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« radioactive. »

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    Les rencontres peuvent venir pendant des moments où on ne s'y attend pas forcément. Elles peuvent venir à des moments où nous n'avons pas prévus d'en faire. Pendant des moments où nous sommes concentrés sur autres chose. Limite, même, c'est tout juste si nous n'avons pas envie d'en faire et que nous préférons rester seul, tranquille, dans notre coin. Mais, si certaines rencontres doivent avoir lieu, c'est qu'il y a peut-être une raison. Une raison qui ne nous parait pas forcément évidente. Mais, il ne vaut mieux pas se poser des questions et, juste, se laisser alla, tout simplement. Et, surtout, profiter. C'est ce que se dit Kari Liam Owens. Jeune étudiant d'une vingtaine d'années, à l'université de Harvard, Kari est également membre de l'équipe de Football US de la fac. Aujourd'hui a lieu un match : Harvard reçoit l'université de Princeton. Pendant quatre-vingt minutes, les deux équipes finirent par s'affronter. Ce fut serré, il ne faut pas se mentir, et on ne pouvait pas deviner à l'avance qui allait gagner et qui allait perdre. Seul le coup de sifflet permit de le savoir. Et ce fut ... Harvard qui gagna, avec une courte tête de cinq points. Mais, l'équipe adversaire n'avait pas de honte à avoir car elle avait très bien jouer. Kari était content d'avoir gagné. Cette victoire permet à son équipe d'être sous les meilleures hospices, vers la victoire au championnat universitaire. Mais, pour le moment, ce que voulait le jeune homme, c'était de prendre une bonne douche brûlante et de rentrer. Ce qu'il fit donc. Après être rester une bonne vingtaine de minutes sous les douches (où, exploit, il ne s'est pas trop intéressé aux corps nus et mouillés de ses coéquipiers), Kari s'habilla avec un tee-shirt moulant et un tee-shirt dans le même genre. Il prit ses affaires, son sac et alla rentrer, jusqu'à ce que quelqu'un finit par l'aborder ...

    C'était un beau brun, d'environ le même âge que Kari, un tout petit plus petit que lui par contre, qui avait pour prénom Justin. C'est l'un es joueurs de l'équipe de Princeton, Owens ne le reconnut pas de suite en l'absence de son casque et de son équipement. Ce dernier félicita Kari pour la victoire de son équipe, et le complimenta sur son jeu. Ils se mirent à discuter pendant environ cinq minutes du sport, du championnat et du reste. Justin ne devait partir que demain, Kari lui proposa d'aller boire un café, sur le campus ou bien à Cambridge. Mais, en réalité, ils ne quittèrent pas l'établissement. Pour tout avouer même, ils se rendirent directement à la maison de confrérie des Winthrop, là où vit le harvadien. Ce dernier prétendit qu'il devait déposer ses affaires, afin d'être plus à l'aise. Mais, une fois arrivé dans sa chambre, Justin se précipita sur ses lèvres, tout en défaisant son jeans. Quelques secondes plus tard, celui qui était encore l'adverse de Kari était en train de lui faire une fellation. Quand au joueur gagnant, il était allongé sur son lit, dirigeant son amant, ses mains dans les cheveux, sans se douter bien sûr de ce qui allait se passer par la suite ...
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    Il avait des mauvaises journées comme cela, même pour Sloan Walkers, le fils du plus célèbre acteur de film américain de ce siècle. Des jours où le sportif ne voulait plus qu'une chose s'éclater la tête contre la porte de ses vestiaires. Rien n'arrivait à le faire sourire dans ces moments, ni l'écrasante victoire de son match de basket de 90 pour Harvard et 10 pour Prinston, ni les bizutages, ni ses souffre-douleurs qu'il aimait faire terroriser jusqu'à qu'ils en chialent toutes les larmes de leurs corps, ni les fellations sous les bureaux de certaines petites soumises qu'il avait domestiqué alors que les professeurs étaient en pleins cours. Sloan avait toujours cette colère qui agrippait sa gorge et le serrait jusqu'à presque lui couper le souffle. Il avait rien d'anormal à cet état, cela avait été diagnostiqué chez lui depuis l'adolescence comme une maladie, une vraie souffrance. Il est vrai qu'il était loin le temps où il se roulait parterre chez lui à quatorze-ans et qu'il saccageait tout sur son passage dans leur appartements New-yorkais. Mais aujourd'hui sa maladie était plus vicieuse. Car sa violence ou ses états d'humeurs étaient respectés comme un gage de sa virilité. On connaissait et on aimait Walkers pour ses piques de colère et sa façon de défoncer la gueule du premier mec dans une soirée dés qu'il avait trop bu.

    Mais, lui, il ne s'aimait pas et il savait ce qu'il restait à faire, prendre ses médicaments et appeler son thérapeute. C'était à ce jour les seules moyens de se calmer, mais la journée devait suivre son cours. Il rentra donc, cette colère lacérant ses viscères, à la confrérie des Winthrop après son dernier cour, sans oublier de faire un petit passage dans les fesses serrées d'un jeune bizzu, Owan à l'autre bout de la grande maison qu'ils partageaient tous ensemble. Une manière comme une autre de décharger son trop plein d’agressivité et de faire hurler le jeune soumis comme il aimait si souvent le faire. Une satisfaction qui fut de courte durée. Plus aucun médicament dans sa trousse à pharmacie quand il retrouva sa chambre. Sauf, qu'en réfléchissant, il avait laissé une autre trousse de secours dans celle de son ami Kari Owens. Et, pourquoi, l'explication était simple, il dormait souvent dans sa chambre et Sloan en avait aucune honte. Il baisait avec l'étudiant en langues et il était le seul à ce jour à connaitre ses côtés les plus tendres.

