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Une bonne leçon

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    La complicité. C'était la complicité qui faisait que ce couple s'adorait, c'était elle qui faisait qu'ils avaient confiance l'un en l'autre, qu'ils se connaissaient par coeur, qu'ils savaient très bien quoi faire pour que l'autre se sente bien. Il se savait être le seul à avoir le droit de s'aventurer aussi loin sur le corps d'Heather, surtout de cette façon. Mais malgré cette unicité qu'elle lui offrait et malgré que ce soit différent avec lui qu'avec les autres, il ne pouvait s'empêcher de ressentir une douleur à la poitrine et une profonde jalousie. Il n'était pas quelqu'un de violent, au naturel, mais il lui suffisait d'imaginer un autre homme la toucher pour qu'il entre dans une colère au-delà de tout sens moral. Il perdait presque le fil de la réalité, comme là, alors qu'il ne ressentait aucune haine. Le monde entier n'existait plus, la Terre elle-même s'était arrêtée de tourner. C'était comme si quelqu'un avait mit le film de l'existence sur stop, ou qu'on avait retenu sa respiration, que leur coeur s'était arrêté. Si seulement ça pouvait durer plus longtemps. Si seulement ils pouvaient vivre ce genre de choses chaque jour. Vous savez ce qui manque le plus à Danny dans cette histoire ? Ca n'est pas le sexe, ou les paris stupides qu'ils se lançaient les jours de congés, ni même lorsqu'elle venait l'applaudir pendant les courses. Ca n'était même pas les samedi d'été allongés dans l'herbe, au soleil, ou les mots tendres qu'ils se murmuraient à l'oreille. Chaque matin il se réveillait et regardait à côté de lui, constatant qu'elle n'était pas là, qu'elle n'était pas allongée dans le lit. Chaque matin il était déçu de ne pas pouvoir la réveiller par de doux baisers sur les épaules et dans le cou, par des caresses amoureuses pour finalement lui susurrer qu'il l'aimait dans le creux de l'oreille. Le pire était là. Il rêvait de pouvoir, un jour, peut-être, retrouver cela. Ce jour-là, Danny Shepard sera heureux.

    En attendant il lui fallait profiter de la situation. Elle se laissait faire quant à l'attention qu'il portait à sa poitrine et il savait qu'elle aimait ça. Il était aussi plutôt fier de lui d'avoir mit un à zéro au compteur, mais n'allait pas se reposer sur des lauriers aussi pathétiques, il lui fallait aller plus loin et compter sur un score bien meilleur. Il la déposa lentement sur le sol et la laissa le pousser vers le bas ; il n'émit aucune résistance. Bien au contraire, il aimait énormément ce qu'il s'apprêtait à faire et y prenait un plaisir non dissimulé. C'était aussi ce qui l'excitait le plus : l'entendre. C'était le summum de ce qu'elle pouvait lui offrir. Quand elle était excitée, elle commençait à perdre ses moyens et le contrôle de son corps. Elle se laissait aller à des gémissements de plus en plus présents qui avaient une incroyable tendance à le rendre totalement fou. Il s'arrêta quelques instants sur son nombril, d'une part parce qu'il l'adorait - il adorait de toute façon chacune des parties du corps d'Heather - et d'autre part parce qu'ainsi, il la faisait languir. Et elle détestait ça. Danny était constamment doux, et docile. C'était une petite forme de révolte qui lui donnait, à lui, l'impression d'être toujours un mâle dominant (plus ou moins, quoi), et à elle, celle d'être obligée d'être une maîtresse plus dure encore... Face à quoi il ne se plaignait bien évidemment pas, mais alors, pas du tout.

    Mais toutes les bonnes choses ont une fin et cela vaut pour les taquineries également. Elles doivent laisser place aux excellentes choses, et par cela, il entendait de faire jouir, encore une fois, celle qu'il aimait. Il couvrait sa partie intime de baisers et de légers sursauts de langue, comme pour la torturer, comme s'il refusait de passer véritablement à l'acte qui lui ferait plaisir. Naturellement, elle mit l'une de ses cuisses sur l'épaule de son homme, d'abord pour s'appuyer, et ensuite pour le maintenir au sol, obligé de lui donner du plaisir. Danny se servit du bras sur lequel elle se maintenait pour la tenir encore mieux en le passant sous les fesses de la belle - et la caresser au passage - avant de soutenir de sa main libre sa langue qui entamait une descente bien méritée. Il commença tout en douceur, laissant glisser sa langue le long des lèvres d'Heather, l'une, puis l'autre, de bas en haut, avant de revenir, avec une lenteur extrême. Elle était trempée, et il la trouvait délicieuse. Après l'avoir goûtée il n'avait plus voulu en essayer d'autres : elle était la plus agréable à lécher qu'il connaisse. Après avoir poursuivit ce petit manège quelques instants, il se servit de sa main pour lui écarter doucement les lèvres pour donner quelques coups de langue sur son clitoris, partie la plus sensible de l'anatomie d'une femme - de manière générale, et Heather n'échappait pas à cette règle. Il força sa langue à se mettre en pointe et lécha dans divers sens ce bouton de plaisir, allant crescendo dans la vitesse, s'appliquant le plus possible, pour finir parfois par s'arrêter afin de le capturer entre ses lèvres, le suçoter, l'aspirant quelque peu, puis recommencer. En même temps, deux de ses doigts s'étaient enfoncés en elle. La connaissant par coeur, il lui était facile de retrouver le point le plus sensible à l'intérieur de son corps pour le stimuler en même temps que l'autre. La belle brune ne tenait qu'à peine sur ses jambes, fébrile qu'elle était. Et lui, il n'avait rien trouvé de mieux à faire que de la regarder fixement dans les yeux alors qu'il s'évertuait à la faire jouir. Elle ne pouvait pas le voir, mais elle le devinerait sans aucun doute : un sourire en coin animait le visage du jeune homme tandis qu'il travaillait à sa tâche avec une dévotion sans pareille et un amour profond...


