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missed you (Addi)

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Il s’était passé beaucoup trop de temps depuis ma dernière rencontre avec Addi. La chef des Quincy me manquait énormément et j’avais beaucoup de choses à lui raconter. Je n’avais même pas encore eu l’occasion de lui dire que j’étais en couple ! Il fallait rattraper ça. Puis je voulais qu’elle me raconte ses fêtes de fin d’année, son séjour au ski, et je voulais également m’assurer de mes propres yeux qu’elle allait bien après les horribles évènements qui avaient secoué toute la faculté. Bien sûr, on avait échangé des sms ces dernières semaines mais ça ne remplaçait pas le fait de se voir et de passer une bonne soirée tous les deux. La jeune femme était au mac do lors des prises d’otage, elle avait assisté en direct au tir sur l’une de ses amies, une scène plus que traumatisante qui devait très certainement la faire cauchemarder la nuit. J’arrivais devant son appartement, un porte clé en forme de petite tour Eiffel, promis lorsque j’étais encore en France, ainsi qu’une bouteille de vin ramenée de ce même voyage. Mon doigt appuya sur la sonnette et je patientais, impatient de retrouver mon amie.
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J'étais vraiment contente de voir Priape, il m'a terriblement manqué, et après tous les événements récents j'ai envie de l'avoir près de moi. Je ne peux pas me passer de lui, c'est un fait, et j'ai juste envie de le serrer dans mes bras après tout ce temps. J'ai l'impression qu'il s'est passé trop de choses dans ma vie, et que le jeune homme risque d'halluciner en écoutant toutes mes péripéties. M'enfin, c'est aussi l'occasion de se revoir tout simplement et de discuter du bon temps - bien que je n'ai pas beaucoup de répit ces temps-ci. La sonnette de mon appartement retentit enfin et je cours presque jusqu'à la porte. Je découvre enfin mon Priape, à qui j'adresse un grand sourire avant de lui sauter dans les bras. « Tu m'as trop trop manqué ! » m'exclamais-je, alors que je me reculais un peu, de peur de l'étouffer. Ça ne serait vraiment pas le bon moment. Je le laisse entrer avant de refermer la porte derrière nous. « Alors comment tu vas ? » Quel bonheur de l'avoir pour moi toute seule tout l'après midi.
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La porte s’ouvrit sur une Addison toute souriante qui se jeta dans mes bras. Je la serrais tendrement contre moi puis lorsqu’elle relâcha son étreinte en m’informant que je lui avais manqué, je lui répondis avec un large sourire : « Je vois ça. Toi aussi tu m’as manqué Addi et ça me fait vraiment plaisir de te voir… » Surtout qu’après tout ce qu’il s’était passé, les agressions, les prises d’otage etc, je m’étais fait du soucis pour mon amie. Même sur le prestigieux campus d’Harvard nous n’étions pas en sécurité. « En tout cas si j’ai le droit à des gros calins comme ça à chaque retrouvailles, ça vaut le coup. » plaisantai-je avant qu’elle me fasse rentrer dans son appart. « Comme un rescapé d’une prise d’otage… » lui répondis-je alors qu'elle me demandait comment j'allais. « Et toi ça va ? Ton amie se remet bien au fait ? » Elle m’avait confié dans un sms qu’elle avait assisté en direct au tir sur sa meilleure amie alors ça me paraissait normal de prendre des nouvelles de cette dernière. « Tiens au fait, j’allais oublié. C’est pour toi. » fis-je en lui tendant la bouteille et le porte clé souvenir à l’effigie de la célèbre tour Eiffel. « Tu vois même à l’autre bout du monde, je pense à toi. »
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J'esquisse un grand sourire, heureuse d'entendre que je lui ai manqué aussi. « J'espère ! » Je tire la langue, enfantine, et le laisse entrer chez moi. Candice n'habite plus ici maintenant, et je me retrouve seule dans cet immense appartement. Pas que ça me déplaise, mais je devrais peut-être penser à déménager ou à trouver des colocataires, ça pourrait être sympa. « Comme si je te faisais jamais de câlins ! Tu me connais, je suis un vrai bisounours. » Et c'est vrai, surtout avec mes amis les plus proches, dont Priape fait évidemment parti. Lèvres pincées, je m'affale sur le canapé, espérant qu'il ne soit pas complètement dévasté par cette horrible prise d'otage. Il faut avouer que de mon point de vue, ça m'a complètement secoué. « Moi ça va, Vanille beaucoup moins.. Les médecins ne savent pas si elle va rester paralysée ou non. » Ouais, je déballe ça comme un cheveu sur la soupe, et je risque certainement de le choquer, mais au point où on en est.. C'est vraiment atroce cette période là. « Oh merci, elle est trop chou ! » Je le remercie, lui déposant un petit baiser sur la joue, attrapant la petite Tour Eiffel qu'il venait de me rapporter tout droit de Paris. Ah Paris.. un lieu qui m'attire depuis toujours. « T'es trop mignon. Alors sinon, qu'est-ce que tu racontes de beau dans cette période triste ? » Bah oui, j'espère tout de même qu'il y a du beau dans sa vie.