    Il se rendit donc la chambre de son ami, jamais vraiment pudique entres frères de confrèrie et surtout Kari, juste en boxer noir et son torse nu saillant encore couvert de sueur et des traces de jouissance du jeune Owan. « Hey, Kari, tu aurais ... » Mais, pénétrant dans sa chambre, le grand brun s'arrêta lui-même dans son élan. Sans vraiment comprendre ce qui lui arriva. Le visage de Sloan se gonfla et explosa sans se retenir. Il s'approcha du lit où reposait Kari entrain de profiter d'une fellation. Il tira d'un coup sec par les cheveux le petit brun à la tête de passif et le jeta à l'autre bout de la pièce avec une violence telle que le soumis fit trois roulés boulés avant de rencontrer le mur. Sloan regarda Kari avec colère, même s'il en avait aucun droit et commença à le menacer de son doigt. « Putain ! Depuis quand tu ramènes des mecs de l'extérieur toi ? Tu veux que je te rappelle les règles de la confrérie ? Et, me CHERCHE pas aujourd'hui, Kari, c'est pas le jour !! »

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    La situation dans laquelle Kari finit par se retrouver était très excitante. Il avait fait la rencontre d'un beau brun, membre de l'équipe de football US de Princeton (qu'il venait de battre, au passage), répondant au prénom de Justin. Après avoir discuter de sports, Kari proposa au beau brun d'aller boire un café. Mais, avant, il devait se rendre dans sa maison de confrérie, afin d'y ranger ses affaires. Justin l'accompagna et une fois arrivé dans la chambre, leurs plans changèrent. En effet, l'étudiant de Princeton vient embrasser l'étudiant de Harvard sur la bouche. Il lui défit, ensuite, sa ceinture et les pressions de son jeans. Après avoir poussé Owens sur son lit, il commença alors une fellation. Le Winthrop en fut rapidement réceptif et profita de ce moment. Allongé sur son lit, écartant ses jambes afin de faire de la place à son amant, il posa ses deux mains dans les cheveux du beau brun. Ainsi, il dirigeait la fellation, imposant en douceur un rythme d'allers et retours. Kari se mit à respirer de plus en plus fort, poussant quelques petits soupirs de plaisirs en même temps. Mais, ce moment fut de courte durée. La porte de sa chambre, qu'il n'avait pas pris soin de verrouiller, s'ouvrit sans prévenir. C'est alors que Sloan fit son apparition. « Hey, Kari, tu aurais ... » Mais, au lieu de refermer la porte derrière lui en s'excusant, comme l'aurait fait n'importe quelle personne normale. Ou bien encore, au lieu de leur proposer de venir les rejoindre, Sloan ne le fit pas. A l'inverse il s'énerva de façon assez violente.

    Kari ne l'avait pas vu venir. Comme un éclair, Sloan prit Justin par les cheveux et le lança au bout de la chambre du jeune Owens, comme s'il s'agissait d'un simple livre ou d'un quelconque objet léger. Surpris, Kari ne dit rien, tandis que Justin fit trois roulades, pour se retrouver contre un mur. Sloan posa ensuite son regard furieux sur l'étudiant en langues vivantes. Il lui lança alors, le menaçant avec son index, dans sa direction. « Putain ! Depuis quand tu ramènes des mecs de l'extérieur toi ? Tu veux que je te rappelle les règles de la confrérie ? Et, me CHERCHE pas aujourd'hui, Kari, c'est pas le jour !! » A chaque mot prononcé, l'intonation de Sloan devenait de plus en plus forte. Kari le regarda, en silence, sans rien dire, ni faire. Il n'y avait pas de sourires qui se mit à apparaitre sur son visage. Il n'y avait même pas la moindre, quelconque, expression que ça soit de colère ou de surprise. La peur, aussi, était absent sur le visage du jeune Owens. A la place, il se mit à regarder calmement Justin et lui annonça : « Je suis désolé, je pense que tu devrais y aller. » Ce que le beau brun s'empressa de faire, en courant presque. Sans un regard vers Sloan, Kari se leva et alla fermer la porte. Puis, il regarda le grand brun. Ce dernier portait juste un boxer noir. En temps normal, Kari aurait déjà commencer à s'exciter tout seul. Il avait, lui-même encore, son jeans défait ainsi que sa ceinture. Mais, il avait pris soin de '' ranger '' son sexe, dont l'érection commença à diminuer.

