Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityEléo & Henri - Tout simplement - Page 2
-29%
Le deal à ne pas rater :
DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil
269.99 € 379.99 €
Voir le deal


Eléo & Henri - Tout simplement

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Eléo me répondit qu'elle se sentait fatiguée et qu'un bon film tranquille était ce qui lui semblait le mieux, on s'embrassa alors, tendrement et alors que je m'apprêtais à lui dire quelque chose, elle s'aperçue de l'état de ma main. Et merde. Elle la prit, l'observa et instinctivement, s'éloigna de moi, l'air inquiète, me regardant d'une drôle de façon. Elle me demanda rapidement ce qu'il s'était passé pour que ma main en arrive à cet état là.

« Ce n'est rien Eléo et j'ai pas envie que tu t'inquiète pour ça, tu as autre chose à penser... »

J'avais pas envie de lui faire peur, pas non plus envie qu'elle s'imagine tout un tas de choses alors tout simplement, je fini par lui dire la vérité, sans trop attendre :

« A ton avis qu'est-ce que c'est? Tu me connais un peu maintenant, non? Tu sais que je suis maladroit, tu sais aussi que parfois je peux être très con. Surtout quand j'ai l'impression de ne plus rien contrôler, que j'ai le sentiment de ne pas pouvoir faire grand chose et davantage, quand ça touche les personnes auquel je tiens le plus.... »

Je soupirai, regardant ma main qui avait oui, une sale gueule. Je passais ensuite mon autre main sur mes phalanges rouges, j'avais tellement envie de lui dire les choses dans leurs détails, qu'en ce moment j'allais pas bien, je sentais quelque chose se passer en moi, je sentais une colère que j'arrivais pas à contrôler, que je pétais un plomb, que je n'arrivais pas à me confier aux gens que j'aimais, que je n'en avais pas le droit face à ce qu'ils devaient vivre personnellement. Mais finalement, je lui dis simplement :

« C'est vraiment rien Eléo... Ca n'arrivera plus. »

Et c'était vrai, ça n'arriverait plus. Là, c'était la goutte d'eau qui avait fait débordé le vase, vase que je tenais et que je ne pensais pas être rempli si tôt. Je savais que j'allais mal, que quelque chose se passait en moi, mais je ne pouvais pas dire ce qui allait se passer. Une tentation de combattre ce mal me rongeait, j'étais en quête d'une solution, d'une aide pour affronter ça. J'ignorais encore à ce jour que bientôt, j'allais en passer par un autre mal, plus féroce, qui m'aiderait à faire face quelque temps, jusqu'à ce que je ne me rende compte que c'était bien plus néfaste que le premier mal qui me perturbait à ce jour. Mais ça... Henri n'en savait rien et Eléo non plus.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Non, je n'arrivais pas à penser à autre chose que sa mains pleine de sang. Son flot de paroles était presque incompréhensible et n'expliquer en rien la raison qui faisait qu'il avait sa main dans cette état. Il refusait tout simplement de le dire, et je n'avais pas le droit de lui en vouloir, parce que moi aussi, je ne lui disais pas tout, alors lui en faire la reproche était illégitime de ma part. J'avais l'impression que nous partions à la dérive, qu'on ne contrôlais plus rien. On se perdait de vue, voilà ce qu'ils nous arrivaient. Mais si nous voulions que ça marche, il allait falloir que nous sortions de cette impasse, parce que bientôt, cela ne serait plus possible. On ne pouvait pas continuer comme ça, à ce cacher sans arrêt des choses, plus ou moins importante. Je soupirais, prenant une nouvelle fois sa mains pour regarder les dégâts.

- Viens, on va aller désinfecter ça.

De sa main valide, je le forçais à me suivre sans un mot. C'était mieux ainsi, parce que me connaissant j'aurai voulu insister pour savoir ce qu'il c'était passé, et au mieux il m'en parlerais ou me dirais un mensonge , au pire on s’engueulerait. Mieux valait que cela ne devienne pas une habitude. Arrivé dans la salle de bain, je l'invitais à s'asseoir sur la chaise valide, et pris dans l'armoire à pharmacie de quoi désinfecter sa main. C'était l'idée de Léo de mettre une armoire à pharmacie, et pour le coup, je ne le remercierais jamais assez. Désinfectant et coton en mains, je pris l'initiative de nettoyer sa plaie. Pas vraiment jolie à voir tout sa. Moi qui pensait avoir eu ma dose de sang pour l'année, c'était loupé.

