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FLASHBACK | CAUSE YOU ARE THE ONE AND ONLY (oliver)

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Qu'est-ce que j'ai sérieux. Je suis levé, il est quatre heures du matin, confession intime ne m'intéresse même plus. Je me redresse, étant avachie sur le canapé et les pieds dans le vide, pour coller ma tête contre la vitre. On se croirait dans un clip de Taylor Swift, ou elle attend sagement que son prince arrive pour ensuite lui reprocher trois millions e truc et finir dans un couplet, we never, never, never getting back toghever, nananana. L'hiver à New York était l'un des plus beau, nous étions en janvier, les rues étaient encore décorer de sapin de noël et d'affiche de bonne année, c'était un nouveau départ pour tout le monde, et je prier le ciel pour que ce le soit pour moi aussi. Ça faisait quatre mois que je vivais à New York, quatre mois que chaque week end Oliver faisait l’aller retour d'Atlanta à New York tout les week end. Et quatre moi que je me demande ce qui peut bien faire chavirer mon cœur à chaque fois qu'il passe l'encadrement de la porte. On faisait semblant d'être en couple, pour la survie de nos blog respectif, mais aussi parce que ça nous amuser de voir les fans fangirler sur nos vidéos et nos photos. Oliver dors chez moi chaque week end, mais cette nuit il n'est pas rentrer, il travaillais trop, s’épuiser, après il était grognant, sur les nerfs et totalement chiant. Cette nuit encore, j'avais dormis seule, et j'étais également sur les nerfs. La porte s'ouvrit soudainement, je me précipite presque pour rejoindre le salon et le voir arriver dans sa tenue de travail. Je frissonne, mes jambes deviennent môle, mais ma colère et la même et je ne peut m'empêcher de l'ouvrir. « ça aurait était sympa que t’appelle. Même juste pour dire que tu seras en retard, je t'attends comme une conne depuis des heures moi. »
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Une journée épuisante de plus dans ta vie composée presque uniquement de journées épuisantes. Cependant cette dernière, elle avait été particulièrement hard. T'avais passé ton week-end le cul posé sur ton scooter, ou grimpant les escaliers des immeubles afin de leur livrer les pizzas que les gens avaient commandés. A force d'avoir cette odeur de sauce tomate dans les narines vingt-quatre heures sur vingt-quatre, t'étais sûr de ne plus jamais avoir enfin d'un jour bouffer la moindre part de pizza. Évidement, avec tout ça t'avais pas pu passer voir Kiara, et ça, ça ne lui avait pas plu. Elle n'avait pas manqué de te le dire dans vos sms, et de bouder. T'avais finalement réussi à te libérer ce dimanche soir, pour l'unique soirée que tu pouvais lui offrir cette semaine, t'avais pas le choix. Épuisé, tu tournas tes clés dans la serrure de son appartement, ayant apporté ta caméra au cas où tu trouverais la force de faire une vidéo. C'était sans compter sur la colère de la petite lionne. « Oh non pitié Kiara, j'ai vraiment passé une journée de merde, ne me prend pas la tête. » Tu râlas, posant ton sac dans l'entrée tandis que tu te débarrassais de ton manteau. « Je pensais même pas avoir le temps de passer, alors satisfais toi déjà de ça. » T'avais la tête qui sifflais tant t'étais crevé. Tu soupiras, levant les yeux vers elle avant de t'avancer pour la prendre dans tes bras, comme d'habitude.
