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« radioactive. »

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    Kari avait attendu, avant de manger sa pizza. Certes, il avait faim. Mais, aussi bien le carton que la pizza en elle-même était très chaude. Il vaut donc mieux attendre, au lieu de se brûler le palet et d'avoir une désagréable sensation pâteuse dans la bouche. Sauf que ce ne fut pas le cas de Sloan. Ce dernier avait faim mais, au lieu de suivre l'exemple de son meilleur ami, il se précipita sur sa pizza. Le résultat fut s'en attendre : il se brûla presque les lèvres et eut du mal à avaler l'important morceau qu'il avait mis en bouche. Sans oublier, bien sûr, que le chaud de la pizza l'a empêcher de profiter de son goût, et c'est tout juste si le new-yorkais a sentit quelque chose. Ne serait-ce que la sauce tomate de la pizza. Pendant ce temps, Kari se contenta de regarder la situation de Sloan. Il avait ouvert sa canette de soda et en but quelques gorgées. Il resta silencieux, comme si de rien était. Mais, ce n'est pas pour autant qu'entièrement, il ne s'amusa pas de cette situation. Sans oublier, bien sûr, qu'une petite voix dans sa tête ne cessait de dire, encore et encore, '' bien fait ! ''. Owens commence à avoir sa vengeance, sur ce qui s'est passé toute à l'heure, dans sa chambre, avec le beau Justin. L'esprit de Kari fut distrait pendant quelques secondes, se demandant s'il avait bien eut affaire à un prénommé Justin.

    Mais, l'étudiant en langues vivantes fut sortit de ses pensées par Sloan. En effet, ce dernier avait jugé préférable de laisser la pizza refroidir dans son carton. Il la referma et referma aussi celle de Kari. Puis, il posa les deux cartons sur le sol, juste à côté du lit. Owens n'avait pas vu ça, car il était plongé de ses pensées à ce moment-là. Ce n'est que lorsque Sloan lui sauta dessus, au sens propre comme au sens figuré, qu'il réalisa ce qui était en train de lui arriver. Le beau brun fit s'allonger son cadet sur le dos, et vient se mettre au dessus de lui. « Tu n'as qu'à dire que tu veux que je reste !? Tu sais tout ce que je suis prêt à faire pour toi ? » De part sa taille et sa musculature, ainsi qu'avec l'aide de l'effet de surprise, Sloan n'eut pas la moindre difficulté pour prendre l'avantage sur son compagnon. D'autant plus que ce dernier, sous le coup de la surprise, eut sa main tremblante et renversa une partie de sa boisson. Du soda se déversa, alors, sur la couverture de Sloan. Ce dernier ne s'en soucia pas plus que ça, ce qui n'était pas étonnant. Mais, Kari, lui, y fit attention et n'hésita pas à lancer : « Attention, fais ... » Mais, cet avertissement se révéla parfaitement inutile. C'est tout juste si Sloan remarqua ce qui s'était passé. Kari ne put, néanmoins, se sentir coupable et gêner de ce qu'il avait fait. Il se sentit responsable et voulait faire quelque chose. Son premier réflexe était de défaire le lit et de faire une machine, avec les draps tachés. Mais, Sloan de son côté, ne l'entendit pas de cette oreille. « Mais, je veux te l'entendre le dire ? Dis...Sloan je veux que tu restes avec moi... »