    Respirant un grand coup, Kari ne savait pas la réaction à avoir. Est-ce qu'il devait s'énerver contre Sloan, provoquant ainsi une dispute ? Est-ce qu'il devait se taire, quitte à passer pour un quelconque faible ? Le jeune originaire de Salem se doutait que, de toutes façons, quoiqu'il puisse dire et faire, Sloan explosera de colère. Néanmoins, Liam se surprit lui-même de ne pas avoir peur. Il avait depuis longtemps dépassé ce stade, car il ne connaissait que trop bien son meilleur ami. Mais, c'est vrai que de voir une masse de muscle aussi grande énerver, ça n'a pas de quoi rassurer. Croisant les bras, Kari soutient le regard de Sloan, et il attendit en silence quelques secondes. Il espérait, naïvement, que Walkers se calmerait. Mais, il se trompait lourdement, ne sachant pas avec exactitude le, ou les, problèmes se passant dans l'esprit du jeune homme. Kari finit par demander, tout en se doutant parfaitement qu'il allait subir une crise de colère de Sloan : « Qu'est-ce que tu veux ? » Il ne fit pas de remarques, à propos de l'interruption survenue plus tôt, privant ainsi le stripteaseur d'une bonne partie de sexe. Il ne fit pas, non plus, de remarques à propos du fait qu'il avait fait rentrer une personne extérieure à la confrérie (comme s'il était le seul à l'avoir déjà fait ?). Il se contenta juste de demander à Sloan ce qu'il voulait, pourquoi il était là et qu'est-ce qu'il attendait de lui. Avec appréhension, il faut bien l'avouer, Kari attendit une réponse de son interlocuteur, en silence, impassible au possible.
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    Sloan n'avait aucun droit de se comporter de cette manière aussi déplacé et aussi violente. Il n'avait aucun droit d'entrer dans la chambre de son ami Kari de cette manière et de l'arrêter en pleine jubilation d'un acte entrain d'être consommé. Le grand musclé au visage aussi rouge sur le papier peint et aux torse agité ne se reconnaissait pas et il détestait cette image qu'il pouvait renvoyer à la seule personne qui connaissait ses bons côtés. Cela l’excéda encore plus et malgré son geste terriblement violent qui envoya bouler à l'autre bout de la chambre le petit minet, rien n'arrivait à calmer le champion de judo. Le jeune Walkers regarda tout simplement Kari s'adresser à son plan sexe légèrement sonné mais essayant de se relever. « Je suis désolé, je pense que tu devrais y aller. » Le colosse adressa un dernier grognement pour aider le minet dans sa fuite qui en courra et quitta la confrérie à une vitesse qu'il n'avait jamais vu auparavant. Son regard furieux retomba sur Kari ou plutôt son geste pour ranger son sexe. Ce qui l'excita aussitôt - la colère aidant beaucoup à irriguer chaque extrémité de son corps. Une barre transversale de plus de vint-cinq centimètres déforma son boxer noir qui arrivait à peine à contenir la bête. Dans d'autres circonstances, rien que dans cette situation, le joueur de basket se serait jeté sur son ami pour lui faire l'amour. Cependant, la colère agitait encore ses poings, qu'il n'arrêtait plus de serrer.

    Le sportif savait que son ami l'avait vu sous différents aspects de ces montées de colère: souvent en soirée ou après un verre trop arrosé. Toutefois, Sloan ne s'était jamais expliqué sur ce qui était chez lui une maladie reconnue médicalement. Il ne lui avait jamais dit qu'il prenait des médicaments ou qu'il était suivit. Le garçon préférait passer largement pour un bourru, un peu trop soupe au lait. Mais, alors que Liam soutenait son regard brûlant, malgré cette rage, Sloan ne pouvait que se sentir coupable. Même s'il avait toujours fait entendre sa voix (en gueulant plus fort que les autres), le champion de Judo n'était jamais intervenu dans les histoires de baises de son ami. Ils couchaient chacun à droite et à gauche et le fils d'acteur célèbre n'avait pas à son mot à dire. Quand Kari décida enfin à couper le silence avec sa demande: « Qu'est-ce que tu veux ? » Sloan reprit ses esprits et comme un ouragan, il pénétra dans la salle de bain de son ami pour récupérer sa trousse de toilette. « Rien ! Je viens juste récupérer ma trousse de toilette... » Au passage, il renversa la moitié des affaires de Kari et l'ours ne prit même pas la peine de les ramasser. Il fit marche arrière à une vitesse impressionnante et se retrouva sur le pas de la porte, alors qu'il n'avait même plus adressé un regard à Liam. Il fallait mieux pas pour son frère de confrérie. Car s'il explosait vraiment, cela pourrait faire mal. Walkers une main sur la porte, ne put s'empêcher de railler avant de claquer la porte: « Voilà ! Tu peux retourner à ce que tu faisais ! Vas y, Kari met ton cul à la fenêtre ! Je suis sûr que tout le campus sera ravi de remplir une salope comme toi ! »

    ZBAM ! Grand bruit chez les Wintrhop et Sloan resta un instant dans le couloir, la main sur la porte, regrettant déjà ses paroles. Mais, la colère arrivait à tout justifier dans son comportement et il retourna dans sa chambre pour se poser sur son lit, toujours cette trique d'enfer dans son boxer, qui le torturait au point de lui en faire mal au bide. Le musclé commença à fouiller dans sa trousse de toilette comme un junkie en manque de sa dose de drogue, les mains tremblantes et le front suintant.
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    Sloan avait débarqué dans la chambre de Kari de façon (presque) normale. Bien qu’il n’ait pas frappé à la porte (une chose que l’occupant de la chambre apprécie moyennement), il ne l’a pas ouverte de façon brutale, à la limite en la fracassant. C’est par la suite, que Sloan s’est emporté et énervé. En effet, lorsqu’il a vu la situation dans laquelle son ami s’était retrouvé, son sang n’a fait qu’un tour dans ses veines et il s’est aussitôt énervé. Déjà qu’avant de venir ici, il n’était pas des plus calme et serein, en voyant Kari le jeans ouvert avec un beau brun entre ses cuisses qui lui faisait une fellation, ça n’allait pas arranger les choses. Sloan s’énerva alors et n’hésita pas à balancer le séduisant Justin à travers la pièce, qui se retrouva contre un mur après un roulé-boulé assez impressionnant. Kari réagit également, en conseilla à son ancien adversaire de partir, tout en s’excusant. Puis, il remit son équipement dans son boxer, et referma son jeans. Kari ne déversa pas alors sa colère contre Sloan, car ça n’allait conduire à rien. De plus, le jeune homme n’avait pas envie de subir des éventuels foudres physique, de la part du new-yorkais. A la place, il lui demanda ce qu’il voulait. Mais, son ton était froid et son visage impassible, bien que ça n’allait pas affecter d’une quelconque façon Sloan. « Rien ! Je viens juste récupérer ma trousse de toilette... » lança-t-il alors, tout en se dirigeant dans la salle de bains. C’était là-bas que se trouvait cette trousse de toilettes. D’ailleurs, ce n’était pas les seules affaires que le géant avait dans cette pièce. Il avait des vêtements, des DVD, des livres de cours etc. Mais, dans la chambre de Sloan également, Kari y a laissé ce genre d’affaires. Evitons de dire que ça fait « couple ». Walkers n’hésita pas à mettre sur le sol, d’un revers de main les affaires de Kari. Ce dernier ne dit rien, bien qu’il en voulu encore plus à l’homme fou de colère. Il serra entre ses doigts sa couverture, sur son lit Après avoir trouvé ce qu’il cherchait, Sloan revient dans la chambre. Là, encore, il déversa son venin sur Liam : « Voilà ! Tu peux retourner à ce que tu faisais ! Vas-y, Kari met ton cul à la fenêtre ! Je suis sûr que tout le campus sera ravi de remplir une salope comme toi ! »

