FLASHBACK | WE ARE YOUNG. (austin)

we are young.

L'Amérique n'était pas mon pays préférés. Les gens étaient soit vulgaire, soit pas assez vulgaire, soit complètement barge. Il n'y avait pas de juste milieu, que ce soit dans leurs cultures ou dans leurs populations en générale. Je trottais de ville en ville, dans des familles typiquement américaines pour qu'ils m'apprennent à vivre de leurs manières, en échange, ils recevaient une somme d'argent assez importante, venant de la part du roi de Monaco, qui est jusqu'à ce qu'à ce que mon frère monte sur le trône : mon père. Quoi qu'il en soit, j'étais tomber dans des familles étranges, jusqu'à la maison des Da Silva. Elle était femme seule, élevant son enfant, dans la norme des choses elle n'était pas le droit de participé à ce genre d'échange, mais suite à de récente études ; les femmes américaines étaient à 50% seule, avec un enfant à géré en plus de son boulot. C'était le cas de cette jeune femme, qui se donner un mal fou à joindre les deux bouts et qu'une petite aide ne serais pas de mal. J'ai do rejoint leurs foyer après avoir remplis des papier, et ça faisait une petite saine que j'ét ais là. Je m'entendais très bien avec son fils qui d'ailleurs était passionner de jeu vidéo comme je le suis. Ce soir, était mon dernier soir. Il était vers trois heures du matin, quand la jeune femme partit pour son deuxième boulot,  qui commencer à cinq heure. Je me lever pour lui dire au revoir, n'étant sûrement -plus là a son retour et la remercier. En me dirigeant vers la chambre qui m'était destiner, j’aperçus Austin, son fils, devant la télé. « Tu mattes du porno à trois heures du matin, bébé ? » dis-je en riant.

Voilà déjà plusieurs jours où j’avais eu l’occasion de faire la connaissance d’une charmante demoiselle. De base je voyais cette opportunité uniquement dans le but d’avoir plus de fric. J’avais entendu parler du principe de famille d’accueil et autant dire que l’idée de partager ma maison avec quelqu’un d’autre était loin de me plaire. J’avais longuement rouspété auprès de ma mère pour au final changer d’avis en me retrouvant face à face de ce canon. Je n’avais pas perdu de temps pour engager la conversation et par chance, c’était tout de suite passé. Tous les deux addictifs des jeux vidéo, nous avions très vite trouvé des points communs jusqu’à se mettre en couple. Ce que nous étions actuellement et cela malgré le fait de savoir que nous devions très bientôt ce quitter. Genre dans quelques heures. E ne déprimais pas spécialement à cette idée même si ça me faisait clairement chié, je n’allais pas le cacher.

Assis sur mon lit devant ma télé tel un parfait adolescent, je souriais en la voyant entrer dans ma chambre. Je souriais surtout à sa fausse question. « Non c’est fini » Disais-je en rigolant avant de me pencher pour attraper une petite malle en dessous de mon lit et en sortir de quoi me rouler un joint. Elle savait quel genre de garçon j’étais. Le genre de gars qui se bourre tout le temps la gueule et qui est tombé dans la drogue, mais elle m’avait accepté ainsi. « Tu voudras essayer ? » Demandais-je en esquivant un petit sourire au coin.

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Je dis au revoir à la maman Da Silva, la remerciant de sa générosité et de sa patience avec moi. Après tout, je n'avais pas un bon niveau d'anglais en arrivant, traînant toujours ce petit accent frenchie que je tenais de ma langue maternelle. Une fois qu'elle partit, je rejoignait la chambre d'Austin, toujours réveiller. Je présumais qu'il regardais un porno, ou juste des vidéos marrante de chats qui tombe sur le net. Il était ce genre de garçon rebelle et sauvage, que les filles adorés à cette âge là. Il fume, bois, écoute de la musique rock et avec ce petit trucs dans son sourire qui faisait chavirer pas mal de fille. Mais j'avais le privilège d'être sa petite amie, après une demande très romantique entre deux bols de céréale lion. « Arf, t'aurais dû m'attendre on l'aurais regardait ensemble. » Dis-je en gloussant. Je m'assoie sur son lit, comme à mon habitude, tandis qu'il sort une petite mallette de sous son lit. L'odeur me permis tout de suite de reconnaître la marijuana. « J'ai jamais essayer. J'vais pas m'étouffer ? » dis-je en gloussant. Je me pencher un peu plus, pour voir ce que c'était, on aurais dit de l'herbe, sèche, tout bêtement. Il savait déjà les rouler à la perfection, je le regardais faire, intriguer. « T'sais, on dit que fumer tue, alors ce truc là doit tuer deux fois plus. » dis-je en montrant l'objet du bout des doigts.

