VENEZ COMME VOUS ÊTES. (jorden)

venez comme vous êtes

« J'AI ENVIE D'UN DOMAC. » j'débarque dans la chambre de Jorden comme une furie. Y a quoi, quand j'suis affamé, il ne faut pas me faire attendre. Et puis, j'en ai fait des pieds et de mains pour en arriver là, déjà je savait même plus c'était où j'ai Jorden, alors j'ai dû aller chez Olive pour demander où qu'il vivait se trou du cul. Après, j'ai vu qu'il avait des colocs et comme je les connais, j'ai fait genre de m'intéresser à leurs vies alors que j'avais trop la dalle. Sérieux je pourrais manger un cerf, là tout de suite, la maintenant. Vivant même, qui fait encore du bruit, même si j'suis à moitié végétarienne. Ouai, parce que chez mes parents, j'suis végétarienne, sinon ma mère me gueule dessus parce que j'suis soit disant trop grosse. C'est sure que quand je ne peux pas jouer avec mes os, c'est que j'suis obèse. Bref, je me pose sur le lit de Jorden, et je prend son téléphone pour prendre des selfie de moi, en mode sexy bombasse. « En mène moi au paradis Shark. » dis-je en tâtons mon mamelon.

venez comme vous êtes

J’suis tranquillement entrain de me gratter les couilles sur mon lit, pas du tout confortable. En boxer, torse nu. C’est ca la viie ! Ca m’fait du bien de plus penser à toutes ses merdes auquel je pouvais penser y’a pas si longtemps. Putain que j’étais con d’me gâcher la vie comme ça. Une tête bien connue rentre en bombe dans ma chambre sans prévenir, j’ai sursauté comme un con. Putain d’merde Kiara ! On t’as jamais appris à frapper non ? J’me suis levé en m’frottant la seule histoire de me remettre de mes émotions. T’as cru que j’pouvais chier des domac sinon ? J’ai tiré un t-shirt de mon tiroir, j’sais même pas si il est propre ou pas finalement.. J’lai bombardé de déo avant de l’enfiler comme ci de rien était. J’me suis retourné en la regardant se prendre en selfie. Arrêtes ca tes moche putain. J’ai tiré un jogging aussi pour l’enfiler. La look du gros flemmard. T’as le téton qui te gratte ?

venez comme vous êtes

Kiara la princesse de la délicatesse. Je le surprends entrain de se gratter les couilles, la tête dans les nuages, à moitié endormis. Il me reproche de jamais toquet, mais wesh, toquet, c'est pour les nazes. Moi, j'suis au dessus de tout ça, je suis au de-là des frontières. « Bah tu m'emmènes, qui voudrais manger un domac que t'as chier, sérieux ? » je fais une grimace, non mais je mange rien qui sors du cul de Jorden. Non, je mange rien qui sors du cul de qui que ce soit ! C'est dégeux. Je m'étale sur son lit, et réquisitionne son téléphone. Je pourrais tomber sur des photos de meufs à poils, mais j'm'en fou, les photos qui sont trop canon c'est les miennes. D'ailleurs, je me met en fond d'écran, parce que je suis trop belle. « Toi aussi t'es moche, c'est pour ça qu'on est pote. » dis-je en lui tirant la langue. Je me touche le sein pour lui dire de m'emmener au septième ciel, ce n'est pas tout ce que les filles disent sur ce lit ? Owi Jorden, Owi, remue ta saucisse dans mon pot de miiiiiiiel. Je bouge sur le lit, en gémissant. « OWIII JORDEN FAIT MOI JUIIIIIIIIIIIR » hurlai-je en sautant sur le lit, avant de m'écroulant, en riant. C'est pour que ses colocs soit informer qu'ils ont Jorden la bête de sex à côté, quoi. Je maintiens sa réputation. «  C'est quoi t'es fringues ? J'te rappel que t'es en présence d'une princesse, une douche et un jean ce n'est pas le luxe. » Je le dévisage, il a mis un jogging et un tee-shirt sale et il croit qu'il va pouvoir sortir avec moi avec cette tenue. Je soupire et me redresse, je me mets assise par terre pour trier les fringues potables et sort un jean levis et une chemise, avant de lui balancer à la gueule. « Tu mets ça, et un caleçon propre aussi, homme. »

