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FLASHBACK | CAUSE YOU ARE THE ONE AND ONLY (oliver)

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BAM. T'as tout lâcher et ça t'as fait, un bien fou. Comme étaler toutes tes penser sur une table et voir ou tu en était. Cela devrais être facile à présent. C'était ça la solution facile non ? Tu trouvais ça marrant de résoudre des équations sur le net entre deux répétitions, alors tu devait trouver de la facilité dans tout ce que tu venais de faire. Mais ce qui devait arriver, arriva. Alors que tu soupirais la dernière phrase de ta tirade, les choses devienne plus claire. C'est ce truc qui commence par un A, et qui se finit par un « désolé, Kiara. ». Le regard vers le bas, les mains tremblante, les voix pas sûre de lui, tu sentait que les événements à venir n'allais pas te faire plaisir. Il t'expliques alors son point de vu, si on peut appeler ça enfin. En somme, il n'étais pas fait pour toi. C'est ce qu'il pense, mais ce n'est pas vrais. « Tu m'offres déjà ce que personne n'a jamais réussi à m'offrir en dix huit ans de vie : de l'importante. » de l'importance, parce qu'il fait l’aller retour tout les week ends, de l'importance parce qu'il te connais assez pour connaître le nom de tes ship dans les séries que vous regardez, de l'importance, parce qu'il te demande tout les jours comment se passe tes cours, quand même tes parents ne daigne pas le faire. Vint ensuite l'histoire de l'école. Toi dans ta petite faculté pour virtuose, et lui encore en quête de ce qu'il veut faire. « Je viendrais avec toi ? Je compte pas rester toute ma vie à Juilliard, je veux pas devenir le prochain Beethoven tu sais. Je fais ça, parce que ma mère m'oblige. » Il prend panique, tu le voit bien. Toutes les solutions du monde n'était pas faite pour vous. Enfin, pour lui. Il prétend le rien avoir à offrir, mais son corps entier est un cadeau. Tu soupires et plus belle et secoue négativement la tête. « Alors partons ? On s'enfuie ? On laisse mes parents, ma famille, mes obligations royales. Je ne monterais jamais sûr le trône, je serais toujours la gentille sœur, ils n'ont pas besoin de moi. Je peux changer de nom, prend un pseudonyme et utiliser l'argent que mes parents m'ont laisser. On partirais loin, très loin, rien que toi et moi. » dis-tu, les étoiles dans les yeux. C'était déjà ta solution. Cette vie, cette royauté, ça devenais trop lourd pour toi. Tu avais prévue de partir, tes faux papiers était déjà près et un sac remplis de billet en liquide traîner quelque part entre tes valises. Mais ton entrée à Juilliard et ton indépendance t'avais stopper. Et lui, lui aussi t'avais stopper, sans le savoir. « Tant qu'on est ensemble, je peut même vivre dans une caravane. »
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Tu prends peur. Mon dieu, comme le pire trouillard de cette planète terre, plus elle parle, plus t'as les mains moites, et plus tu sens les batements de ton coeur s'affoler. Elle peut pas te faire ça, elle ne comprend décidément pas non plus, elle ne comprend pas que t'auras jamais les couilles d'assumer tout ça. Et dans ses yeux, ça brille de mille feu, comme un feu ardent. Ca crépite dans son regard, et elle ne t'as jamais semblé plus elle même à ce moment là. T'as envie de lui sauter dessus, t'as envie d'envoyer le monde se faire voir et de la garder rien que pour toi, puisqu'elle ne demande que ça. Alors pourquoi tu ne le fais pas ? Pourquoi tu ne laisses pas la folie de ses idées vous prendre tous les deux ? Parce que oui, ce sont des idées complètement folles qu'elle te débale. Cependant, tu sais qu'elle a largement assez d'argent pour vous faire vivre tous les deux, et même peut-être toute ta famille, pendant bien quelques années, le temps que tu trouves un travail. Vous pourriez faire ça, comme deux roseaux resistant malgré tout le vent, car les roseaux jamais ne se brisent. T'en as envie ? Bien sûr. Mais t'es si lâche, t'es si peu courageux. T'as toujours dû être rationnel pour les autres, dans cette famille où l'amour est bien présent mais qu'il ne nourrit pas les bouches. T'as toujours dû faire les choix difficiles pour les autres, t'as toujours dû mettre ce que tu voulais de coté. Et c'est ce que tu dois faire ce soir, c'est de la folie.  « Non... Non, non, non ! Non c'est insensé. Non tu ne peux pas faire ça, t'as un bel avenir qui t'attend, t'as une famille qui t'aime... Tu ne peux pas abandonner tout comme ça, pas pour moi. Putain Kiara j'assumerai jamais tout ça. C'est complètement dingue, on a que dix-huit ans. Non je peux pas te laisser gâcher ta vie pour moi. » Pourtant dieu ce que tu aimerais, juste pour une fois, être le plus irrésonable des deux, et ne réfléchir aux conséquences que lorsqu'elles oseaient vous atteindre. Mais tu n'as que dix huit ans, t'es grand sur tes longues pattes, tu fais des vidéos dans ta chambre, et tu te fais passer pour en couple avec la fille la plus extraordinaire que t'ai jamais rencontré. Et cette fille là, tu peux pas lui dire oui, tu ne veux pas prendre le risque de ne pas savoir la rendre heureuse. Parce qu'elle mérite le meilleur, et que t'es certainement pas le meilleur, c'est sûr même. Vous avez dix huit ans, vous êtes fous. Tu viens prendre doucement son visage fin entre tes mains tremblantes, et tu lui relèves les yeux vers les tiens. Tu te sens si mal, t'as l'impression que tu vas t'évanouir.  « Un jour je te promet tu rencontreras un autre mec que t'aimeras tout autant que moi, et ce jour là faudra que tu n'attendes pas une seconde et que tu fonces. mais moi, je suis pas un mec pour toi, je te rendrais malheureuse. Et toi, tu mérites juste le meilleur. » Alors tu la fixes dans les yeux, ces grands yeux gris si hors du commun. Puis tu viens poser doucement tes lèvres contre les siennes, et ton coeur se déchire. T'arrives pas à croire que tu vas faire ça. Tes lèvres tremblent elles aussi, mais contre les siennese elles se calment immédiatement, comme appaisée comme jamais, comme si elles avaient trouvées ce qui leur avait toujours fallut. Tu les décolle vite, te rendant compte de cette sensation, les yeux écarquillés, et tu souffles. Tu te lèves et tu attrapes ton manteau, ainsi que tes affaires.  « J'suis désolé... » tu murmures, serrant tes poings autour de la hanse de ton sac, avant de rejoindre la porte.
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Mais à quoi tu pensais ma pauvre. Au bonheur ? A la tranquillité ? A la facilité d'une vie banale et sans soucis ? A toi ? Charlotte Grimaldi ? Ne pense tu pas que de demander Michael Jackson pour ton anniversaire serais plus facile à réalisé que de demander à une personne d'être capable de t'aimer, de te chérir et de te demander comment c'est passer ta journée ? Rien de plus simple, tu ne voulais que la simplicité, mais c'était trop demander. Une demande trop compliquer pour la princesse trop compliquer que tu es. « Comprend que personne ne m'aime crétin. » dis-tu en essayant de gloussait. Mais tu n'y arrive juste pas, tu ne veux plus rire, tu veux que les choses soit sérieuse, QU'IL soit sérieux. Mais la panique s'empare de lui, il bégaye, ses gestes, ses mots, son corps, tout son être tremble de peur. Une fille vient de lui dire qu'elle voulais êtres plus qu'une amie et cette fille pensais que ça allait bien se passer, que son monde aller enfin tourner dans le bon sens. Cette fille est si naïve. Tu aurais dû t'enfuir quand tu en avait l'occasion, ne pas aller à Juilliard, ne pas le rencontrer, partir sous un faux blase, te laisser vivre sur la richesse de tes parents. « Tu es la seule chose qui rend ma vie meilleure. » dis-tu à toi même, sur un ton à peine audible. Il n'était pas censée le savoir de toute façon, que ferais-t-il de cette information? « On ne ruine pas notre vie, on s'offre une chance. Une chance à deux. Une chance d'être heureux. Une chance de se réveiller à côté de quelqu'un qu'on aime. Une chance de passer une bonne journée. Peut être même de passer une bonne vie? » c'était peut être un peu tirer par les cheveux, mais c'est tout ce que tu voulais. Une chance d'avoir une vie que tu choisit, dont tu es maître, et non une vie de merde, diriger par tes parents et par leurs obligations, avec des gens qui ne voulait pas de ta compagnie. Il prend panique, encore plus. Et tu n'essaie même plus de lui faire changer d'avis. Il te promet que quelqu'un basculeras ta vie un jour, un garçon, qui serais la perfection à tes yeux. Et qui ne serais pas lui, bien sûr. Encore faut-il qu'il existe, et puis même si il existe tu n'en voulais pas. C'est lui que tu voulais, lui et personne d'autre. Que ferais-tu d'un naze choisit par tes parents, friquer jusqu'au cou et qui te