer ça ? Ils débouchèrent sur une seconde porte, celle qui accédait au living et qui rejoignait le hall d'entrée sur lequel débouchait l'escalier qui montait à l'étage du duplex. Jackie monta telle une furie dans sa chambre et sa mère portait son masque habituel d'exaspération. Cela ne sembla pas affecter le moins du monde les deux parents qui s'enlacèrent d'une façon un peu... dégoûtante. D'un haussement d'épaules réflexe, Aidan réprima un frisson de rejet. Il profita donc du rapprochement des vieux pour monter à l'étage. « J'ai besoin de personne ! » lui lança la voix féminine d'un ton abrupte. Waouw quel accueil se murmura-t-il intérieurement. « Tu devrais pas lui laisser le plaisir qu'elle te mette dans cet état là. » Les prunelles bleutées se portent sur la silhouette gracile penchée à la fenêtre. « Tu veux que je t'aide à remballer tes affaires ? » demanda-t-il ensuite en regardant les affaires éparpillées un peu partout. Il savait pas comment réagir, ça le regardait pas après tout, mais en même temps il ne pouvait pas non plus ignorer la situation. C'était Jackie quoi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Do not listen to what I say and stay here Do not listen to what I say and stay here pv AIDAN (a) 2511619667

feat. Jackie & Aidan
Légèrement tremblante, j'allumais instinctivement une cigarette après avoir ouvert ma fenêtre. Le vent frappait mes joues. Le froid commençait à se propager dans la pièce. Cette situation ne pouvait pas durer. Encore énervé par les paroles que nous avions pu échanger. Je rassemblais mes affaires sur mon lit décider à ne plus remettre les pieds ici. Vivre dans cette maison . Avec elle ? Avec le père de mon ex-petit ami ? Il en était hors de question. La porte s'ouvrit, j'essuyais du revers de ma main les quelques larmes qui coulaient sur ma joue. « Tu devrais pas lui laisser le plaisir qu'elle te met dans cet état-là » j'apportais ma cigarette à la bouche et soufflai rapidement la fumée. S'il savait... s'il savait le secret qui me consumait. Prise dans un étau, prisonnière d'une femme qui se disait d'être ma mère. « Tu ne comprends pas... » dis-je en portant une main sur le haut de mon front. J’avalais ma salive restant dos à lui avant de finalement virevolter pour venir lui faire face. Je posais ma cigarette dans le cendrier et finis par lui dire « J'y arrive plus... toi tu peux ignorer ton père. Il se fiche de tout, tu as ta vie, ton travail, ton chez toi... Tu as réussi à avancer. Moi ?! Elle ne me laisse pas faire ma vie Aidan. Elle est continuellement sur mon dos, argent, relation, étude. Même en Australie, elle ne pouvait pas me laisser tranquille... » dis-je en faisant des vas et viens dans la salle, tel un animal en cage. J'apportais mes mains à mon visage essayant de retenir l'afflux d'émotion qui se bousculait en moi. « Tu vois la liberté qu'on affectionne tant ? Tu la vois ? Elle me prive de ça ! Comment tu veux que je reste calme et que je ne dise rien ? » dis-je en le regardant dans les yeux en m'arrêtant deux secondes. Je repoussais mes cheveux avant de finalement m'avancer vers mon lit. « Tu n'es pas obligé de rester Aidan... tu peux partir. Tu sais la pitié ce n'est vraiment pas ce que je recherche » dis-je en prenant les vêtements qui étaient éparpillés sur mon lit.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Ca, il s'était pas attendu à des mots d'amour de Jackie. Il ne la connaissait que trop bien. Mais sans qu'il sache vraiment pourquoi, ses paroles l'énervaient. Parfois, leurs conversations, il avait l'impression que c'était sur le mode repeat. L'incompréhension en écho.