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    Danny savait toujours quoi faire à un moment précis. Il devait surement calculer ses réactions, et le moment propice pour faire les choses qui étaient certains de plaire à la belle. Il devait aussi remarquer qu’elle réagissait positivement à ses traitements jusqu’à la faire chanceler, obliger de s’accrocher après la barre de la douche dont l’extrémité du haut déversait un flot d’eau. A cette allure, le ballon d’eau chaude sera vidé en un rien de temps. Mais en plus de la chaleur intérieure qui la consumait, les vapeurs de l’eau l’étouffaient. Son corps se mit à trembler et ses hanches se mirent à onduler contre les lèvres et la langue qui commençait à la taquiner. Une chose est sure, il ne la relâcherait pas sans un premier orgasme. Une étude prouvait que la pénétration était meilleure comme l’un comme pour l’autre après un orgasme. Le corps de la femme reste contracté et les parois vaginal, sensible, continue de se contracter face à l’intrusion et forcément, l’étroitesse comme le comblement, leur était gourmande. Heather relâcha les cheveux de Danny, baissant son regard vers le sien, le défiant de la mener à bout. Et il avait surement choisis de lui-même de la faire sombrer dans les limbes du plaisir puisqu’il accéléra la cadence. Ses ondulations lui permettait d’accentuer les caresses sur son clitoris tout comme de s’empaler doucement contre ses doigts qui semblait vouloir aller encore plus loin en elle sans jamais y parvenir. Et ça la frustrait. Quel délicieux mélange de frustration et de plaisir qui aurait raison d’elle dans quelques instants.

    Elle tenta d’écarter un peu plus les cuisses, se courbant légèrement pour ne pas perdre l’équilibre. Il faut dire qu’elle se donnait du mal pour adopter certaines positions. Et elle sentit les fourmis dans ses pieds. Fourmis qui grandissaient peu à peu, l’enveloppant d’une vague électrisante de plaisir. Les sens en éveillent, le visage crispé par la jouissance, elle resserra ses cuisses, instinctivement sur le visage de son bourreau, des gémissements plus bruyants recouvrant le bruit de l’eau cette fois. Elle semblait lui faire comprendre de ne pas s’arrêter. Que le moment propice était arrivé. Son mont de vénus, coincé entre ses lèvres, gonflaient de bonheur et les doigts de Danny se faisait emprisonner entre ses chaires humides qui se contractaient par à-coups tandis qu’elle se laissait aller à un orgasme sans nom. Ses lèvres s’ouvrir dans un cris muet, la tête renversé vers l’arrière. Son ventre se contracta brusquement deux ou trois fois alors que son corps se baissait légèrement, s’appuyant contre les lèvres tortionnaires. Ses cuisses tremblantes se relâchèrent la pression sur le visage de Danny et elle le libéra en repoussant doucement sa tête, le temps qu’elle reprenne ses esprits. Elle ne croyait pas forcément en dieu, mais là, elle avait vu le paradis. Elle pouvait être damnée, sereine. Elle le fit remonter, s’écroulant dans ses bras, ses jambes incapables de supporter son poids. Etait-ce parce qu’elle avait attendu plus longtemps avant de faire l’amour avec lui ou bien s’était-il donné encore plus de mal que d’habitude ? Quoi qu’il en soit, cet orgasme était le premier aussi violent qu’elle n’eut à supporter.

    Elle refusa qu’il bouge, le temps de récupérer, les yeux clos le temps de reprendre un peu ses esprits qui avait bien manqué de la faire s’évanouir sous le choc. Elle remonta ses lèvres le long de la jugulaire de Danny, le gratifiant de quelques baisers, laissant la pointe de sa langue remonter jusqu’à son lobe et de lui murmurer quelques mots aux creux de son oreille. « Ne m’arrête pas, je t’en prie. » En effet, elle savait très bien qu’il n’aimait pas particulièrement la position, trouvant que c’est une façon de rabaisser une femme. Elle, elle adorait parce qu’elle pouvait avoir le monopole sur lui. Elle aimait parce qu’elle pouvait aussi le goûter et le rendre totalement dingue. Alors, elle s’attela à descendre, contournant chacun de ses tétons contre son torse, ne les gratifiant que d’un léger coup de langue avant d’y inclure une morsure. Elle releva son regard vers lui, et dans son regard, le désir était à nouveau présent. Au moins, on pouvait remarquer qu’elle avait repris ses esprits et qu’il n’y avait plus l’ombre d’un voile. Elle allait se venger. Elle embrassa son ventre, joua de la pointe de sa langue contre son nombril avant de descendre à nouveau et de s’agenouiller au sol. Elle déposa quelques baisers sur sa cuisse, puis sur l’aine avant d’enrouler ses doigts autour de son membre, fièrement tendu dans sa direction. Elle plaqua seulement ses lèvres contre son gland, laissant la peau violacée trouver le confort de la peau de sa bouche. Elle massa doucement la base de sa virilité, son pouce venant finalement appuyer sur le frein et le relâcher complètement pour s’occuper de ses bourses qu’elle massa un instant avant de venir y donner quelques coups de langue. Elle profita un instant de ses poches de chaire, en embrassa une, suçota l’autre, l’abandonna pour revenir à sa jumelle et lui infliger le même traitement.

    Elle se plairait à lui faire perdre la tête, quitte à ce qu’il ait aussi sa première jouissance. Il s’en remettrait facilement avec son aide et il pourrait remettre le couvert en se possédant cette fois. Heather n’avait pas sorti son dernier atout et les cartes dans sa manche n’étaient que plus dangereuses que le jeu de son adversaire. Elle se mordit la lèvre en le regardant, enroulant à nouveau ses doigts autour de son membre, y engageant quelques vas et vient se rendant compte combien il était engorgée. N’en pouvant elle-même, attendre plus longtemps, elle entrouvrit les lèvres et fit pénétrer son gland qu’elle gratifia de coups de langues sur l’extrémité. Et au fur et à mesure de ses allées et venues, elle l’avalait de plus en plus jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus l’accueillir plus. Son regard se releva vers celui de son amant, plongeant son regard dans le sien. Vois ce que ça fait de me provoquer. Vois ce que ça fait de me voir te donner du plaisir comme tu m’en as donné. Fais tes prières.

