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ROYLEE ❖ HELP ME LOSE MY MIND

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J'étais tendu, je ne savais pas pourquoi, mais je ressentais un sentiment dérangeant à l'intérieur de moi. A vrai dire, je connaissais cette sensation et elle n'était pas venue me dire bonjour depuis plusieurs mois. C'était trop beau pour être vrai, je serais jamais heureux toute ma vie, il fallait toujours que je perde le contrôle. Je chutais totalement et j'avais pas la force ni le courage de me battre. Toutes les choses que j'aimais, je ne les aimais plus. J'ai plus envie de sortir avec mes potes, j'ai plus envie d'aller en cours, de monter sur scène, j'ai plus envie de jouer au football, j'ai même plus l'envie de faire l'amour. Si c'est pas vraiment tragique ça. Tout ce qui me rendait bien c'était boire et oublier. Comme ce soir, je comptais m'amuser à ma façon. Sauf que c'était la st-valentin et que j'avais promis à Leevy de nous réserver une petite soirée, sans être romantique, car c'était pas notre truc, même si ça m'arrivait de temps en temps de jouer le gentleman, en ce moment, j'étais plutôt très désagréable avec elle. Mais je l'aimais et elle savait que j'avais mal digéré l'agression de ma soeur. Par contre, elle ne savait pas que je jetais mes médicaments dans les toilettes, au lieu de suivre mon traitement. Je me demandais si elle saurait toujours me supporter, car je suis devenu le vieux Royce avec ses démons du passé. Je craignais la perdre, ou qu'elle prenne peur, comme Camellia l'avait fait une fois que je l'avais agressée verbalement. J'attendais Leevy près du bar à l'intérieur, un peu avant que le concert ne commence. J'ai pas pu m'empêcher de commencer à boire, il fallait bien que je m'occupe. Je vis une fille s'asseoir avec un gars, juste à côté de moi. Je fronçais mes sourcils, je devinais que le gars l'emmerdait et elle le repoussait timidement. Directement, j'eus l'image de Tessy dans la ma tête, avec son agresseur. Lâche-la enfoiré. grognai-je en éloignant la jeune femme du mec. Celui-ci me lança un regard noir et me poussa en m'insultant à son tour. C'était tellement facile de me provoquer, que c'était facile de recevoir un coup de ma part. Il me frappa au visage et je sentis du sang couler de mon nez. Je l'attrapais par sa veste et je lui donnais un coup de boule prodigieux. Il s'étala à terre comme une crêpe mais remonta vite sur ses pattes pour m'en refoutre une. Cela n'en finissait pas, des gens essayaient de nous séparer mais le seul truc, c'était que je frappais tout ceux sur mon passage.
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Je m'inquiétais vraiment pour Royce en se moment, je voyais bien qu'il n'était pas comme d'habitude, enfin si ça lui arrivait d'être dans cet état quand ça ne va pas et qu'il est en colère mais c'est bien la première fois que je le vois aussi mal pendant aussi longtemps. J'essayais d'être présente pour lui et lui répéter encore et encore que si sa soeur s'était fait violer ce n'était aucunement de sa faute, mais il ne voulait rien entendre et il continuait à boire chaque soirée tout en m'envoyant bouler au passage. J'aurais pu mal le prendre mais j'étais compréhensive et je sais que si il se retrouvait seul, sa situation risquait d'être bien pire. Aujourd'hui c'était la st-valentin et Royce m'avait proposé de le rejoindre dans un bar dans la soirée, en y allant j'avais la boule au ventre, j'avais peur qu'il ne soit pas dans un merveilleux état et qu'il commence à s'énerver comme il le fait si souvent en se moment. Mais j'me devais d'être présente pour lui comme il l'a était pour moi quand mon cancer à refait surface. Je m'étais donc garée devant notre lieu de rendez-vous pour ensuite entrer à l'intérieur du bar et voir directement une grosse baston. Pitié qu'il en fasse pas partie. Je m'approchais alors rapidement pour finalement voir mon amoureux se battre avec plusieurs hommes, mon dieu qu'est c'qui lui prenait ? Je m'approchais alors pour essayer de calmer Royce et de le sortir de là. Royce, calme-toi ! Dis-je en attrapant son bras que je lâcha rapidement en me recevant un poing dans la figure qui fit légèrement saigner mon nez par undes hommes qui avaient du vouloir en donner une à Royce. Ok, j'étais énervée là et franchement tout ce que je voulais c'était sortir mon arme et les tuer un par un, mais c'était pas franchement discret. Je poussais alors rapidement l'homme pour finalement réussir à attraper Royce et le plaquer contre le comptoir du bar pour qu'il se stoppe. T'es complètement malade ! Tu veux finir ta nuit à l'hôpital ou quoi ?! Dis-je en criant assez fort, parce que oui son comportement de merde m'énervait. Et bien, on peut dire que c'est une St-Valentin qui commence en douceur.
