SABRIEL ☾ Je pense que tu es le genre de fille pour qui un gars reviendrait.

Par moment, j'ai l'impression d'être le bureau des pleurs, l'épaule ou elles viennent toutes s'installer confortablement pour pleurer. Ce soir, c'est chez Sally que je me rend. A vrai dire, je m'inquiète un peu pour blondie. Incapable de faire les bons choix, elle se remet tout doucement en question et avec cette fusillade, je n'ai pas envie qu'elle fasse des choix qu'elle pourrait regretter en prenant doucement conscience que la vie ne tiens qu'à un fil. J'aimerai lui dire, je t'avais prévenu et surement que je lui dirai. Sally me décontenance par moment, je ne comprend pas le pourquoi du comment de la moitié de ses actes mais la seule chose que je sais réellement, c'est qu'elle en souffre et en tant qu'ami je dois être là. Enfin je suppose que c'est ce que je dois faire, bien que les problèmes de fille, c'est pas mon rayon. Peut être bien qu'elle devrait se trouver un meilleur ami gay ? Je fronce un peu les sourcils à cette pensée alors que j'arpente le jardin de sa résidence. J'entre, sans prendre la peine de sonner, cette porte est toujours ouverte de toute manière. Je fais la bise à quelques filles que je connais, que je connais très bien même, puis m'en détache pour aller trouver Sally dans sa chambre. J'ouvre la porte, me fichant bien d'entrecouper un moment intime ou pas, j'ai la clé, elle me l'a donné un jour, c'est bien pour que je puisse entrer comme je veux ?

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Gabriel c'était mon petit nounours, quoi c'est vrai quand j'avais besoin de câlins ou de me faire consoler je faisais appel à lui ces derniers temps même si je savais qu'il détestait ça et si en plus je l'appelais mon nounours j'étais sure qu'il me laisserait pleurer toute seule sur mon triste sort. Bref j'étais revenue dans ma chambre des cabots pour déposer mes cartons le temps de me trouver un petit truc, un appart' pour y crécher vu que mes colocations avaient été foireuses et que je voulais absolument vivre dans un endroit où je me sentirais libre de faire un peu ce que je veux sans devoir rendre des comptes à qui que ce soit. J'étais donc en train de disposer mes cartons dans mon placard tandis que le reste était rester chez mes parents et en attendant j'allais prendre une douche parce que mon dieu que j'avais transpiré avec toute ce bordel, je sortais tout juste de la douche et j'étais en sous vêtements quand Gabriel débarqua, non mais alors lui il en ratait pas une il faisait comme chez lui mais bon j'avais fais la même dans son bateau par le passé et il avait un clé donc il prenait tous les droits qu'il voulait en fait. Je le regarda en lui disant en fronçant les sourcils. "Bordel la prochaine fois tape où prévient que c'est toi j'ai failli faire une attaque." Bref je pris mon peignoir en soie pour l'enfiler et le noué à ma taille et je me précipita vers li, ouais il venait voir sa chieuse il devait savoir qu'il y aurait sa séance câlin. "Non je suis contente que tu soit là en fait." Je lui sauta dans les bras pour l'entouré de mes jambes en calant ma tête dans s nuque pour lui déposer un baiser dessus et je souffla un coup, j'allais pas me plaindre maintenant quand même le plus important c'est qu'il soit là.

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Dans la chambre de Sally, je n'ai pas pour habitude de toquer, elle m'a donné la clé, alors je considère que je suis toujours le bienvenue à n'importe quelle occasion non ? Alors lorsque je vois Sally sortir de la salle de bain, je ne suis en aucun cas gêné et je ne détourne pas le regard non plus. J'ai déjà vu Sally dans son plus simple appareil et son corps est une oeuvre d'art, autant l'apprécier à sa juste valeur. Tu m'as donné une clé, c'est pas pour rien non, je pense donc que ça te dérange pas si j'entre dans ce genre de moment dis-je en la montrant du bout du menton avant de rire un peu, levant la clé au niveau de mon visage comme pour me discréditer de quoique se soit. Rapidement, elle vient se fondre dans mes bras, passant même ses jambes autour de ma taille, je me sens un peu coincé pour le coup ... enfin j'ai un peu chaud alors je la décale un peu histoire d'être un peu plus à l'aise Je passe mes mains dans son dos, sur sa peau pour la lui caresser doucement d'haut en bas et frisonne un peu lorsqu'elle dépose un baiser contre ma nuque. [Toi tu vas pas bien du tout /i] lui dis-je en posant ma main sur ses cheveux, j'allais m'asseoir sur le lit, tenant Sally contre moi avant de lever son menton pour qu'elle me regarde. [i] Je dois allez casser la gueule à qui ?