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    On dit toujours qu'il est bien plus simple de faire jouir un homme qu'une femme, car tous les hommes réagiraient de la même manière. Or pourtant, l'homme ne peut avoir qu'un seul orgasme quand les femmes peuvent les accumuler et faire des combos. Il suffit simplement de les connaître, car elles sont toutes plus ou moins différentes à ce sujet. Mais Danny connaissait Heather sur le bout des doigts - c'était le cas de le dire - et il fut finalement pas si difficile de lui donner du plaisir. Bientôt, elle atteint le point ultime de son extase et ses gémissements encore plus forts, son corps se crispant dans une positions qui certes n'aurait pas été agréable au naturel, mais qui le demeurait sous les vagues d'électricité qui la submergeaient. Et Dieu qu'il était fier de lui, content de son presque exploit et d'avoir repoussé la belle dans ses retranchements. Elle le força à se relever et il accepta, docilement. Les baisers qu'ils partageaient reprirent de plus belle et ils s'enlacèrent à nouveau, leurs corps l'un contre l'autre. Quand elle commença à lui mordiller l'oreille, à lui dire ce qu'elle lui chuchota, il savait ce qu'elle comptait lui faire et qu'il n'avait qu'à l'accepter, comme ça, sans possibilité ni de négociation, ni de tractation. Il l'avait maintenue à sa merci pendant de longues minutes, l'avait forcée à jouir - deux fois déjà - et ne cachait pas la fierté qu'il ressentait de son exploit. Néanmoins, il ne s'agissait pas d'être tout content de quelque chose de ridicule, s'il était ravi, c'était parce qu'elle avait aimé ça, parce qu'elle avait ressentit du plaisir qu'il s'était évertué à lui donner et qu'il avait apprécié cet échange. Il l'aimait, oh ça oui, il l'aimait, et il comptait passer chaque seconde où ils étaient ensemble à le lui prouver, car il n'avait pas le droit de le lui dire. Il gardait ça pour lui et attendait de trouver le bon moment. En échange cependant, il pouvait toujours faire en sorte qu'elle se sente comme une déesse sous ses caresses, l'embrasser, la chérir, la prendre contre lui, et ainsi de suite. Sans parler des cadeaux qu'il lui offrait, le bijoux de la Saint Valentin en était un exemple flagrant : un collier d'argent simple mais joliment ouvragé, dont le prix exorbitant n'avait pas été un problème : rien n'était trop beau beau pour elle. Il s'était sentit tellement heureux quand il l'avait vue le porter autour du cou, et qu'elle disait beaucoup l'aimer.

    Se mordant la lèvre inférieure, il regarda sa douce descendre le long de son corps pour venir s'amuser avec sa partie intime comme il l'avait fait avec la sienne à peine plus tôt. Elle maquillait ça en vengeance, dans ses yeux il voyait le feu narquois de la mesquinerie, qu'elle ne ressentait pas réellement, bien sûr. Elle allait vouloir le mettre dans le même état qu'il l'avait mise. Elle allait vouloir un juste retour des choses, une équité logique. Ah, les jeunes... Disons que les fessées se perdent, de nos jours. Elle en aurait bien mérité une, si elle avait été debout. Mais elle était maintenant à genoux devant lui, et ça n'était pas un signe de soumission, mais une profonde confiance en lui. Un signe que, peut-être, elle l'aimait encore. Il se refusa d'y penser et la laissa faire. Sa main gauche empoigna fermement la barre en acier de la douche tandis que la droite caressait la joue de son amour, sa nuque, ou se perdait dans sa chevelure soyeuse. L'eau brûlante se déversait à présent sur lui aussi, et il ferma les yeux en rejetant la tête en arrière, cherchant à deviner, sous le flot de plaisir, de quels point d'appui elle se servait, où passait réellement sa langue, et ainsi de suite. Mais dès qu'il ressentait une stimulation, une excitation quelconque, c'était presque trop tard, elle était passée à autre chose. Désormais, son gland venait presque frapper au fond de la gorge de la jeune femme à chaque va et vient, et ça le rendait dingue. Ca le piquait au bout, et il y avait une pression puissante et continue sur tout son membre. Danny commençait à avoir envie de se laisser aller à son tour.

    C'était là le grand talent de la belle Heather. L'un de ses nombreux grands talents, en fait. Et le contrôlait, à ce niveau là. De temps à autres, Danny ressortait de ses lèvres pour descendre sur la poitrine de son aimée, caressant ses seins avec une délicate douceur et une envie bien avouée. Mais aussitôt elle reprenait son oeuvre avec une fierté infinie. Elle le tenait, fermement qui plus est, et il était impossible pour lui de s'enfuir. L'aurait-il seulement souhaité ? La plupart des hommes ne jouissent qu'une fois, alors qu'en réalité ils pourraient faire plus, en général. Tout dépend de la femme qui les accompagne. Heather avait trop d'appétit pour se contenter d'une simple jouissance, et ça n'aurait pas été suffisant ni pour l'un ni pour l'autre. Il leur fallait partager un moment exceptionnel. Danny bougeait désormais légèrement son bassin d'avant en arrière pour accompagner le mouvement de la jolie brune. Un souffle de plus en plus fort s'échappait de ses lèvres. Il adorait ça, quand c'était elle qui le faisait. Elle était incroyable, à chaque fois il semblait redécouvrir l'acte tant elle était douée. L'Eliot se laissait d'autant plus aller, lui demandant même finalement si elle ne pouvait pas se toucher en même temps : l'entendre gémir durant ce préliminaire l'achevait, purement, proprement et simplement. Et elle le savait, elle attendait probablement qu'il le lui réclame. Il sentait le plaisir monter, il sentait qu'il n'arriverait sûrement pas à le contrôler davantage. Heureusement que, loin de la déranger, elle aimait cela...


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    Les hommes ont la faculté de pouvoir se retenir dans la jouissance. Une femme, elle, ne le peut pas. Une fois que l’orgasme pointe le bout de son nez, elle n’a pas d’autre choix que de se laisser aller à ce bien être si délicieux. Comme le fait de s’arrêter si près du but. Si un homme s’arrête au moment où la jeune femme se sent presque envahi par l’orgasme, alors ce dernier retombe bien rapidement et il faut un certain temps avant qu’il ne revienne pour de bon cette fois. Un homme, lui, pourra jouir de suite après la reprise. C’était là tout le bonheur que les hommes avaient, encore une fois, et qu’une femme n’avait pas. Quoi que, les femmes pouvaient avoir 5, 10, 15 orgasmes d’affilées, et bien que ça l’épuiserai, elle n’aurait aucun mal. Hors, un homme, risque d’avoir, et d’une beaucoup de mal, et de deux finirait irrité. Alors oui, elle n’avait pas cherché à retenir son plaisir mais, au contraire, l’avait laissé l’envahir de toute son âme. De la pointe de ses pieds jusqu’à l’extrémité de ses cheveux. Et puis elle avait voulu lui rendre la pareille. Non pas parce qu’elle se sentait obligé pour lui faire plaisir, mais parce qu’elle en avait vraiment envie. Pourquoi serait-elle la seule à souffrir autant de bonheur ? Autant que lui aussi comprenne de quel bois elle se chauffe. Qu’elle peut très bien l’envahir d’émotion aussi et lui faire perdre la tête. Et également parce que leur jeu était de sans cesse se renvoyer la balle jusqu’à ce que l’un ou l’autre cède et déclare forfait. Au moins, ils ne s’ennuyaient jamais.