tromperais dès qu'il on a l'occasion. Tu le voulais lui, lui et sa maladresse, lui et son rire de cochon, lui et ses blagues pourrit, lui et sa répartit de nul, lui et ses habitudes de paysan, comme enlever la croute du pain ou encore se brosser deux fois les dents avant de partir à un endroit. « Ce ne seras pas toi.. Et moi, je veux pas de quelqu'un si ce n'est pas toi. » avoue-tu dans un murmure. Ses yeux dans les tiens, il se penche vers toi. Ton bat si vite que tu es persuadée qu'il va exploser. Il pose ses lèvres sur les tiennes, dans un geste doux et délicat. Tout se répare, tout s'en vas, tu l'aimes, oh oui, tu l'aimes. Mais faudrait qu'il t'aime aussi. Tu passes maladroitement tes doigts sur sa nuque et penche ta tête pour donner de l’ampleur. Mais il romps le baiser, tu n'as plus que tes yeux pour pleurer. Il se redresse et ramasse ses affaires, il ne fait pas ça, non. Il ne le fait pas. Tu ne sais pas trop quoi faire, ni quoi dire. Tu devrais te lever mais tes jambes sont trop môle, ton coeur bat trop vite, tout vas trop vite. « Non.. Oliver, non. » c'est tout ce que tu as à dire ? C'est sûre que ça donne envie de rester. « Ne me laisse pas.. Je t'en pris. Je te promet.. Je te promet de te laisser la dernière part de gâteau à chaque fois que j'en acheterais, la dernière crêpe, le dernier cookie. Je te promet d'être d'accord avec toi, d'être toujours là pour toi. Je te promet d'écouter ta musique de paysan, de laver tes chaussettes, ne jamais te forcer à écouter du Justin Bieber, je te le jure même, on peut brûler le cd ensemble. Je te promet d'apprendre à cuisiner, repasser, lire les mêmes conneries que toi, regarder tout les films de Charlie Chapeline et de Johnny Deep.. Je te promet la lune si tu me le demande, mais ne me laisse pas. » s'il te plais, ne me laisse pas.
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Non tu pouvais pas la laisser faire ça, elle méritait mieux qu'un minable comme toi. Mais merde, elle pouvait pas être amoureuse de toi, t'étais le mec le plus paumé, le moins virile, et le plus con du monde, non ? Les fans trouvaient que vous alliez tellement bien ensemble, mais n'était-ce pas qu'une simple fiction ? Est-ce qu'elle voulait que tout ça devienne une réalité ? Est-ce que c'était vraiment possible ? Toi t'avais jamais réussis à mettre de mot sur ta relation avec Kiara, parce que tout se faisait naturellement, rien n'était jamais bizarre. Ni de prendre dans ses bras, ni de passer tout ce temps avec cette fille de laquelle t'étais trop proche pour être une simple amie, mais qui n'était pas pour autant ta copine. Elle t'aimait alors ? C'était une déclaration à laquelle tu avais le droit ? Une promesse de tout abandonner, pour toi ? Tu ne pouvais pas la laisser faire ça. Si un jour elle ne t'aimait plus, si elle ne te trouvait pas à la hauteur, comme tu le craignais tant, elle te haïrait de l'avoir fait tout quitter. « Ton frère t'aime, ta famille t'aime, t'as un peuple entier qui t'aime. » Tu poursuivis, secouant la tête tandis qu'elle parlait, le souffle court. « Je serai jamais à la hauteur, tu finiras par me haïr de t'avoir laissé faire ça... Non c'est de la folie, il faut qu'on arrête là. » et tu te lèves, tu ramasses toute tes affaires. T'arrives pas à croire que tu vas faire ça, est-ce que c'est vraiment indispensable ? T'as besoin de réfléchir, tout ça est dingue. T'as peur, t'as terriblement peur. C'est dangereux cette situation, et ton cerveau fatigué ne parvient pas à réfléchir correctement. Elle dit qu'elle ne veut que toi, et tu pousses un souffle au bruit étrange en l'entendant, secouant vivement la tête de droite à gauche. « T'es trop bien pour moi, tu finiras pas m'en vouloir... » Ta caméra te parait peser une tonne d'un seul coup, et t'enfile ta veste en cuir qu'elle t'avait d'ailleurs aider à choisir. T'as l'impression que tu vas t'évanouir, et alors que tu t'approches de la porte, tu te retournes pour entendre sa tirade, et tu déglutis, les larmes aux yeux. « J'ai... J'ai besoin de réfléchir Kiara, je suis désolé. Je... Je veux pas te faire souffrir, mais je veux pas que tu fasses une connerie pour moi... j'suis désolé, j'suis désolé. » Et tu refermes la porte derrière toi.

FIN OLIVER. (18 ans) FLASHBACK | CAUSE YOU ARE THE ONE AND ONLY (oliver) - Page 2 2442039969
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