    Kari regarda, alors, Sloan dans les yeux. Le regard de son homme était brûlant comme de la braise. Il avait envie de lui, apparemment, c'était évident. C'est comme si Sloan était prêt à sacrifier une bonne soirée pour rester avec Kari. Ce dernier préfère chasser cette idée de son esprit. A la place, il se dit que Sloan avait envie de s'entrainer et de se vider, avant d'aller à cette soirée. Oui, ça devait être ça. Alors, dans ce cas, pourquoi l'érection naissante, mais puissante, du beau Walkers incita Kari à se laisser totalement faire. Tellement faire qu'il aurait été prêt à dire cette phrase, comme quoi il voulait que Sloan reste avec lui. Mais, c'était mal connaitre Owens. Comme si ce dernier était capable de montrer en public, de face direct, en face à face, sa possibilité d'éprouver des émotions humaines et son attachement envers une autre personne que lui. Mais, il s'agit de Sloan, le seul parmi les étudiants de l'université à faire de Kari non seulement une salope au lit (n'ayons pas peur des mots). Mais, aussi, le seul avec qui il se sent d'avoir une relation (bien que le mot et l'idée lui donne envie de vomir). Kari arriva, néanmoins, à trouver une alternative à l'ultimatum de son judoka favori. Il posa une de ses mains sur sa nuque, après avoir poser la canette de soda. La fraicheur de cette dernière se sentait sur la main de Kari. Ce dernier lança alors : « Ferme-là et embrasse-moi, tu ferais mieux. » Mais, ce fut Kari qui s’exécuta et embrassa Sloan.
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    Le sportif l'avait peut-être fait exprès de créer cette situation ? Très excitante à son goût à présent il devait bien le dire. Qu'est ce qu'il aimait déranger les habitudes (presque maniaque) de son ami et amant. Ne pouvant s'empêcher de continuer et de presque sourire face à son: « Attention, fais ... » alors que dans cette étreinte forcée, il avait poussé sans le faire exprès (il est bien vrai) de renverser le soda que le brun si cher à son cœur tenait dans dans sa main. Car il le connaissait, il savait que son caractère à vouloir que chaque chose soit à sa place, le pousserait à se sentir coupable de cette situation, même à le pousser à tout faire pour arranger cette bourde pour laquelle il n'avait rien fait. Cependant, le judoka ne l'entendait pas de cette oreille. Il profita de sa position dominante pour empêcher le jeune Owens de prendre la fuite. L’encastra plus profondément dans les draps salis qui empestaient à présent le soda. Son corps complétement contracté par le plaisir et l'envie.

    Sloan ne quitta en rien le regard du beau étudiant sous lui. Il le regarda avec cet appétit que son ami connaissait bien, et que bizarrement il n'avait que pour lui. L'appel de la chair il l'avait toujours eu, mais son regard était différent. Quand il était avec Kari, celui-ci avait toujours été plus lumineux, plus ardent, comme sa façon de s'insinuer entre ses hanches pour faire monter le désir. Car, le sportif voulait jouer avant de commencer. Il était prêt à oublier cette sortie, ce pseudo rendez-vous pour quelques mots, simplement quelques mots qu'avaient à prononcer le New-Yorkais. Mais, est ce que le jeune Walkers était sérieux ? C'était un sentiment partager, l'excitation grondant dans son pantalon aidait peut-être sa folie ? Mais, l'étudiant sous lui était pourtant le seul à le connaître si doux et prévenant. A partager même des moments intimes digne presque d'un couple. En réfléchissant, ils l'étaient sans l'être. Vu que pour Sloan il était hors de question de coucher deux fois avec la même personne, sauf avec Kari. Alors, il se prit au jeu et quand le brun sous son corps remonta sa main si fraiche sur sa nuque, il frissonna. Le laissant s'exprimer: « Ferme-là et embrasse-moi, tu ferais mieux. » et même l'embrasser.

