je suis là pour t'aider à t'en sortir. ❖ marc&lauren

Je sais que Lauren est un des professeur d'Harvard, en d'autres termes entretenir une relation physique ou sentimentale avec elle est juste interdite sauf si je veux que sa carrière soit ruinée et ma poursuite d'études également. Je connais son petit secret, ce qu'elle fait que personne ne connait et je ne comprend pas pourquoi une femme est réduite à un rang pareil alors je veux l'aider, qu'elle soit professeur ou non ne change rien, qu'elle est trente-et-un ans ou mon âge ne change rien, elle reste une femme et je ne veux pas qu'une femme soit traitée de la sorte même si celle-ci est consciente de ce qu'elle fait. J'ai trouvé dans l'annuaire son adresse, elle habite un petit loft tout près du campus, et là je viens de monter les quelques escaliers de la résidence pour atterrir devant la porte de son petit loft, je toque deux fois avant d'attendre qu'elle vienne m'ouvrir.

Pour une des rares fois, tu allais passer la soirée chez toi. Pour la simple et bonne raison que tu avais un tas de correction à faire et une chorégraphie à créer pour le cours de danse de la semaine prochaine. En gros, tu n'avais pas du tout de temps pour mener ta vie de rêve - c'est-à-dire sortir, danser dans les bars et only god knows what. Bref, ce soir tu allais être bien posé chez toi. Du moins, c'est ce que tu pensais jusqu'à ce qu'on vienne cogner à ta porte. Tu te levas rapidement de ta table de cuisine et alla à l'entrée. Tu ouvris la porte à demie, observant le visage plutôt familier qui était de l'autre côté. « Marc ? » dis-tu doucement. « Je peux t'aider ? » rajoutas-tu, un peu sur le coup de la surprise. À dire vrai, tu ne t'attendais pas à ce qu'un étudiant - étudiant t'ayant d'ailleurs vue sur ton second lieu de travail - retentisse à ta porte un soir de semaine. C'était étrange et ça n'augurait rien de bon, selon toi... ~

Je sais pas pourquoi je suis venu chez elle, je devrai la laisser tranquille, faire ma vie et la laisser faire la sienne mais quand je l'ai vu dans ce club de strip et surtout quand je l'ai revu sur le campus, dans ma tête de nombreuses questions ont défilées. J'ai un énorme respect pour les femmes, et je n'arrive pas à croire et surtout à laisser faire qu'une fille agisse de la sorte, merde quoi elles ne sont pas des objets ou des choses qu'on touchent comme on le souhaite alors je crois que c'est pour ça que je suis ici, l'aider. Elle finissait par ouvrir la porte à moitié Bonjour. lui adressais-je comme parole alors qu'elle venait de se rendre compte qu'elle me connaissait plus ou moins, elle me demandait par la suite si je voulais l'aider mais dans les circonstances actuelles c'est plutôt à moi de lui venir en aide Oui, si vous pouviez me laisser entrer, faut que je vous parle. elle savait sans doute de quoi je voulais lui parler et j’espérais qu'elle me laisse entrer même si il est onze heure du soir.

Décidément, tu étais très surprise de voir à quel point les étudiants pouvaient se montrer très persévérant en ce qui concerne la découverte du domicile de leurs enseignants. Ton adresse n'était pas privée, certes, mais jamais tu n'aurais pensé qu'un élève soit assez... désespéré pour fouiller dans un bottin ou sur le net pour la trouver. Limite, ça te faisait quasiment peur. Cela dit, tu ne pouvais plus reculer, tu avais déjà ouvert la porte à Marc, un étudiant qui t'avait aussi aperçu sur ton second lieu de travail. Bonjour. dit-il poliment. Tu lui souris doucement avant de lui demander s'il avait besoin d'aide. C'était normal de penser qu'un étudiant a besoin de ton aide s'il se trouve devant ta porte à une heure pareille. Oui, si vous pouviez me laisser entrer, faut que je vous parle. Tu fronças les sourcils un bref instant, limite frustrée qu'il insiste pour te déranger. Tu ouvris plus grand la porte et le laissa entrer. Tu lui fis signe de s'installer au salon. « Que puis-je fais pour toi, Marc ? » demandas-tu avant de t'asseoir sur le petit fauteuil à côté du divan où il s'était assis. Tu ne voulais pas être trop... proche de lui, en fait. Tu étais sur tes gardes, là... ~