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Cette histoire me hantait, jour et nuit. Je pensais tous les jours à ma soeur et j'étais très inquiet pour elle. Je m'assurais de savoir à chaque fois ce qu'elle faisait, avec qui elle était, s'en était venu presque obsessionnel. Je jouais le frère trop protecteur comme je ne l'avais pas assez été. La bagarre avait vite dégénéré. J'ai toujours eu facile de foutre des coups aux gens qui me cherchaient des embrouilles, mais quand d'autres s'en mêlaient, ça partait vraiment en cacahuète. Je crus entendre quelqu'un crier mon prénom, mais j'étais trop occupé à me défendre pour réaliser que Leevy était arrivée. Je vis une chevelure dorée passer devant mon nez pour bousculer le mec en question et je me retrouvais coincé au comptoir. Ne t'en mêle pas, j'ai pas besoin de ton aide. répondis-je agressivement à ma copine en lançant un regard de mort au gars qui me provoquait de l'autre bout de la pièce. Mais Leevy allait pas bouger d'un pouce. Je finis par regarder la student puisque ses yeux me cherchaient du regard. Je bouillonnais de partout, je sentais mon pouls battre dans ma tête, dans mes bras, mes jambes, c'était comme si mon coeur allait exploser. Mon visage changea d'expression lorsque je remarquais qu'elle avait du sang sur ses lèvres. C'est... c'est moi qui ai fait ça? demandai-je inquiet. Je n'avais même pas vu que quelqu'un l'avait frappé, j'étais tellement occupé à envoyer mes coups de poings un peu partout. Mais j'espérais vraiment ne pas l'avoir touché. De toute façon, personne n'avait le droit de porter la main sur elle. Cela me donnait encore plus envie de défoncer tout le monde. Je me sentais triste tout à coup, après la colère, venait la peine, comme à chaque fois. Le regard perdu, je tournais sur moi-même pour faire face au comptoir et prendre le premier verre qui traînait pour le boire. Je passais une main sur mon crâne, j'avais reçu plusieurs coups et la douleur était loin d'être agréable. Putain c'était la st-valentin et je merdais tout.
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Je ne savais vraiment plus comment réagir avec Royce, j'avais l'impression de plus le reconnaître, merde il était où le Royce de bonne humeur et qui ne pouvait pas s'empêcher de faire des conneries ? Ouais ça manquais, parce que dès que j'étais avec lui j'avais l'impression qu'il en avait rien à foutre et tout ce qu'il était capable de me faire c'est s'énerver contre moi. Je savais qu'une fois de plus se soir j'allais le voir dans un mauvais état entrain de boire et toujours boire. J'voulais juste que ça s'arrête, je devrais déjà pas le laisser se détruire comme ça mais j'sais qu'il m'écoutera pas et de mon avis il s'en fiche. J'étais donc rentrer dans le bar pour ensuite le voir en pleine bagarre, super ça pouvait pas être mieux. En voulant m'approcher pour récupérer mon amoureux je me fis prendre un poing en pleins visage, oui ça faisait un mal de chien mais ça faisait pas aussi mal que voir Royce se détruire comme ça. Je l'avais alors plaqué contre le comptoir afin qu'il arrêt de frapper tout le monde et surtout qu'il se calme. Il était pas dans son état normal c'est pas possible, il prenait ses médicament au moins ? T'as pas besoin de mon aide ? Mais tu te rends pas compte que ça va pas bien et que t'es même plus toi-même ? Dis-je en le fusillant du regard, au départ j'avais été compréhensive avec lui ne voulant pas m'énerver, mais là c'était beaucoup trop, fallait qu'il réagisse. Si il fallait que je lui dise que c'était devenue un alcoolique totalement dépressif pour le faire réagir, j'le ferrais. Non c'est pas toi. Dis-je en levant mes yeux au ciel quand il s'inquiéta si c'était lui ou non qui m'avait frappé, manquerait plus que ça. J'enlevais alors le peu de sang que j'avais sur le visage