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Tu es restée là, les bras croisés sur ta petite poitrine, le front plisser, avec ton faux air de fille fâché. Tu n'étais pas fâché, ni en colère, tu étais blessé. Va savoir pourquoi d'ailleurs, ça devrait te soulager qu'il ne soit pas là, tu peut faire des trucs de fille comme chanté à tue-tête sur du Céline Dion ou manger des biscottes à trois heures du matin. Mais tu n'y as pas pensé à tout ça, tu es seule toute la semaine, et tu peux faire ça mardi ou jeudi, et le week end, le week end que tu attend avec impatience, il est enfin là et ses activités nocturne devienne plus drôle à deux. Tout devient plus drôle à deux, mais ça l'est encore plus quand il s'agit d'Oscar. Il soupire, ses vêtements qu'il enlève sur le sol du salon, tu soupires aussi, parce qu'après tout, tu l'avais attendue, . Trop longtemps même. Il râle à son tour, soupir de plus belle, ça n'en finit pas. Tu hausses un peu le ton, parce que ce n'est pas juste qu'il soit aussi chiant alors qu'il devait être là avant hier, et te réchauffer dans ses bras, et te raconter des histoires de dingue que ses frères ont vécu. « Et bien moi, j'ai passé UN WEEK END, de merde. On avait une twitcam hier soir, et les fan se sont déchaîner sur moi quand ils ont vue que tu n'était pas là. Ils commence à se douter que tout ça ne soit du fake. » votre relation l'est, vous vous faite passer pour le couple le plus heureux du net après Angelina et Brad et bizarrement, vos abonnés y croient. « Satisfais toi déjà de ça ? » la bouche béante, les yeux rond, tu ne sais plus quoi dire. Quel culot celuil-là, tu le nourris, blanchis, est tendre et gentille avec lui, chose que tu n'as jamais faite même pour ton propre frère ! Et il a le culot de te demander de te satisfaire de ça ? Il s'approche de toi, tu le repousses d'un geste de la main, pas assez fort pour l'envoyer contre le mur même lui faire faire deux pas en arrière. « Je dois me contentais de te voir une soirée par semaine ? Parce que monsieur n'as pas le temps, monsieur est trop occuper alors Kiara tu attends sagement que monsieur daigne te donner de l'importance ! »
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A vrai dire, tu pouvais faire l'épuisé autant que tu le voulais, tout ça n'y changerait rien. Tu t'attendais à cette confrontation ; tu connaissais trop bien Kiara pour émettre l'hypothèse qu'elle laisserait tomber pour cette fois. Non, Kiara était têtue. Et en même temps, tu pouvais comprendre sa frustration et sa tristesse. Tu aurais probablement réagit pareil si les rôles étaient inversés, mais bon, qu'est-ce que tu y pouvais ? C'était épuisant ses allers-retours perpétuels entre Atlanta et New York, elle le savait mieux que personne. T'étais à bout, et ce soir, t'étais pas sûr d'avoir ni l'envie, ni la force de démarrer une joute vernale avec cette fille qui était un trésor. T'avais juste envie de la prendre dans tes bras, bizarrement. Et de rien d'autre. T'avais envie qu'elle te raconte ta journée, comme tous les vendredi soir, et qu'elle place quelque blague pendant que tu t'endormais contre elle : comme tous les vendredi soirs. Sauf que là, c'était pas possible. Là, Kiara était en colère. Et dans ta précipitation, t'avais un peu trop voulu effacer ce sujet, maladroitement. « Eh bien on en refera une ce soir..? Ou je posterai un twitt comme quoi j'étais en plein boulot, ou j'irai posté un cœur sur ta page facebook enfin... On trouvera une solution, mais j'vais m'écrouler là. » Non, ça ne passait pas, lorsque tu t'approchas d'elle pour la prendre dans tes bras, ce fut le drame et elle te repoussa violemment. T'avais très mal parlé, Bruce, vraiment très mal parlé. De toute façon avec les filles c'était toujours la cata, pourtant avec Kiara t'avais toujours eu l'impression qu'elle savait lire derrière tes maladresses... Ca ne semblait pas être le cas ce soir. « Mais non, Kiara, c'est pas du tout ce que je voulais dire et tu le sais très bien ! Désolé d'avoir trois boulots qui me prennent tout mon temps et de ne pas avoir le plaisir de passer du temps avec toi. Tu crois qu'à choisir je préférerais pas te rejoindre ici ? Bien sûr que si mais j'ai pas le choix ! » Tu grognas, énervé qu'elle ne comprenne pas ce que tu te tuais à lui dire. « Je suis désolé, je suis en retard, je suis pas arrivé vendredi comme tu l'aurais voulu, et comme je l'aurai voulu aussi ! Mais c'est facile pour toi de dire ça quand t'as pas besoin de faire le moindre effort pour que toute ta famille puisse manger à sa faim ! » Tu t'emportais.