«Tu ne comprends pas. J'y arrive plus... toi tu peux ignorer ton père. Il se fiche de tout, tu as ta vie, ton travail, ton chez toi... Tu as réussi à avancer. Moi ?! Elle ne me laisse pas faire ma vie Aidan. Elle est continuellement sur mon dos, argent, relation, étude. Même en Australie, elle ne pouvait pas me laisser tranquille... » Ses mains se joignirent, et son regard balaya l'ensemble de la pièce, il ferait sans doute mieux de partir ouais, mais sa langue le démangeait. « Je comprends pas ouais. » répliqua-t-il en la regardant. « Pourquoi quand t'es avec elle, t'es une lavette ? Je te connais bien plus courageuse Stevensen, t'as peur de quoi ? Qu'est-ce qu'elle peut te faire sérieusement ? T'as pas besoin d'elle, t'es grande, t'as plus besoin d'une maman. » Et elle avait pris la bonne décision en l'envoyant balader, y'avait que ça à faire avec un monstre pareil, il se rapprocha d'elle, et passa ses deux mains sur chacun de ses bras, comme pour la tenir face à lui. « Alors pourquoi tu pleures ? Pourquoi ça te rend triste ? » Il avait toujours eu l'impression de pas tout savoir. Jackie c'était pas le genre de fille à s'écraser, alors comment sa mère pouvait avoir autant de pouvoir sur elle ?  « Tu n'es pas obligé de rester Aidan... tu peux partir. Tu sais la pitié ce n'est vraiment pas ce que je recherche » Sa tête se tourna d'un côté puis d'un autre, en mouvement formant la négative. « J'ai pas pitié, je comprends pas c'est tout. Bats-toi bordel, et contre les bonnes personnes. » Parce que pour faire chier Emma là elle savait révéler tout son potentiel, il savait qu'elle avait la force en elle, alors pourquoi ?  
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Do not listen to what I say and stay here Do not listen to what I say and stay here pv AIDAN (a) 2511619667

feat. Jackie & Aidan
J'inspirais puis expirais rapidement essayant de contrôler les battements de mon cœur. Cette situation devenait insupportable. Je le sentais et je ne voyais là aucune porte de secours. Les années m'avaient appris que ma mère ne pouvait rien m'apporter. Mon père le savait et m'avait d'ailleurs plusieurs fois averti. Et comme une idiote, j'avais une nouvelle fois cru que ma vie pouvait être combinée avec celle de ma mère avec un peu d'effort de ma part et de la sienne. « Je comprends pas ouai » je levais les yeux au ciel avant qu'il n'ajoute une nouvelle fois. « Pourquoi quand tu es avec elle, t'es une lavette ? Je te connais bien plus courageuse Stevensen, t'as peur de quoi ? Qu'est-ce qu'elle peut te faire sérieusement ? Tu n'as pas besoin d'elle, tu es grande, t'as plus besoin d'une maman. » j'avais une nouvelle fois ma salive et finit par lâcher ce que j'avais dans les mains pour lui faire une nouvelle fois face. Il déposa chacune de ses mains sur mes épaules. « Alors pourquoi tu pleures ? Pourquoi ça te rend triste ? » pourquoi ? S'était très simple chaque combat s'était finis par une défaite et mon dernier combat m'avait valu bien des blessures. Je le regardais dans les yeux et finirent par lever une nouvelle fois les yeux au ciel pour contrôler les larmes qui risquaient une nouvelle fois de couler. « Parce que jusque-là, je n'ai jamais gagné. C'est ma mère Aidan... tu crois que je tiens de qui ? Tu crois qu'elle ne connaît pas les règles de l'art ? Elle est la maîtresse... tu peux pas faire plus garce que cette vieille mégère. » dis-je en pointant le doigt vers la porte comme pour la montrer du doigt. Je penchais légèrement la tête sur le côté et finis par lui dire : « J'ai essayé... et à chaque fois s'est la même chose, la même fin. » dis-je en relevant mon regard. S'était moi qui souffrais. Et le plus dur dans l'histoire s'était que parfois elle avait raison. «  Je n'ai pas pitié, je comprends pas c'est tout. Bats-toi bordel, et contre les bonnes personnes. » je le regardais et je finis par lui dire : « À Cambridge, je passe mon temps à me battre contre elle. Ma vie se résume à ça ! Tu crois qu'elle est revenue ici pour quoi faire ? Hein, tu n'as jamais imaginé qu'elle était ici pour me punir, des choses que j'ai pu lui faire bien avant ? Je suis frustrée, frustrée de savoir qu'elle aura toujours le dernier mot » dis-je en le regardant fixement. Le mariage, le chantage et j'en passe.