pour ensuite soupirer en le voyant se prendre un nouveau verre. Je lui récupéra des mains pour le reposer sur le comptoir pour ensuite tourner Royce vers moi, j'essayais vraiment de garder mon calme et c'était pas facile, j'voulais juste trouver quelque chose pour le faire réagir. Mais putain de merde arrêt de boire et de te détruire ! Je te reconnais plus Royce, j'sais que ça va pas mais ça fait des jours que tu t'enfermes pour boire ou pour fracasser des têtes, mais réagis merde ! Dis-je en ne m'empêchant pas de crier contre lui, mais j'voulais juste récupérer mon amoureux. Faut qu'on sorte d'ici. Dis-je en prenant son bras pour le tirer hors du bar, au moins il sera loin de l'alcool et de tout ces mecs qui veulent lui refaire le portrait.
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C'était forcément dur pour elle d'essayer de comprendre un bipolaire en chute émotionnelle. Moi-même je ne me comprenais pas, c'était comme si je ne savais plus qui j'étais. J'avais tout le temps cette envie de faire des choses dangereuses, des choses que je me serais pas permis de faire en étant normal. Il suffisait d'une pulsion pour foutre le bordel dans la soirée. Qu'est-ce que les gens pouvaient bien penser en me voyant? Que j'étais un monstre, un attardé, quelqu'un qui devait se faire soigner. C'était drôle sur le coup, mais pas quand Leevy me criait dessus. Déjà, j'avais mal au crâne avec les coups que j'avais eu, donc ça ne m'aidait pas à calmer la douleur. Je l'écoutais m'engueuler, je baissais le regard comme un gamin qui allait recevoir une punition. J'entendais bien ce qu'elle me disait, mais je ne savais pas quoi lui répondre. C'est bien de me dire tout ça, de me rappeler que j'étais plus le même, mais ça ne m'aidait pas. Et qu'est-ce que tu vas faire hein, sainte Leevy? M'envoyer chez les fous? Non, j'y retournerais pas. je terminais ma phrase avec un goût amer et désagréable. De mauvais souvenirs me remontaient, c'était le pire épisode de ma vie. C'était mon père qui m'avait enfermé dans cet hôpital à Budapest. J'avais trouvé le moyen de foutre le camp, je ne voulais pas devenir un légume. Je fus soulagé de savoir que je n'avais pas frappé Leevy, car je pense que je ne me le pardonnerais pas. Sur cette bonne nouvelle, je me retournais pour prendre un verre mais la jeune fille me l'arracha des mains. Je soupirais bruyamment en râlant. Elle se comportait comme si c'était ma mère, sauf que c'était ma copine et j'estimais avoir le droit de faire ce que je voulais. Si je voulais boire, je buvais. Leevy essayait de me secouer et les mots qu'elle employaient me faisaient comprendre que je n'étais plus le Royce habituel, celui qu'elle aimait. Elle ne reconnaissait plus son amoureux. Je restais un instant silencieux et je déglutis difficilement. Je souffrais beaucoup, je sentais cette douleur dans ma poitrine qui me faisait mal. Je finis par poser mon regard dans le sien avec une nouvelle expression du visage. Celle du mec inquiet. Tu vas me quitter? j'avais perdu beaucoup de personnes en étant fou de colère, je ne voulais pas perdre Leevy, elle était tout pour moi, sauf que dernièrement, je la mettais de côté, comme tout le monde. Là, j'avais peur, vraiment peur de sa réaction. Je me laissais tirer par le bras jusque dehors en marchant d'un pas lent. Je détestais me montrer faible devant elle, puisqu'elle s'était déjà moqué de ma situation lorsqu'on s'était disputé la dernière fois.  Je m'appuyais contre un arbre et je m'imaginais le pire. Surtout que l'alcool triste, ça n'aidait pas. Pourquoi j'ai bu putain, j'aurais pu m'abstenir au moins ce soir, pour elle. Je reniflais comme si j'allais me mettre à pleurer, alors que mes yeux s'humidifiaient légèrement. Tu ne m'aimes plus. lançai-je la gorge serrée. Je dramatisais tout, je voyais tout en noir.