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Tu était tous sauf convaincante dans le rôle, de la petite madame énervée. Mais tu l'étais, à un point inimaginable. En réalité, tu n'es pas fâcher parce qu'il n'a pas prévenue, tu es fâcher contre toi même parce que sa présence est devenue comme vitale à ton existence, qu'une semaine sans sa compagnie était un supplice et qu'il bâcler les deux jours qui vous étiez destiner l'était encore plus. « Et on va faire comme ça tout le temps ? C'est ça ta solution ? Mettre un cœur sur ma page Facebook et wow, le monde tourneras de nouveau rond ? Propose ton idée au dirigeant de l'Afrique, peut être qu'elle seras la clés contre la famine dans le monde. » ça n'avait rien avoir, ça n'avait aucun sens, les mots se bouscule dans ta tête, comme une tornade au dessus de tes penser. Tu grognes, le repousse, dans un geste pas très violent vu la force de tes petits bras, mais l'émotion y est bien. Et ça se lit sur son visage qu'il en est tout aussi choquer que toi. Tu n'avais pas oser refuser un de ses câlins Kiara, tu venais de refuser qu'une trêves se passe entre vous deux, qu'un moment de répit soit accorder dans cette longue et horrible journée. « Mais bien sûr que tu as le choix ! Laisse moi t'aider, laisse moi payer ce qu'il faut payer. T'aurais plus à travailler, tu pourras rester ici, avec moi. Et laisser tout ça.. » dis-tu en soulevant le casque de son scooter. Tu lui avait déjà proposer cette solution de facilité. Ça ne te déranger pas, loin de là, tu préférés encore prendre en charge l'intégralité de sa famille, si ça te permettait de passer du temps avec lui. Avec le recule, tu trouvais ça égoïste, mais qu'est-ce que tu ne ferais pas pour lui ? Dans sa tête, c'était comme choisir entre sa famille et toi, et à sa place tu aurais choisit ta famille. Mais ton cœur ne comprend pas ça, ton cœur comprend qu'il en a rien à faire de toi, qu'il s'en fiche que tu soit vivante ou morte, que ta présence n'est pas aussi indispensable pour lui que la sienne l'est pour toi. « Mais tu aurais pue me le dire crétin ! T'aurais pue m'envoyer un sms que t'étais bloquer entre deux pizza quatre fromages, mais ça, c'est en option ! Vaut mieux qu'elle attende Kiara, elle a rien à perdre de toute façon, vaut mieux la laisser comme une conne à compter les flocons. » Il s'emporte à son tour, tu tapes du pied, outré par ce qu'il vient de dire. « Est-ce que tu insinue que je ne fait jamais d'effort ? »
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Elle a l'air étrange ce soir, comme perdue. Tu vois dans ses yeux gris une panique totale, une tristesse, une colère que tu n'arrives pas à comprendre. Tu es partagé entre fatigue et inquiétude, si bien que tu t'emportes bêtement, ce que tu ne fais jamais d'habitude. Pourquoi tout ça ? T'avais juste envie de passer la soirée avec elle, lovée dans ses bras fins, mais il faut que tout se complique. Tu veux proposer une trêve, la prendre dans tes bras, juste que vous repreniez la conversation plus tard mais elle refuse, et te repousse. Tu ne supportes pas ce geste, tu ne le comprend pas. « Mais... mais ce n'est pas un drame ! » Tu t'emportes, exacerbé et surtout sans comprendre. Pourquoi est-ce qu'elle en fait tout un fromage ? Tu n'y es pour rien, elle sait que tu n'as pas le choix, et tu es là maintenant. Est-ce que ce n'est pas tout ce qui compte ? Mais qu'est-ce qu'elle a...? Tu réessayes encore de t'approcher d'elle, soupirant en l'entendant parler d'argent. « Je t'ai déjà dis que je ne pouvais pas accepter, non je ne peux vraiment pas. Tu ne peux pas tout payer, je me sentirais pas bien de vivre sur ton argent. Tu fais déjà beaucoup en m'accueillant chez toi.. Tu m'fais déjà beaucoup trop de