    Il est vrai qu’il offrait souvent sans compter. Il faisait chauffer sa carte de crédit pour elle et, elle devait avouer que parfois, elle réclamait. Il avait assez d’argent pour qu’elle puisse avoir envie d’une paire de chaussure ou d’une nouvelle robe. La dernière fois, elle l’avait harcelé pour un sac à main en cuir de marque Guess. Et il avait céder pour lui offrir. Il était toujours remercier par des nuits torrides. Ce n’était pas si mal, n’est-ce pas ? Mais les cadeaux qu’il lui offrait à côté de ses exigences, soit des biens qu’elle ne demandait pas, lui faisait encore plus plaisir. Par exemple, ce collier, qu’elle ne quittait jamais, offert pour la saint-valentin. Elle gardait, dans un carton, tout ce qu’il avait pu lui offrir que ça soit des lettres d’amours quand ils étaient plus jeunes jusqu’à des vêtements qu’elle mettait souvent mais qu’elle ne confondait jamais avec ses autres vêtements, comme s’ils étaient bien plus précieux. Et c’est ce qu’ils étaient ! Elle ne les prêtera jamais à une amie ! Ca, plutôt crever. Elle descendit, donc, le long de son corps, terminant à genoux au sol, se mettant à déguster sa partie intime comme elle en avait envie. Sans même retenir ses coups de langues ou ses baisers brûlants. Elle le sentait durcir entre ses doigts, entre ses lèvres, contre sa joue ou contre son menton quand elle se caressait félinement contre lui. Un jeu érotique et peut-être un peu pornographique d’un côté.

    Il n’était pas en reste non plus puisqu’à sa demande, il put la voir s’accroupir au sol et glisser une main sur ses cuisses, se les caresser et finir par venir couler sa main entre ses cuisses pour venir chatouiller sa propre intimité. Elle faisait tout pour ne pas se donner du plaisir seul, mais juste pour lui offrir un petit spectacle. Qu’il se rince l’œil pour mieux attiser son plaisir. Gémissant exagérément pour lui titiller les hormones, elle pouvait facilement faire vibrer le son de sa voix contre son membre entre ses lèvres et ainsi lui apporter un autre plaisir. C’est au bout de quelques minutes de jeu qu’elle le sentit se crisper. L’étape ultime était arrivée. Elle redoubla de vitesse, s’aidant de sa main pour finir par se stopper et se reculer, déglutissant et venant se lécher les lèvres pour récupérer ce qu’elle n’avait pas attrapé. Elle le nettoya, comme une sage fille et se releva. Un sourire en coin et elle lui ordonna pratiquement de la faire sienne en relevant sa cuisse contre sa hanche, venant enrouler sa virilité de ses doigts pour la diriger jusqu’à son intimité. Inutile de préciser qu’il avait capté le message. Du moins, elle l’espérait. Ses lèvres happèrent les siennes pour un baiser endiablé, enflammé, elle glissa ses doigts dans ses cheveux qu’elle empoigna, refusant de le laisser s’éloigner le temps de son baiser. C’est elle-même qui y mit fin, se hissant dans ses bras pour adopter une position plus confortable où elle se ferait porter et coincer contre le mur afin qu’il puisse prendre possession d’elle. Aussi délicieusement qu’il savait le faire. Aussi délicieusement qu’il se permettait de le faire. Un bonheur à l’état pur qu’il était le seul à pouvoir lui offrir comme si c’était une chose si simple pour eux alors qu’avec un autre ça serait une autre paire de manches.

    Son corps se cambra, forçant l’intrusion à se faire, gémissant au creux de son oreille tout en l’implorant de prendre son corps, son âme, de venir puiser leurs dernières forces dans cette acte mutuelle qui leur donnerait une certaine délivrance plus communément appelé petite mort. Ses hanches frappèrent les siennes et elle lui donna le dernier avertissement avant qu’elle ne change pour des griffures ou des morsures. S’il ne voulait pas se faire mutiler autant qu’il apprenne à être plus obéissant. Au moins, il savait à quoi s’attendre avec elle et il ne pourrait pas dire qu’il n’a jamais été prévenu.

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    Le talent. C'était ce qui muait la belle Heather. C'était parce qu'elle était incroyablement douée qu'elle pouvait, à ce point, faire plaisir au jeune homme. Le fait qu'elle le connaisse par coeur devait aussi aider un peu. Depuis le temps, elle ne se sentait plus gênée de jouir, alors que la plupart des femmes ont tendance à préférer ne pas se laisser aller à ce point avec leur partenaire. Mais elle s'en moquait et faisait ce qui lui chantait, même s'il s'agissait de le laisser venir en elle, jusque dans sa bouche. Elle n'hésitait même pas à apprécier le fruit de son travail, à profiter de la position pour se donner elle-même du plaisir : c'était une reine. Elle était incroyable, et il la laissa faire en échappant un râle évocateur. Son rythme cardiaque s'était emballé, accélérant à une vitesse folle. Danny regarda son amour finir de lécher tout ce qu'elle voulait garder pour elle, ses yeux électriques le fixant d'un air d'actrice spécialisée, ses cheveux trempés collant à sa peau nue. La plupart des mecs ne sont pas capables de continuer à assurer après un tel orgasme, et il est vrai que, généralement, le corps n'en endure pas plus. Un repos, un besoin de recharger ses batteries, que sais-je encore ? L'inconscient des hommes décide que c'en est assez, peut-être par fatigue, ou pas égoïsme. Mais apprendre à apprivoiser son propre corps peut également permettre d'aller au delà des réflexes primaires instinctifs qui consistent à faire redescendre la quéquette et la rendre indisponible pour la suite des évènements. Danny, lui, ne comptait pas en rester là. Tant pis si son corps refusait de lui donner une seconde jouissance, il en avait encore plein à donner à celle qu'il aimait et désirait à chaque seconde. Elle se releva et captura ses lèvres sans vergogne, et il l'attrapa par les fesses. Heather savait ce qu'elle voulait, le temps était venu de passer aux choses sérieuses.