- Dis le moi si cela te fait mal. Tu à peut être quelque chose de cassé. Il faudrait aller à l’hôpital pour confirmer ou non ça.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Elle soupira, tentant de me croire malgré tout. Pourtant, je lui disais la vérité, je n'avais juste pas envie de lui parler des détails, si c'était pour lui rajouter du souci, ça ne servait à rien. Je devais être fort pour elle, pour la soutenir et non pas devenir l'objet de ses angoisses. Pour le coup, elle me prit la main pour me faire asseoir dans la salle de bain, histoire de me nettoyer un peu tout ça. Son alcool me brûlait, mais je ne pipais mot. Elle s'inquiéta ensuite de savoir si quelque chose était fracturé ou non. Je regardais ma main, elle n'était pas gonflée, pas rouge ou bleue. Juste du sang au niveau des phalanges, mais maintenant que c'était plus propre, il ne restait pas grand chose. Je lui répondis alors :

« Non, ça n'est pas grave à ce point là, regarde »

Je bougeais mes doigts dans tous les sens pour lui montrer que c'était vraiment juste le coup qui était douloureux et que maintenant, ça allait mieux. D'ici demain, j'étais sûr de ne plus rien à voir, quelques égratignures, mais rien de bien méchant. Le seul truc en ce moment, qui était douloureux, c'était de voir la distance que l'on s'infligeait elle et moi. Elle, incapable de me parler de ce qu'elle avait au fond d'elle et moi, incapable de lui exposer mes angoisses, mes souffrances, mon mal être qui me rongeait depuis ce qu'elle avait traversé, seule. On était comme deux étrangers, trop habitué à être ensemble pour penser se séparer, mais on ne partageait plus rien, on ne sortait plus, on restait tout le temps ici, chez elle, à regarder des films. On ne parlait plus, on dormait à peine l'un contre l'autre. C'était froid, glacial, alors que cela ne faisait que deux mois. D'un côté, cela me soulait, j'avais envie que ça change, mais je me sentais démuni face à la situation, car je ne pouvais rien faire. J'étais là, pour elle, je ne disais rien, mais j'étais là, car c'est ce qu'elle me demandait au fond. Juste ma présence, mais moi, ça me vexait. Car au pire, que ça soit moi ou quelqu'un d'autre, dans le fond pour elle, c'était la même chose? J'avais l'impression de perdre ma place de petit ami, de jour en jour et cela me rendait malheureux. Car moi, je n'avais aucune envie de la perdre.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Après avoir eu désinfecter sa main , Henri bougea ses doigts et par la même occasion ces phalanges pour me montrer qu'il n'avait rien cassé. Heureusement , l’hôpital n'était pas à coté et dans ma tête j'avais déjà imaginée les longue heure à attendre en salle d'urgence pour quelque doigts. Je lui fis tout de même un bandage pour que sa main puisse guérir tranquillement, en espèrent qu'il ne s'amuse pas à faire la même chose avec son autre mains.

- voilà c'est fini. Évite quand même de trop t'en servir. On sait jamais.

Je rangeais le désinfectant et jetais les coton que j'avais utilisée pour nettoyer sa blessure, pour quitter quelque instant après la salle de bain. Et maintenant, que faisait -on ? Est qu'on devait continuer à faire comme si de rien était, et regarder un film comme je l'avais suggérée plus tôt ? Je pense que c'était le meilleurs à faire. En parler n’arrangerait pas les choses, même si je voulais qu'on se parle. Tout était devenu froid entre nous, et même lorsque je le prenais dans mes bras ou que nous nous embrassions, ce n'était plus comme avant, comme s'il y avait une barrière entre nous, qui nous empêchaient de ressentir quoique se soit. Il y à une semaine, nous étions heureux ensemble, et aujourd'hui c'était le chaos total.