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Gabriel et moi on avait eu ce moment intime donc il connaissait mon corps plutôt bien et puis je me trouvais pas dégueulasse à regarder donc je n'étais pas gênée qu'il me voit si peu habiller c'est juste que maintenant je faisais attention devant qui je me retrouvais presque nue parce que depuis qu'un certain mec me faisait une sale réputation alors qu'il avait rien à dire j'essayais donc de la jouer raisonnable et ne pas laisser les gens me foutre une sale réputation sur le dos mais après ce que je faisais de mon cul ne regardait que moi. "Si il s'agit de toi non après je fais sa pour toi je sais que tu est accro à ce corps de déesse mais bon il faut que tu fasse une cure pour t'en passer parce que après tu pourra vraiment plus te passer de moi et ta future chérie va être jalouse si on partage ce lit à trois." Bon je disais des conneries mais il y avait rien de mal, j'enfilais mon peignoir en soie pour le nouer à ma taille et aller vers lui pour lui sauter dans les bras et l'enrouler de mes jambes. Je savais que j'allais avoir le droit à mon moment de tendresse avec lui et j'en avais besoin, je frissonna à ces caresses sur mon dos après lui avoir voler un baiser dans sa nuque et je grimaça en le regardant dans les yeux. "Oui mais je suis surtout contente de te voir." Je savais que Gaby me réconforterait si j'en avais besoin et qu'il me protégerait mais je ne voulais pas qu'il le fasse j'avais juste envie de lui parler et lui dire ce que j'avais pris dans la gueule, je me retrouva sur ces genoux quand il alla s'asseoir et je le laissa remonter mon menton alors que mes doigts venait caresser ces poignets à l'intérieur de son haut. "A personne je veux pas que tu fasse ça mais tu sait à l'entendre je suis la pire des catins d'havard, je devrais limite faire un test pour savoir si je n'avais pas le sida... enfin des saloperies quoi."

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Parfois j'ai l'impression que tu lis en moi comme dans un livre ouvert, je suis démasquée. j'avançais vers elle, ouvrait un peu son peignoir pour regarder en riant avant de le lui refermer moi-même Ne soit pas obsédé par ma future gonzesse, y'en a pas pour l'instant dis-je en secouant la tête, l'entrainant avec moi sur le lit pour qu'elle me raconte ses déboires. Je regardais ses doigts caresser mes poignets, un peu surpris avant de me concentrer sur ce qu'elle me disait. Mes sourcils se fronçaient petit à petit alors que je la faisais tomber sur le côté , sans vraiment de ménagement, pour me lever d'un bon. et tu veux pas que j'aille voir cet enfoiré ? Sally dis moi qui s'est ! Il a pas le droit de te manquer de respect comme ça je sais bien qu'elle est fragile psychologiquement à ce niveau là que bien qu'elle puisse dire à quiconque veuille l'entendre que l'avis des autres, elle n'en a que faire, au fond, je sais bien que ça la ronge. Qu'elle s'en soucis plus que ce qu'elle ne le laisse percevoir et j'ai pas envie de voir ce si beau sourire s'effacer de son visage puis c'est qui ce mec pour oser dire de telles choses ?!