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Si je le pouvais, évidemment que j'aiderais Royce, mais là je savais vraiment pas quoi faire pour lui, lui gueuler dessus ? Cela ne servait à rien vu qu'il n'écoutait personne, je me souvenais à l'époque du summer camp nous nous étions rapprochées parce que je l'avais aidée à surmonter l'épreuve Apple mais cette fois je n'arrivais pas à le faire passer à autre, j'avais l'impression d'être inutile et ça me faisais franchement chier. Après tout, oui sa soeur s'était violer et je ne voyais pas vraiment comment je pouvais arranger parce que malheureusement ce n'est pas quelque chose qui se guérit ou s'oublie. J'étais loin d'être romantique mais j'vais pas mentir sur le fait que j'aurais appréciée une soirée bien plus sympas pour la st-valentin, oui j'aurais bien évitée le coup que je me suis pris et Royce qui continue son dramatisme. J'avais déjà réussis à le calmer niveau bagarre donc ça c'était déjà bien et je stoppais ensuite quand il voulut boire encore. Merde, j'étais pas en couple avec un alcoolique à ce que je sache. Enfin je disais ça mais quand ça n'allait pas j'allais aussi boire mais j'étais pas à un niveau aussi extrême que le siens. Je finis par froncer mes sourcils en écoutant ses mots quand il me parla de l'envoyer chez les fous, quoi il était déjà passé par l'hôpital psychiatrique ? J'étais même pas au courant, et bien faut croire que y'a pleins de chose que je sais pas sur mon copain. Y retourner ? Dis-je en étant toujours perturbée sur sa révélation, son cas était aussi grave que ça pour qu'il parle en hôpital ? Franchement, oui ça m'inquiétais. Je finis par sortir avec lui du bar pour ensuite arquer un sourcil quand il me demanda si j'allais le quitter ou si je ne l'aimais plus. Je le regardais alors se tenir à l'arbre ne voyant maintenant plus de colère en lui mais juste de la tristesse. Je suis désolée mais là je commence à avoir du mal à le suivre. Je finis par m'approcher de lui venant prendre son visage entre mes mains afin qu'il plonge ses yeux dans les miens. Je t'aime et je te quitterais pas ok ? Tu crois vraiment que si je ne t'aimais plus je serais ici avec toi entrain de tout faire pour que tu réalises que t'es entrain de faire une grosse connerie ? Dis-je en le fixant alors que ma voix était assez douce, j'voulais pas le brusquer une nouvelle fois. Je relâcha alors doucement son visage pour finalement venir le prendre contre moi afin de le serrer dans mes bras alors que ma main passa dans ses cheveux que je caressais doucement. J'en peux plus de te voir comme ça Royce.. Je veux juste que tu sois mieux.. Ça n'arrivera jamais ? Dis-je la gorge serrée parce que oui cette situation me faisais flipper, après tout j'étais mafieuse, pas médecin.