    Quand il s'agissait de mettre fin aux préliminaires, la belle était parfaitement capable de le diriger, et soigneusement qui plus est. Aucune honte ne limitait son comportement, elle pouvait aller jusqu'à lui donner des ordres extrêmement crus sans le moindre complexe, sans le moindre tabou, même si ça pouvait donner à leurs ébats une dimension pornographique. Ensemble, ils avaient expérimenté de nombreuses choses, positions ou fantasmes. Dès que l'un des deux avait une idée, il la confiait à l'autre sans la moindre angoisse de subir regards et jugements. La confiance était née de cette complicité, mais au fond de lui, Danny espérait que ce qu'elle faisait avec lui, elle ne le faisait pas avec d'autres. Tout comme lui refusait catégoriquement de reproduire ce qui marchait sur elle à des femmes différentes. Elle était unique à ses yeux et entendait bien que cela reste ainsi. Il la souleva par les fesses alors qu'elle grimpait sur lui comme on escalade la face escarpée d'un mont, enroulant sa jambe autour de ses hanches. Il accompagnait son mouvement sans cesser de l'embrasser ou de la caresser. Elle ondulait, cherchait le contact entre leurs parties intimes. Elle avait envie et craquait. En son for intérieur, l'Eliot jubilait que la jeune femme finisse par craquer. Il avait presque envie de la faire mariner, de la laisser s'impatienter jusqu'à ce qu'elle insiste avec des mots durs et insistants. Mais la manière dont elle s'y prenait le forçait presque à admettre qu'elle n'avait plus besoin de réclamer ce qu'elle voulait : il le savait d'instinct. Il aurait pu accéder à sa demande, il est vrai, et la prendre ainsi, coincée entre le mur de la douche et lui-même, mais ça aurait été trop simple. Si Heather décidait de jouer la chienne ou la salope - et ça n'était pas péjoratif de la part du jeune homme de la qualifier ainsi, mais bel et bien affectueux - ça n'était pas pour qu'il soit un agneau doux et bienveillant. Enfin, généralement, si, mais... Elle pouvait également vouloir une brute.

    Danny força la belle à détacher son étreinte et la reposa au sol, avant de l'attraper d'une main par la hanche, de l'autre par les épaules, et il la retourna violemment, la collant de face au mur embué de la douche. Il écarta les fesses de sa nymphe et l'amena à se cambrer davantage avant de la pénétrer d'un coup sec et sans vergogne. Il serra les dents en ressentant le plaisir de son sexe enserré dans celui d'Heather, humide et préhensile, semblant n'attendre que sa présence. Il continua à tenir la jolie brune par les hanches d'une main, afin de mieux la prendre d'une façon encore plus profonde, rapide et presque brutale ; de l'autre main il la prit par les cheveux, juste à l'arrière du crâne, attirant son visage près du sien pour qu'elle se retourne et l'embrasse encore. Quand il fut assuré qu'elle ne quitterait pas ses lèvres, il se remit à caresser sa poitrine, ses flancs, ses fesses, la partie sensible externe entre ses cuisses... Elle voulait du plaisir ? Il lui en donnerait. Il se promettait de la faire gémir, crier, hurler si besoin était. Danny cessa de mêler sa langue à celle d'Heather avant de lui mordiller le lobe de l'oreille pour lui murmurer :

    - Maintenant, jouis, chérie...


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Tout ce qu’elle faisait était prévu pour lui faire perdre la tête. Autant dire qu’elle savait très bien ce qu’elle devait faire et à quelle moment elle devait le faire pour que ça lui plaise doublement. Elle avait une façon si rapide d’analyser les choses et de pouvoir trouver chaque fois la solution qui lui permettrait de faire en sorte de le sortir de ses gongs. Là, par exemple, elle avait remarqué son regard sur elle et elle savait que c’était le meilleur moment pour porter sa main entre ses cuisses et se caresser devant lui. Elle savait que ça attiserait le plaisir de Danny et ça ne manqua pas. En effet, il termina par se libérer entre ses lèvres. Plaisir qu’elle récupéra dans toute sa totalité pour ne rien perdre de la jubilation personnelle de l’avoir repoussé, à son tour, dans ses retranchements. Elle se redressa, usant de son charme et d’un certain appétit sexuel pour lui ordonner, ou pratiquement l’obliger à la faire sienne. Mais si seulement Danny pouvait être obéissant. Il semblait apprécier la faire attendre et la frustrer un peu comme s’il cherchait à se venger du traitement dont elle l’avait torturé. Ce n’était pas une fin en soi, n’avait-il pas aimé au point de jouir ? La réponse était positive. Au moment où elle s’apprêta à s’empaler directement sur lui, il la faisait redescendre. Pour un peu et elle se serait énervé, lui hurlant des insanités. On ne frustre jamais une femme, c’est une chose qui peut être bien dangereuse à force. N’avait-il pas lui-même apprit de ses erreurs pour les recommencer sans cesse ? Heather allait très vite lui apprendre à être de nouveau à ses ordres et sous ses demandes parce qu’il prenait un peu trop le partie de faire ce qu’il désirait ses temps-ci. Un homme rebelle ? Il allait surtout mériter la correction !

Mais à peine eut-elle le temps de penser à toutes les possibilités pour le maltraiter qu’elle se faisait vivement retourner et plaquer contre le mur de la douche. Elle eut à peine le temps de placer ses mains contre le mur que sa poitrine s’écrasait déjà contre le mur froid. Sa joue également posé contre la surface plane et glacée, elle se dit que, peut-être, les choses allaient enfin tourner en sa faveur. Ou défaveur, c’était selon. Ses hanches se faisant tirer vers l’arrière, Heather n’eut d’autre choix que de se décoller un peu du mur, se cambrant pour s’offrir ouvertement à lui dans une position plus qu’explicite. Et l’attente ne dura pas plus longtemps. Une vive douleur lui traversa l’échine, tout d’abord. Il n’avait jamais pris de gant avec elle et autant dire que quand il passait par ce chemin, il ne prenait pas le temps de la préparer au préalable. Si bien, qu’à force, cette douleur était devenu une source de plaisir chez la jeune femme qui laissa ouïr le son de sa voix recouvrant le bruit de la chute d’eau. Ses mains se fermèrent en deux poings et ses dents attrapèrent sa lèvre inférieure, essayant d’étouffer les gémissements qui ne cessaient de lui échapper à chaque coup de reins qu’elle recevait. Peu à peu, la douleur laissa place à ce plaisir immense qui la faisait frissonner toujours plus violemment. Il y a des femmes qui aiment l’orgasme anal. Comme elle. Elle ne put lui répondre dans l’immédiat tant l’apothéose était immense. Les yeux clos, sa joue plaquée contre le mur de la cabine, elle profitait pleinement de la présence en elle, osant onduler du bassin envoyant ses reins vers l’arrière pour que ses fesses viennent claquer contre les cuisses de son bourreau. Il n’y a pas à dire. Danny était bien le seul à la faire grimper au rideau avec autant de violence. Echappant un petit cris de surprise sous l’acharnement, cette fois, de son cuir chevelu, elle ne put qu’accepter son baiser, le lui rendant doublement avant de stopper pour reprendre sa respiration qui était, pour sa part, devenu rauque et saccadé.