Ce n'était pas mon délire de fouiller sur internet ou dans l'annuaire pour trouver le domicile d'un professeur du campus, je crois bien que c'est la première fois que je fais ça mais ça en vaut la peine. Je veux l'aider à s'en sortir, à trouver une autre vie que celle qu'elle a empruntée, la voir à ces deux endroits totalement opposés, j'ai eu du mal à y croire et savoir qu'elle se rabaisse autant, j'ai envie qu'elle se donne une autre image. je suis devant sa porte, elle vient l'ouvrir à moitié, c'est vrai qu'à cette heure là c'est mieux de savoir à qui on a à faire mais dès qu'elle me voit, et qu'elle a le motif de ma visite, la porte s'ouvre en grand et elle me laisse entrer me faisant signe de m’asseoir sur le canapé. J'aimerai vous aider. je ne savais pas trop comment formuler mes mots, c'était assez délicat Comme vous le savez, je vous ai vu dans ce club et sur le campus et je n'arrives pas à me faire à cette idée que vous vous donniez une image aussi déshonorante de vous-même. Ne le prenez pas mal Madame, c'est loin d'être mon but, simplement je n'accepte pas qu'une femme ait une telle image..

L'atmosphère était plutôt tendue dans l'appartement en ce moment. Tu ne savais pas trop quoi dire ou quoi faire alors tu attendis qu'il prenna la parole, répondant ainsi à ta question. S'il était venu te voir ce soir, c'était forcément pour une raison. Après, c'est à savoir laquelle... « J'aimerai vous aider. » Tu fronças légèrement les sourcils, croisant tes bras... Tu ne le quittas pas du regard, attendant la suite de son discours. « Comme vous le savez, je vous ai vu dans ce club et sur le campus et je n'arrives pas à me faire à cette idée que vous vous donniez une image aussi déshonorante de vous-même. Ne le prenez pas mal Madame, c'est loin d'être mon but, simplement je n'accepte pas qu'une femme ait une telle image. » Tu manquas presque de t'étouffer avec ta salive lorsque tu entendis ses mots. Tu soupiras longuement avant de passer une main dans tes cheveux. Tu cherchas ensuite les bons mots pour lui expliquer le fond de ta pensée. L'important, maintenant, c'était qu'il comprenne que tu n'es pas l'une de ces pauvres filles qui doivent être sauvées. « Marc. » commenças-tu doucement. « Je te remercie de ton... offre, mais je n'ai pas besoin de ton aide. » dis-tu plus fermement. « Je n'ai pas besoin d'être sauvée. » dis-tu ensuite. Tu pris une grande inspiration, essayant de garder ton calme. « Cette image qu'on les hommes de moi me plait. Je le fais par envie, non pas par obligation. ». Tu n'avais pas besoin de te justifier, mais voilà que tu le faisais. Tu continuas de le foudroyer du regard, lui faisant bien comprendre que son aide était inutile et qu'il n'avait pas à s'inquiéter pour toi. ~

On dit toujours que celui qui ne tente rien n'a rien et c'est un des principes auxquels je m'accroche et c'est pour ça que je tente ce soir de lui venir en aide. Je sais qu'elle ne me connait pas vraiment, elle m'a juste apperçu bon nmbre de fois sur le campus, tout à fait normal elle est professeur et mon étudiant mais on s'est aussi croisés au club de strip-tease de la ville et ça m'a fait bizarre de la voir à ces deux endroits et c'est pour ça que ce soir je suis là, c'est impensable pour moi qu'une femme se donne une telle image, je sais que je perds mon temps mais j'y tiens, pour ma conscience. Elle m'a laissée entrée bien que surprise de me voir, j'ai enlever ma veste que j'ai posé à coté de moi dans le canapé quand je me suis assis et je lui ai dis le fond de ma pensée et sa réaction à mes paroles fut celle que je pensais. Je comprend et je ne vais pas insister. je la voyais ses bras croisés contre sa poitrine, son regard qui me fixait légèrement en fronçant les sourcils, elle avait complètement raison de réagir ainsi, au final je me levais, prenant ma veste en main Je ne sais même pas pourquoi je suis venu, j'aurais du me douter que vous n'accepteriez pas, ça me regarde pas de toute façon mais ma curiosité m'a très souvent fait défaut. Pardon du dérangement. je faisais un faible sourire en lui disant ces mots puis je me dirigeais vers la sortie.