    Mais, il rompit très vite le baiser en écartant la tête avec un immense sourire sadique. « Je n'ai rien entendu...alors jusqu'à nouvel ordre tu es privé de ma bouche et de ça... » Dans une sensualité au bord du viol émotionnel, il retira la main sur sa nuque et la fit glisser sur les corps entrelacés. Le sportif souleva ensuite son bassin et posa la main du beau brun sur son virilité plus qu’imposante. Il fit passer sa langue sur sa lèvre supérieure et coupa le contact si chaud malgré la main si fraiche. Sloan bloqua les mains de Kari au-dessus de sa tête et commença un mouvement de déhanché cruel et provocateur. Son regard voyant les draps s'imbiber de plus en plus au point que le new-yorkais devait reposer à présent sur une mer liquide aux odeurs sucrés. Toutefois, il n'arrêta rien. « Alors, toujours rien à me dire ? Vas-y dis le ! Je sais que tu en meurs d'envie... » Avec force, le judoka bloqua les mains de Kari Owens qui était sous lui, sur le lit où ils étaient réunis tous les deux. Mais, tout cela que d'une seule main, car comme toute personne humaine, il avait deux mains. Donc, avec son autre main, il la posa sur la gorge de Kari Owens. Il serra légèrement et fit remonter sa main sur le visage de Kari Owens et alla jusqu'à enfoncer son pouce entres les lèvres de Kari Owens.
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    Sloan est un joueur. Il est, également, un séducteur. Il aime que ses partenaires soient en son pouvoir. Il aime pouvoir les manipuler, comme si ils étaient ses objets. Il aime se sentir en position de contrôle, de domination. Et, la personne avec qui il aime le plus faire ça, n'est autre que Kari. Déjà, parce qu'il s'agit de l'homme avec lequel il a sans doute le plus couché, jusqu'à présent dans sa vie. Mais, aussi, parce que c'est tellement plaisant, ça lui fait tellement de bien de jouer de la sorte avec le jeune Owens, que Walkers ne peut s'empêcher de le faire. Encore et encore. Sans jamais s'en lasser. En même temps, comment pourrait-il s'en lasser ? C'est un spectacle qu'il aime tant faire et voir. De plus, les réactions de Kari sont, à chaque fois, si différente les unes des autres, qu'on ne sait jamais réellement à quoi s'en tenir avec lui. De plus, même si le beau brun ne l'avouera jamais totalement, il adore voir son jeune compagnon si désemparé, car ça le rend encore plus mignon qu'il ne l'est d'habitude. Alors, lorsque tous ses facteurs sont réunis, sans oublier bien sûr celui de la facilité (car, avouons-le, il est plutôt facile de rendre Kari se désespéré, surtout lorsqu'on s'appelle Sloan Walkers), pourquoi donc est-ce qu'on s'en priverait ? Limite, presque, Kari peut comprendre Sloan. S'il serait à sa place, il agirait très certainement de la sorte, tellement il aimerait ça. Bien évidemment, le jeune originaire de la ville de Salem prends soin de garder cette information pour lui-même.

    Après avoir renversé du soda sur son lit, sans pour autant s'en préoccuper, Sloan plaqua et bloqua Kari sur son lit. La masse de muscles qu'il était n'eut pas trop de mal à réussir ça. Mais, il faut savoir aussi, d'un autre côté, que lorsqu'il a sentit le corps de son ami particulier, Kari n'a plus du tout eut envie d'aller ailleurs et se sent très bien ici. Limite, presque, il adore lorsque Sloan joue avec lui. Sans doute un petit côté '' soumis '' qui ressort. Mais, bien sûr, il ne faut pas croire que Kari arrivera avouera ce genre de détails à voix haute. Donc, Sloan plaqua Kari sur son lit et n'hésita pas à lui prendre ses mains dans les siennes. En même temps, il arriva à placer ses jambes entre les cuisses de son amant. Le champion de judo eut alors l'occasion de sentir le début de l'excitation de son jeune ami. Excitation face à laquelle il peut jouer et, bien sûr, face à laquelle il peut profiter sans la moindre retenue. « Je n'ai rien entendu...alors jusqu'à nouvel ordre tu es privé de ma bouche et de ça... » annonça alors Sloan. En effet, au lieu de dire ses fameux mots, Kari avait préféré embrasser son amant. Mais, ce dernier ne l'entendait pas de cette oreille et voulait, vraiment, que le joueur de football US dit ses mots. Tant qu'il ne l'aura pas fait, sa punition sera d'être privé de la bouche de Sloan. Donc, pas de baisers ou autres. « Je prends le risque. » n'hésita pas à lancer comme défi Owens.

