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cause you are the one and onlyBAM. T'as tout lâcher et ça t'as fait, un bien fou. Comme étaler toutes tes penser sur une table et voir ou tu en était. Cela devrais être facile à présent. C'était ça la solution facile non ? Tu trouvais ça marrant de résoudre des équations sur le net entre deux répétitions, alors tu devait trouver de la facilité dans tout ce que tu venais de faire. Mais ce qui devait arriver, arriva. Alors que tu soupirais la dernière phrase de ta tirade, les choses devienne plus claire. C'est ce truc qui commence par un A, et qui se finit par un « désolé, Kiara. ». Le regard vers le bas, les mains tremblante, les voix pas sûre de lui, tu sentait que les événements à venir n'allais pas te faire plaisir. Il t'expliques alors son point de vu, si on peut appeler ça enfin. En somme, il n'étais pas fait pour toi. C'est ce qu'il pense, mais ce n'est pas vrais. « Tu m'offres déjà ce que personne n'a jamais réussi à m'offrir en dix huit ans de vie : de l'importante. » de l'importance, parce qu'il fait l’aller retour tout les week ends, de l'importance parce qu'il te connais assez pour connaître le nom de tes ship dans les séries que vous regardez, de l'importance, parce qu'il te demande tout les jours comment se passe tes cours, quand même tes parents ne daigne pas le faire. Vint ensuite l'histoire de l'école. Toi dans ta petite faculté pour virtuose, et lui encore en quête de ce qu'il veut faire. « Je viendrais avec toi ? Je compte pas rester toute ma vie à Juilliard, je veux pas devenir le prochain Beethoven tu sais. Je fais ça, parce que ma mère m'oblige. » Il prend panique, tu le voit bien. Toutes les solutions du monde n'était pas faite pour vous. Enfin, pour lui. Il prétend le rien avoir à offrir, mais son corps entier est un cadeau. Tu soupires et plus belle et secoue négativement la tête. « Alors partons ? On s'enfuie ? On laisse mes parents, ma famille, mes obligations royales. Je ne monterais jamais sûr le trône, je serais toujours la gentille sœur, ils n'ont pas besoin de moi. Je peux changer de nom, prend un pseudonyme et utiliser l'argent que mes parents m'ont laisser. On partirais loin, très loin, rien que toi et moi. » dis-tu, les étoiles dans les yeux. C'était déjà ta solution. Cette vie, cette royauté, ça devenais trop lourd pour toi. Tu avais prévue de partir, tes faux papiers était déjà près et un sac remplis de billet en liquide traîner quelque part entre tes valises. Mais ton entrée à Juilliard et ton indépendance t'avais stopper. Et lui, lui aussi t'avais stopper, sans le savoir. « Tant qu'on est ensemble, je peut même vivre dans une caravane. »
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