cadeaux. »Tu ne veux pas avoir l'air de profiter d'elle, surtout pas, tu veux aussi faire les choses pour elle. L'argent crée un fossé entre vous deux, tu t'en rends compte. Et c'est vrai que tout serait plus simple si tu acceptais simplement qu'elle paye tout, mais tu ne pouvais te résoudre à ça, elle en faisait déjà beaucoup. Tu ne sais plus comment la remercier. « Je n'ai pas eu une minute, j'ai même pas mangé hier midi, et je t'ai appelé dès que j'ai quitté le boulot pour te dire que je ne viendrais pas... Mais pourquoi tu t'énerves comme ça ? Est-ce que je peux pas juste m'excuser ? Kiara si je suis venu, même pour une soirée, c'est parce que j'ai envie de passer cette soirée avec toi ! » Tu râles, puis tu serres les dents lorsqu'elle part encore dans une autre piste. « J'insinues que tu n'as pas besoin d'en faire, ni de cumuler les boulots, que tout est loisir pour toi, l'argent n'a jamais été un problème. C'est le mien, et j'en suis désolé, mais je pensais que tu l'avais compris depuis le temps ! »
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Mais qu'est-ce qui t’arrive ? Pourquoi ça te blesse autant ? Il a raison, ce n'est pas dramatique, c'est tout à fait normale. Il travail, il aide du monde, il se dépense, tu ne fait rien de tout ça. Mais jamais tu ne l'admettra, non toi, tu as toujours raison. Et surtout quand ton cœur se met à bouder une trêve, tu penses encore avoir raison, tu montes même sur tes grands chevaux mettant en scelle toutes vos anciennes disputes. Non, il ne prendras pas ton fric, c'est même pas le tiens en plus. Il va pas te demander de ruiner tes parents pour lui, il est trop bien pour ça. Mais ça te vexe, ça te soûle, ça te fait encore plus chier que la fois ou il avait dormis tout un week end au lieu d'aller au marcher couvert avec toi. « Et si je veux faire plus pour toi ? Je peux faire plus, il suffit que tu me le demande. » Je peut faire plus ou je veux être plus ? Kiara, tu es si perdue. Tu soupires, te retourne tandis qu'il s’énerve de plus belle. L'argent a toujours était un problème. Pas seulement avec lui, maintenant mais en générale. Tu sais que c'est égoïste, c'est comme si tu l'acheter, mais dans un autre sens, tu l'aider. « MAIS MOI AUSSI J'AI ENVIE DE PASSER UNE SOIREE AVEC TOI. » finit-tu par avouer, tes yeux dans les siens. Tu avais envie de le prendre dans tes bras et de demander pardon. Pardon d'être aussi bête, pardon d'être aussi casse pied. Mais tu cédés maintenant, tu vas t'excuser tout de suite et cette dispute seras juste reporter à un autre jour quand vous vous y attendrais le moins. Parce que tu n'oublie pas et surtout parce que tu as l'impression d'être un bouche trous. « Mais, on va continuer à faire comme ça ? On va se voir quand on a l'occasion ? A quoi ça sert ? Si tu te contentait d'accepter que je t'aide. Même juste un peu, juste.. Juste un peu merde, si c'est moi qui te donne l'argent en main, tu vas me dire non ? » Bien sur que tu ne vas pas le forcer à prendre le fric, tu vas pas lui balancer à la gueule, tu voulais qu'il dise qu'il a besoin de toi. Pas financièrement parlant, mais en générale. A quoi tu penses, merde. Tu te retourne, et passe tes mains dans tes cheveux, prise de panique. « Je travail aussi dur que toi, mais quand t'es là ; je prend du temps parce que j'te respecte et que quand je veux passer du temps avec toi, je fais en sorte de pouvoir le faire. Merde, lâche tout ça, et laisse moi géré, je peut tout porter pour nous deux. Tu comprend vraiment rien, Oliver. » est-ce que tu parles vraiment d'argent ? De temps ? Je pense une tu parles plus de vous, de ce que vous êtes, de ce que vous pourriez être. Tu t'assoie sur le rebord duc canapé, les bras croisée, une mine déçue au visage.
