Invité
est en ligne
Invité
Kari avait attendu, avant de manger sa pizza. Certes, il avait faim. Mais, aussi bien le carton que la pizza en elle-même était très chaude. Il vaut donc mieux attendre, au lieu de se brûler le palet et d'avoir une désagréable sensation pâteuse dans la bouche. Sauf que ce ne fut pas le cas de Sloan. Ce dernier avait faim mais, au lieu de suivre l'exemple de son meilleur ami, il se précipita sur sa pizza. Le résultat fut s'en attendre : il se brûla presque les lèvres et eut du mal à avaler l'important morceau qu'il avait mis en bouche. Sans oublier, bien sûr, que le chaud de la pizza l'a empêcher de profiter de son goût, et c'est tout juste si le new-yorkais a sentit quelque chose. Ne serait-ce que la sauce tomate de la pizza. Pendant ce temps, Kari se contenta de regarder la situation de Sloan. Il avait ouvert sa canette de soda et en but quelques gorgées. Il resta silencieux, comme si de rien était. Mais, ce n'est pas pour autant qu'entièrement, il ne s'amusa pas de cette situation. Sans oublier, bien sûr, qu'une petite voix dans sa tête ne cessait de dire, encore et encore, '' bien fait ! ''. Owens commence à avoir sa vengeance, sur ce qui s'est passé toute à l'heure, dans sa chambre, avec le beau Justin. L'esprit de Kari fut distrait pendant quelques secondes, se demandant s'il avait bien eut affaire à un prénommé Justin.
Mais, l'étudiant en langues vivantes fut sortit de ses pensées par Sloan. En effet, ce dernier avait jugé préférable de laisser la pizza refroidir dans son carton. Il la referma et referma aussi celle de Kari. Puis, il posa les deux cartons sur le sol, juste à côté du lit. Owens n'avait pas vu ça, car il était plongé de ses pensées à ce moment-là. Ce n'est que lorsque Sloan lui sauta dessus, au sens propre comme au sens figuré, qu'il réalisa ce qui était en train de lui arriver. Le beau brun fit s'allonger son cadet sur le dos, et vient se mettre au dessus de lui. « Tu n'as qu'à dire que tu veux que je reste !? Tu sais tout ce que je suis prêt à faire pour toi ? » De part sa taille et sa musculature, ainsi qu'avec l'aide de l'effet de surprise, Sloan n'eut pas la moindre difficulté pour prendre l'avantage sur son compagnon. D'autant plus que ce dernier, sous le coup de la surprise, eut sa main tremblante et renversa une partie de sa boisson. Du soda se déversa, alors, sur la couverture de Sloan. Ce dernier ne s'en soucia pas plus que ça, ce qui n'était pas étonnant. Mais, Kari, lui, y fit attention et n'hésita pas à lancer : « Attention, fais ... » Mais, cet avertissement se révéla parfaitement inutile. C'est tout juste si Sloan remarqua ce qui s'était passé. Kari ne put, néanmoins, se sentir coupable et gêner de ce qu'il avait fait. Il se sentit responsable et voulait faire quelque chose. Son premier réflexe était de défaire le lit et de faire une machine, avec les draps tachés. Mais, Sloan de son côté, ne l'entendit pas de cette oreille. « Mais, je veux te l'entendre le dire ? Dis...Sloan je veux que tu restes avec moi... »
Kari regarda, alors, Sloan dans les yeux. Le regard de son homme était brûlant comme de la braise. Il avait envie de lui, apparemment, c'était évident. C'est comme si Sloan était prêt à sacrifier une bonne soirée pour rester avec Kari. Ce dernier préfère chasser cette idée de son esprit. A la place, il se dit que Sloan avait envie de s'entrainer et de se vider, avant d'aller à cette soirée. Oui, ça devait être ça. Alors, dans ce cas, pourquoi l'érection naissante, mais puissante, du beau Walkers incita Kari à se laisser totalement faire. Tellement faire qu'il aurait été prêt à dire cette phrase, comme quoi il voulait que Sloan reste avec lui. Mais, c'était mal connaitre Owens. Comme si ce dernier était capable de montrer en public, de face direct, en face à face, sa possibilité d'éprouver des émotions humaines et son attachement envers une autre personne que lui. Mais, il s'agit de Sloan, le seul parmi les étudiants de l'université à faire de Kari non seulement une salope au lit (n'ayons pas peur des mots). Mais, aussi, le seul avec qui il se sent d'avoir une relation (bien que le mot et l'idée lui donne envie de vomir). Kari arriva, néanmoins, à trouver une alternative à l'ultimatum de son judoka favori. Il posa une de ses mains sur sa nuque, après avoir poser la canette de soda. La fraicheur de cette dernière se sentait sur la main de Kari. Ce dernier lança alors : « Ferme-là et embrasse-moi, tu ferais mieux. » Mais, ce fut Kari qui s’exécuta et embrassa Sloan.