    Des propos très classes, mais digne de Sloan quand on y réfléchit bien. Kari le regarda, à nouveau le visage impassible, mais ne dit rien. Il se retient, néanmoins, de lancer comme réponses que Sloan profite bien du côté « salope » de Kari ou bien encore du fait « de le remplir ». Sloan finit par quitter la chambre, en claquant la porte cette fois. Kari leva les yeux au ciel et étouffa une insulte, entre ses dents. Il plaignit la porte, qui n’avait rien fait, et eut un petit sourire en se disant que c’est toujours le mobilier qui trinque, dans ce genre de situations. L’étudiant en langues vivantes se leva alors et se dirigea dans sa salle de bains. Sloan avait renversé le dentifrice, la brosse à dents, les rasoirs, la mousse à raser, des cotons tiges et le déodorant. Pendant cinq minutes, Kari ramassa tout, rinça ce qui devait être rincer, nettoyer avec ses doigts ce qui devait être nettoyer. Il chercha dans l’armoire de la salle de bains, et en sortit une trousse de toilettes. Pendant les minutes qui suivirent, il rangea tout dedans, se disant qu’ainsi, il ne risque pas d’autres accidents similaires. Après avoir refermé la porte de sa salle de bains, quelqu’un frappa à la porte. Le premier réflexe qu’eut Kari fut de demander : « Qui est-ce ? » Est-ce que Justin serait-il revenu, pour continuer ce qu’ils avaient commencés toute à l’heure ? Est-ce que Sloan aurait-il eu envie de continuer à s’énerver et se défouler sur Kari ? Ce dernier douta qu’il puisse s’agir de ça : Justin avait vraiment l’air de ne jamais vouloir remettre les pieds ici (et de ne plus adresser et s’approcher de Kari, par la même occasion). Quant à Sloan, au point où il en est, pourquoi se donnerait-il la peine, d’un coup, de frapper à la porte ? C’était Kol, un ami de Kari, qui était là en fait. Il alla lui ouvrir et, pendant quelques minutes, Parker s’assura que tout allait bien. Il avait entendu la dispute (ou plutôt les cris de Sloan) et voulait s’assurer que tout allait bien. Kari le rassura, lui disant que c’était Sloan et qu’il ne fallait pas faire attention à ce genre de crises.

    Une heure plus tard, quelqu’un d’autre frappa à la porte. C’était à nouveau Kol. Kari alla ouvrir la porte, et son ami l’informa l’intention des autres Winthrop de commander des pizzas pour manger, ce soir. Kari approuva, qu’il allait en faire autant. Puis, Kol se proposa d’aller prévenir Sloan. Le danseur hésita d’accepter pendant quelques petites secondes. Puis, il dit finalement : « Non, c’est bon, je m’en occupe, c’est gentil. » Kol insista un peu, mais Kari finit par l’emporter. Après que le beau brun soit descendu, Kari referma la porte de sa chambre derrière-lui, prenant soin de la fermer à clefs, comme à chaque fois qu’il la quitte (même si c’est pour aller au sein même de la maison de sa confrérie, on n’est jamais trop prudent). Il alla en direction de la chambre de Sloan, posa son oreille à la porte pour entendre un éventuel et quelconque bruit. Puis, il se mit à frapper. Quelques secondes plus tard, Kari ouvrit la porte (tout en ignorant comme il allait trouver son « ami ») et lança, sur un ton assez froid : « Les autres vont commander des pizzas pour manger, ce soir. Est-ce que ça t’intéresse, ou pas ? » Kari pensa alors, aussitôt, « ou tu préfères faire une crise encore ? », qu’il garda pour lui-même bien sûr.
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Une heure était passé depuis l'éclat de sang de Sloan. Une heure qu'il avait prit ses médicaments et que cette colère qui n'avait aucun fondement était entrain de fondre comme neige au soleil. Une descente pour le sportif comme un mauvais spleen alors qu'il y a une chose que Walkers ne touchait pas c'était bien la drogue. Sa condition dans les différentes équipes Harvadiennes ne permettrait pas un tel écart de conduite. Mais, sans connaître, le grand brun sur son lit enfermé dans la chambre à observer le plafond, avait l'impression d'en subir tous les effets. Une profonde dépression tomba sur ses épaules comme après chacune des colères. D'abord, car il n'était pas en contrôle, ce qu'il détestait par dessus tout, mais surtout car il avait mal parlé à Kari. Et, c'était encore loin, des propos qu'il avait utilisé. Il l'avait traité de salope. Ce qu'il ne pensait pas et cela même s'il aimait lui faire l'amour pendant des heures parfois.