    Mais, reste à savoir s'il pourra surmonter cette épreuve. Car le new-yorkais n'hésita pas à se montrer particulièrement vicieux, allant torturer (c'est un mot un peu exagéré, mais qui peut convenir dans la situation. Du moins, c'est le mot qu'emploie Kari, le mot auquel il pense) le danseur. Pour montrer ce qu'il va rater, Sloan n'hésita pas à prendre la main de son Kari, afin de venir la mettre contre son entre-jambe, par dessus son jeans. Là, Kari put très bien sentir l'excitation de son amant. Une excitation qui eut pour effet de rendre celle de Owens plus importante encore. Il bougea un peu son corps, tandis que Sloan retira la main, en guise de punitions. Tant que Kari ne dira rien, il n'aura rien. Mais, bien sûr, c'est mal connaitre notre enfant de stars. Comme si il allait s'arrêter là ? D'une main, il tient les bras de Kari afin de les bloquer. Et, de l'autre, il lui caressa les lèvres, avant de venir mettre son pouce entre ses lèvres. C'était de plus en plus dur pour notre étudiant en langues vivantes de résister. S'il s'écoutait, il n'hésiterait pas à supplier Sloan de rester et de lui faire l'amour toute la nuit. Kari bougea un peu son corps, afin de tenter de façon inutile de calmer son excitation. En vain, bien sûr ... « Alors, toujours rien à me dire ? Vas-y dis le ! Je sais que tu en meurs d'envie... » Kari pencha la tête sur le côté. C'était une sensation horrible, celle que de devoir montrer ses sentiments, ses envies. Il avait l'impression de se mettre à nu d'une façon qu'il déteste. Mais, il avait trop envie, il avait trop besoin que Sloan soit en lui, s'occupe de lui, lui fasse l'amour, le baise ... Sur un ton à peine audible, sans regarder Sloan, la tête sur le côté, il murmura alors : « J'ai envie que tu restes avec moi ... »
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    Sloan Walkers n'était pas romantique et il ne le serait jamais. Pour lui, peut-être à cause de son jeune âge et surtout de son ancienne apparence d'ancienne jeune en sur-poids, la rencontre de deux corps en position horizontal ne sert qu'à deux choses, se vider de quelques suspenses organiques (pour ne pas être trop vulgaire) et prendre son pieds. Depuis, qu'il était à Harvard, le judoka n'avait eu de rendez-vous qui ne terminait pas par une partie de jambe en l'air. Pour lui, il était inutile d'aller au cinéma, de se rendre dans un restaurant pour tout simplement espérer mettre quelqu'un dans son lit. Pourquoi tomber amoureux ? C'était stupide pour le jeune Walkers. Coucher avec la même personne tout le temps ? Lui être fidèle ? Lui rendre des compte ? C'était hors de question et pourtant avec l'étudiant venant de Salem il brisait toutes ses règles. Car, même si le sexe était toujours orgasmique ensemble, il avait tous ses gestes affectueux qu'ils s'offraient l'un à l'autre. Et, même si le grand athlète musclé préférait mourir que de l'avouer, la présence du jeune homme sous lui, lui était devenu indispensable. Et, dans certains de ses délires liés à ses problèmes à gérer la colère, parfois il aurait faire que le jeune Owens ne soit qu'à lui, son unique propriété, que personne d'autre pose ses mains sur sa peau ou ailleurs.

    Mais l'étudiant en sport n'était pas à ce point égoïste car il savait que sa demande pourrait éloigner Kari à tout jamais. Car, malgré ses envies et ses pulsions, le grand brun au torse de titan ne se voyait pas s'arrêter de coucher avec d'autres hommes. Il ne se voyait pas fidèle, mais pour les yeux de l'étudiant qui reposait sur son lit. Et, tout cela finalement le ramenait à cette façon qu'il avait de jouer avec son ami. Là, sur ces draps où il l'avait recouvert avec son corps, imposant sa force pour retenir ses mains. Se frottant contre l'entre-jambe voisine avec vice et délectation. Qu'est ce qu'il aimait ses moments. Ne comprenant pas pourquoi il voulait absolument entendre de la bouche du jeune new-yorkais qu'il lui demande de rester avec lui ce soir au lieu de sortir. Peut-être car il voulait l'entendre ? Prêt à tout pour faire craquer celui qui semblait aimer cette force qu'il imposait. Mais, Kari l'entendait d'une autre oreille et essaya de l'embrasser, mais le sportif préféra corser le jeun et l'étreinte. Lui, affirmant que jusqu'à nouvelle ordre, il sera punit. Sloan approcha ses lèvres de celles de Kari et lui laissa lui déverser à l'intérieur de la bouche ses quelques mots:« Je prends le risque. » Le judoka aimait les défis et il le prit comme telle.