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« C’est super grand ici. Ta sœur est pas là ? » demandai-je en entrant. Je pensais encore que les deux jumelles habitaient ensemble. « T’es un vrai bisounours peut être, mais un bisounours débordé et que je ne vois pas assez… » répliquai-je en lui tirant la langue à mon tour. Les enfantillages, je savais y jouer également. « Je suis en carence de calins d’Addi après tout ce temps sans te voir… » fis-je avec une petite moue triste. J’allais m’installer à côté de mon amie sur le canapé en l’écoutant me donner des nouvelles de sa meilleure amie. Je réalisais seulement maintenant qu’il s’agissait de Vanille, la petite blonde de la dunster house. Sa blessure était plutôt grave, elle allait peut être restée paralysée. J’avais du mal à imaginer la pétillante jeune femme coincée dans un fauteuil roulant. « C’est horrible la pauvre… J’espère que ses médecins vont parvenir à empêcher cela… Elle est pas trop stressée ? » Ca ne devait pas être facile pour Addi non plus. J’imaginais qu’elle devait passer pas mal de temps à l’hopital pour rendre visite à Vanille et tenter de lui remonter le moral. « Et pour toi c’est pas trop dur à encaisser tout ça ? » m’inquiétai-je. Mes petits présents étaient une maigre consolation face aux tragiques évènements mais ça sembla lui plaire puisqu’elle me remercia d’un bisous. Mon amie me demanda ensuite de mes nouvelles : « Tut, tut, tut ! » objectai-je. « Je ne parlerais pas de moi tant que tu m’auras pas raconter en détail ta classe de neige… » Dans ses sms, elle avait sous entendu qu’elle avait beaucoup de choses à me dire…
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Je hoche négativement la tête, lèvres pincées, suite à la question du jeune homme. Malheureusement, Candice est partie vivre chez Dorian, ce qui est compréhensible puisqu'ils sont en couple. Enfin, ils l'étaient.. « Elle a déménagé, l'appart est pour moi toute seule maintenant ! » J'ouvre grand mes bras, montrant l'immense pièce qui se trouvait face à nous. C'est limite trop grand pour une seule personne vivant avec un chat quoi, tristesse. « C'est toi qui est débordé hein, moi j'ai pas une vie des plus trépidantes. » Je mens un peu, car avec la gestion de la Quincy House, mes études, et mes amis à voir, je suis quand même un peu occupée. Mais bon, c'est lui qui est parti à Paris une semaine hein. Je grimace quand nous évoquons Vanille, ce sujet m'est encore très sensible, et je n'arrive toujours pas à réaliser ce qu'elle a subi. « Sincèrement ? Je crois qu'elle est au fond du gouffre. » Je rive mes yeux vers le sol avant de les reporter dans ceux de Priape, attristée et dégoûtée par ce qu'il lui est arrivé. Je ne comprend pas pourquoi c'est elle qui a subi toutes les conséquences de cette prise d'otage. « C'est pas facile. » Sur ce, je vais m'asseoir sur le canapé, souhaitant éviter au mieux ce sujet délicat. Je pense que Priape comprendra. Je fais les gros yeux quand il m'oblige à lui raconter ma classe de neige, et en y repensant, ce n'est peut-être pas bon que je lui dise tout. Même si je dois admettre que j'ai bien envie d'en parler, surtout avec mon meilleur ami. « Comment dire.. Y'a eu des hauts et des bas. » Je déglutis, perplexe et anxieuse à l'idée de lui dire ce qui m'est arrivée la veille de Noël.