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Les échanges avec Jackie le laissait parfois pantois, un peu comme un enfant qui a plaisir à regarder évoluer une bulle de savon librement dans la pièce, à détailler sa légèreté, ses reflets, la provocation avec laquelle elle vole librement dans une atmosphère pourtant hostile à cette si grande fragilité qui maintient sa sphère. Et puis elle éclate. Leur relation c'est un peu ça et quelque part il sait qu'il ne la comprendra jamais vraiment. Ses billes détaillent le visage de la Cabot tandis qu'elle explique, qu'elle répète, ces quelques mots prononcés des mois plus tôt et le peintre a comme des envies de fuite. « Parce que jusque-là, je n'ai jamais gagné. C'est ma mère Aidan... tu crois que je tiens de qui ? Tu crois qu'elle ne connaît pas les règles de l'art ? Elle est la maîtresse... tu peux pas faire plus garce que cette vieille mégère. » La question qu'il se posait, c'était pourquoi elle lui laissait autant de place, cette possibilité même d'avoir une emprise sur elle, mais la conversation n'avait ni queue ni tête et Jackie noyait le poisson. « Alors qu'est-ce que tu peux faire dans ce cas ? » demanda-t-il à la fois fataliste et agacé. Il hausse les épaules nonchalant, il enfile de nouveau cette carapace d'indifférence, ce je ne sais quoi qui attire mais qui donne en même temps envie de lui foutre des claques. « Elle ne devrait même pas avoir un mot à prononcer. » avance-t-il en relevant ses yeux sur les siens. Parfois dans la vie, il fallait oser, oser se détacher pour avancer, après tout, ça avait plutôt bien fonctionner pour lui alors pourquoi pas pour elle ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Do not listen to what I say and stay here Do not listen to what I say and stay here pv AIDAN (a) 2511619667

feat. Jackie & Aidan
« Alors qu’est-ce que tu peux faire dans ce cas ? » j’essuyais d’un revers de main les larmes qui coulaient encore sur mon visage. Analysant les détails du visage d’Aidan, je croisais les bras contre moi comme un coquillage qui se referme pour se protéger. Son agacement était visible. Mes yeux fixèrent le visage du jeune peintre « je vais prendre mes affaires et partir d’ici. Et j’aviserais après » dis-je en me retournant pour reprendre mon activité qui était de rassembler toutes mes affaires personnelles. Un mouvement réplétif s’enchaina avant qu’il ne dise : « Elle ne devrait même pas avoir un mot à prononcer. » j’avalais ma salive avant de finalement me retourner à nouveau vers lui. « Je sais… » dis-je finalement avant d’entendre quelqu’un frapper. Je levais les yeux au ciel avant de soupirer une seconde fois. J’ouvris la porte et ma mère se trouvait devant moi. Elle n’eut pas le temps de dire quelque chose que je lui refermais la porte au nez avant de retourner à mes activités. « Ça t’a plu ? » dis-je en souriant légèrement au jeune peintre. Ma mère ouvrit la porte de nouveau et fixa le jeune peintre. « Qu’est-ce que tu fais ici toi ? » son regard s’arrêta ensuite sur moi « Je te préviens si tu franchis cette porte avec tes affaires. Tu n’auras plus rien ! Plus t’appartement ! plus d’études, plus rien ! Je t’ai déjà privée de chose que tu avais déjà. Je peux recommencer. » mes yeux se froncèrent avant que je ne me rapproche d’elle. « Je t’en prie fait toi plaisir ! je ne veux plus rien de toi et je me débrouillerais toute seule maintenant sors d’ici » dis-je en la poussant dehors et en lui fermant une nouvelle fois la porte au nez. Je me retournais vers l’ex-lowell et lui fis : « va falloir que je trouve du travail » dis-je en souriant et en grimaçant à moitié. Sans vraiment savoir pourquoi, je m’avançais rapidement vers Aidan et me blottit dans ses bras.