    Il décida alors de glisser sa main pour caresser l'entrejambe frémissante de celui avec lequel il aimait tant couché. Le voir à sa merci ainsi, l'excita, ses biceps sous son tee-shirt se gonflèrent, son souffle se fit plus haletant. Est-ce que cela marchait ? Sloan sentit Kari frétiller sous son corps, aimant cette friction de leurs deux corps qui ne demandaient que celui de l'autre. Sloan le regarda avec cet œil dé démon, prêt à lui sauter dessus et lui faire l'amour jusqu'au petit jour pour que quelques mots qu'il avait simplement à prononcer. Le sportif vit son amant détourner la tête. Cela semblait dur pour lui de les prononcer. Et, c'est la tête sur le côté que le jeune Walkers put entendre ses maigres paroles: « J'ai envie que tu restes avec moi ... » Un sourire de victoire s'installa sur le visage de notre vainqueur. Mais au lieu de se moquer de lui et de le railler, comme il aurait aimé faire. Il se rendit compte que lui aussi avait envie de dire quelque chose à Kari. Il prit son visage dans ses mains et le tourna lentement, ses lèvres hésitantes contre celles de son ami si particulier. Lui aussi souffrant de ce qu'il allait dire et dans un fin murmure il finit pas dire:« Et, moi je préfère rester avec toi... » Puis, il l'embrassa passionnément, ses mains s'attaquant à son jean pour lui enlever. Le judoka releva Kari pour lui retirer son tee-shirt avec fougue et lâcha entre deux baisers intenses:« Arrêtons de causer maintenant cela va me donner la migraine et baisons ! Putain de bordel ! » Il retira à son tour son tee-shirt et poussa la perte de vêtements jusqu'à que les deux jeunes hommes se retrouvent chacun en sous-vêtements.

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    C'était dur pour Kari. C'était même horriblement dur pour lui. Il n'arrivait pas à dire les mots que Sloan lui avait demandé de dire. Il n'arrivait pas à dire qu'il voulait qu'il reste avec lui. Il n'arrivait pas à dire qu'il voulait que Sloan ne se rend pas à cette soirée et qu'il reste ici. Il n'arrivait pas à dire qu'il avait envie qu'il reste dans sa chambre, en sa compagnie. Les mots étaient bloqués dans ses cordes vocales. Son cerveau les analysaient, les comprenaient et, presque, donner l'ordre qu'ils soient prononcés. Mais, c'est comme si son cœur faisait un barrage. Comme s'il ne voulait que Kari dit quoique ce soit. C'était, pour ainsi dire, interdit. Kari ne pouvait pas. C'était impossible pour lui. Il ne pouvait pas le dire. Mais, est-ce qu'il voulait le dire, surtout ? Est-ce qu'il voulait prononcer ses mots ? Il serait tentant de répondre '' oui '' et '' non '', en même temps. Mais, ce n'est pas assez. D'un côté, Kari avait envie de prononcer ses mots car, ils étaient vrais. Ils n'avaient pas envie que Sloan part, il voulait qu'il reste avec lui. Mais, d'un autre côté, c'était trop dur. C'était même impossible pour lui de les dire. Pour la bonne et simple raison qu'ils ne correspondent pas au caractère de Kari. Ce n'était pas dans ces convictions de dire des choses aussi intimes. Montrer et parler de ses sentiments sont bien des choses face auxquelles le jeune Owens a beaucoup de mal. Des choses qu'il n'arrive, tout simplement, pas à faire.

