Davina&Misha - Quand une putain de colombe blanche chante sa chanson C'est tout ce qu'on entend.

Je sentais son regard sur moi aussi chaud que ses mains contre ma peau. Il en avait envie alors pourquoi ne pas simplement se laisser aller? Je n’arrivais pas à comprendre. J’aurais aimé le pousser à flancher le premier, mais quelque chose me disait que j’allais devoir le faire moi-même. Le bon côté restait tout de même qu’il ne semblait pas prêt à me résister. "La question c'est plutôt combien de temps toi tu vas résister..." Je me mordis l’intérieur de la joue une fois de plus, pourquoi devait-il toujours avoir raison? Il allait finir par me rendre folle. Audacieuse, je ne voyais plus qu’une option possible pour la suite. Je me relevai donc de sur lui et attrapai la bouteille de vodka dans laquelle je pris une grande gorgée avant de la reposé sur la table me foutant bien du bruit que je faisais. Je léchai mes lèvres sans le quitter des yeux et passai mes doigts sous la bordure de mon short en jouant un peu avec, bougeant mes hanches dans une petite danse sensuelle avant de carrément descendre mon short et lui révéler ma petite culotte en dentelle. Voyait-il de là où il était à quel point j’étais prête pour lui, à quel point mon désir était palpable?

Misha me regardait avec un sourire vainqueur, sourire que je comptais bien lui faire ravaler dès que possible. Mais pour l’heure, je comptais bien lui donner l’érection de sa vie. Retournant près de lui, je repris ma place au-dessus de lui sans toutefois m’assoir cette fois. Je restai plutôt sur mes genoux, attrapant ma culotte comme je l’avais fait avec mon short et jouai avec la lisière, la descendant et la remontant. « T’en a envie Misha…? Répond moi franchement. » J’avais envie de l’entendre dire. Parce que l’admettre n’était pas interdit. Du moment qu’il tenait bon, il pouvait bien dire ce qu’il voulait, pas vrai? Alors je voulais au moins cette satisfaction de savoir qu’il avait envie de moi. L’entendre dire qu’il n’avait qu’une chose en tête et c’était de m’allonger pour me prendre là, maintenant. Je lâchai ma culotte et glissai une main sur mon corps. Partant de mon cou, caressant ma poitrine sans aucune gêne et terminant ma course sur mon intimité déjà bien humide. Je fermai les yeux, oubliant un moment qu’il était présent. Lui donnant droit à un spectacle que peu d’homme avant lui avait eu la chance de voir. Je me caressai par-dessus le fin tissu en gémissant de plaisir durant quelques minutes avant de rouvrir les yeux, les joues en feu et les lèvres gonflés de désir.

"Ouais... J'en ai envie..." Il ne m’en avait pas fallu d’avantage pour avoir envie de lui donner encore plus de raison d’en avoir envie. Il allait regretter de vouloir résister. Il allait me supplier de le laisser me toucher. Me caressant devant lui, à califourchon sur lui-même me faisait tout drôle, mais c’était terriblement excitant. Le genre de chose auquel je n’aurais jamais pensé. Mais aux grands maux les grands moyens, pas vrai? Lorsque je rouvris les yeux, il s’était installé confortablement et il me regardait avec envie. Son érection était visible au travers de son jeans et je ne savais plus où donner de la tête. Il devait flancher à tout prix! Qu’étais-je supposé faire sinon le violer sur le champ? J’attrapai ses deux mains, les posant d’abord sur mes hanches pour les faire ensuite glisser jusqu’à mes fesses avant de me pencher vers l’avant, posant mes lèvres brûlantes dans son cou pour embrasser sa peau et la sucer doucement. « Laisse toi aller Misha… » lui murmurai-je à l’oreille en me pressant contre son sexe bien dur.


HJ: Tu t'y attendais pas à celle-là, avoue!