/blockquote>
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Aidan redoutait que la colère ne succède à la tristesse suite aux réponses qu'il lui avait faite. Mais la petite Peste semblait avoir grandi et finalement c'est avec une nouvelle maturité qu'elle semblait voulait définitivement s'affranchir des chaînes maternelles. Il se contenta de lui sourire en laissant ses mirettes plantées droit dans les siennes. Moment propice pour un retour à la surface du Requin, pardon Maman Stevensen. Muet, le Peintre observa l'échange entre les deux femmes, si semblables mais si opposées dans les choix de vie qu'elles faisaient désormais. La petite fille allait devoir grandir désormais et Aidan fût un peu surpris de la retrouver blottie entre ses bras. C'était idiot, il se devait d'avancer, elle lui avait bien fait comprendre la dernière fois qu'elle ne voulait pas de lui, du moins pas comme ça, mais lui pouvait pas s'empêcher d'y penser, surtout quand il sentait son corps contre le sien. Il inspira une grande bouffée d'air et soupira, son menton reposant sur le sommet de la tête de Jackie, son regard perdu dans l'horizon lointain que lui suggérait la fenêtre. « J'ai du boulot pour toi si tu veux. » lâcha-t-il sans vraiment réfléchir. « Et si tu as nul part où aller j'ai un appartement en attendant que tu trouves un chez toi, je vais pas te laisser à la rue maintenant que tu as enfin pris la bonne décision. Je sais que c'est un peu bizarre entre nous deux, mais on des adultes non ? » Il parlait sans réfléchir vraiment aux conséquences, non il parlait simplement avec spontanéité. Un sourire se peignit sur son visage tandis qu'il reculait. Il attrapa sa main et amorça le mouvement. « Mais déjà on se casse, allez viens ! » Il ouvrit la porte sur une Maman Stevensen médusée, c'est qu'elle avait continué à brailler pendant leur petite discussion et qu'il ne voulait pas qu'elle entende la suite. « Belle-Maman ! » lâcha-t-il en lui collant une bise sur le visage et un grand sourire. « Je pense que Jackie a besoin d'air et je vais l'aider à en prendre, ne vous inquiétez pas, je veillerai sur elle. » annonça-t-il narquois avant de lancer un regard complice à la Cabot.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Do not listen to what I say and stay here Do not listen to what I say and stay here pv AIDAN (a) 2511619667

feat. Jackie & Aidan
Je m'étais approchée rapidement vers lui et sans réfléchir j'avais entouré mes bras autour de sa taille. Nichant ma tête dans le haut de son torse. Une sensation étrange se lisait en moi, un manque venait d'être assoupi. À l'abri des regards, je me pinçais la lèvre pour rester dans la réalité profonde. Mon cœur lui semblait de nouveau s'emballes et cette fois-ci les raisons étaient bien différentes. Les choses n'avaient pas vraiment changé. Malgré la raison mon corps semblait toujours en alerte. Toujours attirer par les douces mains protectrices du jeune peintre. S'en était déchirant. J'avalais ma salive essayant de chasser ses idées de ma tête. Je sentis ensuite le menton du jeune peintre se poser sur le sommet de ma tête. Voilà bien longtemps que nous n'avions pas eu ce genre de contact pourtant si simple. « J'ai du boulot pour toi si tu veux. ». Je plissais les yeux avant de finalement relever ma tête légèrement penchée sur le côté. « Tu auras une lettre de motivation et un CV au plus tard pour demain. » dis-je en affichant un grand sourire contente de la proposition que venait de me faire le jeune peintre. « Professeur et maintenant patron ? » dis-je en grimaçant légèrement avant de finalement