toi et moi, c'est un tout qui avec le temps devient du bêton. ❖ marc&kiara

Elle pouvait me taper sur les nerfs quand elle commençait à faire ses crises de jalousies, sérieusement des fois je voulais lui en coller une qu'elle comprenne qu'elle ne comptait pas comme tous mes plans culs et conquêtes, elle fait parti de ma vie et de mes proches les plus proches justement et je voulais qu'elle le sache, même si elle le savait déjà lui rappeler ne lui faisait pas de mal puis elle en avait besoin, il fallait que je lui rappelle que j'étais là pour elle, qu'elle m'était indispensable. J'oubliais tout, je ne pensais qu'à son parfum, qu'à sa présence, qu'à ses lèvres que je viens de retrouver après une semaine loin de moi et j'en oublie même le globe qu'elle a cassée dans un élan de colère, je m'en foutais royalement à tel point que ça me faisait rire, je ne voulais que la sentir près de moi à cet instant. On es d'accord. lui sortais-je reposant mes lèvres sur les siennes en baladant mes mains sur sa robe mais je voyais très bien qu'elle prenait le devants, ses bras quittaient le derrière de ma nuque pour venir déboutonner les boutons de ma chemise, je souriais ne lâchant pas ses lèvres jouant avec sa langue, quand à moi les doigts prenaient les extrémités de sa robe pour la remonter Tu peux pas savoir comment t'es importantes princesse. lui murmurais-je à l'oreille avant de déposer mes lèvres dans sa nuque, ma chemise venait tomber au pied du lit, me laissant torse nu, je la regardais, je crois qu'on étaient d'accord pour sa robe, elle était de trop sur elle.

Et c'était si bon, une semaine c'était beaucoup trop, c'était comme un mois au ralentis et bien que j'ai pas vraiment eu le temps, j'ai tout de même penser à lui. A chaque fois qu'un petit français me faisait la cour, en pensant que j'allais fondre sous l'accent français, le sien était mon préféré et les autres, c'était du vent. Je prenais les devants, comme toujours, c'est moi qui décide d'où est-ce que le bateau va chavirer, c'était le privilège que j'avais comparer à ses autres filles qui tomber comme des cartes, sur lequel en souffle. C'est moi qui contrôler tout, et il accepter, parce qu'il savait qu'il ne pouvais rien me refuser, et ça depuis qu'on est ado, depuis la première fois ou je lui ai donner le privilège de mes lèvres, à la premières fois ou ses mains ses sont poser sur mon corps dénudés. Nos langues dansèrent, lorsque je lui donner le feu vert pour passer à un niveau supérieur, ses couches était si superficielle que je n'en voulais pas plus. Je voulais sentir sa peau contre la mienne, son odeur s’imprégner sur mon corps, je penche d'ailleurs la tête pour le laisser embrasser ma nuque, c'est mon point faible, et il le savait. Je l’aider à retirais ma robe, avec douceur, un cadeau de la fashion week, fallait pas que je l'abîme tout de même, après une semaine de défiler et de talon aiguiller, elle devait pas s'abîmer avant la prochaine session. Je nous offrais une petite pause, ente deux baiser fougueux, pour souffler un peu et lui adressais un petit sourire, à l'entente de sa phrase. Je passe mes doigts sur sa joue avec tendresse, et smack ses lèvres. « Promet moi d'être toujours là, quoi qu'il arrive. »

Je ne lui en voulais pas d'être parti une semaine loin de moi, elle est mannequin, normal qu'elle fasse la Fashion Week, j'en voulais au fait de cette passion que j'ai pour elle, cette passion beaucoup trop prenante entre nous et cela depuis que nous sommes ados, depuis la première fois que nos lèvres se sont scellées et que nos corps n'ont fait qu'un. C'est bien une des seules filles qui a su s'imposer direct avec moi, c'est elle qui prend les devants, déboutonnant les boutons de ma chemise, c'est elle qui me laisse remonter sa robe sur ses cuisses, c'est elle qui me laisse déposer mes lèvres dans sa nuque, elle m'offre ce privilège parce que je sais qu'à d'autres elle le refuse, sa nuque c'est son point faible, j'entends même un petit soupirs sortir de ses lèvres alors qu'elle finit par me débarrasser de ma chemise et de l'envoyer au pied du lit. Sa robe quittait son corps en quelques instants, elle m'aidait même parce qu'elle savait que quand une certaine excitation me prenait j'avais tendance à être brusque à ce niveau là quand il s'agissait d'enlever les couches de tissus, sa robe elle ne voulait pas l'abîmer alors elle prenait l'initiative de l'enlever avec l'aide de mes mains pour ne pas qu'elle soit froisser et elle la laissait tomber au pied du lit tout comme ma chemise avant de faire un break entre deux baisers. Tu sais très bien que ça sera toujours le cas. lui dis-je alors que ses ongles caressaient ma joue et que ses lèvres smackaient les miennes, je souriais la regardant, du moins plus précisément l'ensemble de sous-vêtements qu'elle portait Tu l'as portée à la Fashion Week cet ensemble ou tu l'as réservée que pour moi ? lui sortais lâchant un petit rire capturant ses lèvres pour un court baiser.