- Est ce que tu veux rester ?

Je préférais lui demander, je ne voulais pas qu'il se sente obligeais de rester pour moi, parce que je venais de tomber dans les pommes. Certes je n'avais pas envie qu'il parte, mais c'était à lui de choisir, est-ce qu'il préférait rester, ou partir. Tous ces événements me fatiguait, j'avais l'impression que les choses empirer chaque jour depuis la prise d'otage, enfin , rien ne serais pire que ce jour là , mais rien ne s'était arrangeais depuis, comme s'il n'y avait pas de fin.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Eléonora termina de me soigner puis finalement, me demanda si je voulais rester avec elle ce soir. Sa question me laissa un peu perplexe, car cela sous entendait-il qu'elle voulait être seule? Je n'en savais rien. Moi, j'avais envie de rester, mais entre mes envies et la réalité, n'y avait-il vraiment qu'un pas? Depuis quelques temps maintenant, notre couple allait très mal. On ne se parlait plus vraiment, on se disait des banalités, on se cachait des choses, jouait-on la comédie? Je sentais qu'au fond de moi, quelque chose se brisait, je sentais au fond de moi que la fin était proche pour notre couple. Qu'allions nous devenir à ce rythme? Je n'avais pas envie de foncer dans le mur, mais j'avais l'impression que seule cette voie nous attendait... J'avais poussé Eléo à me parler et cela s'était finit en dispute. Je n'avais pas envie de lui parler de mes problèmes en retour, par fierté masculine et par peur de lui faire davantage de mal qu'elle n'en supportait déjà alors à quoi tout ce jeu répondait-il? Je soupirai, la remerciant pour la bandage qu'elle venait de me faire, puis répondis :

« Tu veux que je reste?... »

Mais en disant ces mots, je sentais que quelque chose de concret prenait forme : notre fin. Cela me rendait malheureux... Mais je me sentais démuni, je ne savais pas quoi dire ou faire pour arranger les choses. Mon affection pour Eléo était toujours là, terrée derrière mes angoisses, mes peurs, mon manque de confiance envers elle et notre couple, depuis quelques temps. J'avais envie de lui dire quelque chose, de faire avancer quelque chose pour nous.

« Ca ne va pas fort entre nous depuis la prise d'otage... N'est-ce pas? »

Je venais de dire cela d'une voix presque éteinte, ma voix nouée dans ma gorge. Je sentais le stress m'envahir. Je sentais la peur s'accentuer à l'intérieur de moi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Nous avons regagnés le salon, et en entendant sa réponse, je restais perplexe. Bien sûr que j'avais envie qu'il reste, mais au fond de moi, je me demandais si c'était vraiment ce que je voulais. Au final, on passerai la soirée devant la télé, et une fois le film finit, on irai se coucher, sans vraiment s'adresser la parole. Et c'était une situation qui n'était plus envisageable, ça nous tuer à petit feu, surtout si nous persistions à rester dans cette situation. Il fallait qu'on parle, que l'on se dise les choses clairement. Alors que j'étais dans mes pensée, la phrase d'Henri me fit revenir sur terre, constatent lui aussi que cela n'allait pas fort depuis la prise d'otage.

- Non pas vraiment.. Henri, je pense qu'il faut qu'on parle.

Je sentais ma gorge se nouer, j'avais peur de ce qu'il allait arriver, mais il le fallait, si nous ne voulions pas plonger tout les deux dans une dépressions sans fin. Je me dirigeais vers le canapé , incitant Henri à faire de même. Je soupirais, lasse de tout ces histoires, je ne savais même pas par où commencer. Comment faire quand on sent la fin venir mais qu'on est même pas capable de réagir comme il se doit.. Est ce qu'on était trop faible tout les deux pour voir la réalité en face? Pour être franc, je l'ignore totalement. Je suis comme qui dirait perdu en eau trouble, et j'ai besoin de temps pour refaire surface.