Le champion en judo en avait connue des " salopes " et il n'avait pas de considération pour elles. Oui, elles avaient leurs utilités pour le mâle qu'il était. Pouvoir assouvir un plaisir rapidement et sans prise de tête. Pouvoir avoir sous son contrôle, lui qui aimait être un dominant et donner ses ordres tout en se baignant de ce regard qu'elles lui lançaient toutes: Je suis tout à toi ! Fais de moi ce que tu veux ! Je suis ta chose ! Mais pour le fils de célébrité qui aimait les parties de jambes en l'air corsés et très lubrique. Sa relation avec Kari était complétement différente et cela bizarrement ne l'avait jamais dérangé. Déjà, Sloan ne donnait aucun geste tendre ou caresse qu'il pouvait prodiguer à Liam. Il aimait se serrer contre lui après l'effort. Il attendait le moment où il posait sa tête sur son torse saillant pour s'endormir dans les bras de l'un, l'autre. Alors, maintenant, suite à ce qui venait de passer, il ne pouvait que se sentir coupable. Une douche plus tard et des vêtements sur le dos. Sloan pensa que s'occuper pourrait atténuer ses sentiments de devoir des excuses à son ami.

Il s'installa donc devant son macbook air et mis ses lunettes sur son nez - lunettes qu'il détestait porter mais qu'il était obligé de porter quand il travaillait. Il travailla sur son dossier de biologie qu'il devait rendre pour la semaine prochaine. Son regard n'arrêtant pas de fixer un tee-shirt. Pas le sien, un tee-shirt de Liam qu'il avait dû oublier dans sa chambre. Il le porta à ses narines, aimant humer ce parfum qui lui rappelait le seul garçon avec qui il recouchait encore et encore sans jamais se lasser. Quand on ouvrit sa porte à sa grande surprise et que Kari lui balança: « Les autres vont commander des pizzas pour manger, ce soir. Est-ce que ça t’intéresse, ou pas ? » Il le regarda toujours avec le tee-shirt de son ami dans les bras. Il grogna, mais ne détourna pas le regard. Le ton froid de son ami lui fit un pincement au cœur. Pas possible pour lui de s'excuser. Il se leva à la place et lui envoya en pleine figure son tee-shirt. « Cela me va ! Tu sais que je peux me nourrir uniquement de pizza mais... » Il enfila sa veste et s'approcha jusqu'à son ami pour descendre une main sur ses fesses. « Toi, tu restes dans ma chambre. C'est moi qui vais m'en occuper. Tu poses ton cul sur mon lit et je te commande comme dans d'habitude ? » Il agrippa les fesses de Liam par une poigne virile et sensuel puis déposa un baiser dans son cou, ces multiples gestes affectueux qu'il pouvait lui témoigner. Sloan pouvait peut être pas prononcer quelques mots d'excuses, mais il pouvait essayer de faire passer une bonne soirée à son ami, en lui proposant de manger ensemble en tête à tête dans sa chambre.
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    Après avoir discuté un peu avec Kol, qui l’avait averti du projet de manger des pizzas ce soir, Kari se rendit devant la porte de la chambre de Sloan. Bien que s’étant disputé avec lui une heure auparavant (ou disons plutôt que Sloan a piqué une crise de colère dans la chambre de Kari, qui est resté silencieux et impassible), ce dernier tenait quand même à s’occuper de son meilleur ami. Inconsciemment, il voulait tenter de renouer le contact avec lui. Il avait, également, besoin de passer la soirée prêt de Sloan. Aussi surprenant que ça puisse paraitre, c’est le seul qui arrive à calmer aussi bien les colères, que les peurs, du jeune Owens. Bien qu’il soit responsable de celle d’aujourd’hui, Kari voulait être avec Sloan. Bien évidemment, il préféra ne pas s’intéresser à ses émotions plus longtemps. A la place, pour s’occuper donc, il posa son oreille sur la porte et n’entendit pas de bruits suspects. Il frappa alors, attendit quelques millièmes de secondes et ouvrit la porte. Il vit alors Sloan. Ce dernier était à son bureau, son ordinateur allumé (un Mac Air), en train de travailler. Enfin, c’est ce qu’il voulait faire croire. Lorsque Kari rentra, Sloan était en train de tenir un tee-shirt entre ses mains et humer son odeur. L’étudiant en langues vivantes ne reconnut pas de suite son tee-shirt, et la première pensée à laquelle il pensa, ce fut que le sportif devait renifler ce vêtement, afin de voir s’il était propre ou sale. Sans perdre de temps, et ne s’attardant pas à l’affaire du tee-shirt, Kari exposa la raison de sa venue. Aussitôt, Sloan se leva et accepta. Il avait l’air beaucoup plus calme que toute à l’heure et, même, souriant. Il se leva, et dit : « Cela me va ! Tu sais que je peux me nourrir uniquement de pizza mais... » Ce qui est vrai : du moment que les repas de Sloan ne sont pas équilibrés, il adore ça. Le beau brun se leva donc, et se dirigea vers Kari. Aussi surprenant que ça puisse paraitre, il lui posa sa main aux fesses. Puis, il lui expliqua : « Toi, tu restes dans ma chambre. C'est moi qui vais m'en occuper. Tu poses ton cul sur mon lit et je te commande comme dans d'habitude ? » Walkers n’avait pas exprimé, de façon claire et précise, ses intentions. Mais, il était plutôt évident qu’il voulait se faire pardonner de son attitude. Kari en eut la confirmation, quand il sentit le baiser de son amant sur sa nuque. Il bougea un peu, en sentant sa poigne sur ses fesses, pouvant faire passer ça pour de la surprise. Alors qu’en réalité, il s’agissait plutôt d’une forme d’excitation.