Nous avons supprimer ses couches superficielle, laisser nos corps l'un contre l'autre et parlons à voix basses, comme si quelqu'un pouvais entre nos secrets. Je revenais à nos seize ans, lorsqu'elle espionner le départ de Némo et de ses parents, pour aller s'enfermer dans sa chambre. On fermais les volet, la porte à clés, avant de se jeter sauvagement l'un sur l'autre, dans un élan de fouge de tendresse. Et mon moment préféré, c'était quand on avait assouvit nos besoin, alétant et qu'il plongeait ses yeux dans les miens, j'avais l'impression d'être la plus importante, la seule dans se monde qui puisse compter. Et ça m'était devenue insupportable de découvrir que je n'étais pas la seule qui ai le droit à tout cela, à cette tendresse, à cette importance. J'ai finit par ne plus vouloir être la seule, et laisser couler, il faisait ce qu'il voulais après tout, même si de mon côté, je n'avais pas laisser tout Harvard me passer dessus. Nous étions à présent en sous vêtements, et je pressais mes lèvres contre les siennes, dans un geste doux et tendre, tandis qu'il y passe sa langue que je fais danser avec la mienne. Je fermais les yeux, donner de la profondeur en penchant ma tête sur le côté, caresser son torse, du bout des doigts, avant de le stopper en lui demandant de me promettre d'être toujours là. Parce que j'avais besoin de lui, et que je ne pouvais pas me résoudre de le quitter ou imaginer que lui, me quitte. « Même si demain, je devient grosse et poilue ? » dis-je dans un gloussement, ça ne risque pas d'arriver, mais je prend tout de même mes précautions. Il me fait une remarque sur ma tenue, et je glousse bêtement avant de répondre : « Non, c'est juste pour toi. Ton petit fashion week privée. » dis-je en prenant ses mains pour les poser sur les hanches. J'aimais tellement son toucher, sa chaleur. « Avec quelque bonus. » dis-je en embrassant sa joue.

Ma chemise et sa robe sont au pied du lit, nous sommes libérés de ces couches superficielles, nous étions là , allongés côte-à-cote, tournés l'un vers l'autre, si prêt l'un de l'autre, parlant à voix basses comme si parler était un affront et qu'on ne voulaient pas se faire repérer. Tout comme elle je n'en doutais pas ça me rappelait les débuts de notre relation, quand je venais en vacances chez sa famille, en principe pour passer du temps avec Nemo, il était mon meilleur ami mais Kiara et moi ça s'est très vite conclu, si bien qu'après le premier baiser, la première fois, ce fut d'autres baisers, d'autres fois, même attendre que Nemo et ses parents partent de sa maison pour se retrouver dans sa chambre et se sauter dessus et je souriais en ayant se souvenir en tête. Elle m’embrassait, appuyant ses lèvres sur les miennes, penchant la tête sur le coté pour amplifier le baiser et continuer de jouer avec ma langue, je sentais ses ongles caresser les parcelles de mon torse nu puis, elle stoppait tout pour me regarder dans les yeux et me faire promettre que je sois toujours là pour elle, je souriais, lui disant que je ne la laisserai pas, j'ai toujours été là pour elle, et ça ne changera jamais. Jamais tu seras comme ça mais oui même grosse et poilue lui ds-je riant à ses côtés avant de remarque l’ensemble qu'elle portait et de lui faire une remarque dessus et j'étais ravi de savoir que cet ensemble n'était que pour moi Mais c'est que j'en ai de la chance. sortais-je alors que ses mains prenaient les miennes pour les poser sur ses hanches et que ses lèvres venaient se déposer sur ma joue, elle me faiait savoir que j'avais quelques bonus en plus Ah oui, lesquels ? demandais-je intrigué, même si je savais très bien de quoi il s'agissait.

« Merci, je peut manger librement sans crainte que tu me laisse tomber à présent. » dis-je dans un rire. Mes mains était sur es épaules, et je gloussait doucement, contre sa peau. Il était si près que je pouvais sentir son halène contre ma peau, et l'odeur de sa nuque dans mes narines. Je m'approchais encore plus, pour venir de nouveau l'embrassait, alors qu'on parlais de son privilège. Je veux dire, beaucoup de gens on la chance de voir des mannequins de la fashion week, avoir une photo, une petite discussion, mais combien entre ses personnes avait le droit d'en avoir une dans leurs lits ? J'avais fait exprès de mettre mon petit ensemble victoria secret pour lui donner envie, après tout, ça me donner une bonne paire de nichon. « T'as pas mal de bonus, faut dire. Tu peut.. hum, toucher ? » dis-je dans un petit sourire au coin, avant de prendre ses mains pour les poser sur mon seins. Bon, il étaient pas aussi gros que ceux d'une vrais mannequin de chez Victoria, vous voyez les seins de Barbara Palvin et mes seins, y a tout de même une énorme différence, mais c'était tout de même ça. Et je les coller contre son torse, avant de prendre possession de sa nuque que je recouvre de mille baiser, et je me redresse ensuite, fait chavirer ma tignasse sur le côté pour embrasser son torse, caresser ses cheveux, soupirais de plaisir entre deux respiration haletante. Je l'aidais ensuite à retirais son pantalon, pour qu'il soit également en sous vêtement.