venez comme vous êtes

On peut plus être tranquille chez sois. Dans sa putain de chambre. Pour une fois qu’il y’a pas de bruit à la coloc il faut que ce soit une parasite extérieur qui vient foutre le bordel. Elle est arrivée un peu comme la tornade d’Haïti en deux mille dix.. Sans prévenir et sans scrupule. Elle s’est vautré sur le lit en prenant en otage mon portable. Putain.. Cette meuf, c’est pas humain. J’sais pas comment ils l’ont éduqué à Monaco. Mais ca devait pas être bien facile. Elle s’est mise à gueuler et à faire trembler le lit. J’lui ai sauté dessus histoire de lui metttre ma main devant sa bouche pour la faire taire. Mes bras l’entourent pour l’empêcher de bouger. Arrête ! P’tain ! J’me suis marré comme un con, limite gêné quoi. J’essais de m’habiller presque correctement. Mais la flemme. C’est macdo meuf.. Venez comme vous êtes quoi. Elle s’est levé pour me balancer d’autre fringue sur la gueule. Mais.. Putain. J’me suis redressé, j’ai ôté mon t-shirt par le haut, d’un geste rapide pour enfiler la chemise. Tu parles d’une princesse quoi. J’ai enfilé son jean sans changer mon boxer. Fuck off, il est propre. C’bon j’suis assez beau pour la princesse en chaleur ?

venez comme vous êtes

« JORDEN PUTAIN, OWI MONSIEUR SHARK ENFONCE MOI TA SAUCISSE !!!! ATTACHE MOI J'AIME CA. » hurlai-je en cognant mon dos contre le mur, et agitant mes bras dans tous les sens, tout en accompagnant mes paroles de faux gémissement. Mais il m'empêcher de hurler en paix, elle est où la liberté d'expression dans tout ça ? Je suis Charlie, ça lui dit rien ? Il me saute dessus, et essaye de me faire taire, on ne fait pas taire Kiara, Kiara faire taire les gens déjà. « NON, NON BEBE PAS PAR DERRIERE ! » hurlai-je en continue, bon, je m'arrête parce qu'ils vont croire que c'est un super doué, genre, il arrive à faire jouir une fille au bout de dix minutes à peine, il ne faut pas non plus trop faire gonfler les chevilles de monsieur, ils vont piger sinon que c'est du fake. Après mon aide, il réussit à enfiler des fringues correcte. Ouai, bon, c'est le domac après tout, mais je veux dire entre le domac et ici y a du monde, y a de la route et je ne sors pas dehors avec un vendeur de drogue qui sors du quartier pauvre de Cambridge. « T'es en compagnie de son altesse Charlotte Grimaldi, monsieur Shark. » dis-je en levant le petit doigt tel une princesse, bah ouai c'est ce que je suis mais parfois, c'est plus un rôle à jouais qu'autre chose. « Avoue tu m'aimes trop, grace à moi, t'as le swag swag swag. Maintenant paie moi un royal bacon , frite coca light, supplément sauce patatoes. »

venez comme vous êtes

MAIS QU’EST CE QU’ELLE FAIT ? ELLE JOUIT DANS MA PUTAIN DE CHAMBRE ! J’essais de la retenir sur le lit, faire ne sorte qu’elle ferme sa gueule histoire d’éviter de me retrouver à la rue. Même si j’avoue que ca flatte bien mon égo de mâle dominant que je ne suis plus ! Ou que j’ai jamais été ? Mais elle continue. Ooooh putain. J’en ai des frissons à l’entendre faire. C’est con ? J’mallonge sur le dos à côté d’elle. J’suis secoué par le lit qui bouge à ses gigotements.. Ho putain continue ca fait si longtemps que j’ai pas entendu ça ! Une meuf jouir putain.. J’ai pas couché depuis plus de quatre mois. J’ai pas sauté, baisé.. Violé.. ? ERSONNE.. J’ai battu mon record qui était de trois semaines. Finalement elle s’arrête. J’ouvre les yeux, un peu déçu finalement.. Elle me refile des fringues pour m’habiller parce que apparemment j’étais trop moche pour elle. Moi j’suis un Shark. J’ai grandis dans l’Ohio, on m’a toujours dis de pas mettre mes coudes sur la table et pourtant j’lai toujours fais. Le no rapport ouais. Si t’as honte de moi change de pote ! J’me suis assis sur le lit. Genre dégoutéé et véxé. J’vais pleurer tout seul comme un caca. Hummhum.