« Actionne-toi plus vite au lieu de me donner des ordres bidon. Tu sais que je vais jouir, mais pas tant que tu n’auras pas tout donné. Tu es un homme viril, mais voyons si tu sais toujours e servir de cette virilité. »

Un sourire en coin, elle ne cessait de le provoquer à chaque fois. Mais comme à chaque fois, elle le paierait à nouveau chère. Et ça commençait déjà, autant le dire. Elle écarta un peu plus ses cuisses, glissant sa main sur celle de Danny qui s’y trouvait et l’obligea à augmenter la pression de ses caresses, tout comme elle l’obligeait à accélérer les mouvements de son bassin. Et même si la douleur cuisante était encore là, elle se sentait presque défaillir sous les déferlantes de plaisir. Les vagues de chaleur qui l’envahissait parsemant son épiderme de grains qui laissait croire qu’elle pourrait avoir froid en temps normal. Là, ça n’était pas le cas. Elle était bel et bien en sueur même sous cette eau. Ses gémissements ne cessaient d’emplir les lieux et elle n’hésita pas, de sa main passé vers l’arrière, tenant les hanches de Danny contre son postérieur, de griffer sa peau quitte à lui laisser quelques traces rougeâtres. Il les avait bien mérités celles-là. Mais plus les coups de reins se faisaient et plus elle se sentait prêt à imploser. Ses jambes fléchissaient légèrement et encore heureux qu’il soit là pour la retenir. De son côté, Danny pourrait très facilement sentir son intimité se serrer et se desserrer par spasmes de plus en plus au fur et à mesure signe que sa jouissance approchait à grand pas s’il n’était pas au seuil à l’instant où il s’en posait la question. Elle ne savait plus où donner de la tête et ses gémissements plus rapide, plus aigus trahissait son plaisir. Il était hors de question qu’une autre le subisse. Elle voulait être la seule. Dans un sursaut de jouissance, elle cria littéralement le nom de son amant, serrant sa main sur le poignet qui lui tenait les hanches, se laissant aller à un violent orgasme qui sembla lui faire baisser légèrement la tension vu les points blancs et noirs qu’elle avait devant les yeux, n’y voyant plus rien. Parcourut de sursaut de spasmes, elle finit par s’immobiliser, contre le mur, le laissant terminer le travail quitte à ce qu’il se laisse aller en elle. Pourquoi pas ? A moins qu’il ne veuille se laisser aller sur elle ? A sa guise, elle était capable de tout accepter.

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    Danny la vit s'extasier de plaisir et fut ravi de pouvoir contempler son oeuvre. Car c'était ainsi qu'il la considérait. Elle était sa XIIIe de Ragmaninoff, sa Chapelle Sixtine, du cubain véritable ; Heather était comme les cohibas, les monte-cristo, une femme de rêve dont on fantasme chaque nuit et qu'on ne peut jamais obtenir. Sauf lui. Alors qu'il lui faisait l'amour comme elle était la seul à en profiter, il observait chaque trait de son visage, chaque expression qui accompagnait ses lèvres exsangues à force de se les mordre ; dès qu'elle ouvrait les yeux il pouvait observer chaque étoile dans ce ciel bleuté qu'ils représentaient ; sa chevelure sombre entremêlée dans ses doigts à lui. Il la tenait. Dans la situation, seulement. Il savait bien qu'elle décidait pour eux dans leur relation, même si elle s'en remettait souvent à lui ou à ses conseils sur diverses matières. Combien de fois l'avait-il conseillée en cours d'économie ou de géopolitique ? Et il le faisait de bon coeur. Pas uniquement parce qu'elle savait le remercier (sic !) mais surtout parce qu'elle l'écoutait. Elle l'avait toujours écouté comme il l'avait toujours écoutée quand ils parlaient de culture, quelle qu'elle soit. Elle était d'ailleurs la seule dans cas, à s'intéresser autant à ce qu'il avait à lui raconter qu'à ce qu'il pouvait lui faire. Si ce n'est plus. A force, elle devinait presque ses phrases et ses réactions, mais pourtant elle continuait de lui demander ce qu'il pensait de sa tenue, ou de son article, ou encore de ce qu'elle avait écrit pour tel ou tel devoir. Ils étaient comme ça. Comme un couple, finalement, sans l'officialité. C'était d'ailleurs ce qui lui manquait le plus.

    Il se retira et la retourna à nouveau pour que la belle se trouve face à lui. Elle avait encore jouit, mais il semblait ne pas croire que cela suffisait. D'une main, il la maintint avec force par les poignets, juste au dessus de sa tête, collée contre le mur. De l'autre, il vint lui caresser les lèvres du bas, entre ses cuisses, en venant l'embrasser encore, mêlant sa langue à la sienne avec toujours autant d'envie. Il voulait la sentir contre lui et pressa leur corps ensemble, cherchant le maximum de contact avec son aimée et le plus de gémissements de plaisir de sa part. Elle était trempée, et pas seulement là où il la caressait. Danny savait qu'il lui avait fait mal dans les premiers moments de la pénétration anale, mais il savait aussi que ce genre de brutalités lui plaisait - avec parcimonie, tout du moins. Elle l'avait déjà réclamé, tout comme elle avait réclamé quelques instants plus tôt qu'il insiste encore pour qu'elle ait son orgasme. A présent, il pouvait très bien couper l'eau, la porter jusqu'à sa chambre, la jeter sur le lit et la baiser à nouveau, mais ils auraient trempés les draps. Même s'ils n'avaient pas été sous la douche, d'ailleurs. Ca n'était qu'une excuse idiote pour qu'il argumente le fait de vouloir continuer sous l'eau. Il adorait ça. L'Eliot considérait tous les endroits contenant de l'eau comme particulièrement aphrodisiaques, et Heather était d'une beauté incomparable quand elle était mouillée de la tête aux pieds (je précise pour les pervers !). Le jeune homme savait ce qui plairait à la belle brune. Il continuait à caresser ses lèvres et à y pénétrer doucement de ses doigts jusqu'à s'assurer qu'elle soit suffisamment humide pour qu'il la prenne. Par la voie normale, cette fois-ci, en tout cas.