- Je crois que cela devient compliqué entre nous, surtout quand on s'adresse à peine la parole.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Non pas vraiment.. Henri, je pense qu'il faut qu'on parle. »

Ses paroles sortant de sa propre bouche me transpercèrent. Ca commençait. La fin était là, telle un monstre noir, ouvrant grand la gueule et les bras pour nous dévorer sur place. J'étais figé. On était dans le salon et elle avait voulu que je m'asseye, mais non, je ne voulais pas m'asseoir, sachant très bien ce qui allait nous arriver. On était en train de commencer cette conversation. Celle qui mettrait un point final à notre histoire. Je n'avais aucune envie d'être passif face à ça.

« Je crois que cela devient compliqué entre nous, surtout quand on s'adresse à peine la parole. »

Je baissais l'échine. Enfonçant mes mains dans les poches de mon veston. Elle avait raison, mais putain, ça faisait mal de savoir que c'était fini. Que ça y'est, on avait atteint la limite, notre limite. Que notre si belle histoire s'était à présent terminée. Parce que oui, c'était exactement ce qu'elle était en train de me dire. Qu'elle voulait mettre un terme à notre histoire. Je me sentais tellement con, je n'avais pas été à la hauteur pour elle, j'aurai du juste fermer ma gueule, continuer d'être là pour elle, de sourire et de rire et voilà tout. A contrario, j'avais fait l'inverse, j'avais cherché à la faire parler contre son gré, j'avais essayé de la bousculer, j'avais gueulé, j'avais caché mes sentiments et voilà, aujourd'hui je payais pour tout ça. Je m'en voulais d'avoir agis comme ça, mais maintenant, c'était apparemment trop tard et se rendre compte de cette réalité me faisait mal. Je sentais une douleur, celle du stress de tout à l'heure, envahir mon corps tout entier, je sentais mon ventre se tordre, mes oreilles bourdonner, mes mains devenir mouattes et puis je sentais cette terrible douleur en plein coeur. La douleur d'un espoir illusoire.

« Tu as raison, je suis d'accord avec toi... On ne partage plus rien, on est comme... deux personnes qui restent là car elles pensent que c'est leur place, mais c'est tout.... »

Je me sentais vraiment très triste, mais je continuais encore, d'une voix faible:

« Je suis désolé pour tout ça Eléo. J'aurai vraiment aimé que les choses soient différentes... » Etre à la hauteur, pensais-je. Putain de merde. Je sentais cette peine m'envahir comme une grosse vague en pleine gueule et puis juste derrière, toute cette colère qui me hantait depuis quelques temps maintenant. Je n'allais pas bien. Vraiment pas bien.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Je crois que lorsque j'avais commençais par lui dire qu'il fallait qu'on parle, on avait tout les deux sentis que c'était la fin. Ce n'est pas comme ça que j'avais imaginée les choses pour nous deux. C'était troublant de voir à quel point ce que l'on s'imagine dans notre futur est tout sauf ce que l'on désirait. Pourtant aujourd'hui nous en étions là, à nous regarder, ne pouvant rien faire pour arranger les choses. Nous avions tout les deux besoin de temps, pour que tout redevienne comme avant dans nos vie.

- Je sais moi aussi.. Mais je crois qu'on a tout les deux besoins de temps, autant toi que moi.

Le temps, je crois que c'était notre seul solution. J'avais besoin de me retrouver, pour me remettre de toute ces émotions et de cette prise d'otage. Je savais que cela allait être encore plus compliqué sans Henri à mes cotés , mais je n'avais pas le droit de me servir de lui ainsi, surtout que pour lui non plus ça n'allait pas. Il ne m'en parlait mais je ne suis pas aveugle pour autant. Il fallait que j'apprenne à me relever, à vivre à nouveau comme toute personne normal. Je pensais à consulter une psychologue, peut être que cela m'aiderai à avancer. Et puis je n'était pas totalement seul. J'avais des amies, et une famille en or, d'ailleurs il faudra bien un jour que je les appelles pour leur en parler. Je ne pouvais leur cacher une tel chose.

- Je crois que ça vaux mieux. Si on continu ainsi on va tout droit dans le mur.