    D'ailleurs, dans de très nombreuses autres circonstances, il ne les aurait pas dit. Mais, surtout, il ne se serait pas retrouvé dans une situation où il devrait les dire. C'est seulement avec Sloan qu'il pouvait s'exprimer ainsi. Seulement avec lui qu'il pouvait se montrer aussi vulnérable. Seul Sloan lui faisait ce genre d'effets. Seul Sloan donnait envie à Kari de briser ses entraves et de revenir sur ses prérogatives. Seul Sloan pouvait faire de Kari quasiment tout ce qu'il voulait. Mais, le pire dans tout ça, c'est que Kari avait dit à Sloan des choses bien pires que ça. Les deux hommes s'étaient retrouvés dans des situations, en particulier en rapport avec le sexe, où les termes employés sont des termes que l'on emploie pas forcément avec tout le monde. Kari ignore ce qu'il en retourne pour Sloan. Mais, pour lui, il ne va pas aussi loin, pendant l'acte, avec d'autres personnes que Walkers. Et on peut dire qu'ils vont assez loin, en se lançant des mots vulgaires et en ayant une attitude tout ce qu'il y a dès plus perverse, sauvage et, même, sexuelle. Et, à l'opposé, Owens n'arrive pas à dire qu'il a envie que Sloan reste avec lui ... Il se mit à tourner la tête, à bouger son corps, se montrer hésitant, pour finalement les dire. Mais, il les dit sans regarder Sloan. Sans les prononcer à haute voix. Le judoka devra se contenter de ses mots à voix basse. De toutes façons, il ne va pas en demander plus. Car lui-même allait faire un aveu tout autant intime, tout autant personnel.

    Sloan lâcha les bras de Kari, qu'il tenait bloqué au dessus de la tête du jeune homme. Ce dernier put alors les bouger et n'hésita pas à le faire, afin de se dégourdir plus facilement. Mais, il n'eut pas trop le temps de s'en occuper bien longtemps. Sloan prit son visage entre ses deux mains et le regarda dans les yeux. Hésitant, en silence, ils se regardèrent dans les yeux pendant plusieurs secondes, qui parurent être de très longues minutes. Puis, Sloan avoua : « Et, moi je préfère rester avec toi... » Mais, pour ne pas donner l'occasion à Kari de dire quoique ce soit, Sloan vient embrasser son amant sur la bouche, lui donnant un baiser passionné, faisant ainsi débuter la soirée entre eux deux. Un baiser pour ouvrir des hostilités qui vont s'annoncer bien plus chaudes, dans les minutes qui vont suivre. « Arrêtons de causer maintenant cela va me donner la migraine et baisons ! Putain de bordel ! » Kari approuva d'un signe de tête, et ne put s'empêcher de penser que Sloan n'avait pas envie de trop s'éterniser dans le côté '' sentimental '' qui vient de se produire. En même temps, il ne va pas lui jeter la pierre : il en aurait fait autant de son côté. C'est alors que les deux hommes commencèrent à se déshabiller. Sloan commença par le jeans de Kari, qui se retrouva avec son boxer dévoilé. Sloan fit, ensuite, redressé son sportif favori et le fit s’asseoir à califourchon sur lui. Là, ce fut au tour du tee-shirt de Kari de s'enlever et de se retrouver sur le sol.