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T'aimais pas du tout la tournure effrayante que prenais les choses, où un mot de plus ou de trop suffirait à tout faire basculer. Tu n'aimais cet air dramatique et électrique et flottait autour de vous, tu la voulais juste elle, et son sourire habituel. T'avais peur de ce qui pouvais arriver, t'avais juste pas envie que ta vie change. Ouais, elle était incroyablement imparfaite ta vie, et tu te tuais tous les jours au boulot et en cours, mais ça ne faisait rien. Tu voulais continuer de la voir tous les weekend, garder votre relation telle qu'elle, rester deux amis très proches qui jouaient à un jeu sur internet. T'avais besoin d'elle, mais plus le temps passait, plus elle semblait étrange. Comme s'il lui manquait quelque chose, comme si tu ne la satisfais plus complètement. Que voulait-elle de plus ? Tu avais peur d'y songer plus en détail. « Je ne veux pas plus que ce que tu fais déjà, je ne veux pas être un poids pour toi ! » Non jamais tu ne pourrais t'y résoudre, et c'était quelque chose qui t'avais toujours fais extrêmement peur tout ça. C'était d'ailleurs pourquoi tu n'avais pas de copine, parce que tu ne voulais influencer personne, parce que tu savais que si t'en avais une, tu ne pourrais pas la rendre heureuse avec ton emploi du temps sans cesse blinder et tes même pas trois euros de dépense par semaine. Pas moyen de l'emmener au cinéma, au restaurant, de lui acheter des fleurs et des chocolats. Non, tu serais le pire petit ami possible et inimaginable, et c'était bien pour ça que même du haut de tes dix huit ans, tu restais un éternel célibataire. « BEN ALORS VIENS LA, SERRE TOI DANS MES BRAS ET N'EN PARLONS PLUS ! » Tu répliquais sur le même ton gueulard qu'elle avait employé, la fixant droit dans les yeux sans parvenir à la suivre. T'étais trop bête, t'avais pas assez d'expérience avec les filles pour comprendre ce qui pouvait bien se passer dans la tête de cette fille là, qui était pourtant tout pour toi. « Même en main je le prendrai pas, tu le sais. Alors arrête de parler de ça comme si ça n'avait aucune valeur, parce que ça en a, je suis le premier à te le dire chaque jour. Je veux pas de cet argent, tes parents l'ont gagné pour toi, pas pour moi. Et je pourrais pas vivre en m'appuyant sur toi comme ça, je m'en voudrais trop. » Et elle poursuivait, terminant en te disant que tu ne comprenais rien. Tu soupiras et dans un énième essai cette fois tu vins la prendre dans tes bras et tu ne la lâcha plus. « Alors explique moi ce qu'il y a. » Tu murmuras, le nez dans ses cheveux, l'enlaçant contre ton torse.
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Rien n'était censée se dérouler comme ça, le plan était de faire d'habitudes et de profité de l'un et de l'autre le temps d'un week end. Oubliée la famille à nourrir, oubliée les six heures de violoncelle, oubliée le stresse, la vie extérieur. S'enfermer dans une bulle où vous êtes les seuls autorisés et prévoir des projets d'avenir et des plans sur la comète à l’abri du monde extérieur. C'est ce que vous êtes, c'est ce que vous aimez, alors pourquoi se prendre la tête ? Tu voulais reprendre le cour de ta vie, mais ton cœur, oh mon dieu se cœur de merde, en voulais toujours plus. « BEN ALORS VIENS LA, SERRE TOI DANS MES BRAS ET N'EN PARLONS PLUS ! » ce serais si simple, ce serais si facile. « MAIS JE VEUX EN PARLER ! » d'accord, tu veux en parler, tu veux qu'on en parle de tout ça. De vous, de tes sentiments. Merde les sentiments c'est si naze. L'argent aide tout le monde, mais c'était le premier qui ne voulais pas de ton argent. Le seul, sur cette planète, peut être même dans cette galaxie entière, qui ne t'aimais pas parce que t'étais friquer. Qui ne rester pas avec toi parce que tes parents l'oblige. Qui ne se forcer pas à te sourire, gentiment alors qu'il ne souhaite que pouvoir rentrée chez eux et te laisser seule, dans ton château trop grand. Oh c'est fun d'être une princesse, personne ne vous aime pour qui vous êtes, mais pour ce que vous avez. Et là, devant toi, dans ce brouillard de faux cul et de con, une âme pure et véritable. « Tu t'en voudrais trop ? » répète-tu as bout de nerf, dans un murmure à peine audible.Tu tournes et te retourne et balance même des coussins par terre avant de t'allongeais sur le canapé, totalement hors de toi. Tu ne sais plus quoi