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J'étais vraiment en train de dire des conneries donc sa remarque me fit rire parce qu'il entrait dans mon jeu ou alors il était plus en train de ce foutre de moi et royalement. "Ouais fou toi de moi ouvertement en plus." Je le laissa regarder sous mon peignoir sans gêne sans rien dire, en même temps il m'avait déjà vu plus dénudé et il connaissait mon corps et je n'avais pas honte de mon corps, je n'aurais pas la prétention de dire que j'étais bien foutu mais je savais que j'étais loin d'être moche et désagréable à regarder. "Du moment que je suis ta gonzesse pour ce soir." Oui je devais avouer sa me ferait chier quand il aurait une femme dans sa vie parce que j'aimais nos petits moments comme ça et j'avais pas envie qu'il me mette de côté mais bon, j'étais tactile il le savait donc c'était son grand étonnement que je me mis à caresser ces poignets de mes doigts en parcourant son torse de mes yeux puis ces yeux mais je me fis vite pousser sur le côté, je me retrouva le cul sur le lit en le regardant assez surprise surtout de le voir s'énerver autant je ne pensais pas qu'il le prendrait à coeur surtout que je ne pensais pas être si importante que sa pour lui au point qu'il veuille aller casser la gueule à ce type. "C'est Matthéo un mather mais tu sait comment y sont ces mecs Gabriel je t'assure qu'il en vaux pas la peine et puis il avait pas non plus tellement son mot à dire sur tout ça je couche avec qui je veux quand je veux alors franchement sa servirait à rien de perdre ton temps avec ce genre de type." Je me redressais du lit pour m'approcher de lui et aller me blottir contre lui en allant lui voler un baiser sur la joue histoire qu'il laisse tomber, j'avais envie de le convaincre d'oublier même si cette histoire me touchait je ne voulais pas le mêler dans ce genre d'histoire. "Aller laisse tomber.."

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Je n'aimai pas qu'on manque de respect à mes amies, aux femmes en générale, mais je n'étais même pas certain d'être un réel gentleman moi aussi ces derniers temps. Alors pouvais-je vraiment blâmer le comportement des autres quand le mien n'était pas le meilleur à adopter. Je n'en savais rien, je préférais décharger ma colère sur ce mec au lieu de me rendre compte de ce que moi, je faisais aux autres. mais de là, à ce qu'il te dise ce genre de chose ... il s'est passé un truc avec lui ? à moins que ce matthéo ait des sentiments pour Sally et qu'il se soit aperçu qu'elle aimait profiter de la vie, si elle n'avait fait aucune promesse, à quoi bon se décharger sur elle ? J'étais heureux de voir qu'elle assume ses choix, qu'elle ne veuille que profiter de ce qu'elle pouvait à voir en se laissant guider par le plaisir, sauf que derrière se cacher juste une femme en manque d'affection. Promet moi juste que t'iras plus voir ce con puis à la moindre chose, à la moindre réflexion, tu m'en parles Sally, c'est pas cool qu'on te traîne dans la boue comme ça dis-je en baissant un peu les épaules, caressant sa joue de mon pouce avant de la prendre dans mes bras. Je suis prêt à m'empiffrer de glace, à regarder un film de nana si ça peut te redonner le sourire, mais je te préviens, pas de vernie à ongle ou de discussion sur les mecs, je suis pas certain de vouloir affronter ça dis-je en enlevant me chaussures sans même me servir de mes mains, les envoyant valser sur le lit de sa coloc. On fera comme ci rien ne s'était passé ouai, je crois qu'elle sont dégueulasse en plus.