    Kari approuva d’un signe de tête, et fit un pas de côté pour laisser passer Sloan. Ce dernier avait enfilé sa veste, mais il portait encore ses lunettes. Sloan n’aimait pas porter, justement, ses lunettes, les utilisant uniquement pour ses cours. Néanmoins, Kari trouve ça terriblement sexy : ça donne un petit côté « geek » au séduisant new-yorkais, et ce genre de côté fait fondre (secrètement) l’originaire de la ville de Salem. Il est arrivé une fois à Sloan de garder ses lunettes, pendant que lui et Kari se bécotaient (séances de baisers, de caresses, d’étreintes et de masturbations). Mais, il ne les a jamais gardé pendant qu’ils faisaient l’amour ensembles, l’idée ne leur étant jamais venu à l’esprit. Pendant quelques secondes, Kari fut tenté de réaliser une petite vengeance, et de laisser sortir Sloan avec sa monture sur le nez. Bien que méchant, ça aurait mis mal à l’aise le jeune homme et il aurait pu comprendre et deviner ce que Kari a ressenti, il y a une heure, un peu plus maintenant. Sauf que Kari n’était pas assez « garce » pour ça, malgré les faux airs qu’il aime se donner. A la place, il préféra jouer le bon camarade. Il se retourna pour faire face à Sloan, ce dernier étant dans le couloir et Kari dans la chambre. Il lui signala alors : « Tu as encore tes lunettes sur toi, si tu veux les garder ou pas … » Kari laissa la fin de sa phrase en suspens, voulant faire comprendre à Sloan que la décision lui appartient. De toutes façons, pour Kari, il restera toujours aussi sexy, avec ou sans lunettes. Il se maudit lui-même de ne pas avoir plus de force de caractère, plus de résistances. Il commença à moins en vouloir à Sloan (bien que cette histoire ne soit pas prêt d’être oubliée). Il voulait passer la soirée avec lui, dormir en sa compagnie et, pourquoi pas, faire l’amour ensembles. Après tout, Sloan a interrompu une partie de sexe (du moins, une fellation) qui s’annonçait très agréable. C’est donc la moindre des choses que de se racheter. Après avoir signalé sa remarque, Kari alla s’asseoir sur le lit de Sloan, et sortit son BlackBerry, afin d’aller vérifier les réseaux sociaux sur lesquels il est inscrit.
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Il était clair pour Sloan qu'il devait se faire pardonner. Tout simplement, déjà car c'était toujours sa façon de faire depuis son plus jeune âge. Il faisait les pires horreurs et venait après trouver un moyen de s'excuser. Mais, avec Kari, c'était légèrement différent, car sa colère avait été complétement injustifié. Il pensait donc pouvoir rattraper le coup en offrant une soirée à deux à son ami comme ils pouvaient faire certains soires, ressemblant fortement à l'image d'un couple qui a besoin de se retrouver pour se pardonner. Mais, pour le sportif, il était hors de question de s'adonner à cet image. L'idée même d'être en couple lui donnait la nausée et cela même avec l'étudiant de Salem. Celui-ci avait bien les meilleurs qualités qu'il pouvait espérer chez un partenaire et lui tailler les meilleurs fellations de tout Harvard. Sloan aimait son célibat et il était bien décidé à le garder. Quittant la chambre avec encore ses lunettes sur le nez, il se fit vite rappelé par Liam. « Tu as encore tes lunettes sur toi, si tu veux les garder ou pas … » Sloan surprit retira ses lunettes sans les ranger, préférant les garder dans sa main. Il jeta alors un œil coquin suivit de levé de sourcil sexy avant d'ajouter tout en mordillant ses lunettes. « Je vais les garder...Je sais que tu trouves cela et si tu es sage je te baiserais avec... » , lâcha t-il d'une forte sans honte à l'intérieur de la confrérie Winthrop.

Plusieurs frères passèrent dans le couloir et mimèrent un air dégouté avant d'exploser de rire. Car chacun était accepté au sein de la confrérie, la sexualité n'avait jamais posé problème: hétéro, homo et bi coexistaient sans heurtes. Sloan donna une bonne tape virile sur l'épaule de l'un d'eux au passage et quand il fut à nouveau (en quelque sorte) seul avec Kari. Il remit ses lunettes et prit l'escalier pour rejoindre le petite groupe qui commençaient à regrouper les commandes de chacun. Le sportif réalisant qu'il n'aurait aucune besoin de sortir, enleva sa veste qu'il garda l'un de ses bras et commanda deux pizzas pour lui et Liam. C'est Vince qui s'occupa de passer la commande et une demi-heure plus tard le livreur sonna à la porte. Et, c'est le sportif avec encore ses lunettes sur son nez qui s'empressa d'ouvrir la porte. « Hello ! Gorgeous ! » Tout en s'empressant de lire son nom sur sa chemise: un certain Tate. Comme à son habitude le chasseur s'empressa de faire du gringue au livreur qui sembla complétement réceptif à ses avances, n'arrêtant pas de sourire et de rougir. Même s'il voulait toujours se faire pardonner auprès de Kari, c'était plus fort que lui et après dix-minutes de discussion de plus en plus tactile de sa part, Sloan ferma la porte avec 20 pizzas et un numéro de téléphone sur son bras au marqueur.