    C'est alors qu'il cessa de lui faire plaisir de ses doigts et qu'il écarta à nouveau ses cuisses. Il la souleva d'une seule main, maintenant toujours ses bras au dessus d'elle, incapable de bouger sous son emprise. Il se plaça entre ses jambes qu'il entoura autour de sa taille comme un étau, et il pénétra en elle, doucement, sans à-coups, bien plus tendrement que la fois précédente. Il ne s'agissait plus de la baiser violemment, mais de libérer leur corps de cette envie qui les démangeait toujours. C'était comme une drogue : au début, on se contente de peu, mais après, il en faut toujours plus et on ne peut se contenter d'une moindre dose. Le sexe entre Heather et Danny pouvait prendre des heures, quand ils étaient vraiment dans le besoin, et le "petit coup vite fait" que s'offrent les autres couples n'existait pas chez eux. S'ils commençaient entre midi et deux, comme certains, ça ne finissait pas de l'après midi. Il se sentait presque soulagé de la prendre à nouveau et en cette partie si délicate de son anatomie. Il voyait la poitrine de la jeune femme se tendre vers lui, comme si elle réclamait qu'il l'embrasse et s'en occupe, ce qu'il ne manqua pas de faire. Il la couvrait de baisers quand elle ne capturait pas ses lèvres. Sa main tenait ses fesses si fermement qu'elle aurait sûrement des marques le lendemain. Ca n'était pas grave, ce ne serait pas la première fois. Puis, à force que les gémissements, les cris devrais-je dire, de son amour ne cessaient de s'amplifier, il finit par se laisser aller lui aussi, autorisant ce plaisir intense à monter en lui. Oh, il ne finirait pas tout de suite, pas avant qu'elle n'ait encore jouit, mais ça viendrait bien assez tôt...


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Il l’avait fait grimper aux septième ciel sans passer par les autres étages. Un allé simple sans possibilité de retour, du moins, c’est ce qu’elle aurait cru. Elle avait tout de même manqué de s’évanouir tant le plaisir avait été immense. Il était sûrement le premier aussi violent jamais connu. Comment ça se faisait ? Aucune idée. Peut-être que ça changeait de tous ses partenaires – même s’ils n’étaient pas nombreux – qui ne lui arrivaient pas à la cheville. Dans tous les cas, elle avait bien du mal à revenir sur la terre ferme et quand enfin elle y parvenait, voilà qu’il se retirait et lui faisait faire volte-face. Elle venait à peine d’ouvrir à nouveau les yeux, l’observant d’un air mi inquiet, mi encourageant pour la suite et elle gémit à peine eut-il frôlé ses lèvres intimes de ses doigts. C’était sensible. Trop sensible et il ne voulait lui laisser aucun répit semblerait-il. Elle happa ses lèvres, ne pouvant pas le toucher vu la prise qu’il exerçait sur ses poignets. Elle était dans l’incapacité même de se défaire de son emprise et elle n’avait d’autre choix que de se laisser faire, soumise à ses intentions. Et incroyablement, cela l’excitait. Instinctivement, elle écarta ses jambes, les fléchissant pour s’appuyer d’elle-même sur ses doigts, ondulant légèrement et lascivement pour se masturber littéralement contre sa main. Il avait déclenché à nouveau le feu dans ses reins et les papillons dans son bas-ventre traduisaient son nouveau désir. Peu importe combien de fois il la ferait jouir, elle ne voulait pas que ça se termine tout de suite. Elle laissa entendre quelques gémissements au travers de leur baiser, les yeux clos à nouveau, essayant parfois de tirer sur ses bras l’envie de le toucher étant parfois plus forte que le reste. Mais il ne l’entendait pas de cette oreille et elle devrait s’y plier.

Quand il ôta ses doigts si inquisiteurs, elle le fusilla pratiquement du regard. Mais il sembla très vite trouver un moyen de se faire pardonner. Se cambrant, elle resserra ses cuisses autour de sa taille, renversant la tête vers l’arrière, contre le mur, dès qu’il prit possession d’elle. Elle aimait ça. Elle aimait quand il venait si doucement après tant de violence. A croire qu’il la connaissait sur le bout des doigts – ce qui était très certainement le cas. Elle ondula, refusant de le voir inactif plus longtemps, son corps semblait parfaitement correspondre au sien. Comme s’ils étaient voués être assemblés. Prise par le feu de l’acte, elle lui gémissait des demandes au creux de l’oreille, lui demandant d’accélérer ou de ralentir, faisant grimper leur plaisir à tous les deux. Les muscles de ses cuisses se contractaient par à-coups, prise par les vagues de plaisir, tremblant légèrement. Elle bomba la poitrine et ce fut comme un message pour Danny qui, automatiquement, y laissa trainer ses lèvres et sa langue. Ses tétons durcissant automatiquement contre son muscle humide, elle laissa entendre des gémissements un peu plus forts. Elle libéra une de ses mains, avec grand mal et glissa ses doigts entre leur deux corps, le faisant sortir d’elle. Elle avait une autre envie de jouir, et cette fois, il serait sûrement deux vu la façon dont elle le sentait pulser dans sa paume. Elle happa ses lèvres et fit glisser l’extrémité du membre de Danny contre son point le plus sensible. D’une manière appuyée mais pas trop pour que lui ressente les caresses de son point sensible contre lui. Et tout en faisant glisser sa paume contre le pique de chaire, elle s’adonnait à un certain plaisir.

Les gouttes prémices de jouissance venait humidifier sa peau intime et rendait sa masturbation des plus électrisantes. Elle en voulait encore et encore et tout en accélérant, elle le sentit se tendre. Bien vite, elle put sentir son plaisir l’envahir de toute part et les quelques jets vif venait se perdre sur son bas ventre ou contre son point sensible qui s’enflamma à nouveau pour la faire se tendre et se crisper. Elle pressa ses lèvres contre son cou, le mordant fermement pour l’immense plaisir qui la submergeait et nous savons, nous les femmes, que les orgasmes suivant le premier sont toujours plus puissant. Elle s’arrêta, lentement, doucement, le relâchant enfin pour rester contre lui, pantelante et haletante. Une partie de jambes en l’air comme elle n’en avait plus connues depuis longtemps. Elle embrassa la morsure visible contre son cou, marque rougeâtre, remontant jusqu’à son oreille pour lui susurrer combien elle était ravie de ce qui s’était passé et de chercher ses lèvres pour l’embrasser. Mais elle n’en pouvait plus. Un autre orgasme lui serait surement fatale – j’exagère – et elle reposa ses pieds au sol, se callant entre ses bras. Elle était bien, et comme à chaque fois, elle désirait de la tendresse autre que celle sexuelle. Elle voulait qu’il la serre contre lui qu’il caresse ses cheveux ou son dos peu importe. Elle voulait recevoir quelques baisers et elle voulait juste se remettre calmement de ses émotions avec lui. Doucement, elle se recula, le regardant d’un sourire amusé.