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J'avais accepté que Alexys le faisait la morale, de me faire comprendre que je devais arrêter mes conneries, je me faisais moi même la morale et j'acceptais même la réputation que j'avais pu avoir tant qu'on me foutait la paix et qu'on ne me mettait pas plus bas que terre par contre les remarques de Matthéo je ne les acceptaient pas sans compter qu'il était mal placer pour parler. "On a flirter si je peux vraiment dire ça, on a fini par couché ensemble et il c'est barrer juste après sous prétexte qu'il n'était pas prêt pour une relation sérieuse, c'était au moment où j'étais tombé amoureuse de Jackson mais pour lui j'aurais pu l'oublier on avait à priori des sentiments réciproque puis il a fini par changer devenir un vrai connard jusqu'à il y a quelques jours quand il ma insulter de salope, que je devrais faire un test et changer de confrérie parce que je faisais honte aux cabots je sais pas trop ce que j'ai pu lui faire pour qu'il m'insulte de la sorte alors qu'il avait été clair il ne voulait pas d'histoire sérieuse avec moi." Bon autant lui expliqué tout dans les détails qu'il comprenne mieux l'histoire même si moi même je ne comprenais pas trop le problème dans tout ça mais bon je ne voulais plus trop y faire attention ce mec je l'avais oublié juste que ces remarques m'avait blessée au final parce que je n'avais jamais été ce genre de fille, j'avais eu ma période noir ou j'avais pas mal déconner mais au fond j'étais une nana douce et poser, je cherchais juste à être heureuse et donner autant d'amour qu'en recevoir mais à l'entendre j''étais limite une horrible personne. "Je l'ai déjà oublier et je ne retournerais pas le voir, lui avoir déjà soigner sa blessure pendant qu'il me lynchait me donne assez les boules comme ça." Je grimaça avant d'avoir ce que je voulais c'est à dire un câlin, j'adorais les câlins ce n'était pas de ma faute, si je pouvais je resterais toute la nuit dans ces bras sans bouger. "On ne parlera pas de mec t'en fait pas ce soir c'est toi mon homme je suis fidèle moi monsieur pour ce qui est de regarder un film tout est dans mes cartons déjà donc à moins de déballer un des cartons faudra ce contenter de ce qu'il propose à la télévision mais avant tout je veux savoir ce qui ce passe dans la vie de mon petit Gaby, alors raconte moi tout.." Je m'installa à ces côtés avant de voir ces chaussures valser sur le lit de ma coloc, je lâcha un rire. "T'abuse elle est super maniaque je vais encore me taper une gueulante."

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Pourquoi les mecs sont cons ? Je sais bien que je suis un mec moi aussi, je sais bien que je suis pas le parfait gentleman dont rêverait une fille, je suis pas Kenny Kovalevski, élu l'homme le plus romantique au bal de promo l'année dernière mais merde, pas Sally. Je sais bien qu'elle se cherche, je sais bien qu'elle essaye désespérément de trouver l'amour, alors ouai, elle le fait certainement pas de la bonne façon, mais merde, elle fait ce qu'elle veut de ses fesses non ? Tu vas pas changer de confrérie à cause d'un mec, c'est ridicule, laisse le parler, c'est qu'un con ! Ouai, j'ai envie de lui foutre une tarte à ce mec, j'aime pas la voir si mal, elle peut pas être aussi triste, pas un jolie visage comme le sien. Il a profité de sa faiblesse, consciemment ou inconsciemment mais ça, c'est dégueulasse. C'est bon, j'irais pas mais merde, te laisse pas faire comme ça blondie dis-je en me posant au bout du lit finalement. Elle venait s'asseoir à côté de moi en me demandant ce qu'il se passait dans ma vie. Si elle savait. Je me laisse tomber en arrières, les bras derrière la tête en faisant valser mes chaussures. On s'en branle de ta colocataire dis-je avec un petit sourire sur le visage avant de souffler. C'est le merdier dans ma vie Sally, y'a plein de chose qui se passe et je suis perdu, complètement...

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J'avais mal pris ces insultes et au départ j'aurais pu les prendre à coeur mais par la suite j'avais compris que le problème ce n'était pas moi mais ce mec, j'avais été clair lui non alors je faisais ce que je volais de mes fesses au final, il n'était pas mon père et j'avais aucun compte à lui rendre à partir du moment où il m'avait dit qu'il ne voulait pas de relation mais j'avais besoin de raconter à Gaby pourquoi j'étais quand même mal parce que j'avais peur que d'autre personne pense ça de moi et surtout des gens que j'aime. "Non puis de toute façon je ne finirais pas ma vie chez les cabots." J'étais pas du genre à me laisser faire mais pour le coup j'avais juste envie que ce genre d'intrus sortes de ma vie rapidement donc je ne relevais pas tellement ces remarques. "Oui promis t'en fait pas." Par la suite il prit ces aises et fit valser ces chaussures sur le lit de ma colocataire, sa remarque sur elle me fit sourire puis quand il s'installa sur le lit je le laissa faire et j'allais me blottir contre lui en posant ma tête contre son torse. "J'ai tout mon temps alors vas y raconte moi tout."

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