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Pourquoi Leevy avait insisté sur y retourner? Surement car elle l'ignorait et que ce n'était pas tout net dans sa tête. On s'était engueulé car on ne se disait pas tout, mais finalement, je comprenais pourquoi certains secrets devaient être cachés. J'avais pas spécialement envie qu'elle sache qu'on m'avait envoyé dans un hôpital, c'était sortis tout seul. Au moins je lui faisais bien comprendre qu'elle n'avait pas intérêt à m'envoyer là-bas, si elle m'aimait, elle ne le fera pas. J'attendais qu'on soit dehors pour lui en toucher quelques mots, car si je niais sa réflexion, elle allait finir par m'arracher les vers du nez. Je baissais la tête, j'avais honte de moi. J'avais treize ans. c'était tout ce que j'arrivais à dire. Je ne voulais pas me rappeler cette solitude. Quand j'étais gosse, j'étais souvent rejeté, mal aimé, mais à 24 ans, j'avais des gens qui m'aimaient et je voyais les choses différemment. Je posais mon dos contre l'arbre et je regardais Leevy qui me rassurait en me disant qu'elle m'aimait et qu'elle ne me quittera pas. Mon expression si perdue de mon visage resta la même, mais au fond je sentais une petite vague de chaleur traverser mon coeur. Je fermais les yeux pour profiter de la douceur de ses mains sur ma peau et je me laissais bercer dans ses bras. Le contact de son corps, son odeur, sa voix, ça me rappelait tout ce qu'on avait vécu ensemble, des bons souvenirs comme des mauvais, mais surtout les meilleurs. Sa question me fit complètement craquer, car personne ne savait y répondre. Normalement, ce n'était juste qu'une mauvaise passe, j'allais retrouver ma joie de vivre, j'allais redevenir normal sans me rendre compte que j'étais au plus bas il y a quelques semaines. Mais ce que je savais, c'est que j'aurais encore de nouvelles chute émotionnelles, à n'importe quel moment, au moindre faux pas. Je pleurais en silence, ma tête sur son épaule. Avant de me rassurer moi-même, je devais rassurer Leevy. Il fallait qu'elle sache qu'il y avait moyen que je m'en sorte, même si je n'y croyais pas vraiment. Au moins, elle pourra me motiver dès que les choses se compliqueront. Si, ça arrivera. Il faut être patient, et il faut que tu restes près de moi. Tu m'as redonné ma joie de vivre l'année dernière, et j'ai envie de croire que ça fonctionnera une deuxième fois. je ne lui mettais pas tout ce poids sur ses épaules, Leevy ne saura pas me guérir, je devais revoir un psychologue et reprendre mon traitement à long terme et seulement les choses s'amélioreront. Elle sera mon soutien moral, un médicament très efficace. Je retirais ma tête de son cou pour la regarder. J'osais affronter son regard avec les larmes aux yeux. Je suis désolé de t'avoir rejeté ces derniers jours, j'ai été méchant, un vrai connard. Tu ne mérites pas de subir ma mauvaise humeur. Je... je comprendrais que tu n'arrives pas à supporter mes crises, mes mots blessants, mon manque d'attention. Ce sont des choses que j'ai du mal à contrôler quand je bois. je détournais mon regard vers le côté et je soupirais. Je serais tout le temps malade, il faut que tu comprennes que je ne serais jamais heureux éternellement, je vais encore chuter plusieurs fois dans ma vie et tout ce que je souhaite, c'est que j'ai trouvé la bonne personne qui sera là à chaque fois que je craque. C'est difficile, tu sais... au moins je l'avais prévenue, si un jour elle n'était plus capable de s'occuper de moi, que ce soit maintenant ou dans quelques années, si tout va bien, je comprendrais.