Vince ne put s'empêcher de montrer sa consternation mais aussi son respect. Le champion de Judo ne pouvait plus s'arrêter de sourire, attrapa deux boites de pizzas et une bouteille de soda pour ensuite retrouver Liam dans sa chambre. Il ouvrit la porte, découvrant Kari sur son lit comme il lui avait demandé. Il commença à lui sourire quand un Terry, un frère Wintrhop l'interpella pour le féliciter de sa prestation avec le serveur. Tout en oubliant un instant l'étudiant de Salem, il répondit à Terry avec malice. « C'est clair ! Il me bouffait dans le main le petit. Si si, j'ai son numéro, attends ! » Sans vraiment être gêné, il s'avança dans sa chambre et jeta littéralement les boites à pizzas brulantes sur les jambes de Liam avant de ressortir pour montrer son bras à Terry. « Regarde ! Il m'a dit qu'il avait une fête chez les Oméga Bite ce soir et qu'il y serrait. Donc, tu me connais. Là, je mange un bout avec Kari et je file. Ce soir, cela va défoncer ! » Terry et Sloan se tapèrent violemment dans la main et firent le signe de ralliement des Wintrop et ferma sa porte pour se retrouver vraiment seul avec son ami. Il s'installa sur le lit, en tailleur comme un enfant face à lui et commença à ouvrir la première boite pour en tirer une part couverte de fromage. Puis, ne voyant pas le jeune Owens commençait à manger, il s'en inquiéta. « Qu'est ce qui a ? Tu manges pas ? »

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    Est-ce que Kari avait bien fait de venir dans la chambre de Sloan, ou pas ? Sa venue était un signe, afin de montrer son envie de faire la paix. Une envie qui avait l’air réceptif, car Sloan était calme et se montra dès plus agréable et gentil. Certes, il ne s’excusa pas (tout du moins, il ne formula pas les mots « je suis désolé » ou d’autres synonymes), mais il avait l’air de vouloir se racheter auprès du jeune Owens. Ce dernier ne pouvait donc qu’être réceptif à ce genre d’attentions. Bien que n’oubliant pas ce qui s’était passé toute à l’heure (ça serait trop facile, sinon), il se montra de plus en plus docile à passer la soirée avec Sloan. Il se dit même que ça serait son programme de la soirée, et qu’il refuserait d’autres éventuelles propositions (on ne sait jamais, on peut toujours espérer après tout). Lorsque Kari signala la présence de ses lunettes sur son nez, Sloan n’eut d’autres réactions que de sortir : « Je vais les garder...Je sais que tu trouves cela et si tu es sage je te baiserais avec... » A ce moment-là, des autres membres de la confrérie étaient dans le couloir et entendirent ces propos. En même temps, la personne qui les avaient émises n’était pas des plus discrète. Kari ne dit rien et, à la place, leva les yeux au ciel en esquissant un sourire. Puis, il referma la porte de la chambre et se dirigea vers le lit, où il s’assit. Kari ne se sentait pas trop gêné de ce qu’il venait de se passer : après tout, autant lui que Sloan étaient plutôt connus au sein des Winthrop. Disons qu’une bonne partie d’entre eux savent que les deux hommes sont gays et qu’ils aiment le sexe. D’autres encore savent que les deux hommes couchent ensembles, ne serait-ce par rapport à leurs gémissements qu’ils poussent tous les deux, pendant l’acte.

    Mais, Kari n’y prêta pas plus d’attentions et alla donc s’asseoir sur le lit. Il sortit son téléphone, un BlackBerry, qu’il avait personnalité avec une coque rose-fushia. Certes, terriblement gay, mais ce sont là parmi les nombreux plaisirs coupables du jeune homme. Il alla tout d’abord sur Facebook, puis sur Twitter et enfin Tumblr. Ces petites visites lui prirent plusieurs minutes. Minutes pendant lesquelles Kari se mit, plus ou moins, à son aise. Il s’allongea sur le lit, se mettant contre l’un des coussins de Sloan, tandis que son doigt touchait le bouton tactile du téléphone. A un moment, il se surprit d’inspirer, afin de sentir le parfum de Sloan, qui provenait des coussins et de son lit. Lorsqu’il réalisa ce qu’il était en train de faire, le jeune homme s’arrêta et se sentit légèrement honteux. Bien qu’il ignore, bien sûr, que son homologue avait fait la même chose, de son côté, quelques minutes auparavant. Kari resta donc seul et silencieux, pendant plusieurs minutes. Le seul bruit dans la chambre provenait de l’ordinateur. Mais, comme ce dernier est très discret, c’est tout juste s’il y avait réellement un bruit dans cette pièce. Kari n’eut pas la moindre idée du temps mis par Sloan, afin de revenir avec les pizzas. Mais, s’il fallait faire une estimation, on pourrait dire une trentaine de minutes. Donc, au bout de cette trentaine de minutes environ, la porte de la chambre finit par s’ouvrir, bien que Kari avait déjà entendu des échos de voix, en provenance du couloir. « C'est clair ! Il me bouffait dans le main le petit. Si si, j'ai son numéro, attends ! » Kari se redressa alors, tandis que Sloan ne lui porta pas la moindre attention. Enfin si, puisqu’il n’hésita pas, presque, à lancer les boites de pizzas chaudes sur ces jambes. Il lança alors un : « Ah ... », où se mélange la douleur (un peu) et la surprise (beaucoup). Le jeune new-yorkais ressortit ensuite, afin de discuter avec un camarade Winthrop : « Regarde ! Il m'a dit qu'il avait une fête chez les Oméga Bite ce soir et qu'il y serrait. Donc, tu me connais. Là, je mange un bout avec Kari et je file. Ce soir, cela va défoncer ! »