penser. Tu voudrais lui dire, ça devrait être facile. C'est quand même toi la reine, du je dis ce que je pense et voilà, que pour la première fois de ta vie, les choses sont si évidente, tu n'y arrive juste pas. La gorge serré, les mots que tu aimerais lui dire reste bloquer dans ta poitrine, tel Raiponce emprisonner dans sa tour. Il te prend pourtant au dépourvue lorsqu'il s'approche malicieusement de toi, ses bras autours de ton petit corps ridiculement petit. Tu n'as ni la force, ni l'envie de le repousser, alors tu te laisse bercer par ses caresses. Il te demande de lui dire ce qui ne vas pas ,c'est pourtant claire non, dis lui. Ses yeux dans les tiens, tu hésites un instant avant de respirais un bon coup. « J'crois que je tiens beaucoup à toi. Pas comme je tiens à mon tout premier brillant à lèvres, mais comme.. Comme si tu m'étais indispensable. Que je ne peut pas imaginer un week end sans que tu soit là. J'ai besoin que tu soit là, et pas seulement le week end ; pour tout te dire. J'pense aussi que je pourrais pas te remplacer. J'y est déjà réfléchis, je me suis déjà dis, un dimanche soir : pourquoi tu sors pas avec tes potes de Juilliard. Bon, y'en a pas des masses mais bon, c'est déjà ça quoi. On pourrais faire des trucs de filles, ou encore aller en boîte. Et puis, tout les vendredi après-midi, je veux plus. Je t'imagine arriver avec une pizza, tes affaires et ton sourire débile. Tu t'écroule sur le lit et tu me regarde manger alors que tu déteste l'odeur de se truc là. Mais tu le fais quand même, pour moi. Alors je me demande juste, combien de personne ferais ce genre de chose pour moi et.. Tu dois être la seule. Et j'ai envie que tu soit le seul en fait.. »
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Tu ne comprenais décidément pas, et dans un énième souffle, une dernière tentative, une dernière prière les lèvres dans ses longs cheveux, tu lui demandais simplement de t'expliquer. T'étais pas le mec le plus intelligent au monde, t'étais l'élite culturelle du pays, et tu ne comprenais pas tout. T'étais simplement toi, peut-être pas assez bien pour elle, qui pouvait toujours penser à mille choses à la fois et toujours avoir raison. D'ailleurs elle avait toujours le dernier mot avec toi, parce que tu lui laissais volontiers, toujours. T'aimais son sourire de vainqueur lorsqu'elle te clouait le bec, même si tu la laissais gagner, même si elle devait s'en douter. Sauf que ce soir, le bec t'avais pas la force de l'ouvrir, et t'avais à la fois envie comme peur de comprendre. Elle prit place dans le canapé et tu l'imitas, posant tes fesses sur le cuir impeccable de cet appartement de vraie petite princesse, donc tu ne verrais jamais un semblable même après des années et des années d'économies. Tu la fixais dans les yeux, et elle lâcha la bombe. Plus elle parlait, plus tu l'écoutais, plus tu comprenais lentement. Il fallait dire qu'en vérité, ça n'avait rien de compliqué, ça avait même quelque chose d'un peu évident. Evident ? Non, pas pour elle, rien n'était jamais évident avec Kiara, tout était toujours surprise. Elle portait bien son nom ta petite lionne. Putain, putain, pourquoi ? Tu la fixais droit dans les yeux, puis tu les baissais lentement lorsqu'elle achevait sa tirade, enfonçant profondément tes incisives dans ta lèvre inférieure. « K-Kiara non... Ne dispas ça... P-Pas à moi, pas à un mec comme moi... Garde ça pour le mec de tes rêves qui sera capable de t'offrir tout ce dont tu as besoin, pas à moi, pas au crétin livreur de pizza qui peut t'offrir à peine un week-end par semaine et qui n'a jamais un sou en poche... » Tu déglutis, les mains tremblantes tout à coup. Non, c'était trop de responsabilité. Tes peurs remontaient à la surface d'un seul coup, et la fatigue les dédoublaient encore. Tu étais épouvanté. « J-Je peux pas... Je peux pas être le seul mec à t'offrir ça... Je peux pas être ce que tu veux que je sois. L'année prochaine on va m'envoyer dans je ne sais quelle université à l'autre bout du pays, et j-je sais même pas si je pourrais te voir, et toi, tes parents, ta famille royale, et puis Juilard. Je suis pas un mec pour toi. J'ai rien à offrir. » Tu mumurais en haletant presque, le coeur manquant de te transpercer la poitrine. Tu prenais peur, et tu t'apprétais à faire la plus grosse erreur de toute ta vie.
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