FLASHBACK | WE ARE YOUNG. (austin)

we are young.

Je passe ma main dans mes cheveux pour les soulever, ils sont vraiment trop lourd, j'ai envie de me les couper en mode Mulan, avec un couteau ou un sabre, et ça s'envolerais dans le vent, sous une musique d'ambiance. Il me demande si ça va, et je secoue la tête pour dire oui, même si j'avoue que.. j'suis péter, wow, si ma mère me voyait je pense qu'elle m’enverrais au couvant. Parce qu'en plus d'avoir tirer un bon coup sur ce truc, et manquer de mourir. J'suis entrain de faire un strip-tease improviser, face à se garçon avec lequel je sors depuis quatre jours à peine. Il me reluque d'ailleurs, en me disant que j'aurais carrément pue lui faire un strip-tease, un vrais de vrais, avec la barre et le lap dance, je glousse. « Envoie de la musique, prépare les billets et j'te fais ça. » je penche la tête, pour le regarder, le temps que le cligne des yeux, il est se retrouve en face de moi. Ou plutôt, au dessus de moi, ses cheveux son presque dans mes yeux, et j'suis sur le dos, sans savoir comment ni pourquoi. « T'es très endurant dis moi Da Silva, c'est la beuh qui te rend aussi énergique ? Ça te sert de viagra ? » dis-je dans un gloussement, suivit d'un sourire béat. son torse muscler et son sourire de gamin au dessus de mon visage, je remarque ses yeux rouges, et son odeur de beuh. Je souris bêtement, c'est comme un automatisme quand il pose ses yeux sur moi, et encore plus quand sa peau brûle contre la mienne. « On va faire des bébés ? Des petits bébés, au yeux vert et bleu et une grosse touffe sur la tête. » dis-je en passant un doigts autour d'une de ses bouclettes.

Je rigolais comme un mongole à chacune de ses conneries. La drogue c’était mal et je crois bien que ça sera la première et la dernière fois pour elle, car même moi je tenais bien plus qu’elle. En même temps, j’en prenais depuis bien plus longtemps que la demoiselle. « T’as fini de dire des conneries ? » Disais-je en souriant avant de lui prendre le menton pour déposer sensuellement mes lèvres sur les siennes. « Je crois que les bébés ça né chauve chérie sans vouloir te vexer » murmurais-je contre ses lèvres avant de l’embrasser à pleine bouche encore une fois. « Et tu sais que je déteste les gosses » Je lui mordillais la lèvre tout en faisant balader mes mains le long de son corps avant de m’arrêter à ses hanches. Mes yeux en direction de ma table de nuit, elle me semblait tellement loin et je me demandais si j’étais en mesure de me déplacer pour aller choper un préservatif sans faire de catastrophe.