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En réalité avant aujourd'hui je ne m'étais jamais rendu compte de la bipolarité de Royce, enfin je savais qu'il était malade, mais je n'avais jamais vraiment fais face à "l'autre Royce" peut-être cet été oui mais ça n'était pas autant que maintenant. Qu'est c'que j'avais à faire maintenant ? Simplement accepter ce qu'il l'est, après tout quand je suis tombée amoureuse de lui c'était de ses bons côtés comme de ses mauvais. En le prenant j'avais pris le pack et même si il était pas facile à vivre en se moment j'en avais rien à foutre et je serais toujours présente pour lui. Donc oui pour ça je dois être un peu moins colérique que d'habitude et surtout plus compréhensive, mais j'lui devais bien ça. Il avait finalement parler de son séjour à l'hôpital psychiatrique et j'étais assez choquée de cette nouvelle voilà pourquoi j'avais besoin d'un peu plus de détail. Mais quand il m'annonça qu'il avait treize ans et qu'il ne me disait pas un mot de plus sur le sujet je m'étais vite rendu compte que c'était un sujet sensible pour lui, en même temps je pouvais le comprendre, je me doute que passer par les fous ça n'a rien d'amusant au contraire, c'est plus traumatisant qu'autre chose en fait. Nous étions finalement dehors et je l'avais pris dans mes bras essayant de trouver les bons mots pour le rassurer et lui prouver que j'étais là pour lui, quoi qu'il arrive. Si il faut être patient, je le serai.. Mais sache que je t'abandonnerai jamais et que si tu me laisses faire je t'aiderai à passer à autre chose.. Dis-je en le serrant toujours contre mes bras avec pas mal de tendresse, oui je lui disais que je l'aiderais si il me laissait faire parce que oui jusqu'à maintenant il m'avait totalement tourné le dos. Je finis par poser mon regard bleu sur son visage quand il releva sa tête, mon dieu c'était juste une torture de le voir pleurer et d'être aussi mal. Je voulais juste que ça change et qu'il soit heureux. Je baissais légèrement le regard quand il me faisait des excuses pour tout ce qu'il m'avait fait endurer ces derniers jours, oui j'en avais baver mais au fond, c'était pas de sa faute. Je vais pas t'en vouloir pour tout ça Royce.. Je sais très bien que c'est pas de ta faute et que tu contrôles pas forcement.. Mais déjà si tu veux que tout ça s'arrêt, il faudrait peut-être arrêter la boisson. Dis-je en relevant finalement mon regard vers lui, arrêter l'alcool était déjà une bonne idée vu qu'il disait lui même que ça le rendait connard, enfin avec moi surtout. Je sais que c'est pas la première fois ni la dernière.. Mais moi je suis là pour toi et c'est ce qui compte non ? Tu peux peut-être me dire la pire des horreurs ça ne changera pas le fait que je serais toujours là pour toi, quoi qu'il arrive.. Dis-je d'une voix totalement sincère alors que je vins prendre son visage entre mes mains tout en le regardant. Ça va aller ok ? T'es capable de te battre face à ça, t'as pas le droit de laisser cette maladie te détruire. Alors tu vas être courageux comme tu l'as toujours été et on va tous les deux faire en sorte que ça aille mieux. Dis-je en parlant toujours d'une douceur irréprochable, j'espérais juste utiliser les bons mots pour qu'il aille mieux, ou du moins qu'il se motive pour aller vers la guérison.

hj: mais t'inquiètes ça m'inspire trop aussi ROYLEE ❖ HELP ME LOSE MY MIND 4205929361
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On pouvait croire que j'avais la belle vie. Sans vouloir me vanter, selon les dires, j'étais un homme séduisant, j'étais devenu populaire sans prendre la grosse tête, j'étais très doué dans mon domaine d'étude, j'ai été sélectionné pour jouer dans l'équipe de football de l'université, j'étais président d'une maison et je sortais toujours avec les filles les plus belles et inaccessibles du campus. Mais en réalité, ma vie était un vrai champ de bataille. J'étais malade dans la tête, et ça avait beaucoup d'inconvénients et d'impacts dans ma vie. Même dans ma vie amoureuse. Je ne savais plus où j'en étais avec Leevy, si elle m'aimait toujours malgré mon changement de personnalité, si elle n'en pouvait plus de me voir me détruire... pleins de questions hantaient mes pensées. Après un temps pour me mettre en confiance, je m'exprimais peu à peu, n'hésitant pas à laisser mes larmes couler devant elle. Tu me le promets? insistai-je, j'étais terrorisé à l'idée qu'elle ne m'aime plus, qu'elle ne me trouve plus intéressant et qu'elle m'abandonne à mon triste sort. Je lui