Mais, l'étudiant en langues vivantes fut sortit de ses pensées par Sloan. En effet, ce dernier avait jugé préférable de laisser la pizza refroidir dans son carton. Il la referma et referma aussi celle de Kari. Puis, il posa les deux cartons sur le sol, juste à côté du lit. Owens n'avait pas vu ça, car il était plongé de ses pensées à ce moment-là. Ce n'est que lorsque Sloan lui sauta dessus, au sens propre comme au sens figuré, qu'il réalisa ce qui était en train de lui arriver. Le beau brun fit s'allonger son cadet sur le dos, et vient se mettre au dessus de lui. « Tu n'as qu'à dire que tu veux que je reste !? Tu sais tout ce que je suis prêt à faire pour toi ? » De part sa taille et sa musculature, ainsi qu'avec l'aide de l'effet de surprise, Sloan n'eut pas la moindre difficulté pour prendre l'avantage sur son compagnon. D'autant plus que ce dernier, sous le coup de la surprise, eut sa main tremblante et renversa une partie de sa boisson. Du soda se déversa, alors, sur la couverture de Sloan. Ce dernier ne s'en soucia pas plus que ça, ce qui n'était pas étonnant. Mais, Kari, lui, y fit attention et n'hésita pas à lancer : « Attention, fais ... » Mais, cet avertissement se révéla parfaitement inutile. C'est tout juste si Sloan remarqua ce qui s'était passé. Kari ne put, néanmoins, se sentir coupable et gêner de ce qu'il avait fait. Il se sentit responsable et voulait faire quelque chose. Son premier réflexe était de défaire le lit et de faire une machine, avec les draps tachés. Mais, Sloan de son côté, ne l'entendit pas de cette oreille. « Mais, je veux te l'entendre le dire ? Dis...Sloan je veux que tu restes avec moi... »
Kari regarda, alors, Sloan dans les yeux. Le regard de son homme était brûlant comme de la braise. Il avait envie de lui, apparemment, c'était évident. C'est comme si Sloan était prêt à sacrifier une bonne soirée pour rester avec Kari. Ce dernier préfère chasser cette idée de son esprit. A la place, il se dit que Sloan avait envie de s'entrainer et de se vider, avant d'aller à cette soirée. Oui, ça devait être ça. Alors, dans ce cas, pourquoi l'érection naissante, mais puissante, du beau Walkers incita Kari à se laisser totalement faire. Tellement faire qu'il aurait été prêt à dire cette phrase, comme quoi il voulait que Sloan reste avec lui. Mais, c'était mal connaitre Owens. Comme si ce dernier était capable de montrer en public, de face direct, en face à face, sa possibilité d'éprouver des émotions humaines et son attachement envers une autre personne que lui. Mais, il s'agit de Sloan, le seul parmi les étudiants de l'université à faire de Kari non seulement une salope au lit (n'ayons pas peur des mots). Mais, aussi, le seul avec qui il se sent d'avoir une relation (bien que le mot et l'idée lui donne envie de vomir). Kari arriva, néanmoins, à trouver une alternative à l'ultimatum de son judoka favori. Il posa une de ses mains sur sa nuque, après avoir poser la canette de soda. La fraicheur de cette dernière se sentait sur la main de Kari. Ce dernier lança alors : « Ferme-là et embrasse-moi, tu ferais mieux. » Mais, ce fut Kari qui s’exécuta et embrassa Sloan.
(Invité)