Je rigolais doucement avant de me tourner et de poser furtivement mes lèvres sur les siennes avant de retourner à ma première occupation qui était de me rouler un joint. « J’en ai plein mon pc si tu veux » Disais-je en rigolant alors que je finissais enfin mon roulage. C’était un travail d’expert que je prenais soin d’allumer. Ses questions étaient telement innocentes que ça en été adorable. Je tirais une taffe avant de laisser échapper une longe traîne de fumer qui puait la beuh, mais qu’est-ce que j’aimais cette odeur. « C’est le cas » C’était évident que ça tuait bien plus que les clopes, mais je m’en foutais royalement, car tout ce qui nous tuait nous rendait vivant après tout. « Tient, mais souffle pas trop longtemps sinon tu vas tousser durant dix minutes » Autant la prévenir, je ne voulais pas l’à voir mourir, je tenais bien trop à elle. Premier joint pour la demoiselle, je décidais que ça se filmait, alors je m’emparais de mon portable avant de le mettre en mode vidéo et d’en rire tout en l’encourageant pour qu’elle tire sa première taffe de sa vie. Peut-être pas la dernière qui sait.

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« On les regarderas plus tard. » dis-je en gloussant. Il se penche un instant pour embrasser mes lèvres d'une manière furtive. Je me sent toutes choses à chaque fois qu'il m'embrasse. Ses lèvres ont le goût de la bière et de la vie. Je croise les bras suret replis mes jambes sur moi pour le regarder faire. Il faisait filer la feuille sous ses doigts tout en l'enroulant en délicatesse, l'herbe sur le côté dépasse un peu, mais il arrive à le à faire en sorte qu'elle ne tombe pas partout sur le lit. Il me la temps, allumer et me donne des indications pour fumer. Wow, je est-ce que ce je vais vraiment fumer un joint ? A seize ans ? Ça va peut être me tuer. « Si je te dis que j'ai peur, tu vas te moquer de moi ? » je glousse et me rapproche de lui, afin de me mettre à sa hauteur. Je prend cette chose entre mes doigts, en faisant gaffe de ne pas brûle mes cheveux incroyablement long au passage. Et tire un peu trop fort sur cette chose. Je m'ettouffe, « oh mon dieu c'est horrible, comment tu fais pour aimer ? » dis-je en nichant ma tête dans son torse tout en continuant de tousser.

Je souriais avant de l’attirer vers moi et de lui déposer un baiser sur sa chevelure. « Non, ce n’est pas mon genre » Disais-je tout souriant, alors que je ne croyais pas un seul mot de ce que je racontais. « Tu sais bien que je ne te donnerais jamais rien qui te mettrais réellement en danger » Je savais que ce n’étais pas quelques taffe de beuh qui allait l’anéantir et même i elle avait un système immunitaire fragile. J’en fumais depuis plus d’un an et je pétais la forme. Son visage de dégoût me tuait de rire, mais c’était très mignon en y repensant. « J’sais pas, je suis accro tu sais, alors je ne me pose plus trop la question, mais j’aime ça. Que ça soit l’odeur ou le goût. Mais tant mieux si tu n’aimes pas, ça préserve ta santé au moins » Sa tête enfouit contre mon torse, je la relevais pour lui déposer un baiser. « ça va mieux ? » Avouons-le, les baisers magiques ça fonctionne toujours (a)

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Il m'assure que ce n'est pas son genre de se moquer, des pauvres petites minettes de seize ans qui n'ont jamais fumer de leurs vies. Et pourtant, je le voit retenir un rire, dans son petit sourire de gamin, lorsque j'ai l'impression que mon poumons va se tirer et partir ailleurs. « tu m'avait promis de pas te moquer ! » J'meurt littéralement, lorsque la fumer infiltre mes poumons, j'essaie d'expirer mais ça empire les choses. Est-ce que je vais mourir ici ? Je niche ma tête au creux de son torse pour trouver le réconfort, il comprend et redresse ma tête, pour déposer un petit baiser au bout de mes lèvres. Je ne peut m'empêcher de lui rendre son geste par un grand sourire, avant de tousser de plus belle. « ça a réparer la moitié, des choses. » dis-je tout en gloussant. « Mais je suis pas contre un autre bisou magique. » dis-je en passant mes doigts sur sa joue, pour toucher ses fossettes. Je reprend mon souffle, en buvant le fond de bière qu'il rester au pied de son lit, et m'allonge près de lui, la tête sur son épaule. Il m'explique son addiction, qui ne m'avait pas échapper, ça faisait tout de même un moment que je vie ici et j'avais bien vue qu'il aimer ça fumer, boire et regarder des vidéos de chats marrantes sur internet. « Je crois que j'ai la tête qui tourne maintenant. » dis-je en gloussant.