    Kari ne dit rien, réalisant qu’il se taisait beaucoup depuis plusieurs minutes. Depuis que Sloan était venu dans sa chambre toute à l’heure, en fait. Mais, en même temps, qu’est-ce qu’il pourrait lui dire ? Il n’a pas de comptes à lui rendre, après tout. Ils ne sont pas en couple, et cette idée n’attire pas Kari tant que ça. Malgré les qualités que Sloan peut avoir (car, malgré tout, il en a … quelques-unes), ainsi que le fait que ça soit le meilleur baiseur de Harvard (à ses yeux), l’idée même d’être en couple avec quelqu’un fait plus peur à Kari qu’autre chose. Il tient trop à son célibat, à sa liberté, pour changer. De plus, depuis son arrivée à Harvard, il y a un an, il est resté célibataire, dans le but de profiter de ses années universitaires. Puis, être en couple avec Soan, qu’est-ce que ça donnerait ? Kari ne préfère pas y penser, estimant que ça provoquera plus de dégâts qu’autre chose. Sloan finit par revenir dans la chambre. Il ferma la porte et s’installa en tailleur sur son lit, face à Kari. Ce dernier avait posé le carton de pizza du jeune homme vers lui, pendant sa conversation, et avait pris le sien également. Néanmoins, il ne mangea pas de suite, préférant attendre un peu. Il peut toujours prétendre que la pizza est très chaude. Il regarda Sloan, qui ne manqua pas le fait que Kari ne mangeait pas. « Qu'est ce qui a ? Tu manges pas ? » C’est alors que le jeune danseur réalisa que sa soirée allait changer. Lui qui pensait la passer en compagnie de Sloan, il va plutôt se concentrer sur d’autres projets. Ne montrant pas sa déception, il répondit : « J’attends que ça soit moins froid … » Pour s’occuper, Kari prit la cannette de soda-light qui lui était destiné. Il l’ouvrit et but quelques gorgées, en regardant la fenêtre de la chambre. Puis, il porta à nouveau son attention sur Sloan : « Tu as prévu de sortir, donc, ce soir ? Si j’ai bien compris … »
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    Sloan s'était installé en position tailleur sur le lit et avait une faim de loup. Se moquant bien que la pizza soit bien trop chaude. Et, c'est très bête qu'il porta la part de sa pizza à sa bouche, tout en se plaignant de sa chaleur que cela soit entre ses doigts ou dans sa bouche. Il balbutia un instant avec la nourriture brulante dans sa bouche avant d'avaler d'une traite. S'inquiétant que son ami ne commence pas à manger, mais après lui avoir posé la question le new-yorkais lui répondit: « J’attends que ça soit moins froid … » L'étudiant en sport laissa retomber sa part dans le carton devant lui et observa celui qui était aussi son amant. Il avait beau être pas très fin comme garçon, il sentait bien un malaise. Et, comme toujours avec le jeune Walkers. C'est après en repassant les derniers secondes: sa discussion avec son Terry, ses mots et surtout le fait qu'il devait encore se faire pardonner de sa colère dernière.

    Alors, le champion en judo commença à se manger les lèvres tout en regardant Kari ouvrit sa canette de coca-light. Il le regarda passer son regard par la fenêtre. Reconnaissant ce regard fuyant maintenant. C'est qu'ils avaient vécus des choses, eux qui pouvait paraître presque un couple parfois. Et, comme un couple, Sloan sentait bien que Kari avait été affecté par ses paroles. « Tu as prévu de sortir, donc, ce soir ? Si j’ai bien compris … » Sloan émit juste un claquement sonore de sa langue contre son palais comme seule réponse. C'est qu'il n'était pas doué pour les excuses, car encore une fois, il n'avait pensé qu'avec son membre. Son égo lui interdisant de s'excuser ou de montrer rien qu'une once de culpabilité. Alors, le grand sportif, fit ce qu'il savait faire le mieux. Il poussa les cartons à pizza sur le côté et sauta sur Kari, renversant la moitié de la canette de son coca-light sur eux. Le soda se rependant sur les draps, imprégnant le lit et le matelas.

    Et, pourtant, Sloan s'en moquait, concentrant toute son attention sur Liam, s'insérant entre ses cuisses et le prenant à la gorge.« Tu n'as qu'à dire que tu veux que je reste !? Tu sais tout ce que je suis prêt à faire pour toi ? » Il lui donna un coup de hanche taquin tout en souriant, sa tête si loin de sa bouche, par simple jeu. Il s'imposa contre le torse de l'étudiant, usant de sa force pour le maintenir couché et contre lui. Son corps rattrapé par le désir. Car Kari lui avait toujours fait un effet extraordinaire. Son pantalon gonfla à une vitesse, une épaisse barre de vingt-cinq centimètres s'encastrant dans le bas ventre de son ami. Sloan remonta sa main et enserra la mâchoire de Liam et tout en allant caresser son pouce les lèvres de son voisin d'un geste cruellement sexy. Il ajouta: « Mais, je veux te l'entendre le dire ? Dis...Sloan je veux que tu restes avec moi... » Le sportif jouait un jeu dangereux, il le savait. Après tout, il n'y avait jamais eu de règle entre eux. Rien n'était inscrit dans la pierre. Ils s'envoyaient en l'air et c'est tout. Mais, étrangement, ce soir Sloan avait envie d'autre chose. Il ne pouvait se l'expliquer, ni mettre le doigt dessus. Mais, ils voulaient peut-être tout simplement s'enfermer dans leurs bulles et n'être plus que tous les deux ?
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