sourire. Aidan lui proposa ensuite de l'héberger chez lui. Une proposition qui lui était admirable. J'affichais un sourire et lui fis : « J'ai ma chambre universitaire encore je l’espère » dis-je en levant les yeux avant de finalement lui dire : « mais effectivement nous sommes des adultes et je ne serais pas contre quelque petite soirée. » dis-je en mettant une main sur les yeux du jeune peintre. « C'est gentil norrington... je ramènerais les pizzas » dis-je en lui faisant un clin d'oeil. Il recula ensuite pour prendre ma main avant d'ouvrir la porte. Je pris mon sac au passage. Ma mère semblait toujours folle de rage. Voilà un comportement qui me faisait du bien. La voir aussi énervé me faisait du bien et me soulageait. Aidan passa devant elle et lui fit : « Belle-Maman ! » j'affichais un grand sourire avant de faire un petit signe de tête, légèrement provocatrice sur les bords. « Je pense que Jackie a besoin d'air et je vais l'aider à en prendre, ne vous inquiétez pas, je veillerai sur elle. » mon sourire s'élargissait petit à petit. Voilà une nouvelle qui devait bien l'affoler. Sa fille avec son demi-frère. Voilà une combine qui ne lui plaisait pas. Je ne fis rien, Aidan maîtrisa parfaitement la chose. J'ouvris la porte de l'appartement pour ensuite la fermer rapidement. Je mis mon sac à dos sur les épaules et finis par me percher sur le dos d'Aidan. « Franchement ? Tu devrais plus souvent lui parler comme ça. » dis-je en rigolant.
/blockquote>
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Franchement, il adorait provoquer le Dragon maternel de la sorte, si bien qu'il ne savait pas réellement si sa belle-mère l'aimait bien ou le détestait. Sans doute un peu des deux... Mais bref, les deux étaient partis pour du bon du nid de vipères parental. « Allez, on fête ça ! Je te paie un chocolat chaud, soyons fous ! » lâche-t-il en se mettant à rire et en lâchant la main de Jackie pour la poser sur son épaule et la rapprocher de lui. Leur relation évoluerait-elle peut-être en amitié ? Ce serait mieux que rien, du moins, il voulait se convaincre que cela lui suffirait.  « Je pense que ça lui fait du bien quelqu'un qui n'a pas peur d'elle, ça lui change ! » se moque-t-il en souriant et en appelant un taxi. Il commande au chauffeur de rejoindre le Centre et plus précisément le café préféré de Jackie, l'importance de connaître les petits détails dans les moments comme celui-là. Ça a beau être léger en apparence, il sait que c'est un moment difficile pour elle. « Et oui, si tu veux, je peux te devenir ton patron. Le temps que tu voudras, si tu veux trouver quelque chose de mieux ou si ça te gêne. » Il regarde Jackie, c'est un peu compliqué ce qu'il lui propose mais c'est mieux que rien, mais surtout elle a les qualités nécessaires, du genre exubérante, sans pitié, et qui ne lâche rien. « J'ai besoin d'une assistante. » ajoute-t-il en souriant, presque étonné que lui ait besoin d'une personne comme ça. « J'ai pas mal de personnes qui me sollicitent, des voyages à programmer, des contrats à signer, des ventes à réaliser, bref tous les trucs du genre, la paperasse qui me saoule et pour laquelle en bon artiste que je suis je suis nul à chier. » Il avait pensé à recruter une personne pour s'occuper de ça, bon il s'attendait pas à Jackie mais si ça pouvait la dépanner. « Enfin, tu me dis, si ça t'intéresse pas, on peut te trouver autre chose ! » Il se gratte la tête machinalement, est-ce que c'est vraiment une bonne idée qu'elle sache ce qu'il fait à chaque instant ? Il sait pas vraiment.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)