Tu trouvais l'attention plutôt gentille de sa part, mais elle était inutile. Tu n'avais pas besoin d'être sauvée, d'être pris sous l'aile de quelqu'un, au contraire. Tu n'as jamais été aussi bien que présentement. Tu es en pleine possession de ta vie et c'est ce qui te fait le plus grand bien. Tu es maître de ta destinée. Pour la première fois depuis tant d'années. Il resta tout de même très poli lorsque tu lui fis comprendre que tu n'avais pas besoin de lui. Qu'aurait-il pu faire, au final ? Crier encore plus fort ? Tu l'aurais mis dehors, c'est tout... Il te regarda un bref instant puis se leva en reprenant ses affaires. Je ne sais même pas pourquoi je suis venu, j'aurais du me douter que vous n'accepteriez pas, ça me regarde pas de toute façon mais ma curiosité m'a très souvent fait défaut. Pardon du dérangement. Tu soupiras doucement, décroisant les bras. Tu le vis s'avancer vers la porte et sans réfléchir, tu roulas les yeux au ciel alors que tu te levais du fauteuil. Tu t'approchas de lui et effleuras son bras pour qu'il se retourne vers toi. Tu lui fis face, un léger sourire se dessinant sur les traits de ton visage. « Tu penses que les hommes me voient comme un objet, comme une chose. Mais ce qu'il voit en moi, c'est bien plus que ça. » dis-tu doucement en approchant un peu plus ton visage du sien. « Je leur offre de vivre ce qu'ils n'ont jamais eu la chance de vivre. » ajoutas-tu en posant tes bras autour de son cou. « Et ça me fait plaisir de jouer ce rôle dans leur vie. » conclus-tu en venant poser tes lèvres contre les siennes, tout simplement. Tu t'écartas ensuite, ne laissant toutefois pas une grande distance entre vous. « Tu veux voir ce que j'ai à offrir ? » dis-tu, un sourire aguicheur accroché aux lèvres. Allait-il accepter l'offre ? Une partie de toi l'espérait. Il avait l'air tellement sage et innocent que ça ne lui ferait pas de mal d'élargir ses horizons... ~

Je ne sais pas pourquoi j'étais venu mais de la voir à ce club de strip et aussi sur le campus, ça m'a choqué. J'ai trouvé son adresse dans l'annuaire, je suis venu devant sa porte, elle fut surprise de me trouver sur le pas de sa porte mais elle me laissait parler, entendre que je voulais la tirer de ce qu'elle faisait, je ne peux pas croire qu'une femme soit rabaissée autant et je sais que je couche avec autant de femmes que je dépense mon argent mais je les respectent énormément et traiter une femme ainsi, je le permet pas. Elle comprend totalement mon ressentis mais elle me fait clairement comprendre qu'elle n'a pas besoin que je la "sauve", et c'est vrai c'était bête de venir la voir alors qu'on ne se connait même pas. Alors que je suis prêt à poser ma main sur la poignée de la porte d'entrée mais sa main effleurait mon bras, je me retournais du coup, elle s'était rapprocher pour m'expliquer sa vision des choses J'en suis pas si sûr.. elle me rendait perplexe à agir ainsi avec moi, je n'étais pas comme tous les hommes qu'elle voyait et comblait, je ne me dépravais pas autant à aller dans des clubs comme ceux où elle travaille, je n'aime pas avoir cette vision de la femme et pourtant la voir ainsi agir avec moi, ça me fait quelque chose. Elle se rapprochait un peu plus alors que mon bras restait tendu et ma main posée sur la poignet, ses bras venait de s'enrouler autour de mon cou, son visage si proche du mien, emme me disait qu'elle offrait aux hommes ce qu'il ne peuvent jamais s'offrir Non j... je ne pu terminer ma phrase que ses lèvres touchaient le miennes pour un baiser de quelques secondes avant qu'elle quitte celles-ci et se détache de moi pour me dire au final si je voulais voir ce qu'elle avait à offrir. Je ne veux pas vous voir ainsi.. vous ne méritez pas ça. mais fonce mon gars elle t'aguiche, elle t'excite tu le sais mais tu te refuse à une femme, quelle honte, après toutes ces années, après toutes ces femmes qui n'ont pu te résister, lâche toi même si c'est un professeur, ne voit plus son double métier, voit la femme attirante et excitante qu'elle est Mais je dois vous avouer que vous embrassez très bien. lui dis-je lâchant finalement la poignée pour me rapprocher d'elle.

Son hésitation, son léger bégaiement, ses si charmantes intentions... Il était décidément l'homme le plus mignon et le plus intéressant que tu aies connus. C'était comme un jeu, une superbe occasion de tester tes pouvoirs, de voir jusqu'à qu'elle point tu étais douée pour enivrer les mecs. Il semblait des plus confus lorsque tu insistas sur le fait que tu voulais vraiment lui offrir cette chance, celle de découvrir ce qu'est une vraie relation sexuelle avec une femme d'expérience qui se respecte. « Je ne veux pas vous voir ainsi.. vous ne méritez pas ça. » commença-t-il à dire doucement. Tu te reculas, voyant bien qu'il était sur le point de partir. Tu n'allais pas le forcer, certes, mais ça te décevrait beaucoup. « Mais je dois vous avouer que vous embrassez très bien. » Oh ! Il n'y avait pas que cela que tu savais bien faire ! Tu retournas vers le canapé, lui faisant signe d'approcher. Une fois qu'il fut plus près, tu lui fis un sourire coquin. « Enlève ton pantalon. » lui ordonnas-tu d'une voix plutôt sèche, mais non pas pour autant dominatrice. Tu n'allais pas le dominer, non. Tu allais juste... un peu plus contrôler la situation que tu le ferais d'ordinaire. ~