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Sa sœur devait très certainement lui manquer, mais Addi essayait de ne pas dramatiser le départ de sa jumelle en soulignant que désormais elle avait tout cet espace rien que pour elle. « J’aurais du venir squatter ici quand les confréries ont fermé en fait ! » fis-je remarquer en riant. « Bon en tout cas, si j’ai besoin d’un endroit pour organiser une grosse soirée, je saurais à qui m’adresser… » ajoutai-je avec humour, même si l’endroit était effectivement très spacieux, je n’étais pas du genre à m’imposer, ni le genre à jouer les organisateurs de soirées. Addi rétorqua ensuite qu’elle n’était pas débordée, précisant que sa vie était calme… Mon amie avait laissé sous entendre qu’elle avait plein de choses à me raconter, notamment sur ses vacances au Canada alors je ne sais pas pourquoi mais cette dernière affirmation sonnait faux. Je commençais par prendre des nouvelles de son amie, ainsi que de son propre moral avant de revenir à un sujet plus joyeux : celui de ses vacances justement, car je voyais bien que de s’étendre davantage sur la prise d’otage était inutile. Il valait mieux qu’on se change les idées ; Mais le thème de son séjour à la neige ne sembla pas l’enchanter davantage. Je la regardais, intrigué, avant de l’inviter à m’en dire plus : « Comment ça des hauts et des bas ? Rien de grave j’espère ? »
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« Bien sûr que t'aurais pu, t'avais qu'à appeler ! » m'exclamais-je, prenant une mine énervée alors que je ne le suis pas le moins du monde. C'est juste que j'aurais grandement apprécié la présence de Priape chez moi pendant la fermeture des confréries, ça m'aurait vraiment fait plaisir. Mais bon, il faut croire qu'il n'a pas osé, ou qu'il n'y a pas réellement pensé. Dommage. Je lâche un petit rire suite à ses paroles, levant les yeux au ciel. « Ouais on verra hein, si t'invites que des gens que j'aime bien ça me va. » Je lui fais un petit clin d'oeil, toujours un sourire aux lèvres, bien que le sujet de la conversation dérive vers mes soucis et moi. Hmm, je n'ai pas trop envie de tout déballer, mais je sais à quel point Priape peut être curieux et je ne peux pas le blâmer pour cela. De toute manière, je sais très bien qu'il ne me jugera pas. Je commence à me tortiller sur le canapé, mal à l'aise, mais je lâche enfin le morceau, sans pour autant le regarder dans les yeux. « Je.. On m'a agressé la veille de Noël. » Boum, ça tombe comme un coup de massue finalement. Mais je me rends compte que le laisser en plan de la sorte est vraiment inapproprié de ma part, alors je reprends rapidement. « Mais heureusement, on m'a sauvé à temps, j'ai rien de grave. »
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Je pris un air faussement apeuré alors que mon amie me réprimander gentiment de ne pas l’avoir contactée lors de la fermeture des confréries : « Ok, ok, te fâche pas je te promets de te contacter la prochaine fois que je me retrouverais SDF ! » plaisantai-je alors en riant. Alors qu’ensuite on évoqua l’éventualité de squatter son appartement pour une soirée. Sa réponse me fit alors penser à l’une de nos connaissances communes… Je pus m’empêcher de demander à ce propos : « Des gens que tu aimes bien, ça exclut Valentin ça ? » Ma façon détournée de savoir où en étaient restées les choses entre mon meilleur pote et elle. Puis, la conversation prit une autre tournure alors que je l’interrogeais sur ses vacances. Je sentis mon amie se tendre, soudain mal à l’aise. Etrange, puisque nous étions habitués à tout nous raconter. Ce qu’elle me lâcha après plusieurs minutes d’hésitation me scotcha sur place : Addi, ma petite Addi, agressée ?!? J’entendis à peine la suite de ses paroles, j’explosais de colère envers son agresseur: « C’est pas vrai ! J’aurais du faire la peau à ce connard lorsqu’il a agressé Milena » Je m’en voulais terriblement. J’avais été témoin de l’agression d’une étudiante lowell un soir devant la dunster house, j’étais intervenu mais j’avais été incapable d’arrêter le type… Si ce soir là je l’avais stoppé, peut être que la suite aurait été complètement différente, peut être qu’il ne se serait rien passé pour mon amie. Mon regard se reporta soudain sur elle, elle me parut soudain si vulnérable, là, à côté de moi sur ce canapé, les yeux baissés. J’en oubliais ma rage, Addison n’avait pas besoin de m’entendre hurler ma rage, elle avait besoin d’un ami présent et qui la soutienne. Je me calmais et j’attrapais délicatement sa main pour l’attirer contre moi avant d’enrouler mes bras autour d’elle pour la serrer contre mon torse avec douceur. Je lui murmurai alors : « Je suis vraiment désolé Addi. Ca a du être horrible pour toi... Si tu veux me raconter, en parler, je suis là… »
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J'acquiesce positivement, espérant qu'il pensera réellement à moi la prochaine fois qu'il sera dans le besoin. C'est vrai que cette fermeture des confréries avait mis une sacrée pagaille dans tout Harvard. Je perds presque instantanément mon sourire quand il évoque Valentin, car je ne sais pas trop quoi penser de lui en ce moment. On ne s'est pas revus depuis l'épisode de l'ascenseur et je crois que ce n'est pas plus mal. « J.. Je sais pas. Ca va mieux maintenant, je crois que je suis passée à autre chose. » Et c'est vrai, je ne mentirai pas au jeune homme par rapport à mes sentiments pour son meilleur ami. J'ai juste envie de prendre mes distances, de peur de retomber dans ses filets, il est bien connu que je suis assez faible concernant mes sentiments. Je sursaute légèrement quand Priape hausse le ton, il a l'air extrêmement énervé et je peux le comprendre. Apparemment une de ses amies s'est aussi faite agressée, et il n'a pas l'air de l'avoir digérer. Je ne sais pas trop quoi répondre face à cet élan de colère, mais quand il me prend dans ses bras, je me laisse faire. J'ai une forte envie de pleurer, mais je me retiens, écoutant Priape après sa crise de colère. « C'était vraiment dur au début, je comprenais pas pourquoi c'était tombé sur moi.. Mais comme je te l'ai dit, on m'a sauvé. Il m'a sauvé à temps. » Et je repense d'ailleurs à Romane, cet homme qui est arrivé au bon moment. Sans lui, je serai complètement détruite j'imagine.
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