Je sentais à l’intérieure de moi que ça n'allait pas. Mon cœur battait vite, je me sentais stressée parce que voilà, j'avais mis fin à notre relation, et j'en prenais l'entière responsabilités. Si cela n'avait pas marché, c'était en grande partie par ma faute, alors je n'avais pas le droit de continuer à lui faire subir cela. Je voulais le voir heureux , et non déprimer à mes coté. Alors oui , j'en prenais l'entière responsabilités, parce qu'il méritait beaucoup mieux.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Avoir besoin de temps. Oui, sûrement. Seulement j'aurai aimé lui être suffisant ou du moins, pouvoir palier ce fameux temps. C'est marrant parce qu'elle utilisait à quelques expressions près, les mêmes mots que mon ex. Un flot de sentiments m'envahit alors, je n'étais pas bien, je n'avais pas envie de rester. Je ne voulais pas l'entendre dire davantage de choses sur ce qu'on aurait pu être ou ce que l'on pourrait être dans un futur proche ou non. Elle ne voulait pas de moi à ses côtés pour se battre, très bien. Je la comprenais, je n'aurai pas envie de moi non plus, sûrement. Nous avions vécu une relation platonnique où le seul remou nous aura été fatal. Merveilleux. Cette rage que je cherchais par tous les moyens a camoufler en moi, allait bientôt resurgir, je la sentais gravir en moi. Elle n'avait même pas prononcé les mots "C'est fini" ou bien "Je te quitte" car nous savions très bien de quoi nous parlions, c'était devenu très clair et finalement, on montrait qu'on arrivait encore à communiquer et à se comprendre, assez marrant vu la conversation que l'on animait alors.

« Je crois que ça vaux mieux. Si on continu ainsi on va tout droit dans le mur. »
« Je crois qu'on y est déjà non? »

Oui, on se quittait, donc on y était déjà dans le mur. S'il y avait bien une chose que je n'aimais pas, c'était cette pauvre lueur d'espoir qu'on essayait de garder à la fin d'une relation, comme si cette lueur pourrait nous faire revenir ensemble alors qu'elle était incapable de nous servir d'ambition pour nous battre à l'heure actuelle. Servons nous en de cette putain de lueur d'espoir pour nous battre, essayer de sauver les meubles, tenter un truc, n'importe quoi. J'aurai été près à tout. Mais elle nous stoppait là. Soit.

« Je vais y aller, je crois que c'est mieux. »

Ma voix était éteinte, je me sentais extrêmement triste et en colère. Je pris lentement mes affaires, faisant un rapide tour de l'appartement, mais je n'avais rien laissé. Je ne levais pas une fois les yeux vers Eléo. J'en n'avais pas le courage. Je m'avançais vers la porte, alors qu'elle était toujours assise sur le sofa, puis lui lança, à mi-mots:

« Prends soin de toi surtout. »

Ne lui laissant pas le temps de me répondre, je partis rapidement de l'appartement, fermant la porte et dévalant les marches pour quitter l'immeuble au plus vite. Il fallait que je me calme, que j'extériorise, que je fasse quelque chose, que je trouve un moyen au plus vite de me resaisir, de me calmer, de redevenir moi même.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Je crois que lorsqu'on sait que c'est fini, il n'y a plus rien à faire. Il avait préférée s'en aller et je crois que au final, c'était le mieux. Après une rupture en général, on a envie d'être seul, et pas en compagnie de l'homme qu'on venait justement de rejeter. " Rejeter ", un mot que je n'apprécie guère, et pourtant, c'était ce que je venais de faire, en tout cas j'en avait l'impression. Il avait pris ses affaire et il était partie , en me demandent de prendre soins de moi. Je n'avais pas bougée, j'étais restée assise sur le sofa, ne sachant pas vraiment quoi faire n'y comment réagir à cette nouvelle épreuve que nous venions de subir. Il était partie, c'était terminé, et il n'y avait plus rien a en dire.

J'ai passée le reste de la soirée dans ma chambre, enroulait dans ma couette me posant mille et une question auquel je n'avais pas de réponse. Léo est rentré tard, mais au moins il était là. Heureusement les amis restaient. Cette nuit là, encore une fois je n'ai pas beaucoup dormi. Cette semaine me paraissait interminable.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)