« Et si on se douchait vraiment maintenant ? On va dans le lit ensuite et on fait une sieste bien méritée. Tu es content maintenant que tu m’as bien mise K.O, je ne vais même pas pouvoir réviser. »

Elle se glissa sous le jet d’eau et attrapa shampooing et gel douche pour se nettoyer, profitant pour le nettoyer à son tour, faisant attention à ne pas l’exciter à nouveau. Elle serait dans une fâcheuse posture s’il venait à être mis de bonne humeur pour un troisième round. Elle le gratifia de quelques baisers. C’était étonnant de voir, chez eux, tant de complicité, tant de petits gestes tendre sans qu’ils ne soient un couple.

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    Elle avait un nouvel orgasme et ne semblait pas s'en plaindre. Chaque plaisir qu'ils prenaient ensemble les confortaient dans l'idée que personne d'autre ne serait capable de leur offrir de si beaux instants. Ils s'appartenaient mutuellement, les jouissances qu'ils pouvaient ressentir ensemble n'étaient qu'à eux, et à eux seuls. Bien des choses qu'il faisait à sa douce étaient des exclusivités qu'il lui réservait, et qu'il n'oserait jamais accorder à d'autres femmes... Heather était tellement belle qu'il ne pouvait s'empêcher de la caresser avec amour et passion, leurs corps toujours entremêlés. Il la connaissait par cœur et pourtant... Pourtant il la redécouvrait avec bonheur chaque fois...

    Danny prit Heather dans ses bras et l'embrassa tendrement. Son idée de rester ensemble, de prendre une petite douche en amoureux lui plaisait d'autant plus qu'il désirait rester auprès d'elle. Il ferma les yeux et se laissa bercer par la tendresse de la voix de son aimée et par les vagues de plaisir apaisantes qui le submergeaient depuis quelques instants. Elles finirent par s'éteindre, mais la jeune femme était toujours là, en train de se savonner sous son regard amusé, lui souriant d'un air angélique. Il l'imita, se penchant de temps à autres pour presser ses lèvres contre les siennes. Avec n'importe quelle femme, il aurait déjà inventé n'importe quel prétexte pour se casser le plus vite possible, mais Heather était à part : il l'aimait. C'était dans ces moments là qu'il se faisait violence pour ne pas lui avouer de tels mots que peut-être elle aurait du mal à comprendre. Il ne fallait pas tout mettre en danger pour un simple coup de tête : s'il lui parlait de sentiments, c'était net et définitif, il ne pourrait plus jamais l'approcher, sans même parler de sexe. Il passerait pour un con, aussi sec, sans même pouvoir se justifier. Et dans l'cul Danny ! Il n'aurait plus qu'à retourner voir les innombrables pétasses qui ont visité son plumard ou qu'il a visité de lui-même, de l'intérieur. Heather méritait mieux, mais d'un autre côté il lui restait une possibilité...

    Il sourit et prit un peu de mousse savonneuse pour en déposer une perle, du bout du doigt, sur le petit nez retroussé de la jolie brune. Il s'amusa ainsi quelques instants à la taquiner, allant chercher la mousse sur son corps à elle pour lui remettre à des endroits tout simplement improbables. Au bout de quelques instants où ils riaient ensemble, il la reprit dans ses bras pour l'embrasser encore, riant de leur bêtise, de leur gaminerie sans conséquence. Voilà qui leur correspondait. Ils se correspondaient mutuellement. Quelque part au fond de son âme le bel Eliot était convaincu que son existence ne pouvait se faire sans elle. Dans un nouveau baiser, sa langue se mêla à celle d'Heather alors qu'il la faisait tourner dans ses bras. Si seulement il pouvait lui témoigner à quel point son amour pour elle était fort... Chaque laps de temps qu'ils dévoraient ensemble était un bonheur autant qu'une souffrance, mais il les louait tous, chacun d'entre eux, avec une infinie patience. Lorsque leurs lèvres se séparèrent, il glissa sa joue contre celle de son amante, venant embrasser le lobe de son oreille, étant incapable de la lâcher. Subitement, une suite de paroles fut lâchée par ses cordes vocales :

    - Au fait... Le concept d'aller au bal ensemble, t'en penses quoi ? demanda-t-il négligemment.

    Il commença par regretter sa question, mais il ne lui fallut qu'une fraction de secondes pour réaliser que c'était mieux ainsi, beaucoup mieux. C'était idiot, mais le bal serait sûrement l'un des meilleurs moyens d'avoir la belle auprès de lui. Déjà, il serait au moins certain qu'elle n'accompagnerait pas un autre homme, et c'était un très bon point. Celui qui approcherait la femme de sa vie s'exposait juste à d'intenses risques de mort imminente. Ils auraient l'occasion de danser de nouveau ensemble, comme par le passé, serrés l'un contre l'autre, amoureux, heureux, comme ils avaient déjà pu le faire autrefois. Elle se glisserait dans ses bras, calant son visage dans le creux de la nuque du jeune homme, se laissant bercer par une musique imaginaire, celle de la pièce ne comptant plus. Tout ce qui les environnerait ne compterait plus, il n'y aurait qu'eux, eux deux, ensemble, vivant la félicité d'un instant partagé avec bonheur. Le cœur de Danny s'arrêta de battre : il n'était pas question qu'un autre homme s'octroie le droit de vivre un pareil moment avec son amour. Peut-être même que si elle se rappelait ces instants vécus plus tôt, que si elle se retrouvait dans une pareille situation, son cœur se remettrait à adopter un rythme similaire au sien... Ils pourraient reprendre une relation normale et ne plus être qu'un simple passe temps l'un pour l'autre ? Rêvant à de telles utopies, le jeune homme aida sa compagne à se rincer du gel douche savonneux qu'elle avait d'étalé sur son corps...


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