    Kari était, à présent, en boxer. Mais, ça n'allait pas durer bien longtemps. Le jeune homme poussa doucement Sloan (rien à voir avec la façon dont le new-yorkais avait agit jusqu'à présent) et vient se mettre au dessus de lui. Il lui défit les pressions de son jeans, et lui enleva en quelques mouvements. Pendant ce temps, Sloan enleva son tee-shirt et se retrouva également en boxer. Les deux sous-vêtements des deux hommes étaient gonflés par l'excitation. Kari donna un baiser à son homme et lui proposa : « Un 69, ça te dit, pour commencer ? » Puis, sans laisser le temps à Sloan de répondre, le jeune danseur vient se placer dans cette position au nom numérique sans attendre plus longtemps. Et, bizarrement, il ne se souciait plus du soda qu'il avait renversé quelques secondes plus tôt, par la faute de Sloan, et qui avait été absorbés par les draps. Néanmoins, si Kari doit dormir avec Sloan ce soir, il se souviendra très vite de ce petit accident et demandera de changer les draps ...
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    Sloan avait toujours aimé ce moment très particulier ou l'envie pointe le bout de son nez, non l'acte en lui même, s'il pouvait apporter beaucoup de plaisir, ce n'était pas son préféré, c'était plutôt cette sensation de plaisir qui montait dans le corps de chacun, ces corps qui faisaient sentir à l'autre son désir de plus en plus dominant, leurs peaux lâchant ses phéromones, leurs chairs craquelant et s'attisant pour le toucher de l'autre. C'est ce moment qui rendait complétement fou notre judoka. Car c'est fou comme il pouvait désirer l'enfant de Salem. Lui, qui ne couchait qu'une et une seule fois avec ses rencontres d'un soir, non pas peur de tomber amoureux (cela serait la bonne blague pour lui) mais plutôt car il s'était toujours lassé très vite. Pour le sportif, coucher avec une personne une fois lui suffisait, c'était comme une voiture, une fois qu'on avait posé son empreinte et jouer avec le levier du vitesse, autant passer à une autre. Pourtant, il n'était pas cruel, deux règles pour le jeune Walkers, il ne mentait jamais et était toujours franc sur ses recherches, des aventures sans lendemain et des coups rapides. Mais, surtout il ne dissimulait jamais ses attentions.

    L'excitation embaumait à présent la chambre de l'étudiant en sport, leurs peaux maintenant à l'air libre, s'étant à tour de rôle déshabiller, petit rituel qu'aimait beaucoup notre grand gaillard aux muscles saillants. Qu'est ce qu'il aimait le corps de Kari, le voir ainsi torse-nu le vit rugir comme un lion prêt à aborder son repas. Ses lèvres comme des babines, ses biceps gonflés et son entre-jambe clairement content de ses visions qu'il n'arrêtait plus de caresser. Comme il voulait lui faire l'amour ! A celui où rien ne dépérissait, ni son envie, ni son désir. Aimant chaque moment, des plus intenses et pervers, aux plus doux auprès l'acte, cette faction de se recroqueviller l'un contre l'autre dans la position de la cuillère pour le serrer contre lui. Et, cela même si son égo de mâle pouvait être égratigné et que si le jeune Owens le repoussait un jour, il pourrait le prendre très très mal, car il était le premier avec lequel il se permettait ce genre de geste. Il supposait alors que Kari les aimait et les apprécier comme lui, même s'ils n'en avaient jamais parlés et qu'ils n'en parleront surement jamais.

    Sloan subissant ce baiser, ne put que sourire en lui entendant lui proposer: « Un 69, ça te dit, pour commencer ? » Mais avant même qu'il puisse protester (ce qu'il n'aurait jamais fait) Il fit l'étudiant se placer dans la position idéale sur son lit pour pratiquer cette technique ancestrale et très agréable. Il râla de plaisir et se positionna à son tour, bien décidé à donner beaucoup de plaisir à son ami si particulier. « Avec plaisir, le premier qui fait monter l'autre en premier a perdu comme d'habitude ? », lança t-il d'un clin d’œil malicieux et pervers. Scène tout à fait ordinaire me direz-vous ? Sauf, que Sloan tout jeune homme chaud et bouillant, il ne pratiquait aucune activité buccale avec ses aventures d'un soir. Il trouvait que cela diminuait son égo de mâle, comme si c'était avilissant à ses yeux, le rendant ainsi plus " soumis". Toutefois, avec le jeune Owens, cela ne lui avait jamais posé de problème. Il commença donc ce 69, pratiquant avec application à jouer avec tout l'instrument de son amant. Dans des mouvements lents et méticuleux, jouant de sa langue et de sa bouche. Ses mains fidèles au poste pour intensifier le plaisir, se concentrant sur les bijoux de la couronne, malaxant et serrant. Sa bouche à présent entièrement coller au bassin si doux et harmonieux de Kari. Bougeant dans ce moment de va et vient pour donner toujours plus de plaisir, car il avait bien l'intention de le faire monter en premier.
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