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Eléo me répondit qu'elle se sentait fatiguée et qu'un bon film tranquille était ce qui lui semblait le mieux, on s'embrassa alors, tendrement et alors que je m'apprêtais à lui dire quelque chose, elle s'aperçue de l'état de ma main. Et merde. Elle la prit, l'observa et instinctivement, s'éloigna de moi, l'air inquiète, me regardant d'une drôle de façon. Elle me demanda rapidement ce qu'il s'était passé pour que ma main en arrive à cet état là.
« Ce n'est rien Eléo et j'ai pas envie que tu t'inquiète pour ça, tu as autre chose à penser... »
J'avais pas envie de lui faire peur, pas non plus envie qu'elle s'imagine tout un tas de choses alors tout simplement, je fini par lui dire la vérité, sans trop attendre :
« A ton avis qu'est-ce que c'est? Tu me connais un peu maintenant, non? Tu sais que je suis maladroit, tu sais aussi que parfois je peux être très con. Surtout quand j'ai l'impression de ne plus rien contrôler, que j'ai le sentiment de ne pas pouvoir faire grand chose et davantage, quand ça touche les personnes auquel je tiens le plus.... »
Je soupirai, regardant ma main qui avait oui, une sale gueule. Je passais ensuite mon autre main sur mes phalanges rouges, j'avais tellement envie de lui dire les choses dans leurs détails, qu'en ce moment j'allais pas bien, je sentais quelque chose se passer en moi, je sentais une colère que j'arrivais pas à contrôler, que je pétais un plomb, que je n'arrivais pas à me confier aux gens que j'aimais, que je n'en avais pas le droit face à ce qu'ils devaient vivre personnellement. Mais finalement, je lui dis simplement :
« C'est vraiment rien Eléo... Ca n'arrivera plus. »
Et c'était vrai, ça n'arriverait plus. Là, c'était la goutte d'eau qui avait fait débordé le vase, vase que je tenais et que je ne pensais pas être rempli si tôt. Je savais que j'allais mal, que quelque chose se passait en moi, mais je ne pouvais pas dire ce qui allait se passer. Une tentation de combattre ce mal me rongeait, j'étais en quête d'une solution, d'une aide pour affronter ça. J'ignorais encore à ce jour que bientôt, j'allais en passer par un autre mal, plus féroce, qui m'aiderait à faire face quelque temps, jusqu'à ce que je ne me rende compte que c'était bien plus néfaste que le premier mal qui me perturbait à ce jour. Mais ça... Henri n'en savait rien et Eléo non plus.
« Ce n'est rien Eléo et j'ai pas envie que tu t'inquiète pour ça, tu as autre chose à penser... »
J'avais pas envie de lui faire peur, pas non plus envie qu'elle s'imagine tout un tas de choses alors tout simplement, je fini par lui dire la vérité, sans trop attendre :
« A ton avis qu'est-ce que c'est? Tu me connais un peu maintenant, non? Tu sais que je suis maladroit, tu sais aussi que parfois je peux être très con. Surtout quand j'ai l'impression de ne plus rien contrôler, que j'ai le sentiment de ne pas pouvoir faire grand chose et davantage, quand ça touche les personnes auquel je tiens le plus.... »
Je soupirai, regardant ma main qui avait oui, une sale gueule. Je passais ensuite mon autre main sur mes phalanges rouges, j'avais tellement envie de lui dire les choses dans leurs détails, qu'en ce moment j'allais pas bien, je sentais quelque chose se passer en moi, je sentais une colère que j'arrivais pas à contrôler, que je pétais un plomb, que je n'arrivais pas à me confier aux gens que j'aimais, que je n'en avais pas le droit face à ce qu'ils devaient vivre personnellement. Mais finalement, je lui dis simplement :
« C'est vraiment rien Eléo... Ca n'arrivera plus. »
Et c'était vrai, ça n'arriverait plus. Là, c'était la goutte d'eau qui avait fait débordé le vase, vase que je tenais et que je ne pensais pas être rempli si tôt. Je savais que j'allais mal, que quelque chose se passait en moi, mais je ne pouvais pas dire ce qui allait se passer. Une tentation de combattre ce mal me rongeait, j'étais en quête d'une solution, d'une aide pour affronter ça. J'ignorais encore à ce jour que bientôt, j'allais en passer par un autre mal, plus féroce, qui m'aiderait à faire face quelque temps, jusqu'à ce que je ne me rende compte que c'était bien plus néfaste que le premier mal qui me perturbait à ce jour. Mais ça... Henri n'en savait rien et Eléo non plus.
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