présentais mes excuses car je n'avais pas été correct avec elle. Je détestais être désolé, j'avais aussi une fierté, un peu moins grosse que celle de Leevy, mais je pouvais être têtu quand je le voulais. Là, je parlais à coeur ouvert, ma carapace était percée, j'étais sensible à chaque mot qu'elle disait. Je devais clairement arrêter l'alcool, c'était certain, ça mettait en danger le bien être de notre couple. Je soupirais en venant essuyer mes larmes sur mes joues rouges. Je vais essayer d'arrêter, mais je ne sais pas si j'y arriverais tout de suite. l'alcool était devenue ma meilleure amie, voir même ma petite amie puisque je passais plus de temps avec elle qu'avec blondie. Je me sentais déjà un peu mieux, mes épaules étaient plus légères et j'arrivais à dessiner un faible sourire sur le coin de mes lèvres. Mon coeur se réchauffait au fur et à mesure que Leevy me rassurait. Rien que sa douce voix m'apaisait, ça changeait de l'entendre crier. Je penchais ma tête pour venir coller mon front au sien. Je fermais les yeux. Ça c'est la femme de ma vie. Merci mon coeur. c'était tout ce que je pouvais lui dire. Merci de me mettre en confiance, merci de m'apporter de l'amour et de l'affection, merci de croire en moi. Je posais mon pouce sur son menton et je venais poser délicatement mes lèvres sur les siennes. Tendre baiser qui voulait en dire long. Je tournais ensuite le regard vers le bar puis je reportais mon attention sur ma copine. Qu'est-ce qu'on fait maintenant? C'est la saint valentin, c'est la première fois que je fête le 14 février, j'ai envie que ça soit bien. Je voulais pas tout gâcher, je peux essayer de me rattraper. même si j'avais le moral à zéro, on pouvait très bien faire de chouettes choses. Je préférais être en compagnie de Leevy au lieu d'être tout seul.
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Au final j'étais assez contente d'avoir cette conversation avec Royce, parce que oui avant ça il ne c'était pas confié à moi, j'avais pourtant essayer de lui parler mais je n'arrivais à rien. Maintenant il se dévoilait totalement et je savais maintenant à quoi m'attendre. Il disait que c'était pas la première ni la dernière qu'il vit se genre de truc, mais et alors ? Je le supporterais bien parce que je sais que c'est pas de sa faute et si il avait le pouvoir d'arrêter tout ça il le ferait. Et puis pourquoi je n'accepterais pas de vivre ça en sachant qu'il avait accepté de vivre avec une mafieuse ? Il avait vécue des choses assez horrible à cause de moi et je savais que pour ça aussi ce n'était ni la première fois et ni la dernière, pour l'instant tout va bien mais j'sais bien qu'un danger n'est jamais loin. Je te le promet. Dis-je d'un sourire rassurant, il ne devait pas douter de moi parce que j'ai toujours su que j'étais capable de tout vivre pour lui. Je l'avais alors pris contre moi pour ensuite lui dire tout ce qui pourrait le rassurer, j'voulais plus le voir aussi mal, ça durait depuis maintenant trop longtemps. Avant je le laissais encore m'envoyer bouler mais si demain il recommence je le laisserai pas faire parce qu'il était vraiment temps qu'il se bouge et qu'il se rende compte de ce qu'il devenait. Je lui avais déjà conseillée d'arrêter l'alcool parce que c'était l'un de ses plus gros problème et si il était aussi faible en se moment c'était à cause de l'alcool et rien d'autre. Tu mettras le temps qu'il faut mais ce qui compte c'est que t'arrêts. Il suffit d'un peu de motivation et tout deviens plus facile. Lui dis-je d'un petit sourire, alors que je lui faisais ensuite bien comprendre que j'étais là pour lui et ça pour longtemps, j'eu alors un petit sourire quand il me remercia pour ensuite me dire que j'étais la femme de sa vie. Alala il méritait aussi d'être l'homme de ma vie avec tout c'que je suis prête à faire pour lui. Je t'aime, tu le sais ça ? Dis-je simplement alors qu'en réalité ça voulait tout dire, je prolongeais ensuite son baiser avec amour et tendresse en venant doucement caresser sa joue pour ensuite le regarder quand il me demanda la suite du programme pour cette soirée de st-valentin plutôt ratée. On à qu'à rentrer à la maison et se couler un bon bain moussant ? Comme ça je te fais un petit massage et ensuite tu vas faire un bon dodo. Lui dis-je d'un petit sourire, oui pour une fois c'est moi qui m'occupe de lui se soir, j'pourrais même essayer de lui faire à manger. Et puis franchement j'avais pas la tête à aller ailleurs que chez nous.
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