Elle commençait tout de même à m’inquiéter, car elle n’arrivait pas à reprendre son souffle. Ce n’est que lorsqu’elle avait relevé la tête pour réclamer un second bisou que je fus entièrement rassuré. Je n’avais pas pu lui dire non, bien entendu et c’était aussi par plaisir. Ses lèvres étaient exquises et en plus, elles avaient légèrement le goût de la beuh maintenant. Allongé à côté d’elle, je riais comme un débile à ses dires. Je ne prenais pas des joints depuis assez longtemps pour ne pas avoir les effets, par conséquents, j’avais aussi l’impression que le monde tournait autour de moi. Ou du moins il ne me semblait pas comme d’habitude. Néanmoins, cela ne m’empêchait de finir mon joint tranquillement. « Et je crois que c’est normal » Disais-je en riant à mon tour. Deux parfaits idiots. Heureusement que ma mère n’était pas là, même si je me doutais qu’elle savait un peu pour mes addictions. Du moins, au moins pour la clope, mais qu’elle préférait fermer les yeux pour ne pas qu’on se prenne la tête et qu’elle perde le peu de relation qu’on a entre nous. Je n’allais pas m’en plaindre.

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Je surjouée un peu, histoire d'avoir une autre tendresse. Tandis que mes doigts pianoté sur son torse, il m'adresse un petit sourire, avant de coller ses lèvres aux miennes. Je lui lancer un petit sourire à son tour, en frottant mon nez contre le sien, dans un bisou esquimaux. Je ne comprenais pas qu'il aime cette chose, alors que le goût est répugnant. « Je ne voit pas ce qui est fun, dans le fait de voir la monde à l'envers. » dis-je en nichant de nouveau ma tête dans le creux de sa nuque. Au moins je ne mourrais pas bête, j'aurais goûter à la vie sauvage des joints et du bad boys, qui traîne en caleçon bob l'éponge. Ma tête tourner vraiment pour être honnête, et j'avais de plus en plus chaud, je me redresser, pour enlever le pull qui me recouvrais, et attacher mes cheveux avec un élastique, c'était vraiment pesant toute cette masse de chevelure. « J''éttoufe, ça aussi c'est normale ? » dis-je en me tournant vers lui. L'air devenais vraiment chaud, et pesante. J'enlevais mon tee-shirt, cette fois-ci, la tête pencher en avant, pour reprendre mon souffle. « J'suis défoncer ? » dis-je en gloussant, les joues roses et un sourire au lèvre. Je n'avais même pas remarquais que j'avais les nichons à l'air, emballer dans mon soutient gorge trop petit.

Je rigolais en voyant l’effet que la beuh avait sur elle, même si je m’étais légèrement redressé pour voir si elle allait réellement bien. « Ça va aller ? » Je la sentais bouillante et être totalement à côté de ses pompes. Je rigolais tandis que sentais aussi mon cerveau commencer à se déconnecter totalement. « Tu ne veux pas me faire un strip tease aussi ? » Je me mordais légèrement les lèvres en l’observant de haut en bas. Je restais un mec, un adolescent qui plus est et un adolescent défoncé et elle prenait le risque de se dévêtir sous mes yeux comme ça ? C’était osé quand même, mais je ne suis pas sûr qu’elle se rende compte de ses faits et gestes. Néanmoins, je déposais mes lèvres sur les siennes avant de me mettre à califourchon sur elle. « Tu sais, même défoncé je suis encore capable de coucher » Je laissais mes mains se balader sur mon corps tandis que mes yeux étaient littéralement rouge et totalement défoncé. Mon corps était présent, mais mon cerveau totalement ailleurs. « On est complètement défoncé » Disais-je en poussant de rire.