venez comme vous êtes

Il commence en essayant tant bien que de mal de m'arrêter et au final, il se retrouve la tête près de la mienne, à rugir à son tour. Je pouffe de rire, dans quel monde est-ce que deux tarés prétende avoir un orgasme à deux alors que ça fait dix minutes qu'ils sont l'un à côté de l'autre ? On se serais crus dans Easy A. Il prend vraiment son pied, genre limite il a envie de sortir son zizi et se masturber avec moi à côté. Je le plaint, je sais que c'est dur sentimentalement et sexuellement parlant en ce moment, genre sa dernière copine, c'était une pucelle de dix-huit piges et l'autre, elle était sur le point de crever. Pas facile, entre la vierge et la déganter. « J'te paierais une pute Shark, mais cesse de gémir pour de vrai, tu me fais peur. » J'met fait à tout ce petit jeu quand mon ventre cri famine, j'ai trop la dalle, et même si c'est grave marrant de gémir chacun son tour, j'ai vraiment envie de gémir, face à mon burger avec les sauces qui déborde de partout à regretter aussitôt ce truc là, dès que je l'aurais englouti. « Parfois je me demande de quel planète tu viens. » dis-je en essayant d'analysé sa phrase qui était totalement hors sujet. Je rejette cette idée et me redresse, ramasse ma veste au passage. « Merci pour cette réponse, j'attend juste de toi que tu nous conduises jusqu'au mcdo le plus proche, parce que j'ai plus de permis. Conduite en état d'ivresse, je ne voulais pas que ça fasse une histoire alors j'ai laissé mon permis et je ne compte pas aller le récupérer au commissariat, ma mère risquerait de me tuer par télépathie. »

venez comme vous êtes

Une pute. Fut un temps j’aurais largement dit oui.. J’aurais même payé pour avoir le trottoir entier, mon harem juste pour moi. Mais enfaîte.. Maintenant ca ne m’intéresse plus. J’veux plus.. J’veux moins. J’veux la parfait équilibre. J’veux pas coucher avec tout et n’importe quoi. J’veux pas coucher avec une fille une fois tous les trois mois. Je veux.. Me poser. C’est con hein ? Shark se poser. Même Olive elle a un mec, pourquoi j’en aurais pas un.. ENFIN UNE FILLE. Pas un mec. J’suis rateau man.. Le mec aux multiples râteaux qu’on voit comme un connard. Jorden ? Habahoui c’est le connard là. Le gars qui court derrière Alexys. Fuckoff. Ma vie est nulle. Mais j’garde le smile. Tu insinues que je gémis comme une truie qu’on égorge ? J'me suis relevé, j’ai enfilé un jean, une chemise. J’suis même presque trop beau pour aller au macdo. Mais de toute façons j’ai plus envie d’y aller .De bouger mon cul avec madame. Elle m’a vexé. J’suis vexé ! J’suis pas un prince et j’suis pas assez bien pour elle. J’ai poussé un p’tit son histoire de dire je réponds mais rien de bien audible. J’ai claqué ma main sur sa p’tite cuisse toute maigre. Tu prends tes jambes et t’y vas ! Moi j’vais m’faire.. Des pâtes. J’sors de la chambre sans vraiment attendre sa réponse. J’descends les escaliers en sautillant. Direction la cuisine. Ahouais.. Mais j’sais pas faire des pâttes. J’sais même pas où elles sont ! Finalement j’suis allé à la porte d’entrée avant d’enfiler une veste et de prendre les clés d’la voiture. Bon tu te dépêches ouais !? J’ai faim.