Evite de prend la carte d'adhérant à Burger King quand même. je lâchais un petit rire avant que ses lèvres ne capturent les miennes à nouveau, j'aimais tellement ça avec elle, cette proximité fusionnelle, je sentais l'odeur de son parfum, je sentais son souffle, pendant une semaine tout ça m'avait trop manqué. J'étais ravi de savoir qu'elle avait mit cet ensemble de sous-vêtements rien que pour moi, à croire qu'elle savait déjà qu’elle viendrait ici aussitôt de retour de Londres, j'aimais ça et je le lui faisais savoir, surtout avec les bonus que je pouvais avoir Oh oui ça je sais. dis-je alors que ses mains prenaient les miennes pour la poser sur son sein magnifiquement galbé par son soutien-gorge, c'est vrai que sa poitrine prenait en mensuration là, et c'était très loin de me déplaire, je palpe ses siens, avant de sentir ses lèvre se déposer dans ma nuque, puis sur mon torse, ses mains dans mes cheveux, je fermais les yeux frissonnais, soupirant, sentant sa respiration se saccader, mes mains quittaient sa poitrine pour l'aider à défaire mon pantalon, en peu de temps il fut lui aussi au pied du lit et je me retrouvais au même stade qu'elle maintenant, en sous-vêtement et elle pouvait clairement voir que le fruit de l'excitation qu'elle me portait se dresser par une bosse derrière le tissu.

« Promis. » dis-je dans un gloussement à sa remarque, c'est bête parce que j'adore burger king. La température avait montée d'un cran. Je ne voulais plus de tout ses trucs qui nous emballer, on a toujours était mieux nu de toute façon. Je ne me gêne donc pas pour lui faire comprendre, que son pantalon était de trop. Et l'aide même à le retirais. Alors qu'il lâche mes seins, pour l'enlever en vitesse. Je remarque qu'il est déjà près à la prochaine étape, et ne me fait pas désirer, en retirant à mon tour mon soutient gorge d'une main, avant de venir les plaquer contre son torse. Ma respiration dans la sienne, je l'embrasse avec fougue, profitant de chaque instant de pure bonheur. Me doigts se baladent avec maladresse un peu partout sur son torse, avant de venir enrouler sa nuque. J'enroule également mes jambes autour de sa taille, pour m’asseoir sur ses genoux et l'embrasse langoureusement de plus belle.

Je souriais à sa remarque, elle est parfaite, jamais elle ne sera grosse ou poilue, elle prend tellement soin d'elle que ça ne devrait même pas lui traverser la tête. Nous sommes libérés de couches de vêtements inutiles, mon pantalon vient de rejoindre le reste de ces couches au pied du lit, maintenant en sous-vêtements, je me sens plus libre d'agir avec elle, comme toutes ces fois, nos habitudes même si le lit n'a pas forcément été à chaque fois le lieu propice à nos habitudes torrides mais j'allais me contenter de mon lit avec elle. D'une main je dégrafais l'attache de son soutien gorge, elle était mieux la poitrine à l'air libre, elle se collait contre mon torse, passant ses doigts baladeurs sur mon torse puis dans ma nuque avant de venir serrer ma taille avec ses jambes pour se mettre à califourchon sur moi Et moi est-ce que j'ai ma place dans ton royaume ? lui disais-je entre deux baisers, mais mains palpant ses fesses que je trouvais parfaites.

Je ne voulais faire qu'un avec cette homme. Ce garçon avec qui j'étais, cette homme à présent, je ne voulais faire qu'une personne avec lui. Et c'était déjà sur le bon chemin. Ma peau brûler contre la sienne, nos lèvres se mêle et se démêle encore et encore, nos langues danser toutes le danse possible, mes mains se baladent un peu partout sur son corps, mes jambes autour de sa taille, je pouvais sentir son entre jambe se durcir face à la situation s’interrompt pour me demande si il a une place dans mon royaume, ma tête contre son front, je respirait doucement, avant de secouais positivement la tête. « Tu l'as toujours eu ta place. » depuis qu'on est gosse, depuis qu'on c'est offert l'un à l'autre pour la première fois et que ce petit jeu qu'il y a entre nous à commencer, je me suis jamais lasser, et comme je l'ai dis plus haut, je ne pouvais me résoudre à le laisser tomber, même si j'avais sans mentir, déjà essayer de le supprimer de ma vie, je n'y arrivais juste pas. C'était comme me forcer à me couper un bras, c'était impossible. Je le mis allonger pour embrasser son torse, redresser mes cheveux et passer mes mains sous son caleçon. « Laisse moi faire. » on se croirais dans 50 nuances de Grey, appellerais moi Kiara Grey, finit la royauté, je me lance dans le doublage, vous avez devant vous le sosie officiel de Christian Grey ! Je passe mes doigts sur son appareil génitale et dans une caresse énergique et rapide, je secouer la chose de haut en bas.