venez comme vous êtes

« je n'insinue rien du tout, je l'affirme! » Il boude. Je voit sa mâchoire serrez, le regard sombre, soit il boude, soit il a une diarrhée qu'il retiens. J'ai peut être était méchante en me manquant de ses histoires de cœur, mais il ne peut s'en vouloir qu'à lui même. J'aime bien Carpenter, de un parce qu'elle est marrante, de deux parce que j'adore aimer les mathers alors que c'est interdit et de trois parce qu'elle devient trop weird quand elle est défoncer. MAIS, je sais, aussi bien que 2 et 2 font 4, qu'elle a trop de chose dans le tête pour géré un Jorden Shark. Et puis, j'ai vue sa tête quand elle a remarquer le beau Zhakar, même moi je suis prête à changer de religions si il me le demandais. Plus de porc, le voile, partir avec lui sur une chèvre jusqu'en Israël, la totale. Je roule des yeux, tandis qu'il tourne du talons, en disant qu'il va faire des pattes. Il va faire quoi ça a qui ? Il sait même pas faire de l'eau chaude. Ah si, peut être en mettant une bouteille d'eau au soleil, en Californie et espérer que ça devienne un thé, fruit roue avec deux sucres. « ça veut dire que j'vais devoir prendre un taxis pour bouffer ??? » dis-je en me redressant. Étonnée, je le voit à la porte, sa veste sur le dos. Je roule des yeux et me précipite dans les escaliers. « Un de ses jours, j'en aurait marre de toi et je t'abandonnerais sur l'autoroute. » dis-je en passant devant lui jusqu'à sa voiture.

venez comme vous êtes

Ouais peut être que je gémis comme une truie qu’on égorge pour récupérer son sang est faire du saucisson. Pour ma défense, c’est le bruit d’un mec en manque total qui essaye d’attendre pour éviter de faire des conneries avec n’importe qu’elle fille qui passe devant lui. Je serais toi j’enfilerais un gros jogging dégueulasse pour éviter que j’te saute dessus dans un coin de rue. N’importe qui y passe enfaîte.. Un jogging dégueulasse ou pas concrètement, j’lui saute dessus quand même. Non ca serait trop bizarre. Enfin.. J’me suis tapée trop de fille que j’peux plus dire que c’est bizarre de se taper sa meilleure amie. Un taxis ! Non. La naine, p’tite princesse qui se voit pas prendre un taxis. J’trouve ca trop mignon.. presque il lui faudrait un carrosse genre les deux soeurs dans cendrillon là. J’ai zappé leurs noms. J’suis descendu pour aller faire. Des pâtes. OUAIS DES PÂTES. Ca doit pas être très dur non ? Tu verses le sachet dans la casserole et bam. Des pâtes carbo. Mais encore faut-il trouver le sachet.. Une casserole.. Ouuuaaais. Du coup le macdo c’est peut être plus simple pour un pauvre non cordon bleu que je suis. J’l’attends devant la porte, ma veste sur le dos. T’as pas le permis, comment tu veux m’abandonner sur l’auto route ? On est montés dans la voiture, moi en conducteur, bien sûr. Parce que madame à trop peur de sa mère pour aller chercher un permis je ne sais où. T’aurais dû gémir comme t’as fait tout à l’heure devant le flic qui t’a chopé le permis. Bon après t’aurais peut être dû écartés les cuisses pour finaliser le tout mais.. Ca passe. J’lui ai fait un p’tit clin d’œil de mec pas sérieux. J’suis sur que y’a des meufs qui font les putes pour éviter des contraventions.. alors pour un permis.. J’ai allumé le moteur, j’suis descendu sur la route, direction le domac. Vroooooooooum. VROOOOOUUM. Dans ma tête sa sonne plutôt bruit de Ferrari décapotable qui glisse sur la route comme un ski le ferait sur la neige. Mais en réalité c’est plus le bruit d’une gosse qui joue avec ses p’tites voitures. Me regarde pas comme ça. On a pas tous les moyens pour une ferrari !